zadhand
25/09/2016, 20h42
Hollande admet "l'abandon des Harkis" par la France
Guerre d'Algérie
Publié le 25/09/2016
Mis à jour à 13h48
Le président français François Hollande, toujours au plus bas dans
les sondages, prépare son entrée en campagne dans la perspective
de l’élection présidentielle de 2017. Faisant ce qu’il sait faire de mieux,
séduire des clientèles électorales en leur promettant monts et merveilles,
il s’est aujourd’hui consacré aux harkis en reconnaissant la responsabilité
de la France dans l’abandon des Harkis.A l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux Harkis, François Hollande a ainsi reconnu «les responsabilités
des gouvernements français dans l’abandon des Harkis, des massacres de ceux
restés en Algérie et des conditions inhumaines transférées dans les camps en
France ». Le chef de l’Etat a expliqué que « la France a manqué à sa promesse »
après la signature des accords d’Evian, le 18 mars 1962 : « Elle a tourné le dos
à des familles qui étaient pourtant françaises. Beaucoup, désarmées, furent
livrées à elles-mêmes et sacrifiées. » François Hollande a également eu des mots
pour les descendants de ces Harkis, qui « ont souffert de ne pas être pleinement intégrés dans la République ».
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Guerre d'Algérie
Publié le 25/09/2016
Mis à jour à 13h48
Le président français François Hollande, toujours au plus bas dans
les sondages, prépare son entrée en campagne dans la perspective
de l’élection présidentielle de 2017. Faisant ce qu’il sait faire de mieux,
séduire des clientèles électorales en leur promettant monts et merveilles,
il s’est aujourd’hui consacré aux harkis en reconnaissant la responsabilité
de la France dans l’abandon des Harkis.A l’occasion de la Journée nationale d’hommage aux Harkis, François Hollande a ainsi reconnu «les responsabilités
des gouvernements français dans l’abandon des Harkis, des massacres de ceux
restés en Algérie et des conditions inhumaines transférées dans les camps en
France ». Le chef de l’Etat a expliqué que « la France a manqué à sa promesse »
après la signature des accords d’Evian, le 18 mars 1962 : « Elle a tourné le dos
à des familles qui étaient pourtant françaises. Beaucoup, désarmées, furent
livrées à elles-mêmes et sacrifiées. » François Hollande a également eu des mots
pour les descendants de ces Harkis, qui « ont souffert de ne pas être pleinement intégrés dans la République ».
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