zadhand
05/10/2016, 17h42
28e anniversaire des événements d’octobre 1988
Le RAJ dénonce le recul sur les acquis démocratiques
le 05.10.16 | 10h00
Rassemblement, conférences-débats et autres activités. L’association Rassemblement Actions Jeunesse (RAJ) a mis en place un riche programme pour célébrer le 28e anniversaire des événements douloureux d’Octobre 1988.
Ce programme sera entamé, dès aujourd’hui, avec l’organisation du rassemblement
habituel à la place en face du Théâtre national algérien (TNA). C’est ce qu’a annoncé l’association dans un communiqué rendu public hier :«Fidèle à l’idéal d’Octobre 1988
et aux luttes démocratiques menées depuis l’indépendance, pour la mémoire et contre
l’oubli, pour le respect des libertés démocratiques et pour la justice sociale, le RAJ
organise un rassemblement pacifique le mercredi 5 octobre à la place sise en face du
Théâtre national algérien (TNA) à partir du 12h30.»La célébration de cet anniversaire
se poursuivra durant le week-end avec l’organisation d’une série de conférences-débats
sur plusieurs thématiques liées à la situation des libertés et au recul sur les acquis démocratiques des Algériens. Arrachés grâce aux sacrifices des Algériens, notamment
lors des événements d’Octobre 1988, ces acquis, souligne RAJ, sont remis en cause aujourd’hui. «Octobre 1988 a libéré la parole et ouvert la voie pour la construction d’un
Etat de droit, de liberté et de justice sociale. Malheureusement, les forces de
l’obscurantisme ont repris le dessus et le rêve de la liberté et de la justice confisqué, la parenthèse vite refermée avec la remise en cause des acquis chèrement arrachés par le sacrifice des Algériennes et Algériens. 28 ans après les tragiques événements d’Octobre
1988, le bilan n’est guère reluisant», précise l’organisation. Selon le RAJ, les libertés d’association, de réunion et d’expression sont bafouées quotidiennement avec un arsenal
de lois répressives et arbitraires, avec des atteintes quasi quotidiennes aux libertés individuelles et collectives. «Le pays traverse une crise politique, économique et sociale,
crise institutionnelle à tous les niveaux de l’Etat. Le pays vit au rythme des feuilletons
de la corruption qui ont touché tous les niveaux de l’Etat», ajoute l’organisation.
M. M
Le RAJ dénonce le recul sur les acquis démocratiques
le 05.10.16 | 10h00
Rassemblement, conférences-débats et autres activités. L’association Rassemblement Actions Jeunesse (RAJ) a mis en place un riche programme pour célébrer le 28e anniversaire des événements douloureux d’Octobre 1988.
Ce programme sera entamé, dès aujourd’hui, avec l’organisation du rassemblement
habituel à la place en face du Théâtre national algérien (TNA). C’est ce qu’a annoncé l’association dans un communiqué rendu public hier :«Fidèle à l’idéal d’Octobre 1988
et aux luttes démocratiques menées depuis l’indépendance, pour la mémoire et contre
l’oubli, pour le respect des libertés démocratiques et pour la justice sociale, le RAJ
organise un rassemblement pacifique le mercredi 5 octobre à la place sise en face du
Théâtre national algérien (TNA) à partir du 12h30.»La célébration de cet anniversaire
se poursuivra durant le week-end avec l’organisation d’une série de conférences-débats
sur plusieurs thématiques liées à la situation des libertés et au recul sur les acquis démocratiques des Algériens. Arrachés grâce aux sacrifices des Algériens, notamment
lors des événements d’Octobre 1988, ces acquis, souligne RAJ, sont remis en cause aujourd’hui. «Octobre 1988 a libéré la parole et ouvert la voie pour la construction d’un
Etat de droit, de liberté et de justice sociale. Malheureusement, les forces de
l’obscurantisme ont repris le dessus et le rêve de la liberté et de la justice confisqué, la parenthèse vite refermée avec la remise en cause des acquis chèrement arrachés par le sacrifice des Algériennes et Algériens. 28 ans après les tragiques événements d’Octobre
1988, le bilan n’est guère reluisant», précise l’organisation. Selon le RAJ, les libertés d’association, de réunion et d’expression sont bafouées quotidiennement avec un arsenal
de lois répressives et arbitraires, avec des atteintes quasi quotidiennes aux libertés individuelles et collectives. «Le pays traverse une crise politique, économique et sociale,
crise institutionnelle à tous les niveaux de l’Etat. Le pays vit au rythme des feuilletons
de la corruption qui ont touché tous les niveaux de l’Etat», ajoute l’organisation.
M. M