zadhand
14/10/2016, 21h03
« Impressionnés par le développement de la police algérienne »
Visite guidée des diplomates à Afripol et au Centre de commandement de la police
Afripol (Africain Police Office)
le 14 10 2016
Cette sortie a été initiée par le ministère des Affaires étrangères au profit
de 69 diplomates, nouvellement accrédités en Algérie. L'ambassadeur de
Suède, Marie Claire Sward Capra, a déclaré que cette visite « est très
importante, notamment les présentations, surtout, bien entendu, pour nous
les ambassadeurs accrédités en Algérie. Je parle au nom de mes collègues
ambassadeurs présents ». La diplomate a estimé qu'elle a suivi « avec un
grand intérêt » les présentations, surtout celle sur le mécanisme Afripol.
« Tout est globalisé aujourd'hui, la criminalité, le terrorisme et autres. Cette
coopération au niveau africain est importante également pour nos pays »,
a souligné la diplomate, tout en précisant qu'elle était intéressée
particulièrement par la présentation du contrôle routier. « Avec le dispositif
présenté, il y a effectivement un contrôle approprié des services de police,
notamment avec le système de la télésurveillance qui couvre la wilaya
d'Alger, ainsi que la réaction rapide d'intervention ». Au siège d'Afripol, le
directeur de la police judiciaire (DPJ), le contrôleur Ali Ferrag, a expliqué
aux diplomates l'importance de cet organisme, notamment avec les enjeux
sécuritaires actuels en Afrique et dans le monde. L'officier supérieur a mis
l'accent sur le rôle de l'action diplomatique. Il a soutenu que l'Algérie, à
travers la DGSN, a déployé tous les moyens pour rassembler les pays de
l'Afrique autour d'un mécanisme commun, Afripol, dont l'objectif est
d'instaurer la paix et la sécurité à travers la lutte contre le crime organisé
transfrontalier, le terrorisme, le trafic d'armes et de drogues, ainsi que
l'encouragement de la coopération sécuritaire régionale. Au siège du Centre
de contrôle et de commandement situé au centre d'Alger, les diplomates
ont suivi une présentation sur les grands axes du plan de modernisation de
l'institution initié par la DGSN. Le directeur des moyens techniques, le
contrôleur Zine Eddine Maâkouf, a présenté, à l'occasion, le système de
vidéosurveillance de la DGSN, signalant que la capitale est équipée de
1.300 caméras de surveillance. Il a fait des démonstrations pratiques en
temps réel, ainsi que des cas pratiques captés par des caméras de
surveillance sur des accidents de la circulation, des infractions au code
de la route ainsi que l'interpellation de consommateurs de drogue en
flagrant délit, localisés par des caméras également.Sur cette question, le
premier conseiller de l'ambassadeur de Palestine en Algérie, Bachir Abou
Hattab, a soutenu que l'Algérie a réussi à s'adapter au développement
technologique et à promouvoir l'action policière à un niveau élevé,
notamment dans l'intervention. « La police algérienne a pu se positionner
en leader dans la région arabe. On peut dire qu'elle a réussi à construire
une police moderne », a-t-il indiqué, précisant que les chefs des services
de sécurité en Palestine « ont été formés dans les écoles de police
algériennes et à l'Académie de Cherchell »
Visite guidée des diplomates à Afripol et au Centre de commandement de la police
Afripol (Africain Police Office)
le 14 10 2016
Cette sortie a été initiée par le ministère des Affaires étrangères au profit
de 69 diplomates, nouvellement accrédités en Algérie. L'ambassadeur de
Suède, Marie Claire Sward Capra, a déclaré que cette visite « est très
importante, notamment les présentations, surtout, bien entendu, pour nous
les ambassadeurs accrédités en Algérie. Je parle au nom de mes collègues
ambassadeurs présents ». La diplomate a estimé qu'elle a suivi « avec un
grand intérêt » les présentations, surtout celle sur le mécanisme Afripol.
« Tout est globalisé aujourd'hui, la criminalité, le terrorisme et autres. Cette
coopération au niveau africain est importante également pour nos pays »,
a souligné la diplomate, tout en précisant qu'elle était intéressée
particulièrement par la présentation du contrôle routier. « Avec le dispositif
présenté, il y a effectivement un contrôle approprié des services de police,
notamment avec le système de la télésurveillance qui couvre la wilaya
d'Alger, ainsi que la réaction rapide d'intervention ». Au siège d'Afripol, le
directeur de la police judiciaire (DPJ), le contrôleur Ali Ferrag, a expliqué
aux diplomates l'importance de cet organisme, notamment avec les enjeux
sécuritaires actuels en Afrique et dans le monde. L'officier supérieur a mis
l'accent sur le rôle de l'action diplomatique. Il a soutenu que l'Algérie, à
travers la DGSN, a déployé tous les moyens pour rassembler les pays de
l'Afrique autour d'un mécanisme commun, Afripol, dont l'objectif est
d'instaurer la paix et la sécurité à travers la lutte contre le crime organisé
transfrontalier, le terrorisme, le trafic d'armes et de drogues, ainsi que
l'encouragement de la coopération sécuritaire régionale. Au siège du Centre
de contrôle et de commandement situé au centre d'Alger, les diplomates
ont suivi une présentation sur les grands axes du plan de modernisation de
l'institution initié par la DGSN. Le directeur des moyens techniques, le
contrôleur Zine Eddine Maâkouf, a présenté, à l'occasion, le système de
vidéosurveillance de la DGSN, signalant que la capitale est équipée de
1.300 caméras de surveillance. Il a fait des démonstrations pratiques en
temps réel, ainsi que des cas pratiques captés par des caméras de
surveillance sur des accidents de la circulation, des infractions au code
de la route ainsi que l'interpellation de consommateurs de drogue en
flagrant délit, localisés par des caméras également.Sur cette question, le
premier conseiller de l'ambassadeur de Palestine en Algérie, Bachir Abou
Hattab, a soutenu que l'Algérie a réussi à s'adapter au développement
technologique et à promouvoir l'action policière à un niveau élevé,
notamment dans l'intervention. « La police algérienne a pu se positionner
en leader dans la région arabe. On peut dire qu'elle a réussi à construire
une police moderne », a-t-il indiqué, précisant que les chefs des services
de sécurité en Palestine « ont été formés dans les écoles de police
algériennes et à l'Académie de Cherchell »