yazidnic
31/01/2013, 05h04
Mis à jour le 31.01.13 à 06h31
Depuis le mois de juin, le contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier est dans une phase active. Sur ce que le préfet Pierre de Bousquet considère comme « l'une des lignes les plus saturées de France », les partenaires ont livré un bilan d'étape. « Les délais sont tenus », précise Jean-Pierre Moure (PS), président de l'agglomération.
L'occasion de rappeler les enjeux en filigrane de ces 80 km de ligne. Son coût d'abord : 1, 987 milliards d'euros de travaux directs, financés à hauteur de 973 millions par l'Etat, 400 millions par RFF, 397 millions par la région, 80 millions par l'agglomération de Montpellier, 54 millions par l'Europe, 40 par Nîmes métropole et autant pour le conseil général du Gard. « Cela correspond à 6 000 emplois mobilisés par an sur quatre ans », estime Christian Bourquin (PS), président de la région. Son souhait : que la future gare TGV porte aussi le label Sud de France.
J. D.
Depuis le mois de juin, le contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier est dans une phase active. Sur ce que le préfet Pierre de Bousquet considère comme « l'une des lignes les plus saturées de France », les partenaires ont livré un bilan d'étape. « Les délais sont tenus », précise Jean-Pierre Moure (PS), président de l'agglomération.
L'occasion de rappeler les enjeux en filigrane de ces 80 km de ligne. Son coût d'abord : 1, 987 milliards d'euros de travaux directs, financés à hauteur de 973 millions par l'Etat, 400 millions par RFF, 397 millions par la région, 80 millions par l'agglomération de Montpellier, 54 millions par l'Europe, 40 par Nîmes métropole et autant pour le conseil général du Gard. « Cela correspond à 6 000 emplois mobilisés par an sur quatre ans », estime Christian Bourquin (PS), président de la région. Son souhait : que la future gare TGV porte aussi le label Sud de France.
J. D.