ironman
21/10/2016, 19h51
La dépendance de plus en plus croissante à l’Internet et donc la facilité d’accès à la ressource disponible en ligne affecte nos processus de pensée, de mémorisation selon une nouvelle étude de la mémoire qui montre un changement cognitif qui fait que l’Internet devient un aide-mémoire.
La mémoire est profondément liée à notre identité. Sans elle, nous oublions notre histoire, celle de notre famille, de notre pays, de l’humanité, mais aussi nos connaissances, nos émotions…
L’etude montre que la mémoire, processus qui se passait dans le cerveau, est en train de s’externaliser pour aller sur des serveurs.
Expérience à l’appui, des chercheurs de l’Université de Californie, Santa Cruz et de l’Université de l’Illinois, Urbana Champaign ont mené des études pour déterminer nos chances d’atteindre pour un ordinateur ou un smartphone pour répondre aux questions. Et pour bien corser le tout, les participants ont été divisés en deux groupes. Le premier groupe utilise seulement leur mémoire, l’autre utilise Google. La deuxième expérience, les chercheurs ont laissé le choix –Google ou la mémoire- de répondre aux participants.
Le résultat a été que 30% des participants qui ont utilisé Google n’ont même essayé de répondre à une seule question par la mémoire mais aller directement à Google ce qui a fait écrire aux chercheurs que « La mémoire est en train de changer. Notre recherche montre que nous utilisons l’Internet pour soutenir et étendre notre mémoire, nous devenons plus dépendants à Internet [….] et nous en devenons de plus en plus tributaire dans notre vie quotidienne ». Ce qui est par contre sûr, c’est que cette recherche suggère que l’utilisation d’une certaine méthode d’établissement des faits a une influence marquée sur la probabilité de comportement de répétition. Et seulement le temps qui va nous dire si cette tendance aura des répercussions profondes sur la mémoire humaine.
La mémoire est profondément liée à notre identité. Sans elle, nous oublions notre histoire, celle de notre famille, de notre pays, de l’humanité, mais aussi nos connaissances, nos émotions…
L’etude montre que la mémoire, processus qui se passait dans le cerveau, est en train de s’externaliser pour aller sur des serveurs.
Expérience à l’appui, des chercheurs de l’Université de Californie, Santa Cruz et de l’Université de l’Illinois, Urbana Champaign ont mené des études pour déterminer nos chances d’atteindre pour un ordinateur ou un smartphone pour répondre aux questions. Et pour bien corser le tout, les participants ont été divisés en deux groupes. Le premier groupe utilise seulement leur mémoire, l’autre utilise Google. La deuxième expérience, les chercheurs ont laissé le choix –Google ou la mémoire- de répondre aux participants.
Le résultat a été que 30% des participants qui ont utilisé Google n’ont même essayé de répondre à une seule question par la mémoire mais aller directement à Google ce qui a fait écrire aux chercheurs que « La mémoire est en train de changer. Notre recherche montre que nous utilisons l’Internet pour soutenir et étendre notre mémoire, nous devenons plus dépendants à Internet [….] et nous en devenons de plus en plus tributaire dans notre vie quotidienne ». Ce qui est par contre sûr, c’est que cette recherche suggère que l’utilisation d’une certaine méthode d’établissement des faits a une influence marquée sur la probabilité de comportement de répétition. Et seulement le temps qui va nous dire si cette tendance aura des répercussions profondes sur la mémoire humaine.