gfm26
29/01/2013, 07h35
Tizi Ouzou figure dans le «top 10» des wilayas qui ont connu des troubles sociaux au cours de l’année 2012.
En effet, pas moins de 266 mouvements de protestation ont été enregistrés l’an dernier par les services de la gendarmerie nationale dans la wilaya.
Un chiffre qui représente le taux de 5,86% du total des manifestations recensées à échelle nationale qui est de 4536, selon des chiffres officiels.A l’image des autres wilayas du pays, telle que Bejaia, Annaba et Mila qui arrivent en tête du classement, Tizi Ouzou a vécu une année sous le rythme des manifestations sociales qui ont touché de nombreux secteur d’activités dont la santé, l’éducation et les transports.
Aussi, le secteur économique n’a pas été épargné par la contestation qui s’est étendue au public.Une expression du marasme, du malaise social que vivent les citoyens.
Quelques une des « voies d’expression » permettant à la population de se faire entendre, la fermeture des routes et des sièges des daïras ainsi que et les rassemblements devant les institutions publiques.D’ailleurs il a été enregistré 68 fermetures des routes en 2012 par la population pour des problèmes liés à l’approvisionnement en eau potable, au gaz naturel, et à la réhabilitation des routes et des infrastructures publiques de base.
Aussi, il a été enregistré 60 fermetures des sièges de daïras et 44 rassemblements pour les mêmes motifs, en plus des demandes de régularisation dans les postes d’emplois et l’acquisition de logements.Le secteur économique et la fonction publique ont été également secoué par 25 mouvements de grèves.
l’instar du mouvement de protestation enclenché par les travailleurs de Leader Meuble de Taboukirt, par ceux de la laiterie de Draâ Ben Khedda et du complexe des appareils ménager (Eniem), la voirie communale, les fonctionnaires des services des forêts qui revendiquaient des augmentations des salaires et l’amélioration des conditions de travail.
En effet, pas moins de 266 mouvements de protestation ont été enregistrés l’an dernier par les services de la gendarmerie nationale dans la wilaya.
Un chiffre qui représente le taux de 5,86% du total des manifestations recensées à échelle nationale qui est de 4536, selon des chiffres officiels.A l’image des autres wilayas du pays, telle que Bejaia, Annaba et Mila qui arrivent en tête du classement, Tizi Ouzou a vécu une année sous le rythme des manifestations sociales qui ont touché de nombreux secteur d’activités dont la santé, l’éducation et les transports.
Aussi, le secteur économique n’a pas été épargné par la contestation qui s’est étendue au public.Une expression du marasme, du malaise social que vivent les citoyens.
Quelques une des « voies d’expression » permettant à la population de se faire entendre, la fermeture des routes et des sièges des daïras ainsi que et les rassemblements devant les institutions publiques.D’ailleurs il a été enregistré 68 fermetures des routes en 2012 par la population pour des problèmes liés à l’approvisionnement en eau potable, au gaz naturel, et à la réhabilitation des routes et des infrastructures publiques de base.
Aussi, il a été enregistré 60 fermetures des sièges de daïras et 44 rassemblements pour les mêmes motifs, en plus des demandes de régularisation dans les postes d’emplois et l’acquisition de logements.Le secteur économique et la fonction publique ont été également secoué par 25 mouvements de grèves.
l’instar du mouvement de protestation enclenché par les travailleurs de Leader Meuble de Taboukirt, par ceux de la laiterie de Draâ Ben Khedda et du complexe des appareils ménager (Eniem), la voirie communale, les fonctionnaires des services des forêts qui revendiquaient des augmentations des salaires et l’amélioration des conditions de travail.