Lako
07/08/2016, 17h24
Le comité international (http://www.lemonde.fr/international/) paralympique (IPC) a annoncé dimanche 7 août la suspension du comité paralympique russe à la suite du scandale de dopage (http://www.lemonde.fr/dopage/) d’Etat mis au jour par la commission McLaren.Cette suspension signifie que la Russie (http://www.lemonde.fr/russie/) « n’aura pas le droit de participer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/participer/) aux prochains Jeux (http://www.lemonde.fr/jeux/) paralympiques de Rio » du 7 au 18 septembre, a annoncé à Rio le président de l’IPC Philip Craven.
« Dopage d’Etat » entre 2011 et 2015« A mon sens, cela dépasse déjà l’entendement », a aussitôt réagi le ministre russe des sports, Vitali Moutko. « C’est une décision sans précédent. Je ne comprends pas sur quoi elle se base », a-t-il ajouté, en promettant un « soutien exhaustif » au comité paralympique russe.
Pour sa part, le président du comité paralympique russe, Vladimir Loukine, a annoncé son intention de déposer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9poser/) une plainte auprès du Tribunal arbitral du sport (http://www.lemonde.fr/sport/)(TAS). « S’ils nous accusent de quelque chose, qu’ils formulent les accusations de manière claire et concrète. On ne peut exclure (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/exclure/) quelqu’un parce qu’il fait partie d’un système quelconque, on ne peut exclure quelqu’un que lorsqu’il est coupable de quelque chose », a complété M. Loukine.
Plus de courage que le CIODes sports paralympiques avaient été pointés parmi les disciplines ayant bénéficiées d’un « dopage d’Etat » entre 2011 et 2015 dans un rapport publié quelques semaines avant les Jeux. En vertu de ce rapport, le TAS avait confirmé l’exclusion (http://www.lemonde.fr/exclusion/) de l’équipe russe d’athlétisme (http://www.lemonde.fr/athletisme/) des JO de Rio mais le Comité international olympique (CIO) n’avait pas suivi les recommandations de l’Agence mondiale antidopage (AMA) d’exclure toute la délégation russe. Le comité international paralympique aura eu plus de courage que le CIO.
La Russie dispose de 21 jours pour déposer son recours, alors que les Jeux paralympiques débuteront à Rio dans un mois jour pour jour.
« Dopage d’Etat » entre 2011 et 2015« A mon sens, cela dépasse déjà l’entendement », a aussitôt réagi le ministre russe des sports, Vitali Moutko. « C’est une décision sans précédent. Je ne comprends pas sur quoi elle se base », a-t-il ajouté, en promettant un « soutien exhaustif » au comité paralympique russe.
Pour sa part, le président du comité paralympique russe, Vladimir Loukine, a annoncé son intention de déposer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9poser/) une plainte auprès du Tribunal arbitral du sport (http://www.lemonde.fr/sport/)(TAS). « S’ils nous accusent de quelque chose, qu’ils formulent les accusations de manière claire et concrète. On ne peut exclure (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/exclure/) quelqu’un parce qu’il fait partie d’un système quelconque, on ne peut exclure quelqu’un que lorsqu’il est coupable de quelque chose », a complété M. Loukine.
Plus de courage que le CIODes sports paralympiques avaient été pointés parmi les disciplines ayant bénéficiées d’un « dopage d’Etat » entre 2011 et 2015 dans un rapport publié quelques semaines avant les Jeux. En vertu de ce rapport, le TAS avait confirmé l’exclusion (http://www.lemonde.fr/exclusion/) de l’équipe russe d’athlétisme (http://www.lemonde.fr/athletisme/) des JO de Rio mais le Comité international olympique (CIO) n’avait pas suivi les recommandations de l’Agence mondiale antidopage (AMA) d’exclure toute la délégation russe. Le comité international paralympique aura eu plus de courage que le CIO.
La Russie dispose de 21 jours pour déposer son recours, alors que les Jeux paralympiques débuteront à Rio dans un mois jour pour jour.