zadhand
22/10/2016, 23h09
Grève les 24 et 25 octobre
L'intersyndicale autonome menace d'une «escalade»
Intersyndicale Autonome
22 Octobre 2016
Réunie jeudi dernier pour évaluer la grève des 17 et 18
octobre derniers, l'intersyndicale autonome (éducation,
santé et fonction publique) a réitéré la « plateforme de
revendications » et sa volonté de reprendre le débrayage,
comme prévu, les 24 et 25 du même mois. Dans un
communiqué, les treize syndicats de la fonction publique,
réunis au siège du SNPSP, « ont affirmé le maintien de la
plateforme de revendications concernant les dossiers de
la retraite, du Code du travail, et du pouvoir d'achat ».
S'agissant des conditions de déroulement des deux
journées de grève, les organisations « dénoncent les
atteintes aux libertés syndicales à travers les menaces et
les restrictions imposées aux délégués syndicaux et aux
grévistes via des réquisitions illégales, en particulier à
l'encontre des représentants du SNPSP traduits en justice
et ceux de la SNATEG licenciés injustement ». Le
communiqué appelle « la base et les travailleurs » des
secteurs de l'éducation, de la santé et de la fonction
publique, à « se mobiliser, renforcer leurs rangs et continuer
la lutte pour obtenir leurs revendications et protéger leurs
acquis ». Les syndicats autonomes de la fonction publique en
appellent aux « politiques et aux représentants du peuple,
d'assumer leurs responsabilité en rejetant les projets de lois »
en voie d'être présentés et « dont la finalité est d'instaurer le
recul de l'Etat Social au profit des forces libérales sauvages ».
Le communiqué « met en garde » contre la politique de « fuite
en avant » par la « fermeture des portes du dialogue et la
négociation autour des revendications » et « assure » que les
syndicats sont « totalement disposés » à « l'escalade dans le
mouvement de protestation » en recourant à « toutes les
actions légalement autorisées »
L'intersyndicale autonome menace d'une «escalade»
Intersyndicale Autonome
22 Octobre 2016
Réunie jeudi dernier pour évaluer la grève des 17 et 18
octobre derniers, l'intersyndicale autonome (éducation,
santé et fonction publique) a réitéré la « plateforme de
revendications » et sa volonté de reprendre le débrayage,
comme prévu, les 24 et 25 du même mois. Dans un
communiqué, les treize syndicats de la fonction publique,
réunis au siège du SNPSP, « ont affirmé le maintien de la
plateforme de revendications concernant les dossiers de
la retraite, du Code du travail, et du pouvoir d'achat ».
S'agissant des conditions de déroulement des deux
journées de grève, les organisations « dénoncent les
atteintes aux libertés syndicales à travers les menaces et
les restrictions imposées aux délégués syndicaux et aux
grévistes via des réquisitions illégales, en particulier à
l'encontre des représentants du SNPSP traduits en justice
et ceux de la SNATEG licenciés injustement ». Le
communiqué appelle « la base et les travailleurs » des
secteurs de l'éducation, de la santé et de la fonction
publique, à « se mobiliser, renforcer leurs rangs et continuer
la lutte pour obtenir leurs revendications et protéger leurs
acquis ». Les syndicats autonomes de la fonction publique en
appellent aux « politiques et aux représentants du peuple,
d'assumer leurs responsabilité en rejetant les projets de lois »
en voie d'être présentés et « dont la finalité est d'instaurer le
recul de l'Etat Social au profit des forces libérales sauvages ».
Le communiqué « met en garde » contre la politique de « fuite
en avant » par la « fermeture des portes du dialogue et la
négociation autour des revendications » et « assure » que les
syndicats sont « totalement disposés » à « l'escalade dans le
mouvement de protestation » en recourant à « toutes les
actions légalement autorisées »