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Google veut écraser Amazon Echo avec Home... et ses clones.
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Google
Pour prendre la place d'Amazon, Google va lancer son propre haut-parleur connecté et pourrait inciter les industriels à héberger sa technologie dans des clones de Google Home.Le 4 octobre 2016, Google devrait présenter ses smartphones Pixel. Mais pas seulement. Il devrait aussi lancer officiellement son haut-parleur intelligent Google Home (http://www.01net.com/actualites/google-lance-home-un-assistant-domestique-a-commander-vocalement-975341.html). Et cette sortie n’est apparemment que la première étape d’un plan plus vaste pour briser la domination d’Amazon sur le marché de la maison connectée.
Google a ainsi déjà commencé à discuter avec une cinquantaine de fabricants pour qu’ils proposent des produits qui fonctionneront comme Google Home, a appris Variety. Certains de ces industriels ont déjà collaboré avec la firme de Mountain View en intégrant la technologie Google Cast – qui permet de diffuser de la musique, des photos et des vidéos depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur directement sur un haut-parleur ou un téléviseur – à des haut-parleurs Wi-Fi.
Et puisque Google Cast est à la fois la technologie derrière l’adaptateur Chromecast et Google Home, la firme de Mountain View souhaiterait profiter de cette première collaboration pour que les fabricants se mettent à produire des produits au fonctionnement similaire à Google Home. « Google Cast est un cheval de Troie », a résumé un des participants à cette réunion, qui estime que certains des fabricants seraient prêts à dévoiler des haut-parleurs intégrant un micro et une connexion à l’assistant de Google dès l’été prochain.
Dix millions d'Amazon Echo d'ici un an ?Les fabricants de produits audio grand public connaissent actuellement une période de grand bouleversement. Ils ont dû s’adapter aux nouveaux modes d’écoute de la musique (notamment au streaming) et ont dû proposer de nouveaux produits comme des casques ou des haut-parleurs Bluetooth. Et Amazon est venu bousculer un peu plus ce marché en redéfinissant ce que pouvait/devait faire un haut-parleur en lançant Echo (http://www.01net.com/actualites/amazon-devoile-echo-un-assistant-personnel-surprenant-qui-repond-a-la-voix-631220.html) et son assistant personnel, à qui l’on peut réclamer telle ou telle chanson, demander le bulletin météo ou les dernières informations…
Amazon n’a pas dévoilé de chiffre de ventes de son haut-parleur mais les analystes estiment qu’il s’en est déjà vendu trois millions et que l’entreprise envisage d’atteindre les dix millions d’ici l’an prochain.
Et pour Google, le produit de son concurrent n’est pas juste un haut-parleur de plus. Il fait partie d’un mouvement plus large où l’on passe d’un monde où les commandes se font de manière écrite à un autre où l’on utilise des systèmes vocaux qui offrent une interaction plus naturelle. Et pas question pour la firme de Mountain View de passer à côté de ce changement.
https://youtu.be/2KpLHdAURGo
C’est la raison pour laquelle elle a développé Home et y a intégré à la fois un assistant intelligent et Google Cast. Il peut ainsi se connecter aux outils Google mais aussi diffuser des flux audio en streaming depuis des applis compatibles comme Spotify, SoundCloud et d’autres ou encore envoyer du contenu sur un appareil compatible (des vidéos YouTube sur un téléviseur par exemple).
L'atout du prixMais la bataille pour le « contrôle » de la maison ne fait que commencer, car Amazon a pris de l’avance et propose maintenant une version plus compacte de son assistant domestique (http://www.01net.com/actualites/amazon-devoile-echo-dot-son-nouvel-assistant-domestique-956387.html) que l’on peut placer n’importe où. La marque a aussi démarré des collaborations avec des fabricants d’électronique grand public pour qu’ils intègrent son assistant Alexa à leurs produits.
La progression de Google sur ce marché pourrait aussi être freinée par ses propres règles. Lors d’une réunion en juin dernier, le géant du Web aurait en effet indiqué aux industriels qu’ils ne seraient pas autorisés à intégrer un autre assistant que le sien dans leurs produits s’ils voulaient continuer à profiter de Google Cast.
En attendant que les clones de Google Home voient le jour, un élément devrait jouer en faveur du produit de la firme de Mountain View : son prix. D’après les dernières rumeurs, Google Home pourrait coûter 50 dollars de moins que Amazon Echo. Et une chose que le succès de Chromecast a montré, c’est que le prix compte !
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Google va stigmatiser les sites qui mettent régulièrement en danger les internautes
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Certains sites jouent avec les règles de sécurité de Google. Pour leur faire passer cette habitude et prévenir les internautes, la firme va les identifier avec une étiquette "récidiviste".
Depuis 2005 et en particulier depuis un an, Google a notablement renforcé son programme Safe Browsing (http://www.01net.com/actualites/safe-browsing-google-va-securiser-encore-plus-la-navigation-sur-chrome-660519.html) qui tenter d'assurer aux internautes une navigation sécurisée sur Internet. En ce mois de novembre 2016, la firme de Mountain View y ajoute un signe qui stigmatisera les sites qui mettent régulièrement les internautes en danger.
Jusqu’à présent, le programme détectait les sites qui violaient la politique de Google en matière de malwares, de phishing, qui se livraient au social engineering ou qui installaient des logiciels indésirables sur les ordinateurs des internautes. Il avertissait alors de leur dangerosité, mais prévenait également les webmasters des pages incriminées. Ceux-ci pouvaient alors intervenir pour rétablir la situation et faire ensuite réexaminer leur site.
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Problème : Google a constaté que certains sites cessaient tout comportement « dangereux » pendant suffisamment longtemps pour ne plus se faire épingler par le programme Safe Browsing... avant de reprendre leurs mauvaises habitudes. Aussi la firme a-t-elle décidé de changer sa politique pour mieux protéger les utilisateurs.
Elle va dorénavant étiqueter ces sites comme « récidivistes ». Une fois que le programme Safe Browsing aura déterminé qu’un site est dans ce cas, son webmaster sera averti et il ne pourra pas demander un nouvel examen avant un délai de trente jours. L’avertissement restera visible même après ce laps de temps. On note toutefois que les sites ayant été hackés ne sont pas concernés par cette mesure.
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Google et Facebook coupent les revenus publicitaires des faux sites d'informations (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-361267-google-et-facebook-coupent-les-revenus-publicitaires-des-faux-sites-d-informations.html)
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Les géants internet américains Google et Facebook ont pris des mesures mardi pour couper les revenus publicitaires des faux sites d'informations en ligne, après une volée de critiques sur leur rôle supposé dans l'élection de Donald Trump.
L'initiative des deux groupes, qui s'adjugent par leurs régies publicitaires respectives le plus gros du marché mondial de la publicité en ligne, vise à étouffer en la privant de financements une industrie alimentée par des informations sensationnelles et souvent fausses circulant en ligne, et vilipendée ces derniers jours pour son influence potentielle sur l'opinion publique.
"Nous allons commencer à interdire les publicités de Google sur les contenus trompeurs, de la même manière que nous interdisons les publicités mensongères", a indiqué Google dans un communiqué à l'AFP. "A l'avenir nous allons restreindre les publicités sur les pages qui dénaturent ou masquent les informations sur l'éditeur, ses contenus ou le but premier du propriétaire du site."
Dans une interview à la BBC, le patron de Google Sundar Pichai a reconnu qu'il y avait "eu plusieurs incidents" dans lesquels de fausses informations avaient été signalées "et nous n'avons pas pris les bonnes décisions".
"C'est donc un moment d'apprentissage pour nous et nous allons vraiment travailler pour régler ça", a-t-il ajouté.
Interrogé sur la possibilité que les faux sites d'informations aient pu influencer le vote de certains électeurs à la présidentielle américaine, il a répondu "bien sûr".
"De notre point de vue, les fausses informations ne devraient pas être distribuées, donc nous sommes tous d'accord qu'il faut que les choses s'améliorent", a-t-il reconnu.
Facebook va mettre en place une politique identique. "Nous n'intégrons pas ou ne montrons pas de publicités dans des applications ou des sites dont le contenu est illégal, trompeur ou mensonger, ce qui inclut les fausses informations", a souligné un communiqué du réseau social. "C'était jusqu'à présent sous-entendu, mais nous avons mis à jour notre politique pour clairement exprimer que cela concerne les fausses nouvelles."
Les principaux navigateurs ne vont plus accepter les certificats SHA-1
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Microsoft, Google et Mozilla ont annoncé que leurs navigateurs vont refuser les sites Web utilisant cette technique de sécurisation peu fiable.L'algorithme de hachage SHA-1 (Secure Hash Algorithm), qui sert à sécuriser les pages en HTTPS, est en train d’être poussé vers la sortie par les éditeurs des principaux navigateurs du marché. Microsoft a annoncé sur son blog (https://blogs.windows.com/msedgedev/2016/11/18/countdown-to-sha-1-deprecation/#lbEPVr1EtwhFb4rk.97) qu’à partir du 14 février 2017, ses navigateurs Microsoft Edge et Internet Explorer 11 ne chargeront plus automatiquement les sites qui utilisent un certificat d’authentification SHA-1 et afficheront à la place un message d’erreur. Il sera néanmoins possible de charger le site manuellement.
C'est en réalité une excellente chose, car il est urgent que l'on se débarrasse de SHA-1 au plus vite. Cet algorithme n’offre plus en effet un niveau satisfaisant de sécurité (http://www.01net.com/actualites/le-web-a-du-mal-a-se-debarrasser-du-chiffrement-peu-securise-de-sha-1-941837.html). Et des cybercriminels peuvent profiter de ses faiblesses pour usurper l'identité de sites Web. Microsoft encourage donc les propriétaires de sites Web à mettre à jour rapidement leurs certificats vers des versions SHA-256.
http://img.bfmtv.com/c/709/360/9a6/2846771e21d27b09a4944d4fb1bdf.jpgDe son côté, Google (https://security.googleblog.com/2016/11/sha-1-certificates-in-chrome.html) indique que la version 56 de son navigateur Chrome, prévue pour fin janvier 2017, n’acceptera plus les certificats SHA-1. Pour sa part, Mozilla (https://blog.mozilla.org/security/2016/10/18/phasing-out-sha-1-on-the-public-web/) indique que le rejet des sites avec certificats SHA-1 sera inclus en tant qu’option dans la prochaine version 51 de son navigateur Firefox, prévue pour janvier 2017, et sera activé par défaut dans les versions suivantes. Notons que l’éditeur avait déjà tenté d’arrêter la prise en compte du SHA-1 (http://www.01net.com/actualites/le-web-a-du-mal-a-se-debarrasser-du-chiffrement-peu-securise-de-sha-1-941837.html) mais avait dû faire marche arrière pour des problèmes de compatibilité.
Le responsable du chiffrement chez Mozilla, J.C. Jones, précise que « les signatures numériques incorporant l’algorithme SHA-1 pourront bientôt être contrefaites par les personnes dotées de suffisamment de ressources et de motivation. » Il indique également que depuis mai 2016 l’usage de cet algorithme sur le Web est passé de 3,5 à 0,8%. Bref, les jours de cet algorithme créé en 1995 sont comptés car il est désormais trop vieux pour résister aux pirates.
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Google a reçu plus d'un milliard de demandes de retrait d'URL "pirates" en un an
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Depuis novembre 2015, Google a accédé à plus de 90% des demandes de retrait d'URL pour "atteinte aux droits d'auteur". Des demandes en très forte augmentation.La chasse aux contenus violant le copyright est ouverte ! Les ayant-droits et leurs représentants avaient laissé entendre un changement de stratégie qui ne plaçait plus les utilisateurs finaux au coeur de leur attention. Et, de fait, le dernier rapport de transparence de Google montre que les représentants des intérêts du copyright sont très actifs pour s'attaquer au piratage à la racine.
Ainsi, lors des dix-huit mois, le nombre de requêtes soumises au moteur de recherche par des ayants droit a été multiplié par trois pour dépasser le milliard en ce mois de novembre 2016 (très exactement 1 007 741 143), révèle TorrentFreak, selon des chiffres que nous avons vérifié dans le rapport de transparence du géant américain.
Entre les mois de novembre 2015 et 2016, Google a accédé à 90,1% des demandes et retiré 908 millions d’URL. Les quelques dizaines de millions d'URL restantes ont été rejetées car il s’agissait de demandes infondées, de liens dupliqués, invalides ou en attente de traitement. A ce rythme, on pourrait bien atteindre le milliard de liens retirés du moteur de recherche d’ici à la fin de l’année.
http://img.bfmtv.com/c/709/400/0d72/cf5e275eddc6e57446dfed462911.jpegGoogle -« Le processus de notification et de retrait est un moyen efficace de lutter contre les infractions en ligne, avait indiqué le géant américain plus tôt cette année. La hausse du nombre d’URL retirées des pages de Google Search chaque année montrent que les ayants droit estiment cet outil adapté à leurs besoins. » A l’inverse, certains détenteurs de droits estiment que cette croissance est plutôt le signe d’un éternel jeu du chat et de la souris commente TorrentFreak.
Canal+ a envoyé plus de 30 millions de demandesDans le top 20 des organisations sollicitant le plus souvent Google, on trouve le représentant de l’industrie du disque britannique, l’organisme mexicain de lutte contre le piratage et des majors américains. Mais pas seulement. On trouve également des organismes français : la SCPP (société civile des producteurs phonographiques qui gère les droits des producteurs pour la diffusion de musique) arrive en 8e position, Citel Vidéo, éditeur de vidéos filiale de Dargaud, en 13e position et Canal+ en 14e place suivi immédiatement par sa filiale Studio Canal. A eux quatre, ces organismes ont demandé la suppression de 151 459 596 liens.
En 2014, les ayants droits avaient fait retirer 345 millions d’URL et 558 millions un an plus tard. Soit une hausse de 60% entre les deux années. Entre 2015 et 2016, le chiffre pourrait bien tourner autour des 80%.
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Google réduit de 65% la taille des mises à jour des appli Android
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Grâce à une nouvelle méthode de mise à jour, qui se concentre sur les seuls fichiers modifiés, le géant de Mountain View réduit considérablement la taille des fichiers à télécharger, économisant de la bande passante.Si la pierre philosophale ne sera pas inventée demain, le mouvement perpétuel existe presque en revanche. Il suffit de regarder le nombre de mises à jour d’applications disponibles sur votre smartphone pour en être convaincu. Vous aurez beau appliquer toutes les mises à jour quotidiennement, le lendemain, tout est à recommencer.
Mis bout à bout, ce sont plusieurs centaines de mégaoctets que vous téléchargez chaque jour depuis le Store applicatif de votre smartphone. Une consommation de bande passante qui compte double, car elle pèse de votre côté et de celui du kiosque de téléchargement.
Des mises à jour plus petites pour moins de bande passanteVoilà pourquoi Google vient d’introduire une nouvelle méthode pour la mise à jour des applications sur son Play Store, sans que les développeurs aient quoi que ce soit à faire en plus. Elle repose sur un système de mise à jour des applications fichier par fichier. Autrement dit, seuls les fichiers modifiés au sein du programme seront téléchargés. Google annonce que cela permet d’obtenir des patches 65% plus petits que l’application elle-même. Dans certains cas, ce procédé permet de proposer un téléchargement qui ne représente que 10% du poids total de l’application. Pour mémoire, en juillet dernier, Google (https://android-developers.blogspot.fr/2016/07/improvements-for-smaller-app-downloads.html) avait annoncé adopter un autre algorithme pour réduire la taille des mises à jour d’applications.
Exemple de modification minime à gauche qui a une grosse incidence sur l'élément compressé, à droite
Compresser et décompresserPour réussir ce changement, Google a dû résoudre un problème technique. Les applications Android sont empaquetées sous la forme d’un fichier APK, qui est « un fichier Zip avec des conventions spéciales ». Un choix qui permet de compresser les données grâce à algorithme appelé Deflate. Or, cette technique empêche de facilement identifier les modifications dans un fichier original qui a été compressé.
Ainsi, explique Google sur son blog, changer un simple mot dans texte modifie en profondeur l’aspect global du fichier compressé.
La technologie de mise à jour fichier par fichier utilise donc un système qui détecte les changements dans les données non compressées. Avant de générer une mise à jour, la méthode de Google consiste à décompresser le vieux et le nouveau fichier, ce dernier contenant les données modifiées. Ensuite, un jeu des différences est réalisé. Ensuite, « pour appliquer le patch,commente Google, nous décompressons le vieux fichier, nous lui appliquons la différence au fichier décompressé et alors nous recompressons le nouveau fichier ».
http://img.bfmtv.com/c/615/266/635/a55462f681105555d16a7e27ccd8b.pngGoogle - Comparaison des tailles des mises à jour en fonction des méthodes utilisées.Un petit prix à payerEvidemment, tout en réalisant ces étapes, le smartphone doit s’assurer que l’APK qu’il héberge est parfaitement identique, « octet par octet », à celui hébergé par le Play Store. Cette précaution nécessaire implique hélas un surcroît de puissance. Google indique que sur les appareils récents (datant de 2015, par exemple), la recompression peut prendre un peu plus d’une seconde par Mo. Sur des appareils plus anciens, et donc moins puissants, la procédure prend plus de temps. Ainsi, le post indique que, « en moyenne, si la taille du patch est divisée par deux alors le temps d’application du patch est doublé ».
Une contrepartie qu’il faut être prêt à payer pour limiter la consommation de bande passante. Pour éviter que les utilisateurs aient à attendre que la mise à jour s’applique et pour ne pas les gêner, en ralentissant le fonctionnement du smartphone, la technique du fichier par fichier est limitée, pour l’heure, aux mises à jour automatiques qui sont appliquées en tâche de fond. Ainsi, tout se passe par exemple la nuit pendant que vous dormez quand votre smartphone est en train de recharger.
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Google encore un sacré mouchard.
Faites comme moi changez votre moteur de recherche comme par exemple
https://duckduckgo.com/
Qui ne vous suis pas et qui est aussi efficace que google
Le meilleur clavier Google arrive enfin sur... Android
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Le clavier Gboard - YouTube (Google France)
Avec sa nouvelle mise à jour, le clavier Google reprend des fonctionnalités qui étaient jusque là exclusives à iOS.A l’origine d’Android, Google réserve pourtant quelques exclusivités à iOS. La dernière en date était Gboard (http://www.01net.com/telecharger/mac/Utilitaire/fiches/135385.html), un clavier qui permet d’accéder aux résultats du moteur de recherche - ou plutôt, de Google Now - sans quitter une conversation, puis de partager ces derniers avec son interlocuteur. Sorti en mai dernier aux Etats-Unis, Gboard a fait son arrivée en août (http://www.01net.com/actualites/gboard-le-clavier-google-pour-ios-est-disponible-en-francais-1022772.html) dans l’Hexagone. Quatre mois après, il est enfin disponible sur Android.
En appuyant sur le logo de Google placé sur la gauche du clavier, on peut par exemple rechercher l’adresse d’un restaurant, accéder aux conditions météo ou aux derniers résultats de notre équipe de foot préférée. Il est également possible d’effectuer une recherche par mot-clé dans la liste des emojis. De façon plus classique, le nouveau clavier Google permet aussi de rechercher des Gifs et des images. Tout est donc fait pour que vous puissiez trouver et partager de l’information sans quitter votre application de messagerie, et bien sûr en passant uniquement par les services Google.
http://img.bfmtv.com/c/1256/684/1fd/089702f6cfb63ec09401660e35c89.jpg01net.com -Dans les faits, il ne s’agit pas d’une application supplémentaire disponible sur le Play Store mais de la dernière mise à jour du traditionnel clavier Google, qui passe de la version 5.2 à la version 6.0. Cette nouvelle mouture devrait arriver sur le store officiel dans les prochains jours. Pour les plus pressés, une APK est déjà disponible en ligne sur APKMirror (http://www.apkmirror.com/apk/google-inc/gboard/gboard-6-0-65-141378828-release/gboard-6-0-65-141378828-arm64-v8a-android-apk-download/). Comme à son habitude, le site s’est assuré qu’il s’agissait bien de l’application développée par Google. Une fois téléchargé, Gboard remplacera votre clavier actuel.
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La nouvelle astuce de Google pour vous faire switcher de l'iPhone vers Android
[COLOR=#333333][FONT=Arial]http://img.bfmtv.com/c/630/420/78e/6944c3c4bdb9bc927a474ac39bec1.jpeg
L'application Google Drive pour iOS aidera à switcher vers un smartphone Android. - Capture d'écran
Google Drive pour iOS peut maintenant sauvegarder directement les contacts, calendrier, photos et vidéos pour les transférer sur un smartphone Android. Une nouvelle initiative de la part de Google après celle lancée avec la sortie du Pixel.[COLOR=#333333][FONT=Arial]Google multiplie les initiatives pour inciter les propriétaires d’iPhone à « switcher » vers Android. La dernière en date passe désormais par l’application Google Drive pour iOS.
Une nouvelle fonctionnalité permet désormais de sauvegarder depuis l’application ses contacts, ses calendriers et ses photos. Une fois son nouveau smartphone Android en main, on pourra récupérer directement ces informations depuis Google Drive.
De l’espace nécessaire pour les photosPour cela, il faut se rendre dans les paramètres de l’application puis dans la rubrique « Sauvegarder ». Une attention toute particulière est requise pour les photos et vidéos. Par défaut, l’application sauvegarde en effet ces contenus en résolution d’origine, cet espace sera donc décompté de votre quota Google Drive (15 Go gratuits par défaut). Il est possible alors de réduire leur qualité pour bénéficier d’un stockage gratuit et illimité.
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Il faut se rendre dans les paramètres pour configurer la sauvegarde. En octobre dernier, Google proposait à l’occasion de la sortie de son Pixel un système transférant directement les données depuis un iPhone (http://www.01net.com/actualites/google-son-cheval-de-troie-pour-vous-faire-switcher-de-l-iphone-au-pixel-1044541.html). Ce procédé par câble est bien plus complet puisqu’en plus des contacts, calendriers et photos, il transfère également les SMS et iMessages.
Apple avait été le premier à dégainer en sortant en septembre 2015 l’application Move To iOS (http://www.01net.com/actualites/move-to-ios-l-appli-d-apple-qui-fait-hurler-les-fans-d-android-916003.html) pour transférer ses données Android vers un iPhone. Ce système ne nécessite en revanche aucun câble puisqu’il fonctionne entièrement en Wi-Fi.
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Google abandonne son projet de drones Internet
On le sait, les géants du Web multiplient les projets pour offrir Internet aux populations qui en sont privées. Louable objectif mais parfois la réalité économique et technologique se heurte aux bonnes intentions. C'est visiblement le cas pour Alphabet (Google) qui a décidé d'abandonner (https://9to5google.com/2017/01/11/alphabet-titan-cut/) son projet de drones solaires.
http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/12/ai-ml-google-header.jpg Rappelons que Google s'est offert en 2014 le spécialiste des drones solaires Titan Aerospace pour un montant tenu secret. Ces drones sont théoriquement capables de voler à 20 km au-dessus du niveau de la mer, tout en étant alimenté par l'énergie solaire. En dehors de la connexion à Internet, Google pointait l'utilisation possible de ces drones pour les catastrophes naturelles, par exemple.
Pour autant, ces drones étaient toujours en phase de développement et malgré quelques essais en conditions réelles (au Nouveau Mexique), il semble que les conditions ne soient pas réunies pour un lancement à grande échelle.
Rappelons que Google a également vendu ses parts dans le fournisseur d’Internet par satellite O3b. Ce dernier opère une constellation d’une douzaine de satellites et fournit de l’accès Internet à des îles ainsi que des bateaux de croisière.
Mais pour Google, pas question d'abandonner la partie. Il s'agit juste d'être pragmatique. Le géant américain va désormais se concentrer sur son projet le plus avancé : Loon. Lancé en 2013, il consiste à créer un accès Internet distribué par un réseau de ballons dirigeables naviguant à haute altitude (20 kilomètres) et également alimentés par le soleil. L’idée est d’apporter une connexion Internet équivalente à de la 3G dans des zones non-couvertes.
« Cette idée peut sembler farfelue, mais elle repose sur des bases scientifiques solides. », assure Google qui explique avoir déjà mis au point une technologie pour contrôler la trajectoire des ballons en servant d’algorithmes et de la puissance de ses serveurs.
Après des essais en conditions réelles ont été menés en Nouvelle-Zélande, des lancements "commerciaux" ont été réalisés au Sri Lanka, suite à un accord avec le gouvernement du pays, et en Indonésie. Alphabet, la maison mère de Google a passé des accords avec les trois opérateurs indonésiens Indosat, Telkomsel et XL Axiata.
Google Chrome prend désormais en charge le FLAC
http://res.cloudinary.com/hd-numerique/image/upload/c_mpad,h_200,w_300/v1484569472/actualite/juin%202015/chrome_logo_1.png
Bonne nouvelle pour les internautes les plus audiophiles. Le géant Google vient de mettre en ligne une nouvelle version bêta de son célèbre navigateur Chrome. Cette version 56 apporte la prise en charge des fichiers audio adoptant le format de compression sans perte FLAC.
On parle pour le moment d'une prise en charge basique. Mais la fonction est importante. Elle permet aux utilisateurs de Google Chrome d'être en mesure d'écouter les titres musicaux compressés en FLAC sans aucune extension à installer.
Pour lancer la lecture d'un fichier musical en FLAC, il suffit donc d'ouvrir le fichier depuis Chrome, ou bien de le glisser puis le déposer dans un onglet du navigateur.
Chrome 56 devrait débarquer en version stable d'ici les prochaines semaines.
Google en passe de lancer son propre bouquet de chaînes payantes dès février ?
http://www.universfreebox.com/UserFiles/image/google-logo-120216.jpg
A en croire le site TheStreet, le géant américain aurait signé un accord final avec CBS (depuis octobre), Disney, le conglomérat Viacom et 21st Century Fox dans l’optique d’un lancement dès février de son propre bouquet de chaînes payantes : « Google Unplugged ». Time Warner serait lui, au stade des négociations avec Google concernant les droits de diffusion de sa chaîne premium HBO.
Ce service de diffusion vidéo serait exploité par le service YouTube de Google et rejoindrait un nombre croissant d’offres de VOD (http://www.universfreebox.com/article2319.html)et son abonnement mensuel s’élèverait à environ 40 dollars.
Du côté de Youtube, un porte-parole aurait déclaré : « La société ne fera aucun commentaire s’agissant de rumeurs et de spéculations ».
Initialement, la présentation de ce service de diffusion vidéo était programmée lors du CES 2017 à Las Vegas mais des « retards technologiques non précisés et la nécessité de finaliser les contrats » ont repoussés l’échéance au mois prochain, affirme une source proche d’Alphabet.
Google favorise-t-il les publicités pour ses terminaux dans son moteur ?
http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2017/01/google-search-620.jpg
Google est sous le coup en Europe d'une enquête des autorités. La firme est soupçonnée de favoriser ses propres services en ligne (http://www.zdnet.fr/actualites/l-europe-accuse-google-d-avoir-favorise-shopping-et-enquete-sur-android-39817994.htm) en abusant de sa position dominante dans la recherche. D'autres activités du géant sont examinées de près, dont Android.
Le régulateur pourrait ainsi s'intéresser un peu plus encore aux pratiques de Google dans la publicité et aux résultats d'une enquête du Wall Street Journal (http://www.wsj.com/articles/google-uses-its-search-engine-to-hawk-its-products-1484827203). Google monétise son moteur grâce à l'affichage de publicités. Mais la firme est également acheteuse de ses propres services publicitaires.
Le marketing très ou trop fort pour place ses pubs ?Mais bénéficie-t-elle lors des enchères de faveurs au détriment des autres annonceurs ? C'est la question que pose l'étude du WSJ. Le quotidien a testé 25.000 requêtes en lien avec des produits vendus par Google, comme "enceintes", "montres" et "téléphones".
Outre ses smartphones Pixel, Google commercialise notamment les thermostats de Nest ou une enceinte connectée concurrente d'Echo (http://www.zdnet.fr/actualites/google-home-le-rival-d-amazon-echo-devoile-a-la-google-i-o-39836980.htm), Home. Objectif : observer comme les publicités relatives aux produits promus par la firme de Mountain View ou ses filiales apparaissaient sur le moteur de recherche.
Et visiblement, Google place très bien ses produits. Selon le WSJ, plus de 9 fois sur 10, ceux-ci ou ceux des filiales d'Alphabet se classent de manière optimale au-dessus des résultats de recherche. Dans 43% des cas, les deux principaux emplacements publicitaires revenaient à des produits affiliés au géant.
Pour le WSJ, il pourrait s'agir d'un conflit d'intérêts. A condition que la forte mise en valeur de ses publicités soit le fait d'un traitement de faveur. Google est en droit, comme d'autres clients, d'acheter des espaces publicitaires. Toutefois, les règles doivent être les mêmes.
Google explique que sa présence dans les enchères n'affecte en rien le système. Une porte-parole assure à Fortune que son programme de marketing (http://fortune.com/2017/01/20/google-search-engine-advertising-ads/) a été "consciemment et soigneusement conçu" afin de ne pas avoir d'impact sur les autres annonceurs.
Le WSJ n'est manifestement pas convaincu. Le journal constate que peu après avoir partagé ses conclusions avec Google, le 15 décembre, nombre des publicités relatives à ses produits avaient disparu.
Une nouvelle étude menée une semaine plus tard confirmait un changement très significatif puisque les publicités Google ou Nest ne figuraient plus en première place que dans moins de 20% des recherches.
Google veut mettre son intelligence artificielle dans les Raspberry Pi
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Les ingénieurs de Google veulent rendre disponibles des briques de leurs outils de machine learning et d’intelligence artificielle à la communauté des makers utilisant le minuscule ordinateur.Le Raspberry Pi confirme son rang de carte incontournable : après les Microsoft, Amazon ou Facebook, Google veut se faire une place au cœurs des solutions logicielles du nano ordinateur le plus célèbre du monde. Le blog officiel de la fondation Raspberry Pi (https://www.raspberrypi.org/blog/google-tools-raspberry-pi/)annonce que Google a ouvert un long questionnaire (http://magpi.cc/2jowItj) à destination de la communauté des makers travaillant avec la petite carte d'origine britannique.
Le premier objectif affiché est de proposer assez rapidement des briques d’intelligence artificielle et de machine learning capables de fonctionner avec le modeste processeur embarqué par les Raspberry Pi. Google semble dans les starting blocks puisqu’il demande aux makers, dans ce questionnaire, quels sont les projets sur lesquels ils pensent avancer dans les 6 mois qui arrivent.
http://img.bfmtv.com/c/1000/436/0f51/71814a1299a6c0aa3e39d2f9af2b.jpegGoogle semble ratisser large quant aux projets, le questionnaire abordant un grand nombre de sujets, de l’internet des objets (IoT) en passant par la robotique, les technologies de reconnaissance de voix/texte/visage/sentiments en passant par la domotique, les drones ou les projets visant à palier des handicaps. Puisque le monde du Raspberry Pi est en effervescence, Google délaisse les cannes à pêche au profit d’un grand chalut ! Selon la fondation Raspberry Pi, Google serait prêt à mettre à disposition ses puissants outils de navigation ou d’analyse prédictive. Charge à la communauté de les implémenter dans leurs projets quand ils seront disponibles.
Raspberry Pi, le chouchou des géants du netFacebook a mis à disposition du code pour transformer un Raspberry Pi en chatbot, Amazon a ouvert un dépôt logiciel GitHub pour déployer son intelligence artificielle Alexa quand Microsoft est allé jusqu’à développer une version de Windows 10 dédiée à l’IoT : tous les géants du net développent ou portent des logiciels pour la petite carte de bidouilleurs.
Une approche judicieuse puisque les développeurs qui implémentent ces solutions sont soit des professeurs, soit de futurs étudiants qui pousseront les technologies à leur tour. Espérons que ces offensives douces ne pervertissent pas, à terme, l’esprit d’ouverture et open-source de ce qui est, à la base, un projet d’ordinateur à bas coût à visée éducative.
Google et Facebook lancent leurs dispositifs anti « intox » en France.
Les deux géants américains annoncent simultanément deux initiatives anti « fake news » avant la présidentielle.Après avoir perturbé le processus électoral américain, les fake news sont devenues l'ennemi public numéro 1. A l'approche des élections en France, deux géants d'Internet mettent en place coup sur coup des dispositifs pour lutter contre la désinformation.
Google, à travers Google News Lab (sa division pour les médias) et First Draft (un réseau de médias) annoncent ce lundi le lancement de CrossCheck, un outil de vérification collaboratif pour limiter la diffusion d'informations trompeuses ou fallacieuses. Il doit commencer à fonctionner à la fin du mois (le 27 précisément), et jusqu'à l'élection présidentielle.
« C'est la première fois que l'on expérimente une telle initiative sur un temps aussi long, souligne Jenni Sargent, directrice générale de First Draft News. Si ça marche bien, on espère que ça continuera.» Seize rédactions sont parties prenantes du projet (dont l'AFP, « Les Echos », « Le Monde », « France Télévisions », ou encore « La Provence » etc.), ainsi que plusieurs sociétés de technologie.
Concrètement, le grand public pourra signaler des contenus douteux vus sur Internet, les réseaux sociaux etc. ou poser des questions via une plate-forme spécialisée, afin que les partenaires de CrossCheck puissent mener l'enquête et répondre aux demandes directement sur la plateforme. Certains médias pourront aussi publier des articles sur leurs propres canaux. Enfin, CrossCheck travaillera également avec des étudiants en journalisme.
Pictogramme de signalement et articles correctifsFacebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) est partenaire de ce projet et va notamment donner accès à CrowdTangle, un outils qui permet de détecter les informations ayant, par exemple, le plus de résonnance sur les réseaux sociaux. En parallèle, la firme de Mark Zuckerberg a également développé son propre outil de fact-checking (http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0211730604520-les-medias-et-facebook-montent-au-front-contre-les-fake-news-2060087.php) . Après les Etats-Unis il y a quelques semaines puis l'Allemagne, le réseau social lance ce dispositif ce lundi en France, avec 8 rédactions partenaires.
Le principe ? Lorsque les internautes tombent sur une information suspecte, ils le signalent à une plate-forme, à laquelle ont accès les médias. Ces derniers peuvent alors la vérifier. Si deux s'aperçoivent qu'il s'agit d'une fausse information, celle-ci est signalée ainsi par un pictogramme et un lien vers un article correctif sera éventuellement proposé. « Parallèlement, les sites diffusant des fausses informations auront une visibilité réduite », ajoute Edouard Braud, directeur des partenariats médias chez Facebook. Et une information « contestée » ne pourra bénéficier de publicité.
Ces deux initiatives reposent donc à la fois sur les internautes et le bon vouloir des médias. En attendant de voir si elles portent leurs fruits, plusieurs médias français ont récemment renforcé leurs propres dispositifs de fact-checking (Les décodeurs au « Monde » et la nouvelle extension Decodex pour repérer les sites parodiques ou mensongers, Desintox à « Libération » ou Le vrai-faux aux « Echos »).
Musique : Google regroupe ses forces
Google et sa filiale YouTube vont-ils enfin attaquer franco le marché du streaming de musique ? Peut-être, si l'on en croit « The Verge ». Apparemment, les équipes de YouTube Music et de Google Play Music auraient été rassemblées dans une seule unité. Pour l'instant, rien ne va changer pour l'utilisateur. Il y aura toujours une appli YouTube Music et une autre Google Play Music - auxquelles on avait accès en souscrivant à YouTube Red, un autre service musical de Google, payant cette fois. Mais tous ces services pourraient être fusionnés. Le marché du streaming est en train de se structurer.
Google propose la réalité virtuelle directement depuis son navigateur Chrome.
La VR directement sur le web, c’est une possibilité qui pourrait très bientôt devenir une réalité.
La réalité virtuelle se démocratise très doucement grâce aux casques VR sur smartphones, ordinateurs et consoles de salon. En décembre dernier Google avait déployé à petite échelle une version bêta de Chrome avec WebVR. Aujourd’hui, Google pense à rendre accessible cette technologie directement sur le Web grâce à la nouvelle mise à jour de Chrome qui comporte le WebVR.
La réalité virtuelle plus facilement accessible
WebVR progresse, le navigateur Chrome va enfin recevoir toutes les données relatives à la position et orientation du contrôleur ou smartphone. Suite à la sortie des casques et accessoires, l’heure est à la création des contenus. WebVR permet aux entreprises et créateurs de contenu de directement développer et distribuer leurs applications aux consommateurs sans passer par une boutique d’applications et sans restriction quant au modèle de casque utilisé. En effet, les développeurs n’auraient plus à créer plusieurs versions de leur contenu pour les différents casques.
De premiers contenus sont d’ores et déjà promus par Google comme le documentaire interactif Bear 71, la filmothèque Within ou encore la collection de mondes VR interactifs WebVR Lab.
Les partenaires actuels et à venir
Pour l’instant, Google a développé sa technologie avec plusieurs éditeurs tels que Facebook Oculus et Mozilla Firefox. Microsoft travaille en ce moment pour Hololens sur le support de WebVR pour le navigateur Edge. Il ne manque plus qu’à patienter pour voir ce que présentera HTC Vive et Samsung Gear VR. Le Cardboard devrait, lui, bientôt être compatible dans les mois à venir. Chrome supporte pour l’instant le casque Daydream View qui, rappelons-le, fonctionne actuellement à l’aide d’un smartphone.
Dj Maykel
12/02/2017, 07h24
Gracias por toda la informacion
Google est soupçonné de pratiques anticoncurrentielles contre Samsung
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En Corée du Sud, Google est soupçonné d’avoir empêché Samsung de développer son propre système d’exploitation pour remplacer Android.
Google a-t-il empêché Samsung de développer son propre OS mobile ? C’est la question que se pose actuellement la KFTC, l’organisme sud-coréen qui veille au respect de la concurrence dans le pays. « Nous sommes en train de vérifier si Google a biaisé la concurrence dans le marché des systèmes d’exploitation », a expliqué un responsable de l’enquête cité par The Korea Times.
Pour rappel, les deux entreprises ont signé le Mobile Application Distribution Agreement (MADA) qui oblige à disposer d’un terminal Android pour pouvoir y préconfigurer Google comme moteur de recherche par défaut et préinstaller la suite d’applications Google dessus.
Elles ont également conclu le fameux accord anti-fragmentation qui interdit aux partenaires de la firme de Mountain View de développer leurs propres OS en intégrant les applications de Google (Play Store, Google Maps, etc.). Or, la KFTC affirme avoir découvert un élément suspicieux laissant entendre que le géant du web outrepassait ses droits, obstruant ainsi ceux de Samsung.
Google Corée du Sud a réagi à cela en affirmant qu’Android « est une plateforme open source. Tout le monde peut utiliser Android sans Google ». La preuve, avec l’existence de l’interface MIUI développée par Xiaomi, basée sur Android, mais très différente d’AOSP, ce qui l’empêche de proposer les application natives de Google.
Une deuxième affaire refait surface
En outre, l’autorité de régulation coréenne veut également déterrer une affaire de 2013, où Google avait été blanchi des accusations des deux plus grands moteurs de recherche nationaux : Naver et Daum. À l’époque, ces deux concurrents accusaient l’Américain d’avoir violé la loi antitrust et d’avoir affecté leurs parts de marché… En vain.
Sauf que, sous prétexte que la situation du marché a évolué et « à la demande de certains législateurs, la KFTC étudie s’il est possible de rouvrir l’enquête », explique la source du Korea Times.
Que ce soit dans le secteur du mobile ou dans le cadre de ses nombreuses autres activités, Google a désormais l’habitude de ce genre d’accusations. En Russie, notamment ou encore sur le Vieux Continent, où la Commission européenne l’accuse d’abus de position dominante.
Téléchargement illégal : un million de sites web sont désormais menacés de suppressionEt si c’était le début de la fin du téléchargement illégal ? Dans son dernier rapport de transparence, Google annonce que pas moins d’un millions de sites web pirates font aujourd’hui l’objet d’une demande de suppression de contenus pour atteinte présumée aux droits d’auteur. Parmi ces sites, on retrouve notamment 4shared.com, rapidgator.net et uploaded.net.
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Un million de sites web pirates dans le collimateur des ayant-droitsLa fermeture de Zone Téléchargement (http://www.phonandroid.com/zone-telechargement-tout-comprendre-fermeture-retour-6-questions.html) en novembre dernier avait fait couler beaucoup d’encore laissant 105 millions d’internautes orphelins avant de faire son grand retour comme c’est souvent le cas avec les sites pirates. Toujours est-il que les ayants droits ne lâchent pas l’affaire. Comme nous l’apprend aujourd’hui Google, un million de sites web sont actuellement visés par une demande de suppression de contenus.
Si toutes ces demandes n’aboutissent pas toujours, le taux de suppression par Google est néanmoins de 91%. En outre, dans les 9% restants, on retrouve déjà 137 millions d’URL dupliquées et seulement 57,5 millions de véritables refus. Le moteur de recherche a d’ailleurs déjà supprimé 2,13 milliards de liens pirates entre mars 2011 et février 2017.
On constate, en tout cas que le nombre de demandes de suppression de contenus a considérablement augmenté entre fin 2015 et 2016 avec un pic au second semestre 2016 puis une légère rechute en janvier 2017. 4shared.com détient actuellement la palme des demandes de suppressions d’url suivi de mp3toys.xyz et rapidgator.net.
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On notera tout de même que si les ayants droits résistent, les sites de téléchargement illégal aussi. A la mi-décembre KickAss Torrents réapparaissait sur la toile (http://www.phonandroid.com/kickasstorrent-site-telechargement-illegal-fait-grand-retour.html) quelques mois après sa suppression, suite à l’arrestation de son fondateur. Idem pour The Pirate Bay bloqué en décembre 2014 (http://www.phonandroid.com/pirate-bay-maintenant-ferme.html) suite à une intervention de la police avant de faire son grand retour quelques mois plus tard. La semaine dernière, il était néanmoins rendu inaccessible pour certains suite à un blocage émanant de son opérateur de transit Cogent.
Google publie une faille encore active de Windows.
Les deux géants de la Silicon Valley, Microsoft et Google (Alphabet), ont depuis longtemps des relations assez tendues concernant la sécurité informatique. L'information publiée par Google et son équipe d'experts en sécurité ne risque pas de calmer les tensions : une faille « zero-day », découverte dans l'OS de la firme de Redmond, a été publiée par le groupe de Mountain View... Et cette faille est encore active.
Une faille présente dans les OS les plus récents de Microsoft
La faille permet, selon le Google Project Zero qui l'a découverte, de prendre le contrôle d'un ordinateur et d'accéder à sa mémoire interne. Pour ce faire, les pirates n'ont qu'à piéger un fichier EMF (Ehanced MetaFile) qui peut se trouver dans des documents Office, par exemple. La découverte de la faille date un peu : elle a été notifiée à Microsoft en mars 2016.
A l'époque, Microsoft avait réagi, mais son correctif semble ne pas suffire, puisque la faille a été à nouveau identifiée par le même groupe de chercheurs en novembre 2016. Google a, à ce moment-là, prévenu une nouvelle fois Microsoft, espérant sans doute que le groupe de Redmond finisse de combler cette faille de sécurité. Il n'en a été rien.
La faille concerne, selon Google, tous les OS de Microsoft, depuis Vista Service Pack 2 à ce jour.
Google donne trois mois aux éditeurs pour publier un correctif
La question reste de savoir si un correctif aurait dû être publié lors du Patch Tuesday, qui a été retardé pour des problèmes divers, notamment de téléchargement, et qui devait être publié ce mois de février 2017. Microsoft aurait alors été dans les temps selon les principes de Google.
Maintenant que la faille a été publiée sur Internet, Microsoft n'aura pas d'autre choix que de réagir. Mais entre les deux entreprises, les tensions montent : Google applique à Microsoft ce qu'il applique à tous les éditeurs : le groupe notifie une faille et donne trois mois (moins dans certains cas très graves) pour publier un patch correctif. Passé ce délai, le groupe de Mountain View révèle tous les détails, afin de contraindre les éditeurs à réagir au plus vite.
Une décision qui ne plaît guère à Microsoft, qui a vivement critiqué la décision de publier les détails de la faille. Il y a toutefois fort à parier que le groupe de Redmond publie son correctif dans son prochain Patch Tuesday donnant, au final, raison à Google.
Google prévoit de sortir une Box TV 4K sans fil.
Après Amazon, NVIDIA et Apple, dont les dernières rumeurs font état du développement d'un modèle d'Apple TV 4K, au tour de Google.
Le géant américain de la recherche souhaiterait commercialiser prochainement sa propre box TV sans fil apportant une compatibilité avec les contenus en résolution 4K. L'information s'appuie sur un document de la FCC ( Federal Communications Commission) aux USA.
Il est question d'une "4K wireless TV box”. Les détails sont peu nombreux mais l'on sait que l'appareil disposera du Wi-Fi 5GHz et 2.5GHz ainsi que de la technologie Bluetooth en version 4.1. Le boîtier viendrait compléter l'offre du géant qui commercialise déjà la Chromecast Ultra, son dongle HDMI compatible 4K et HDR.
Produit à suivre...
Google lance « le successeur du sms » pour tous les utilisateurs Android, avec Orange et d’autres opérateurs.
Le retour d’un standard créé en 2007 et oublié des télécoms. Alors que le RCS, souvent appelé le « nouveau sms » peine à s’imposer du fait de son maigre déploiement, Google vient d’annoncer son lancement partout dans le monde et ce, pour tous les utilisateurs Android. En partenariat avec Orange, Deutsche Telekom et Vodafone pour ne citer qu’eux.
En clair, avec le protocole RCS (Rich Communication Services), le sms lambda laisse place aux fonctionnalités que l’on peut retrouver avec iMessage ou dans les messageries instantanées. Il sera désormais possible de décupler l’interactivité lors d’envoi de messages comme par exemple en partageant des cartes depuis Google Maps, des photos haute résolution et d’accéder aux groupes de discussion, en passant par l’application Messenger de Google.
« Les partenaires se sont également engagés à s’interconnecter via la plate-forme Jibe afin que les messages RCS soient transmis aux abonnés à travers les réseaux de télécommunication, ce qui permet aux messages RCS de devenir vraiment universels. Nous collaborons maintenant avec des fabricants représentant plus de 1 milliard d’abonnés à travers le monde », annonce Google.
Pour encore plus d’universalité donc, le géant américain souhaite rendre le RCS natif sur les téléphones Android en travaillant avec des fabricants de smartphone : « Les marques des appareils mobiles LG, Motorola, Sony, HTC, ZTE, Micromax, HMD Global - Nokia, Archos, BQ, Cherry Mobile, Condor, Fly, General Mobile, Lanix, LeEco, Lava, Kyocera, MyPhone, QMobile, Symphony and Wiko, ainsi que les appareils Pixel et Android One, préchargeront les messages Android comme application de messagerie par défaut sur leurs périphériques. »
L’objectif : Mettre à niveau de façon cohérente et normalisée l’expérience de messagerie pour les utilisateurs Android. D’autres partenaires viendront donc s’ajouter à la liste au fil du temps.
Google simplifie l’importation de produits depuis le Google Store.
Google a mis à jour le site web du Google Store. L’utilisateur peut désormais choisir le pays du Google Store visité ce qui va faciliter l’importation de produits.
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Le site web du Google Store a été récemment mis à jour. Il est désormais possible de choisir la langue utilisée par le site, mais aussi le pays dans lequel on désire commander ses produits. Pour rappel, le Google Store est la boutique en ligne du géant où l’on peut commander les produits physiques de la marque, comme le Google Chromecast, la tablette Pixel C ou le Google Pixel.
L’importation du Google Pixel devient plus simple
Les smartphones Google Pixel et Google Pixel XL ne sont toujours pas commercialisés en France et il faut donc les importer depuis un pays étranger où le produit est disponible. Problème, jusqu’à présent le site du Google Store forçait la détection de la région de l’utilisateur et il n’était pas possible facilement d’accéder aux versions étrangères.
Il était donc nécessaire de passer par un VPN pour importer le Google Pixel, une procédure plus compliqué et qui peut effrayer, surtout lorsque l’on va dépenser plus de 500 euros avec sa carte de paiement. Avec la nouvelle version du site, il est possible d’aller sur le Google Store britannique ou allemand et de commander son téléphone.
Attention, le Google Store ne propose toujours pas l’expédition vers l’étranger, il faudra donc recevoir le produit chez un ami ou passer par un prestataire de service.
Google reste le roi incontesté de la pub en ligne mais Facebook grignote.
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Aux Etats-Unis, la part de marché de Google dans la pub digitale devrait légèrement fléchir, à 40,7 % en 2017, quand celle de Facebook devrait progresser, à 19,7 %.
Google reste le roi incontesté de la publicité digitale aux Etats-Unis. Mais, loin derrière, Facebook comble peu à peu son retard. Les revenus du moteur de recherche dans ce domaine devraient progresser de 15 % outre-Atlantique en 2017, quand ceux du réseau social devraient bondir de 32 %, sur un marché de la publicité en ligne attendu lui-même en hausse de 16 %, à 83 milliards de dollars cette année.
La part de marché du premier devrait ainsi légèrement fléchir tout en restant au niveau stratosphérique de 40,7 %, quand celle du second devrait atteindre les 19,7 %. Le marché reste très concentré. Quand les annonceurs dépensent 1 dollar sur Internet, les deux géants de la Silicon Valley s'en arrogent 85 cents, indique la banque Morgan Stanley ! Google accapare le tiers des dépenses de pub sur smartphone et Facebook presque un quart (22 %).
Un duopole trop puissant
Mais l'offensive de ce dernier dans les vidéos, avec Facebook Live , le rend d'autant plus attractif auprès des annonceurs, ce qui devrait lui permettre de ravir encore des parts de marché à Google dans les prochains mois, estiment les experts. La puissance du duopole Google-Facebook est telle qu'elle constitue un problème pour les annonceurs, qui voient leurs marges de négociation se réduire.
« Nous avons besoin d'un meilleur équilibre pour contrer la montée en puissance de Facebook et Google », plaidait récemment Martin Sorrell, directeur général du premier groupe mondial de communication, WPP.
Pour la première fois l'an dernier, les annonceurs américains ont dépensé plus d'argent sur Internet qu'à la télévision - un basculement très symbolique, qu'on n'attendait pas avant cette année. Les publicités digitales ont représenté l'équivalent de 72 milliards de dollars annuels, soit 1 milliard de plus que celles à la télévision, selon Emarketer.
La moitié sur smartphone
L'explosion des pubs sur smartphone constitue l'une des grandes tendances du moment. Les publicités sur smartphone représentent désormais la moitié des dépenses de pub digitales, contre 30 % il y a seulement un an, selon une autre étude publiée par l'agence Interactive Advertising Bureau (IAB) et le cabinet PwC. « Nous nous trouvons à un vrai point d'inflexion : les ordinateurs déclinent et les téléphones prennent le relais », confirme David Doty, vice-président de l'IAB.
Les Américains passent en effet plus de trois heures par jour à consommer de l'information ou des divertissements sur leur téléphone, contre à peine plus de deux heures sur leur ordinateur. Le mouvement n'est visiblement pas près de s'arrêter : le budget des publicités sur mobile devrait encore bondir de 45 % cette année aux Etats-Unis, à 46 milliards de dollars, selon EMarketer.
Google : et si vous créiez un profil Android pro sur votre smartphone perso ?
Google commencera prochainement à encourager davantage ses clients mobiles professionnels à adopter l'administration des profils de travail dans Android for Work (http://www.zdnet.fr/actualites/android-for-work-google-poursuit-la-conquete-des-entreprises-39815382.htm).
A compter de juin, Google demandera aux utilisateurs de créer un profil de travail lorsqu'ils enrôlent pour le BYOD (http://www.zdnet.fr/actualites/byod-4000207829q.htm) un terminal Android via son outil de gestion de la mobilité, Google Mobile Management. Le changement cible les utilisateurs de son application, par opposition aux solutions tierces.
Les profils de travail permettent aux administrateurs de gérer applications et contenus pros sur des téléphones personnels au sein d'un conteneur distinct des propres applications et données de l'utilisateur. Les applications de travail sont marquées d'une icône de mallette.
Android devant iOS en entreprise... selon GoogleLa mise à jour de la politique axée sur la sécurité prendra effet le 5 juin avec la publication de Google Apps Device Policy v7.77. La modification vise les clients qui utilisent Android at Work et une version gérée de l'application Google Play, qui héberge des applications approuvées ou référencées sur la liste blanche.
Google semble s'assurer que les clients utilisent simplement les outils de sécurité et de gestion qu'il fournit déjà.
"Pour garantir une politique BYOD conviviale pour l'utilisateur sans sacrifier la sécurité de l'entreprise, nous souhaitons encourager les clients de Google Mobile Management à utiliser une politique mobile qui sécurise les données personnelles et les données d'entreprise" justifie Google (https://gsuiteupdates.googleblog.com/2017/05/upcoming-change-encouraging-usage-of-Android-MDM-work-profiles.html).
La nouvelle obligation de disposer d'un profil de travail s'applique uniquement aux clients qui utilisent Google Mobile Management pour Android et ont activé la gestion avancée, ce qui permet aux administrateurs de contrôler les applications installées et d'appliquer des règles de mot de passe.
Les clients doivent également avoir des applications Android en liste blanche dans le magasin Play. La nouvelle mesure s'applique uniquement aux périphériques compatibles Android 5.1 Lollipop ou plus récents.
Google a lancé Android for Work en 2015 pour stimuler l'adoption par l'entreprise des appareils Android. Malgré la domination mondiale d'Android (http://www.zdnet.fr/actualites/chiffres-cles-les-os-pour-smartphones-39790245.htm), iOS a toujours dominé dans l'entreprise. Jusqu'à récemment.
Google a revendiqué en décembre dernier qu'Android avait supplanté iOS (https://blog.google/topics/connected-workspaces/update-android-and-google-plays-progress-enterprise/) dans les livraisons de périphériques aux entreprises. Citant l'indicateur Worldwide Mobile Phone Tracker 2016 H1 d'IDC, Google a déclaré que 62% des livraisons entreprise dans le monde étaient des appareils Android.
Google veut simplifier les mises à jour de sécurité d'Android.
Google a lancé un projet pour simplifier les mises à jour de sécurité de son système d'exploitation Android, afin qu'elles ne soient plus dépendantes des constructeurs et des opérateurs.
Pour la prochaine version d'Android, Google veut intégrer un nouveau système de mises à jour, Project Treble.
Pour les mises à jour de sécurité, Google envoie aux conctructeurs et opérateurs les mises à jour de sécurité. Ces derniers regardent si leurs applications sont impactées avant de publier les mises à jour. La mise à jour est ensuite envoyée aux utilisateurs. Seuls les appareils Nexus et Pixel ou sur Android pur bénéficient des mises à jour de sécurité directement. La procédure est longue chez certains constructeurs et opérateurs, voir inexistante chez certains d'entre-eux.
Afin d'accélérer le déploiement, Google envisage de séparer le noyau d'Android des modules des constructeurs et opérateurs. Ainsi, une mise à jour de sécurité ne nécessitera plus l'intervention des constructeurs et des opérateurs pour leur disponibilité. La mise à jour s'effectue ainsi que sur Android et pas sur les outils des autres applications.
Google Chrome va s'adapter à la réalité virtuelle.
Si l'intelligence artificielle était le grand thème de la conférence I/O de Google, la réalité virtuelle en est le second. Comme tous les géants du secteur, Google multiplie les annonces dans ce domaine. Le géant a continué d'investir dans la réalité virtuelle, au travers par exemple de la récente acquisition du studio de jeu Owlchemy Labs. Dans le même temps, la plateforme de réalité augmentée de Google, Tango, a été intégrée à l'équipe VR.
http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/10/google-daydream-vr-620.jpg Aujourd'hui, Google pousse encore ses pions et annonce deux casques de VR, indépendants cette fois, fabriqués par HTC (à qui on doit déjà le très réussi Vive) et Lenovo. Ils seront lancés cette année.
Mais le groupe veut aller plus loin en intégrant la VR à ses propres applications, comme Microsoft le fait avec Windows 10 Creators Update. Ainsi, la VR sera supportée par une prochaine version de son navigateur Chrome.
Il s'agira de pouvoir afficher à travers un casque Daydream les sites classiques mais surtout les sites exploitant la technologie WebVR, de quoi accéder à la réalité virtuelle directement depuis un navigateur. Google promet une ergonomie très proche de celle utilisée au quotidien avec page d'accueil, onglets ou encore mode incognito... Cette version spéciale de Chrome devrait être diffusée cet été.
Le routeur Google WiFi arrive en France
Le routeur WiFi de Google présenté lors de sa keynote I/O de 2016 devrait finalement être disponible en France, dès ce lundi. Sur sa page Google+ (https://plus.google.com/photos/photo/106901486880272202822/6434492682911755842?icm=false), le moteur annonce une surprise disponible ce lundi avec une animation qui laisse peu de place au doute.
http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/10/google_wifi.jpg Commercialisé aux États-Unis au prix de 129 dollars, il devrait être proposé dans nos contrées à un tarif assez proche.
"Beaucoup de gens souhaitent avoir une meilleure couverture WiFi dans leur maison. C'est pourquoi nous avons créé Google WiFi, un nouveau système qui remplace votre routeur pour fournir une connexion WiFi rapide dans tous les recoins de votre maison, sur tous vos appareils" expliquait Roshan Baliga, de Google, dans un billet de blog.
"Google WiFi fonctionne différemment d'un routeur traditionnel, en utilisant la technologie de maillage" assure l'entreprise, qui juge qu'il s'agit là de la technologie la mieux adaptée aux contraintes de la connectivité à l'intérieur des bâtiments.
Google compare son produit avec deux autres routeurs du marché qui utilisent également la technologie mesh, à savoir Eero et Luma (deux startups américaines). Et, bien sûr, le produit de Google est jugé supérieur aux performances de ses deux concurrents.
L'idée de Google n'est pas d'étendre le réseau Wi-Fi avec des relais ou des amplificateurs classiques, mais bien de proposer un équipement réseau qui répartit la connectivité en fonction des usages constatés dans les différentes parties de l'habitation équipée. Plus vous avez de point d'accès dans le local, plus la répartition est fine.
Chaque point d'accès est équipé d'un processeur quadri-cœur, d'un moteur de transfert de paquets, et d'un double port Ethernet Gigabit. Le débit (potentiel) de chaque point est normé 802.11ac. La fonction baptisée Network Assist vous accompagnera tandis que vous vous déplacez avec un terminal, par exemple un smartphone ou une tablette, et s'assurera que vous disposez d'une connexion solide et fiable à tout moment.
Une application compagnon pour appareils Android et iOS vous donnera un contrôle complet sur votre réseau sans-fil, y compris pour activer des contrôles parentaux sur les terminaux de vos enfants. Par exemple, Google indique que vous pouvez mettre en pause la connexion sans fil sur l'appareil de votre enfant dans un dernier effort pour obtenir de lui ou elle de rejoindre la table du dîner.
Le géant internet américain Google annonce avoir accordé plus de 21 millions d'euros à 107 projets médias numériques
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/image_750_324/public/google3.jpg
Le géant internet américain Google a annoncé avoir accordé plus de 21 millions d'euros à 107 projets médias numériques issus de 27 pays européens et jugés innovants. Ces subventions sont octroyées par le fonds Google "Digital News Initiative", créé il y a deux ans et doté de 150 millions d'euros au total, pour financer des projets numériques innovants dans la presse européenne.En France, 11 projets ont été cofinancés, dont un à hauteur de plus d'1,5 million d'euros. Parmi eux on trouve notamment Le Figaro, l'Agence France-Presse (deuxième financement après un premier projet autour des infographies interactives lancé en 2017), 20 minutes ou encore La Dépêche du Midi. Une première enveloppe de 27 millions d'euros avait été attribuée en février 2016 à 128 projets. Puis, en novembre 2016, une deuxième tranche avait financé 124 projets à hauteur de 24 millions d'euros. Lors de cette troisième édition, le fonds a reçu plus de 988 projets provenant de 27 pays.Par rapport aux éditions précédentes, le fonds a constaté un intérêt croissant pour le fact-checking, avec 29% de candidatures en plus portant sur ce domaine par rapport aux éditions précédentes. En hausse également le nombre de projets autour de l'intelligence artificielle (+23% de candidatures par rapport à la dernière édition), du journalisme d'investigation (+20%) et des approches immersives par le biais de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée (+20%).
Google finit par retirer son carrousel des meilleurs sites de torrents
Google retire de ses résultats de recherche un carrousel qui mettait en avant les meilleurs sites de torrents.
https://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2017/04/Google-Chrome-sur-Android.jpg (https://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2017/04/Google-Chrome-sur-Android.jpg)Google encourageait-il ses utilisateurs à aller sur « les meilleurs sites de torrents » ? C’est ce qu’ont pu se demander les médias et les ayants droit il y a quelques semaines après qu’on ait remarqué que lorsqu’ils recherchaient des sites de torrents, certains utilisateurs du moteur de recherche voyaient un carrousel des sites de torrents les plus populaires dans les résultats. (https://www.presse-citron.net/google-met-meilleurs-sites-de-torrents/)
Par rapport aux résultats classiques, ce type de carrousel donne plus de visibilitéMais Google avait indiqué que le carrousel qui apparaissait lorsque des utilisateurs tapaient « les meilleurs sites de torrents » dans le moteur de recherche était généré automatiquement par des algorithmes et qu’il ne s’agissait pas d’une volonté particulière de la société de mettre en avant ces sites de téléchargement.
Par ailleurs, aujourd’hui, on apprend que le fameux carrousel a disparu des résultats de Google. Cité par TorrentFreak (https://torrentfreak.com/google-removes-torrent-sites-from-results-carousel-100722/), qui avait mis en avant le problème, un porte-parole a réitéré que ce résultat n’a pas été généré comme Google l’aurait prévu.
En vertu de la DMCA ou The Digital Millennium Copyright Act, Google doit retirer les pages de téléchargements illégaux de ses résultats de recherche, à la demande des ayants droit. Néanmoins, les pages d’accueil des sites de torrents ne sont souvent par concernés.
Mais le sujet reste sensible, « […] compte tenu de la critique constante du moteur de recherche face aux détenteurs de droits », rappelle Torrentfreak.
Selon les données récentes, Google a retiré plus de 2,5 milliards de liens de ses résultats de recherche afin de respecter le droit d’auteur. Mais les rapports entre Google et les ayants droit ne sont pas toujours très bonnes, comme l’on montré des mails qui ont fuité en 2014. (https://www.presse-citron.net/piratage-google-aurait-admis-quil-est-alle-au-dela-de-ce-quexige-la-loi/)
Google s'engage avec l'ALPA pour lutter contre le piratage via YouTube.
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Google vient de signer un accord inédit avec l’Association de Lutte Contre la Piraterie Audiovisuelle plus connue sous le nom d'ALPA. L'accord signé mardi avec des représentants de l'audiovisuel français vise à une meilleure collaboration entre Google et les ayants-droits autour de la lutte contre le piratage des contenus vidéo sur la plateforme YouTube.
Google s'est engagé à mettre à la disposition de l'Association un outil baptisé "Content ID" permettant d'identifier et de gérer les droits d'auteurs. Les ayants droits pourront contacter l’ALPA. C'est elle qui centralisera les demandes des propriétaires lésés.
L'accord prévoit aussi un soutien financier de la part du géant de la recherche au bénéfice de l'ALPA.
Actuelle ministre de la culture, Françoise Nyssena a précisé « la lutte contre le piratage est le grand défi de ce début de siècle dans la sphère culturelle ».
Les recherches Google sont désormais plus souvent effectuées sur mobiles que sur ordinateurs par les Français.
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Aux Etats-Unis les recherches Google sont plus souvent faites sur smartphones que sur PC depuis deux ans déjà (https://adwords.googleblog.com/2015/05/building-for-next-moment.html). C’est une première en France, Google a annoncé mercredi dernier que les recherches sur téléphones ont dépassé celles effectuées sur ordinateurs. Les chiffres concernant les recherches Google sur ces deux supports se sont inversés courant août.Améliorer l’accès des sites sur mobile étant une priorité pour le groupe depuis des années, Google a saisi l’opportunité de communiquer une fois de plus sur les moyens nécessaires pour y parvenir.« C’est l’occasion de souligner à nouveau l’importance du mobile et de conseiller l’industrie pour bien saisir cette opportunité : notamment en termes de vitesse », a expliqué Jalil Chikhi, responsable des secteurs finance et assurance chez Google France.Fait important à savoir, un site mobile met en moyenne 9 secondes à sa charger en Europe ainsi qu’au Proche-Orient. Cependant, le pourcentage d’utilisateurs qui risquent de quitter une page mobile si elle met plus de 3 secondes à se charger représentent 50%, selon le moteur de recherche.Cela fait plusieurs années que des technologies AMP et Instant Articles sont en développement autant par Google que par Facebook dans le but d’inciter les éditeurs et marques de médias à rediriger leurs contenus sur leurs serveurs en vue d’accélérer leurs chargements. Cependant, des médias sont réticents à l’idée de laisser leurs contenus sur une plateforme hébergée par ces deux entreprises.Aux Etats-Unis les recherches Google sont plus souvent faites sur smartphones que sur PC depuis deux ans déjà (https://adwords.googleblog.com/2015/05/building-for-next-moment.html). C’est une première en France, Google a annoncé mercredi dernier que les recherches sur téléphones ont dépassé celles effectuées sur ordinateurs. Les chiffres concernant les recherches Google sur ces deux supports se sont inversés courant août.Améliorer l’accès des sites sur mobile étant une priorité pour le groupe depuis des années, Google a saisi l’opportunité de communiquer une fois de plus sur les moyens nécessaires pour y parvenir.« C’est l’occasion de souligner à nouveau l’importance du mobile et de conseiller l’industrie pour bien saisir cette opportunité : notamment en termes de vitesse », a expliqué Jalil Chikhi, responsable des secteurs finance et assurance chez Google France.Fait important à savoir, un site mobile met en moyenne 9 secondes à sa charger en Europe ainsi qu’au Proche-Orient. Cependant, le pourcentage d’utilisateurs qui risquent de quitter une page mobile si elle met plus de 3 secondes à se charger représentent 50%, selon le moteur de recherche.Cela fait plusieurs années que des technologies AMP et Instant Articles sont en développement autant par Google que par Facebook dans le but d’inciter les éditeurs et marques de médias à rediriger leurs contenus sur leurs serveurs en vue d’accélérer leurs chargements. Cependant, des médias sont réticents à l’idée de laisser leurs contenus sur une plateforme hébergée par ces deux entreprises.
Google baisse le rideau sur ses Chrome Web Apps
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Le géant du web fait désormais la promotion d’applications web d’un nouveau type, à savoir les Progressive Web Apps. Leur principal avantage : elles ne seraient pas liées à un navigateur en particulier.
Les dernières heures ont sonné pour les Chrome Web Apps, ces applications web que l’on peut installer dans le navigateur Chrome et qui prennent l’allure de véritables applications de poste de travail, avec notamment l’accès à certaines ressources physiques de la machine (système de fichiers, USB, Bluetooth, etc.). L’idée de Google était de généraliser l’usage des technologies web, mais cette stratégie n’a pas convaincu : 1 % des internautes sous Chrome seulement utilisent réellement ces applications.
En 2016, la firme californienne avait annoncé le retrait prochain des Chrome Web Apps. Elle vient de passer à l’action en supprimant la rubrique « Apps » du Chrome Web Store . Désormais, cette boutique en ligne ne référence plus que des extensions de navigateurs et des thèmes. Comme le relève Ars Technica, ces applications restent encore accessibles sur le Chrome Web Store à condition de connaître leurs liens. Mais ce n’est là qu’un sursis. D’ici à la fin du premier trimestre 2018, il est prévu de complètement désactiver les Chrome Web Apps sur Windows, Mac et Linux, y compris ceux qui ont déjà été installés. Par contre, ces applications pourront continuer d’exister sur Chrome OS, sous le nom de « Chrome Apps ».
Chacun bricole dans son coinMais Google n’a pas pour autant abandonné son objectif de diffuser des applications web sur les postes de travail. Dans un e-mail envoyé aux développeurs Chrome Web Apps, l’éditeur fait désormais la promotion des « Progressive Web Apps » (PWA), une nouvelle tendance chez les développeurs web. L’idée est la même que les Chrome Web Apps : il s’agit de créer des simili-applications natives pour terminaux fixes et mobiles avec les technologies du web. La grande différence, c’est qu’elles ne seraient pas liées à un navigateur, une plateforme ou une boutique en particulier. En théorie du moins, car il n’existe pas vraiment de standard pour les PWA. Pour l’instant, chacun bricole un peu dans son coin et il n’est pas certain que l’interopérabilité soit véritablement assurée à terme.
Les ingénieurs de Google pensent pouvoir livrer un environnement applicatif relativement finalisé vers mi-2018. Des architectures similaires sont également en train de se mettre en place chez Microsoft, Mozilla et Opera. Même Apple – qui reste pourtant très focalisé sur les applis natives –commence à s’y coller. Sur le site webkit.org, on peut voir que les principales briques technologiques des PWA – à savoir Web App Manifest et Services Workers – sont désormais en développement au niveau du moteur de rendu de la firme de Cupertino.
Google Maps vous guidera bientôt en temps réel dans les transports en commun.
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Une prochaine mise à jour devrait permettre à l’application de vous envoyer des notifications durant votre trajet et de vous rappeler, par exemple, quand descendre du bus.
Impossible de vous égarer à l’avenir dans les transports en commun. Google Maps entend désormais veiller sur vous à chaque instant lors de vos déplacements. Une mise à jour imminente devrait instaurer le suivi de votre trajet avec des notifications apparaissant même sur un écran verrouillé d’après le site TechCrunch.
Vers un expérience piéton proche de celle d'un automobiliste
Pour cela, il suffira d’entrer de façon classique sa destination. Ce qui va changer, c’est l’apparition d’un bouton « commencer » en bas de l’écran. Si vous l’activez, vous recevrez des notifications en temps réel au fil de votre trajet. Cerise sur le gâteau, l’application sera en mesure de vous alerter pour vous rappeler de descendre à l’arrêt qui vous concerne.
Une fonctionnalité particulièrement bienvenue sur un nouvel itinéraire. Une fois arrivé, il ne vous restera plus qu’à clore le voyage via un bouton dédié comme on peut le voir dans l’image ci-dessous :
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TechCrunch - La future mise à jour de Google Maps intégrera un suivi en temps réel de votre trajet dans les transports en commun.
De cette manière, l’expérience d’un piéton utilisant Google Maps va se rapprocher de celle d’un automobiliste ou d’un cycliste : il va être guidé tout au long de ses déplacements. Un atout de plus pour Google Maps qui tente depuis plusieurs années d’améliorer ses itinéraires dans les transports, sans être parvenu à atteindre le niveau d’un CityMapper.
Google va fermer son raccourcisseur d'URL Goo.gl et vous oriente vers un nouvel outil.
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Goo.gl va fermer. Il faisait face à des concurrents très populaires et n'était pas bien adapté aux nouveaux outils, notamment les smartphones.
Google a annoncé sur son blog consacré aux développeurs qu’il allait prochainement mettre fin à son service de raccourcisseur d’URL, Goo.gl, lancé en 2009. Cette opération se déroulera en deux temps a poursuivi la firme.
A partir du 13 avril 2018, les internautes qui n’ont jamais utilisé cet outil ne pourront plus y accéder. Et le 30 mars 2019, plus personne ne pourra s’en servir. Cela dit, les liens créés avec ce service continueront de fonctionner. « Après cette date, tous les liens continueront à être redirigés vers la destination prévue, cependant les liens courts existants ne migreront pas vers la console Firebase. Toutefois, vous serez en mesure d'exporter vos informations de lien à partir de la console goo.gl », a précisé Michael Hermanto, ingénieur logiciel au sein de Google.
Un outil mieux adapté aux smartphones
L’objectif de cet outil était de donner aux internautes la possibilité de raccourcir n’importe quelle adresse pour pouvoir la partager plus facilement. Mais le géant du Web estime qu’il n’est plus pertinent. « De nombreux services de raccourcissement d’URL [Tinyurl, Tinycc ou Bitly, NDLR] ont vu le jour et la façon dont les gens trouvent du contenu sur Internet a changé radicalement », a indiqué M. Hermanto.
Le service de Google sera remplacé, poursuit-il, par Firebase Dynamic Links (FDL). Les FDL sont des URL dynamiques qui permettent de renvoyer l’utilisateur vers du contenu sur une appli, sous iOS ou Android, ou le Web pour lui offrir la meilleure expérience en fonction de la plate-forme qu’il utilise. Cet outil est donc nettement mieux adapté aux smartphones.
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Google vous permet de supprimer les données qu’il collecte lors de vos recherches
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Afin de respecter la nouvelle réglementation européenne RGPD, l’éditeur donne accès à ses utilisateurs aux différents historiques générés lors de l’utilisation de ses services.
Quand vous surfez sur le Web, votre navigateur enregistre en général l’historique de votre navigation. Mais il n’est pas le seul. C’est aussi le cas de Google, qui collecte et conserve de nombreuses données vous concernant. Mais la nouvelle réglementation européenne sur la protection des données(RGPD en français, GDPR en anglais), qui entre en vigueur le 25 mai, change la donne et oblige Google à donner plus de pouvoir à l’utilisateur. Ainsi, il est désormais possible d’accéder à une section de son compte Google baptisée Mon Activité et de supprimer les différents historiques (par date, par produit ou en cherchant un nom spécifique), voire la totalité des recherches stockées par l’éditeur.
http://img.bfmtv.com/c/0/708/246/c64900513d2578af624ef5b4fb806.jpgGoogle a également envoyé un courrier électronique à ses utilisateurs qui contient un lien vers un site d’informations. Ce site détaille quelles sont les données collectées par l’éditeur avec des vidéos explicatives.
https://youtu.be/L99kA9f72A4
Certes, il faut prendre un peu de temps pour lire toutes les explications mais l’ensemble se révèle plutôt bien conçu et permet de savoir précisément comment agir sur les paramètres de confidentialité si on ne désire pas être espionné par Google. Enfin, le site permet de supprimer certains services, si on ne les utilise pas (Google+, YouTube, Gmail, Play Jeux), voire de supprimer totalement son compte.
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Google : il est désormais impossible d'installer une extension sans passer par le Chrome Web Store
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Installer des extensions Chrome sans passer par le Chrome Web Store, c'est fini ! Google met en avant la sécurité de ses utilisateurs et leur expérience de navigation.
Google reprend complètement la main sur les extensions de Chrome. La société a interdit leur installation depuis un site Internet tiers (https://developer.chrome.com/webstore/inline_installation) et oblige de passer par le Chrome Web Store. Depuis le 12 juin, il est désormais impossible de le faire par exemple depuis le site d’un développeur. L’utilisateur sera dirigé vers la fiche de l’extension si elle existe sur le Store.
Des extensions malveillantes
Le 12 septembre prochain, toutes les extensions installées de cette manière seront désactivées. Enfin, le 4 décembre – pour la sortie de Chrome 71 – l’API d’installation « inline » sera définitivement supprimée. La date pourrait toutefois être modifiée en fonction de l’avancement du développement de cette version du navigateur.
La principale motivation de Google pour prendre cette décision est la sécurité. La société indique recevoir beaucoup de plaintes d’utilisateurs qui ont vu le comportement de leur navigateur changer après l’installation d’une extension depuis un site louche. En avril dernier, des extensions de minage de cryptomonnaies avaient par exemple été bannies de Chrome.
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