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Lako
09/11/2016, 15h57
http://www.telesatellite.com/images/actu/o/ocs-multiscreen.jpg

OCS se lance en solo avec une offre indépendante de tout opérateur .
A partir de 7,99 euros / mois (pendant 6 mois puis 9,99 euros) la nouvelle offre OCS vous propose un accès sur ordinateur smartphone et tablette comprenant l'ensemble du bouquet (les chaises OCS Max, OCS City ,OCS Choc et OCS Géant) et le sevice OCS Go (Replay en streaming ou en téléchargement pour regarder plus tard sans connexion Internet dans les transports pour exemple) . Par contre pas de support de Chromecast pour cette offre d'appel . Il faut opter pour l'offre à 11,99 euros / mois pour bénéficier en plus support de Chromecast (ou Gogole Cast) et ainsi diffuser les programmes directement sur son téléviseur.
Les deux offres sont avec engagement et indépendante de tous les opérateurs. OCS offre en plus un mois d'abonnement aux personnes n’ayant jamais été abonnées à son bouquet auparavant.

ironman
11/11/2016, 13h20
OCS disponible en OTT, bientôt compatible Airplay et sur Apple TV / Android TV et

https://alloforfait.fr/wp-content/uploads/2016/11/ocs-300x200.jpg

OCS vient de lancer ce mardi 9 Novembre 2016 la commercialisation des ses chaînes en OTT (Over The Top), c’est à dire directement auprès des consommateurs.
Une nouvelle offre est créée, dans laquelle les contenus sont accessibles sur mobile, tablette ou ordinateurs pour moins de 10€ par mois.
Jusqu’à présent, le bouquet de chaînes était distribué uniquement via des partenaires, comme CANALSAT ou les opérateurs télécoms.
Deux offres OCS sont désormais proposées, avec dans les deux cas le premier mois offert pour toute nouvelle souscription :


OCS à 9,99€ par mois (7,99€ pendant 6 mois) : OCS sur mobiles, tablettes et ordinateurs
OCS Classique – à partir de 11,99€ par mois : OCS sur mobiles, tablettes, ordinateurs et Chromecast. Via les distributeurs, sur sa box/décodeur TV.

L’application OCS a récemment reçu une mise à jour importante de son application, mais la souscription n’est pour l’instant possible que sur le site de OCS (https://www.ocs.fr/).
La fonction Cast est réservée à l’abonnement OCS classique et une compatibilité avec iOS (Airplay) sera bientôt proposée dans les prochaines semaines comme le laissait penser cet échange sur Twitter il y a quelques jours :

3 Nov (https://twitter.com/alloforfait/status/794142331423391744)
https://pbs.twimg.com/profile_images/760556288464019457/bMMm2THf_normal.jpgalloforfait.fr @alloforfait (https://twitter.com/alloforfait)

Nouvelle version de @OCSTV (https://twitter.com/OCSTV) sur iOS. Gros coup de jeune sur l’interface https://abs.twimg.com/emoji/v2/72x72/1f44d.png Mais toujours pas compatible airplay https://abs.twimg.com/emoji/v2/72x72/1f62d.pngpic.twitter.com/P1S1EStkVT (https://t.co/P1S1EStkVT)




Suivre (https://twitter.com/OCSTV)
https://pbs.twimg.com/profile_images/755334347943710720/bN1POTFv_normal.jpgOCS
✔@OCSTV (https://twitter.com/OCSTV)

@alloforfait (https://twitter.com/alloforfait) on y travaille ! :)
14:22 - 3 Nov 2016 (https://twitter.com/OCSTV/status/794167774486601728)










Le site du bouquet de chaînes annonce également une disponibilité prochaine sur Apple TV, Android TV et Xbox One.
Si toutes les offres permettent de visionner OCS sur mobile, tablette ou ordinateur, elles se distinguent sur la disponibilité depuis son téléviseur :
https://alloforfait.fr/wp-content/uploads/2016/11/compatibilite-ocs.png
OCS est aujourd’hui distribué par Orange, Canalsat, SFR, Numericable, Bouygues Telecom, Free, Fransat, PlayStation 3 et PlayStation 4, Réglo TV, Vialis, My.T, Parabole, Vini, GoTV et Zeop. Le tarifs peut varier en fonction du distributeur.

Lako
14/11/2016, 16h22
La TV en OTT passe à la vitesse supérieurehttp://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/11/OTT111.png
Les jeunes boudent la TV

La récente étude réalisée par Médiamétrie « Young Adults Report » sur 10 marchés
(Allemagne, Danemark, France, Espagne, Etats-Unis, Italie, Japon, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède), révèle que les jeunes adultes, les 15-34 ans, ont passé en moyenne 2 heures et 39 minutes devant leur écran TV entre septembre 2015 et juin 2016, soit 1 heure 30 de moins que la population totale et 5% de moins qu’un an auparavant. Cette génération délaisse l’écran TV pour les autres écrans, principalement leur téléphone mobile ou leur ordinateur. Un phénomène qui oblige les chaînes à revoir leur plan de distribution.

Les chaînes doivent s’adapter au mobile
Les chaînes de télévision doivent à la fois sécuriser leur distribution traditionnelle, tout en étant capables de l’élargir au delà de l’écran TV. L’enjeu du moment consiste donc à offrir des solutions simples pour visionner la télévision en live et en replay, sur son mobile. Car à l’heure de la génération « mobile only », ce qui compte, c’est d’offrir les programmes en mode natif directement sur le smartphones. Pourtant, la distribution managée, telle qu’elle est proposée par les principaux FAI est très performante (simplicité de gestion, facturation sur l’abonnement internet, très bonne intégration dans les interfaces TV), mais elle s’avère totalement inadaptée au monde mobile, à ces jeunes adultes que Guillaume Jouhet, Directeur Général d’OCS, décrit dans les colonnes du Figaro (http://www.zdnet.fr/actualites/www.lefigaro.fr) comme « pas intéressés par la télévision ni par les offres des câblo-opérateurs, mais apprécient les contenus premium. »
Gagner des abonnés
Et puis, il ne faut pas se voiler la face, les chaînes de TV sont sous pression : Canal a perdu plus de 540 .000 abonnés en un an, BeInsports doit gagner des centaines de milliers d’abonnés pour espérer être rentable un jour, OCS a 2,5 millions d’abonnés mais aura du mal à aller plus loin. Et si on regarde les chaînes de sport, c’est pareil, voire pire : Eurosport est prisonnière de son deal avec CanalSat et SFR Sport n’a toujours pas réussi à signer avec un FAI. La seule solution qui vaille : la distribution OTT pour maximiser leur nombre d’abonnés.
http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/11/OTT102.PNG


Le règne de l’OTT commence
Pas étonnant donc qu’on assiste au lancement d’applications OTT de la part de tous ces acteurs de l’audiovisuel. L’avantage est que ces applications ne font pas que proposer le live de leur grille de programmes : elles permettent de voir ou revoir les programmes en replay, proposent des bonus, intègrent des fonctions comme le start over, des statistiques. Autant d’options qui rendent l’usage des applications attractif, même sur des écrans de la taille d’un smartphone ou d’une tablette. Et cerise sur le gâteau, la plupart du temps, ces application sont compatibles avec Chromecast et/ou Aiplay, ce qui permet de visionner les programmes….sur un écran TV !
Peut être bien que Tim Cook, le patron d’Apple, avait raison en déclarant que l’avenir de la télévision, ce sont les applications ; certains opérateurs proposent d’ailleurs des applications en Html5 directement sur leurs interfaces Box.
http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/11/OTT112.PNG


Le marché français est en train de se structurer : myCanal mise à fond sur l’OTT pour regagner des parts de marché tandis qu’Eurosport Player et BeInSport Connect cherchent à élargir leur base d’audience grâce à leur application disponibles sans engagement. Il faudra maintenant compter avec OCS et SFR Sport qui elles aussi ont décidé de se lancer sur le marché de l’OTT. Les amateurs des séries HBO et de la Premiere League anglaise pourront donc retrouver leurs programmes favoris sans avoir à souscrire à une offre via un FAI. Et pour compléter le tableau, il y a aussi Molotov.tv qui distribue toutes les chaînes de la TNT et certaines chaînes payantes dans son application OTT.

De 3,99 € à 19,90 € par mois
Question prix, c’est Eurosport Player qui démarre le plus bas à 5,99€ par mois et myCanal qui est le plus cher à 19,90€ par mois. SFR Sport et OCS ont choisi d’avoir un prix inférieur à 10 euros, soit 9,99€ hors période de promotion pour OCS qui est à 7,99€ pendant les six premiers mois. De son côté BeINSport est à 14€ pour son bouquet de 10 chaînes et Molotov.tv démarre à 3,99€, pour un abonnement à un espace de stockage dans le cloud pour des émissions enregistrées (cette fonction n’étant pas encore disponible à l’heure où nous écrivons ces lignes, sachant que Molotov est gratuit pour son utilisation normale).

OTT et Mobile Only
Avec ces nouvelles offres, on entre de plain pied dans la TV du futur. Une télévision qui se regarde partout, seul ou en groupe, en direct ou en replay, sur son mobile ou sa tablette. L’internet liquide (4G et Fibre) permet de profiter de débits suffisants pour regarder de la vidéo à tout moment ; les solutions de partage facilitent la diffusion sur les écrans de TV. Reste à savoir si à ce prix, ces fameux « Millennials » seront suffisamment motivés pour payer plus de 10 euros des programmes à regarder sur un écran 10 fois plus petit qu’un écran TV.

ironman
14/11/2016, 17h49
Suisse : RSI LA 2 devrait quitter laTNT pour l'OTT


http://www.telesatellite.com/images/actu/r/rsi-la-2-suisse-drapeau.jpg


Faute de moyens, la chaîne suisse RSI LA 2 devrait quitter sa diffusion hertziennepour devenir une "Web TV".

En effet, la SSR a décidé de lancer son projet « VPD, Vicinanza al pubblico digitale »("Plus proche du public numérique") et engager la refonte de la chaîne RSI LA 2 pouren faire d'ici 2020 "Web LA 2".Cette nouvelle chaîne OTT devra pouvoir être accessible partout en Suisse, pourrépondre à ses exigences de service public.

Cette "Web TV" devra donc être visiblesur ordinateurs, tablettes, smartphones et Smart TV. La disponibilité sur un écran deTV est tout de même un minimum quand on souhaite maintenir son titre de chaîneTV.La RSI ne cache pas que ce sont des moyens trop limités qui ne permettent pas demaintenir la chaîne dans son état actuel.

La nouvelle "RSI LA 2" version OTT sera lowcost ou ne sera pas puisque la chaîne verra le jour si « toutes les conditionstechnologiques et juridiques sont réunies à l'issue des travaux préparatoires ».

ironman
25/11/2016, 15h48
Téva et Paris Première disponibles en OTT

http://www.telesatellite.com/images/actu/6/6play-teva-paris-premiere.jpg


Le groupe M6 lance une offre OTT payante composée des chaîne Téva et Paris Première.

Commercialisée à 1,99€/mois et par chaîne (sans engagement), Téva et Paris Première sont disponibles à travers l'application 6Play sur ordinateurs, tablettes et smartphones.

L'arrivée de Paris Première et téva sur l'application et le site 6play marque une nouvelle étape dans le développement de la plateforme digitale du Groupe M6,qui élargit ainsi sa proposition éditoriale. L’occasion pour les utilisateurs 6playde voir en direct et en replay Très Très Bon, Zemmour et Naulleau ou La Revue de Presse sur Paris Première, Sucrément Bon, Magnifique by Cristinaou Younger sur téva."

Ces 2 chaînes sont déjà inclues dans les offres TV de Canal, Free, SFR,Numericable, Orange et Bouygues Telecom.

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ironman
28/11/2016, 21h03
Les chaînes de télévision débarquent en accès direct sur le Web

SFR , Orange , M6 ont lancé coup sur coup des offres dites « OTT » pour accéder à des chaînes sur PC, mobile, etc.
Ces formules OTT cherchent à toucher les 4 millions de Français qui n'ont pas de téléviseurs.

Les chaînes de télévision vont-elles se consommer à l'avenir uniquement sur le Web ? On peut se poser la question au regard des annonces récentes d'OCS (les chaînes cinéma d'Orange), SFR Sport, Paris Première, Téva... Toutes ces chaînes payantes sont désormais en accès direct sur le Net (on dit aussi « offre OTT », pour « over the top »). Cela signifie que l'on peut s'y abonner directement sur mobile, tablette ou ordinateur, sans avoir à passer par la traditionnelle box d'un opérateur télécom. Ces offres OTT cherchent à toucher les 4 millions de Français qui n'ont pas de téléviseur et consomment les programmes sur d'autres écrans.

Pour l'heure, ce marché reste modeste : 16 % des Français ont regardé la veille du live, un replay ou de la SVoD sur d'autres écrans que la télévision, selon une enquête récente de Publicis Média. L'arrivée de ces chaînes payantes sur le Web pourrait dès lors paraître anodine. Or c'est, en réalité, une rupture forte avec le passé. Surtout pour les opérateurs télécoms qui proposent à leurs abonnés des chaînes via des box. A première vue, ils n'ont pas intérêt à ce que ces offres télé soient sur le Net, qui plus est pour moins cher, car cela peut inciter les foyers à renoncer à leur box. Si Orange et SFR ont décidé de le faire avec leurs propres chaînes de télévision, c'est parce que les offres OTT se multiplient et transforment les usages. L'arrivée de Netflix, le plus puissant acteur parmi eux, a bousculé tout le monde. Selon nos informations, l'américain totalise désormais plus de 1,2 million d'abonnés en France (en comptant les offres d'essai gratuites), ce qui en fait le premier acteur, devant CanalPlay.

Tous concurrents de Netflix

Sur le Web, les offres OTT se positionnent en concurrents de Netflix. « C'est un revirement stratégique pour les opérateurs télécoms. Jusqu'ici, c'était le contenu qui servait à recruter des abonnés. Désormais, ils veulent s'appuyer sur leur puissance en nombre d'abonnés, boostée par les offres OTT, pour négocier l'achat des meilleurs programmes dans le monde », fait valoir un observateur, qui croit au potentiel du marché OTT. Il y a aussi une logique économique : si SFR renonce à l'exclusivité de SFR Sport, qui diffuse la Premier League, c'est parce qu'il espère la rentabiliser en la proposant à un public plus large. Les seuls abonnés de SFR ne suffisent manifestement pas à atteindre cet objectif.BeIN Sports, Eurosport, Game One, Paramount Channel, etc. sont autant de chaînes appartenant à des groupes audiovisuels et disponibles en direct sur ordinateur, tablette et même PS4. Elles cherchent des ressources supplémentaires alors que CanalSat ou les opérateurs télécoms les rémunèrent de moins en moins pour les reprendre dans leurs bouquets.

Dernier en date à proposer ses chaînes en OTT : M6, avec Téva et Paris Première, à 1,99 euro par mois chacune. « C'est un complément de distribution pour nos chaînes et une façon de diversifier nos revenus », explique Thomas Follin, directeur de M6 Web. Le contact direct avec les utilisateurs inscrits sur ce service Internet ainsi que les données recueillies permettent au groupe depousser ses nouveaux abonnements. M6 reste cependant prudent sur ses objectifs. « On estime le taux de transformation du gratuit au payant de 2 % à 3 % », dit-il. Soit, pour ses 13,5 millions d'inscrits, jusqu'à 400.000... C'est faible par rapport aux millions d'abonnés à Teva et Paris Première via les box. Les utilisateurs OTT passent par Google Play et iTunes, auxquels M6 reverse une partie du prix de l'abonnement (environ 30 %). « On touche environ 30.000 nouveaux utilisateurs, contre plus de 12 millions d'abonnés via les bouquets des opérateurs télécoms. » note pour sa part Thierry Cammas, président de Viacom (Paramount, Game One...). C'est aussi une continuité de service hors de chez soi. Selon lui, « il y a un potentiel en France, mais il reste limité », compte tenu de l'importance de la distribution câble-satellite-ADSL. « Je vois des petits pas dans une direction, mais rien de systémique », confirme un autre acteur du secteur.

D'autres initiatives devraient suivre. Canal+ a lancé en septembre une offre exclusive Internet MyCanal, France Télévisions prévoit une distribution OTT pour sa future offre SVoD (lire ci-dessus), Eurosport veut se développer dans l'OTT et Lagardère Active, qui s'est associé à Molotov, « y réfléchit ».