Lako
16/09/2016, 12h27
C'est une affaire étonnante qui se juge actuellement dans les tribunaux autrichiens : une jeune femme poursuit ses parents pour avoir partagé des photos d'elle mineure sur Facebook.
Ses parents avaient posté des photos de son enfance sur facebook elle les poursuit en justice
Une Autrichienne de 18 ans vient d'engager des poursuites judiciaires à l'encontre de ses propres parents sur le motif que ces derniers ont partagé sur Facebook près de 500 photos d'elle quand elle était enfant.
Selon la plaignante, la situation fait de sa vie un véritable "enfer", une grande partie des photographies partagées et en accès libre sur Facebook la présentant à différentes étapes de son enfance dans des situations gênantes et intimes ( changement de couches, sur le pot, nue dans son lit de bébé...)
La jeune femme avait déjà demandé à ses parents de retirer les clichés en question du réseau social, sans succès. Elle a donc pris le parti de les poursuivre en justice au cours d'un procès qui aura lieu au mois de novembre.
En France, la publication de photographies d'une personne clairement identifiable sans son consentement est passible d'un an de prison et de 450 000 euros d'amende. La loi autrichienne se veut plus souple dans le domaine, les délibérations pourraient proposer quelques surprises.
Pour rappel, la Gendarmerie française avait déjà alerté sur Facebook des risques de la publication de photos de sa progéniture. Le rappel avait été fait alors qu'une nouvelle chaine était lancée sur Facebook invitant les mamans à publier trois photos de leurs enfants.
Ses parents avaient posté des photos de son enfance sur facebook elle les poursuit en justice
Une Autrichienne de 18 ans vient d'engager des poursuites judiciaires à l'encontre de ses propres parents sur le motif que ces derniers ont partagé sur Facebook près de 500 photos d'elle quand elle était enfant.
Selon la plaignante, la situation fait de sa vie un véritable "enfer", une grande partie des photographies partagées et en accès libre sur Facebook la présentant à différentes étapes de son enfance dans des situations gênantes et intimes ( changement de couches, sur le pot, nue dans son lit de bébé...)
La jeune femme avait déjà demandé à ses parents de retirer les clichés en question du réseau social, sans succès. Elle a donc pris le parti de les poursuivre en justice au cours d'un procès qui aura lieu au mois de novembre.
En France, la publication de photographies d'une personne clairement identifiable sans son consentement est passible d'un an de prison et de 450 000 euros d'amende. La loi autrichienne se veut plus souple dans le domaine, les délibérations pourraient proposer quelques surprises.
Pour rappel, la Gendarmerie française avait déjà alerté sur Facebook des risques de la publication de photos de sa progéniture. Le rappel avait été fait alors qu'une nouvelle chaine était lancée sur Facebook invitant les mamans à publier trois photos de leurs enfants.