soltan009
25/11/2016, 08h40
Après 28 ans de cavale, le dernier des sept auteurs d'un casse de la Brinks en avril 1988 à Toulouse s'est rendu..
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/police-2.jpg
Après trois décennies de cavale en Espagne, le dernier des sept auteurs directs d'un casse de la Brinks en avril 1988 à Toulouse s'est rendu à la justice toulousaine qui l'avait condamné par défaut à dix ans de prison en 2004, selon le parquet et de son avocat.
Gilles Bertin, aujourd'hui 55 ans, en avait 27 lorsqu'il a cambriolé, le 27 avril 1988, avec une dizaine d'amis musiciens, le dépôt toulousain de la Brinks.
L'équipée avait enlevé et séquestré deux vigiles et leurs épouses, puis vidé la chambre forte, sans coup de feu, emportant 12,3 millions d'euros .
Après 28 ans dans la clandestinité, la dernière "tête pensante" du braquage a décidé de "retrouver son identité" et de rendre des comptes à la justice française, révèle Libération dans son édition de jeudi. Gilles Bertin, qui a vécu au Portugal puis en Espagne pendant toutes ces années, était le bassiste du groupe alors célèbre "Camera Silens", proche de Noir Désir.
"Ils pensaient tous mourir du sida, ils avaient organisé ce casse pour vivre intensément avant de mourir", a expliqué son avocat Christian Etelin, qui l'a accompagné vendredi 18 novembre devant la justice toulousaine.
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/police-2.jpg
Après trois décennies de cavale en Espagne, le dernier des sept auteurs directs d'un casse de la Brinks en avril 1988 à Toulouse s'est rendu à la justice toulousaine qui l'avait condamné par défaut à dix ans de prison en 2004, selon le parquet et de son avocat.
Gilles Bertin, aujourd'hui 55 ans, en avait 27 lorsqu'il a cambriolé, le 27 avril 1988, avec une dizaine d'amis musiciens, le dépôt toulousain de la Brinks.
L'équipée avait enlevé et séquestré deux vigiles et leurs épouses, puis vidé la chambre forte, sans coup de feu, emportant 12,3 millions d'euros .
Après 28 ans dans la clandestinité, la dernière "tête pensante" du braquage a décidé de "retrouver son identité" et de rendre des comptes à la justice française, révèle Libération dans son édition de jeudi. Gilles Bertin, qui a vécu au Portugal puis en Espagne pendant toutes ces années, était le bassiste du groupe alors célèbre "Camera Silens", proche de Noir Désir.
"Ils pensaient tous mourir du sida, ils avaient organisé ce casse pour vivre intensément avant de mourir", a expliqué son avocat Christian Etelin, qui l'a accompagné vendredi 18 novembre devant la justice toulousaine.