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zadhand
18/07/2016, 22h58
Attaque à la hache dans un train en Allemagne

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Actualité des Faits Divers à travers le Monde.


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Allemagne attaque à la hache dans un train, plusieurs blessés
Reuters 18.07.2016 à 23h48
La police allemande a tué lundi soir un homme qui venait d'agresser avec
une hache et un couteau des passagers d'un train régional près de Würzburg
(sud), en blessant trois grièvement, a indiqué l'agence de presse DPA citant
la police locale. Une quatrième personne a été plus légèrement blessée lors de
cette agression, selon la police, qui a précisé avoir abattu l'homme alors qu'il
prenait la fuite et n'a donné dans l'immédiat aucune indication sur ses motivations.

zadhand
27/07/2016, 16h52
Nouveau rebondissement dans le feuilleton du
fils caché du président de Bolivie


Publié le 27/07/2016 à 16:41


L'affaire du fils que le président bolivien Evo Morales aurait eu avec sa jeune maîtresse
rebondit encore une fois les deux ex-avocats de la jeune-femme, soupçonnés
d'escroquerie, demandent aujourd'hui l'asile au Pérou.

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Deux ex-avocats de Gabriela Zapata, ancienne maîtresse d'Evo Morales
le président bolivien - demandent l'asile politique au Pérou. Cette information
divulguée mercredi par le ministre bolivien de l'Intérieur a été confirmée par
les autorités péruviennes. Les deux avocats, soupçonnés de trafic de personnes,
ont quitté la Bolivie mi-mai. Selon le ministère public, ils seraient impliqués dans
l'affaire du fils supposé d'Evo Morales et Gabriela Zapata, et sont accusés d'avoir
présenté devant la justice un enfant qui n'était pas celui du président bolivien.
Digne d'une telenovela, l'affaire commence le 5 février lorsqu'un journaliste dévoile
l'acte de naissance du fils qu'aurait eu Evo Morales avec Gabriela Zapata.
Le président bolivien de 56 ans et la jeune femme de 28 ans auraient eu une liaison
il y a 10 ans, alors qu'elle n'avait que 18 ans. En 2007, un enfant serait né de cette
union. Après avoir nié les faits, Morales reconnaît l'enfant expliquant qu'il serait mort
peu après sa naissance, et que sa relation avec la jeune femme n'est pas allée plus
loin.Mais l'histoire prend un autre tournant puisque Gabriela Zapata n'a pas
totalement quitté les couloirs du pouvoir bolivien. Elle devient responsable commerciale d'une entreprise de BTP chinoise (China CAMC Engineering Co.) qui a obtenu
560 millions de dollars de contrats avec l'État. Morales est alors accusé de trafic
d'influence en faveur de l'entreprise chinoise, avant d'être blanchi par le parlement
bolivien.Ce scandale tombe plutôt mal pour le président qui souhaitait faire passer,
par référendum, un projet de réforme qui lui aurait permis de se présenter pour un quatrième mandat consécutif en 2019. Evo Morales, premier président amérindien
issu des campagnes, véritable symbole en Amérique du Sud, jouissait pourtant
d'une forte popularité depuis son élection en 2005. Mais cette affaire l'a
considérablement affaibli. Le 24 février il se voit obligé d'admettre sa défaite, son
projet de réforme étant rejeté par une courte majorité (51,3%).
«Je l'attends, je veux le recueillir», s'exclame le président
Mais l'histoire ne s'arrête pas là, puisque l'enfant ressurgit. Le 29 février, la tante de Gabriela Zapata, Pilar Guzman, annonce que l'enfant, alors âgé de 8 ou 9 ans, est
bel et bien vivant. «Je connais cet enfant, il n'est pas mort. Il s'appelle Ernesto Fidel.
Il est le fils de Monsieur Evo Morales. Je ne sais pas pourquoi ils ont dit ça. Je ne sais
pas ce qui les a poussés à mentir», déclare-t-elle sur la chaîne de télévision PAT. Le président veut alors voir son fils pour assumer ses responsabilités: «Je demande à la famille de Gabriela Zapata qu'ils me l'apportent, je l'attends, je veux le recueillir, s'ils
me le permettent. J'ai le droit de le voir, de le rencontrer et de prendre soin de lui».
L'enfant vivant ou mort? C'est la justice qui a fini par trancher. Après examen du dossier,
la juge Jacqueline Rada conclut à «l'inexistence» de ce fils. Elle a considéré que «l'existence physique» de l'enfant n'avait pas été prouvée. Gabriela Zapata a bien
présenté «quatre photos imprimées» du garçon, mais son âge et son aspect différent
de l'enfant qui a été présenté devant la justice. En juin, cinq personnes, proches de Gabriela Zapata, soupçonnées d'avoir fait partie de la supercherie et d'avoir payé un
jeune garçon et sa famille pour jouer la comédie, ont été arrêtées.Fin du feuilleton alors qu'elle affirmait que l'enfant avait survécu, Gabriela Zapata,en détention depuis fin février pour une affaire d'enrichissement illicite, a finalement reconnu devant la justice que son
fils était mort en 2009, soit deux ans après sa naissance.

zadhand
04/08/2016, 20h42
La police privilégie la piste du déséquilibré

Attaque de Londres
04.08.2016 à 03h35
Mis à jour le 04.08.2016 à 17h14

La police n'a pas trouvé de preuve de radicalisation du suspect de l'attaque
au couteau qui a fait un mort une femme de nationalité américaine et cinq
blessés mercredi soir à Londres, a déclaré jeudi à la presse le chef adjoint
de Scotland Yard. "Jusqu'ici, nous n'avons pas trouvé de preuve de radicalisation suggérant que l'homme en garde à vue a agi pour un motif terroriste", a déclaré
M. Rowley. Le jeune homme de 19 ans, un Norvégien d'origine somalienne
arrêté peu après l'attaque perpétré à Russell Square, dans le centre de Londres,
a agi de manière "spontanée" et "au hasard", a-t-il ajouté. "Tout le travail que nous
avons réalisé jusqu'ici montre que ce tragique incident a été déclenché par des
troubles mentaux", a souligné le responsable de Scotland Yard. Ce constat ressort
de l'audition du suspect et de sa famille ainsi que de perquisitions, a-t-il ajouté.
M. Rowley a précisé que la victime de l'attaque au couteau, une sexagénaire, était
une Américaine. Quant aux cinq blessés dans l'attaque, "ils sont de nationalité australienne, américaine, israélienne et britannique", a-t-il ajouté.

zadhand
07/08/2016, 20h49
L'agresseur à la machette était un Algérien connu pour des "infractions de droit commun"

Belgique
le 07.08.16|14h22

L'homme qui a blessé deux policières en Belgique samedi avec une machette,
avant d'être abattu, était un ressortissant algérien de 33 ans connu de la police
"pour des infractions de droit commun mais pas pour des faits de terrorisme",
a annoncé dimanche le parquet fédéral belge."L'agresseur a été identifié, il s'agit
de K.B., un homme âgé de 33 ans, de nationalité algérienne, qui séjournait en
Belgique depuis 2012", a détaillé le parquet dans un communiqué, ajoutant que
"deux perquisitions ont déjà été effectuées dans l'arrondissement de Charleroi",
la ville wallonne où a eu lieu l'agression.

AFP

zadhand
12/08/2016, 23h29
Une explosion dans une prison fait dix morts

Philippines
le 12-08-2016, 16h36



Au moins dix personnes ont été tuées suite à une explosion survenue
jeudi soir dans une prison à Paranaque, un faubourg du sud de Manille
aux Philippines, a rapporté vendredi la presse locale.L'explosion
s'est produite vers 20h30 dans le bureau du directeur de la prison,
Gerald Bantag, qui a été lui-même blessé par des éclats, selon les
médias citant la police.Des témoins ont déclaré qu'au moins trois
explosions ont été entendues par les riverains après des coups de feu
dans l'enceinte de l'établissement.

zadhand
19/08/2016, 21h55
Nathael, 9 ans porté disparu en Saône-et-Loire

Alerte enlèvement
PUBLIÉ LE 19/08/2016 À 22:09


L'enfant est avec son père, qui circule à bord d'un véhicule de type
Citroën Xantia de couleur verte immatriculé 6696 YB 71, susceptible
de se rendre dans le sud de la France.
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Nathael, 9 ans, porté disparu en Saône-et-Loire
Nathael, un jeune garçon de 9 ans, type européen, 1,25m, corpulence mince,
cheveux clairs, yeux noisettes, a été enlevé par son père ce vendredi 19 août
au matin, entre minuit et 4 heures à Romenay (Saône-et-Loire). Il est vêtu d'un
bas de pyjama et d'un tricot. Il est accompagné de son père, un homme de 48 ans,
type européen, cheveux longs poivre et sel, vêtu d'un jean et d'une chemisette à
carreaux, qui circule à bord d'un véhicule de type Citroën Xantia de couleur verte immatriculé 6696 YB 71. Le père est susceptible de se rendre dans le sud de la
France, selon les informations communiquées par le ministère de l'Intérieur.
[COLOR=#000080][FONT=arial]Si vous localisez l'enfant ou son père, n'intervenez pas vous-même.
Appelez immédiatement le 0800 36 32 68 ou envoyez un courriel à alerte-
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zadhand
07/09/2016, 11h40
Le meurtre d'un enfant élucidé vingt-sept ans après sa disparition

Etats-Unis
Mis à jour le 07/09/2016 | 11:25
publié le 07/09/2016 | 11:10


Jacob Wetterling avait été enlevé en 1989. Son agresseur a admis
publiquement l'avoir tué, mardi.
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L'avis de recherche de Jacob Wetterling, le 26 mai 2012.

L'histoire rappelle étrangement le roman Mystic River de Dennis Lehane.
Un Américain a admis publiquement, mardi 6 septembre, avoir agressé
sexuellement et tué Jacob Wetterling, un garçon de 11 ans, en 1989.
Ses aveux ont permis aux enquêteurs de retrouver le corps de l'enfant,
enterré dans un champ. Durant plus d'un quart de siècle, la famille de
Jacob Wetterling a gardé l'espoir de retrouver vivant le jeune garçon,
dont le visage souriant sur des milliers d'affiches était devenu symbole
à la fois de l'innocence bafouée, mais aussi de ce que les Américains
appellent "cold case", ces enquêtes judiciaires piétinant durant des
décennies avant d'être élucidées.
Enlevé par un homme armé et masqué
L'avis de recherche de Jacob Wetterling, le 26 mai 2012.
Le petit Jacob avait été enlevé le 22 octobre 1989 par un homme masqué
et armé alors qu'il roulait à bicyclette à proximité de son domicile, dans
l'Etat du Minnesota, en compagnie de son frère et d'un de ses camarades.
Cette disparition avait traumatisé des milliers de foyers américains, bien
au-delà des frontières du Minnesota. Elle avait poussé de nombreux Etats,
ainsi que le Congrès à Washington, à adopter dans les années 1990 des
lois protégeant l'enfance et coordonnant davantage la lutte contre les
délinquants sexuels.L'enquête, pourtant dotée de gros moyens et très
médiatisée, s'était enlisée avant de rebondir l'an dernier avec l'arrestation
d'un homme, Danny Heinrich, pour possession d'images pédophiles. L'ADN
de Danny Heinrich, 53 ans, s'est par la suite révélé être le même que celui
présent sur un échantillon prélevé sur un habit que portait un autre enfant,
âgé de 12 ans, qui avait été victime d'une agression sexuelle neuf mois avant
Jacob Wetterling. Devant un tribunal du Minnesota, Danny Heinrich a reconnu,
mardi, avoir enlevé, violenté et tué le petit Jacob, dans le cadre d'une procédure
de plaider coupable lui permettant d'échapper aux poursuites pour ces faits.
Seule l'inculpation pour détention d'images pédophiles lui fait toujours encourir
vingt ans de prison. "Qu'est ce que j'ai fait de mal ?"

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La mère de Jacob Wetterling, Patty Wetterling, dans les bras de son fils Trevor,
le 6 septembre 2016 à Minneapolis aux Etats-Unis. (SIPA USA)


Le meurtrier a relaté, avec force détails sordides, la dernière nuit de sa jeune
victime, devant les deux parents de Jacob, rapporte le journal Minneapolis Star
Tribune (en anglais)."Qu'est-ce que j'ai fait de mal ?" a demandé le garçon en
s'adressant à son ravisseur, qui l'avait menotté sur le siège avant de son véhicule.
Danny Heinrich avait ensuite traîné l'enfant dans un bosquet, l'avait déshabillé, et
agressé sexuellement. Avant de le tuer de plusieurs balles de révolver.
Lors d'une conférence de presse, des représentants de la police locale et fédérale
ont estimé que la résolution du meurtre de Jacob Wetterling prouvait qu'aucune
affaire criminelle n'était insoluble.

zadhand
22/10/2016, 19h28
Un Algérien soupçonné d’avoir tué sa femme
en France arrêté en Jordanie
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17:20 samedi 22 octobre 2016


Un ressortissant algérien de 44 ans soupçonné du meurtre de
sa femme en France en 2014, a été arrêté en Jordanie,
rapportent des médias français. Le corps de sa femme a été
retrouvé en juin 2016, complètement momifié, selon la même
source. Il reposait depuis deux ans dans un appartement à Roubaix,
dans le nord de la France, dont le mari était le locataire.
L’homme était introuvable depuis la découverte macabre, malgré
un mandat d’arrêt international et des recherches en Algérie.
Sa cavale s’est arrêtée vendredi, dans la capitale jordanienne
Amman,grâce à une étroite coopération policière avec
les autorités jordaniennes, précise la même source.L’autopsie
pratiquée sur le corps de la femme avait révélé la nature criminelle
du décès et le moment de celui-ci, en 2014. Des coups
de couteau avaient été constatés sur son corps.L’homme
devrait être transféré en France France dans les prochains mois
pour y être jugé, toujours selon la même source.

ironman
22/10/2016, 22h02
Cameroun: plus de 60 morts après une catastrophe ferroviaire dont une victime française

http://img.bfmtv.com/c/1000/600/c88/a3100020d48a3c610ab835ef55de5.jpg


Le 21 octobre, un train de voyageurs bondé a déraillé sur la voie reliant Yaoundé à Douala au Cameroun. Plus de 60 morts sont déjà à déplorer et parmi eux, on trouve une victime française.Un train reliant Yaoundé (https://fr.wikipedia.org/wiki/Yaound%C3%A9) au port de Douala (https://fr.wikipedia.org/wiki/Douala), bondé en raison de l'interruption du trafic routier entre les deux villes due à l'effondrement d'un pont, a déraillé aux environs d'Eseka le 21 octobre. L'accident a déjà fait plus de 60 morts et près de 600 blessés, selon le dernier bilan.
Et une victime française est du nombre des personnes tuées, a annoncé ce samedi le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault (http://www.francetvinfo.fr/monde/cameroun/accident-de-train-au-cameroun-une-victime-francaise-est-a-deplorer-selon-jean-marc-ayrault_1884733.html). "J'ai appris avec tristesse le tragique accident ferroviaire survenu le 21 octobre", a-t-il réagi dans un communiqué. "Une victime française est à déplorer", selon ce communiqué. Le ministère n'a pas souhaité divulguer l'identité de cette personne.


La France témoigne sa solidarité au Cameroun"Mes pensées vont aux victimes de ce terrible événement, ainsi qu'à leurs familles et à leurs proches", a ajouté M. Ayrault en exprimant "la pleine et entière solidarité de la France qui se tient aux côtés du Cameroun dans cette épreuve". Les services de secours camerounais sont actuellement mobilisés pour prendre en charge les centaines de blessés de cette catastrophe ferroviaire, dont les causes ne sont pas encore élucidées.



Italie: elle tue son fils de 8 ans qui l'a surprise au lit avec son grand-père
http://img.bfmtv.com/c/1256/708/9f0be3/22a20e8b9715d8bc230bf70c41.jpg

En Sicile, une mère a été condamnée à 30 ans de réclusion pour avoir assassiné son enfant de huit ans, qui avait eu le malheur de la surprendre en pleins ébats sexuels avec son grand-père.C'est une affaire sordide qui a traumatisé l'Italie que relate The Independant (http://www.independent.co.uk/news/world/europe/mother-murdered-son-when-he-caught-her-having-affair-with-his-grandfather-a7371406.html). Une mère de famille a été condamnée lundi à trente ans de réclusion criminelle en Sicile pour avoir tué son fils de huit ans, qui l'avait surprise en pleins ébats sexuels avec son grand-père.
En novembre 2014, Veronica Panarello avait étranglé son petit garçon Loris Stival avec des câbles électriques, avant d'abandonner son corps dans un ravin, non loin de Santa Croce, en Sicile.
Un assassinat prémédité et mis en oeuvre avec une grande "cruauté", des mots du juge du tribunat de la province de Ragusa, dans le sud-est de la Sicile. La mère infanticide a en effet pris le soin de dissimuler le corps de l'enfant, encore vivant mais inconscient.
Une femme "manipulatrice et égocentrée"Le cadavre avait été découvert par chasseur. Il présentait une importante blessure à la tête, et de nombreuses égratignures sur tout le corps. Devant les enquêteurs, la mère de l'enfant avait assuré que son fils avait été enlevé. Une affirmation très vite démontée par les images de vidéosurveillance de l'école.
Les soupçons se sont très vite portés sur Veronica Panarello, qui a d'abord prétendu que son enfant avait été victime d'un "accident" pendant qu'il jouait avec des câbles électriques. A la barre, elle a changé de version, affirmant que le meurtrier était en fait le grand-père de Loris, Andrea Stival. Ce dernier aurait voulu à tout prix faire taire l'enfant qui les avaient surpris en pleines relations sexuelles.
Mais c'est bien la culpabilité de la mère qui a été reconnue par la cour. "Il n'y a aucune satisfaction dans cette condamnation, mais le sentiment d'avoir accompli notre devoir", a déclaré le procureur Marco Rota, qui n'a cessé, pendant tout le procès, de qualifier l'accusée de "manipulatrice égocentrée".

zadhand
24/10/2016, 20h27
Incendie criminel dans un local technique d'Orange
800 foyers privés de téléphone et d'Internet


Publié le 24-10-2016 19:35:21


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Un incendie criminel a totalement détruit un local technique
appartenant à Orange dans la nuit du dimanche 23 au lundi 24
octobre dans le quartier Soupetard à Toulouse. Ce local assurait la
desserte en téléphone fixe et Internet d'une partie des abonnés d'Orange
dans les quartiers de Soupetard et de Bonnefoy.Au moins 800 foyers sont
donc privés de téléphone fixe et d'Internet et ce au moibns jusqu'à jeudi
soir. "Le local a été complètement complétement détruit par cet incendie criminel

zadhand
25/10/2016, 18h57
Un ado blessé d’un coup de lame et
six interpellés à Wazemmes
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LILLE| Publié le 25/10/2016

Un mineur algérien âgé de 17 ans a été blessé à la tête d’un coup
de lame, ce mardi en début d’après-midi, place de la Solidarité à
Lille. Il pourrait avoir été blessé par une bande marchant dans les
rues, armée de couteaux et machettes.Les policiers sont intervenus
en force et ont interpellé six suspects.Un adolescent âgé de 17 ans,
originaire d’Algérie, a été blessé à la tête, ce mardi peu avant 15 h.
La victime a été retrouvée place de la Solidarité, à Wazemmes.
« On l’a vu arriver la tête en sang, explique un témoin, on ne sait
où et qui lui a fait ça. » Le jeune homme a été pris en charge par les
pompiers de la caserne Lille-Littré et hospitalisé. Il était conscient.
Il souffre d’une entaille au niveau du crâne, qui pourrait être la
conséquence d’un coup de lame.
Un club de golf retrouvé
L’incident a eu lieu alors qu’au même moment, les policiers étaient
alertés de la présence d’une bande de jeunes armés de couteaux et
machettes, parcourant les rues de Wazemmes dans le secteur de la rue
Jules-Guesde, et dégradant notamment des voitures. D’importants
effectifs ont été envoyés sur place, ont retrouvé, donc, l’adolescent
blessé place de la Solidarité. Puis ils ont interpellé six suspects. L’un
d’eux portait un couteau, un autre un club de golf. Le groupe a été
placé en garde à vue.
Déjà des bagarres entre bandes cet été
Cet été, plusieurs incidents de ce type avaient déjà été signalés entre
la place de la Nouvelle-Aventure, la rue Jules-Guesde et la rue d’Iéna,
à Wazemmes. Des bandes armées de lames, machettes, clubs de golf,
gourdins ou même disques de freins automobiles s’affrontaient lors de
brèves mais violentes bagarres, occasionnant parfois des blessés légers.
« C’est régulier, explique cet après-midi un riverain du rond-point de
la Solidarité, tout est calme et soudain, on voit des groupes de jeunes
courir après d’autres. C’est souvent des histoires de drogue. »

zadhand
06/12/2016, 19h32
UN MANDAT D’ARRÊT SERA INCESSAMMENT LANCÉ CONTRE SES RAVISSEURS
Kidnapping d’un enfant algérien à Dubaï


06.12.2016




Le père du petit Karim accuse les autorités émiraties de complicité et interpelle l’émir Sheikh Mohamed
Bin Rashid Al-Maktoum afin qu’il puisse retrouver son fils sain et sauf.
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Karim, un enfant âgé de 2 ans, a été kidnappé, il y a dix mois, au centre commercial Al-Ghurai, situé à Dubaï, aux Émirats arabes unis. Que s’est-il passé exactement ? Qui a kidnappé le petit Karim ? Pourquoi sa famille a attendu dix long mois pour ébruiter ce scandale ? Selon les documents en notre possession, tout a commencé le 7 janvier dernier quand Morad B. se rend à Dubaï pour soigner son fils, sachant que le petit Karim, résidant à Alger, est né dans cette ville et jouit de la double nationalité, algérienne et française.Le 25 du même mois, le papa confie son fils à une baby-sitter dans une aire de jeux, le temps de lui acheter une bouteille d’eau. Entre-temps, la maman du petit était informée de la présence de son ex-époux et du petit Karim à Dubaï. Au fait, après la consultation, le médecin traitant aurait envoyé les résultats de la consultation aux parents, dont la maman. Celle-ci prend ses devants et organise, avec son frère, un milliardaire établi à Dubaï, l’enlèvement de l’enfant. Les vidéos en notre possession, des documents récupérés difficilement par le papa au centre commercial Al-Ghurai, montrent que le kidnapping a eu lieu le 27 janvier 2016 à 10h15. La maman, originaire de Palestine et de nationalité jordanienne, mais non- résidente aux Émirats arabes unis, pénètre dans l’aire de jeux. Elle était accompagnée de deux hommes et d’une jeune dame qui immortalisait avec son téléphone portable cet enlèvement. Choquée, la baby-sitter a tenté, en vain, de résister, mais la maman du petit Karim lui arrache son téléphone et l’éteint pour gagner du temps et quitter les lieux. La vidéo montre également un enfant qui se battait pour se libérer des mains de cette femme. Visiblement organisé par une bande de malfaiteurs, le kidnapping n’a duré qu’une petite minute. Quelques minutes plus tard, Morad B. revient, mais le petit Karim n’est plus là ! Dans une lettre adressée à l’émir Mohamed Bin Rashid Al-Maktoum, et dont nous détenons une copie, le père de cet enfant décrit une scène horrible et un parcours du combattant à la limite de l’insoutenable.
Complicités, déni de justice et menaces
Le parcours du combattant ne fait que commencer. “J’ai appelé la station de police la plus proche. La police criminelle d’investigation arriva sur place pour visionner la vidéo de télésurveillance. Je reconnus mon ex-femme, mais pas les gens qui l’accompagnaient.
Mon fils était effrayé et s’était mis à hurler et à pleurer”, raconte Morad B. C’est alors qu’il s’est dirigé vers la station de police pour déposer plainte. Le chef de la station l’informe que “le juge et le procureur lui avaient donné ordre de ne pas arrêter les kidnappeurs”, lit-on dans cette missive. “J’ai vu le procureur de la protection des enfants mineurs, ensuite le juge des mineurs et je lui ai laissé entendre d'arrêter ces kidnappeurs. Je l’ai informé que je contacterai les ambassades d’Algérie et de France, que mon fils est asthmatique et que j’ai la garde de mon enfant. Il m’a répondu qu’il annulera tous les jugements des tribunaux algériens et qu’il ouvrira un nouveau jugement aux Émirats arabes unis.” Au fait, tout a été fait pour que le petit Karim quitte rapidement Dubaï alors qu’il était interdit de sortir du territoire puisqu’il a fait l’objet d’un enlèvement. Autrement dit, son ex-épouse est passée par là, suggère-t-il, et tout a été fait pour qu’elle garde l’enfant au grand dam des lois algériennes. Il faut savoir, indique-t-il, que cet femme a été condamnée, en février 2016, à 42 mois de prison ferme par le tribunal de Tipasa et à 2 ans de prison ferme et 1 dinar symbolique, la semaine écoulée, par le tribunal de Sidi-M’hamed pour abandon de foyer et d’un nourrisson. Devant sa ténacité à vouloir récupérer son fils, ce qui est légitime, Morad B. s’est vu menacé s’il ne quittait pas les lieux. Dans sa lettre, Morad B. accuse : “Voici la liste des personnes impliquées dans cette affaire. Je cite, l’avocate de mon ex-épouse, le juge des affaires familiales, le procureur des mineurs, le juge ayant rejeté le jugement algérien, l’homme d’affaires et millionnaire, frère de mon ex-épouse résidant à Dubaï, le directeur de la cour de Dubaï, le procureur général, le chef des procureurs, le chef de justice des affaires personnelles, le chef de la police et le directeur de la cour royale.”
Le prince Bin Rashid Al-Maktoum interpellé
Ainsi, Morad B. a passé dix longs mois à courir dans tous les sens et à frapper à toutes les portes pour récupérer son fils. Aux dernières nouvelles et à l’heure actuelle, son ex-épouse aurait quitté illégalement Dubaï avec le petit Karim. Elle serait établie aux États-Unis d’Amérique pour tenter de lui arracher une autre nationalité.Entre-temps, Morad B. a saisi les autorités françaises, dont le président François Hollande, et des directives ont été données aux consulats pour freiner toute démarche que cette femme tenterait d’entreprendre, sachant que le petit Karim jouit de la nationalité française. Et à Morad B. d’interpeller le prince Bin Rashid Al-Maktoum : “Dans une interview avec la BBC, votre Altesse aviez déclaré que les Émirats souhaitaient aider les gens et non leur porter préjudice. Vous vous êtes toujours assuré que les Émirats doivent respecter les lois des pays internationaux, leurs obligations et leurs traités.” Faisant allusion aux accords ratifiés entre l’Algérie et les Émirats arabes unis, le père ajoute : “À présent que vous êtes informé, le monde entier a besoin de savoir que ces faits se sont réellement déroulés au sein du département de justice, à savoir la cour de Dubaï, et 40 millions d’Algériens ont également besoin de savoir ce qui est arrivé à mon fils et à moi-même dans votre pays.”Selon Morad B., les autorités algériennes et françaises ont été informées de la disparition de son fils à Dubaï, alors que l’ambassade et le consulat d’Algérie aux Émirats arabes unis ont, à leur tour, informé le ministère des Affaires étrangères des Émirats arabes unis en lui communiquant des documents officiels concernant la mystérieuse et soudaine disparition de cet enfant. “Le consulat algérien a envoyé un courrier demandant un rendez-vous avec le directeur de la cour royale concernant le kidnapping d’un enfant de nationalité algérienne. Le courrier est resté sans réponse”, dira encore Morad B.

FARID BELGACEM

zadhand
15/12/2016, 21h08
Tuerie de Charleston
Dylann Roof déclaré coupable des neuf meurtres


Actualité Monde Amérique du Nord
publié le 15/12/2016 à 22:03
mis à jour à 22:50


Dylann Roof, 22 ans, avait abattu froidement ces paroissiens dans une église noire de Caroline du Sud en 2015. Il encourt la peine de mort.
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Coupable, sans circonstances atténuantes. Ainsi en a décidé le jury chargé
de se prononcer sur le massacre de Charleston commis par Dylann Roof en
2015. Le jeune homme blanc âgé à l'époque de 21 ans avait tué froidement
neuf paroissiens dans une église noire, par haine raciste. Ce dernier a choisi
de frapper "un endroit de camaraderie, où de vieux amis se retrouvaient pour
étudier la Bible", a rappelé le procureur Nathan Williams.
"Un endroit accueillant, où tout nouvel entrant se voyait proposer une chaise"
Il a vu dans le jeune solitaire "un homme d'une immense lâcheté, qui a abattu
des personnes qui avaient les yeux fermés" durant un moment de prière.
"La haine a déferlé autour de ces tables"
"La haine n'avait pas de place dans ce sanctuaire. Et pourtant la haine a déferlé
autour de ces tables", a commenté le procureur. "Et ce n'était pas la haine
colérique qu'on peut voir s'afficher sur un visage. C'était une haine froide,
calculatrice, qui avait enflé depuis des mois." L'accusé, a poursuivi le procureur,
s'est attaqué "aux plus vulnérables": il "a consacré le plus de balles à Susie
Jackson, qui avait 87 ans." Nathan Williams a décrit un homme "glorifiant" la
ségrégation et dont les écrits, saisis dans sa chambre, "dénigraient les autres
races." Il a exécuté ces Noirs "car il pensait qu'ils n'étaient rien d'autres que des
animaux." Il possédait des "centaines" de photographies de son
chat.Son avocat David Bruck a tenté l'impossible. Il a dépeint un jeune homme
perdu dans une immense solitude et sous influence néfaste. "Tout ce qu'il a fait
est une imitation de quelque chose qu'il a vu ailleurs", a affirmé l'avocat, qui a cru
voir une preuve d'humanité de son client dans le fait qu'il possédait des "centaines"
de photographies de son chat. La détermination de la sentence n'interviendra pas
avant plusieurs jours. Dylann Roof encourt la peine de mort.

zadhand
19/12/2016, 19h29
Berlin un camion fonce dans un marché de Noël, plusieurs morts


Modifié le 19/12/2016 à 21:13
Publié le 19/12/2016 à 20:58


Selon l'agence allemande DPA, cité par l'Agence France-Presse, il s'agirait d'un attentat. Il y aurait une cinquantaine de blessés, selon la police.
**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**

Un camion a foncé dans un marché de Noël. Il y aurait plusieurs victimes selon
la police. L'agence allemande DPA, cité par l'Agence France-Presse, évoque un
attentat. Des images circulent sur les réseaux sociaux montrant la carlingue du
poids lourd encastrée dans un chalet, le pare-brise brisé par le choc. Il y aurait
une cinquantaine de blessés. Le conducteur du poids lourd a roulé sur un trottoir
de ce marché de Noël où se trouvaient des badauds dans un quartier très
touristique de la capitale allemande, Breitscheidplatz Square, selon un porte-parole
de la police, qui a fait aussi état de plusieurs blessés.

Plus d'informations à suivre.

chenoui70
20/12/2016, 12h16
https://www.votre-actualite.com/wp-content/uploads/2016/07/terrorisme.jpg
L'EI revendique l'attaque de Karak
http://static0.7sur7.be/static/photo/2016/13/10/12/20161220135453/media_xll_9400092.jpg
Le groupe Etat islamique (EI) a revendiqué l'attaque meurtrière ayant "visé policiers et touristes" dimanche près du site touristique de Karak en Jordanie, selon un communiqué diffusé mardi sur Internet. "Quatre soldats du Caliphat -décédés- munis d'armes automatiques et de grenades ont attaqué des rassemblements de la sécurité jordanienne et des ressortissants des Etats de la coalition croisée dans la ville de Karak en Jordanie", affirme le texte.

zadhand
20/12/2016, 12h23
Berlin la police n'est "pas certaine" que le Pakistanais arrêté
soit le chauffeur du camion et appelle à la prudence


Mis à jour le 20/12/2016|14:04
publié le 20/12/2016|06:16


Un camion immatriculé en Pologne a foncé sur la foule d'un des marchés
de Noël les plus importants de Berlin lundi soir,
faisant 12 morts et 48 blessés.

Il n'est "pas certain" que le Pakistanais, interpellé dans la soirée
du lundi 19 décembre, après l'attaque au camion sur un marché
de Noël à Berlin, soit le chauffeur du poids lourd, déclare mardi
le patron de la police berlinoise, Klaus Kandt."Il n'est effectivement
pas sûr que ce soit le chauffeur", a-t-il indiqué, suggérant que le
véritable auteur est peut-être toujours en fuite. "Le suspect arrêté
nie les faits", a également tweeté la police, appelant à la vigilance.
Voici l'essentiel des éléments connus
Un suspect interpellé qui nie les faits. Le suspect est "a priori" un
Pakistanais arrivé en Allemagne le 31 décembre 2015 par la route
des Balkans et "enregistré à Berlin en février" comme demandeur
d'asile, a indiqué à la presse le ministre de l'Intérieur allemand,
Thomas de Maizière. Sa demande d'asile "n'avait pas encore été
tranchée", l'individu n'ayant pas pu être interrogé par les autorités
compétentes, notamment en raison une fois de l'absence d'un
traducteur, a-t-il dit. "Il nie le crime. L'enquête se poursuit", a
poursuivi le ministre. Au moins 12 morts. "Douze personnes ont été
tuées sur la place Breitscheid, 48 autres sont dans des hôpitaux,
certaines gravement blessées", a indiqué la police berlinoise. Les
autorités n'ont jusqu'à présent donné aucune indication sur l'identité
des victimes qui se trouvaient sur ce marché de Noël, parmi les plus
fréquentés de la capitale allemande, notamment par les touristes.
La piste de l'attentat confirmée. Pour le ministre de l'Intérieur
allemand, "il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'un attentat".La
chancelière allemande Angela Merkel a également qualifié d'"attentat
terroriste" l'attaque au camion-bélier.

chenoui70
20/12/2016, 12h50
https://www.votre-actualite.com/wp-content/uploads/2016/07/terrorisme.jpg
L'attentat de Berlin, dernier d'une longue série en 2016
http://static1.7sur7.be/static/photo/2016/11/1/0/20161220143159/media_xll_9400185.jpg
L'année 2016 aura été particulièrement sanglante sur le front des attentats et celui qui a frappé un marché de Noël berlinois n'est que le dernier d'une longue série. Voici une liste non exhaustive des principales attaques terroristes ayant visé l'Occident ou des intérêts occidentaux en 2016:

12/01: Un attentat suicide, dans le coeur historique d'Istanbul fait douze morts, des touristes allemands. Cette attaque est attribuée à l'EI.
15/01: Trente personnes, dont de nombreux étrangers, sont tuées lors d'un raid djihadiste contre un hôtel et un restaurant de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, une opération revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique moins de deux mois après une attaque similaire au Mali.
13/03: Une fusillade dans un quartier touristique de la station balnéaire ivoirienne de Grand-Bassam, lieu de tourisme en Côte d'Ivoire et classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO, et prisé par les Ivoiriens et les expatriés. L'attaque fait 19 morts, dont trois soldats des forces ivoiriennes. Al-Qaïda au Maghreb islamique revendique l'attaque le soir même.
22/03: Une vague d'attentats-suicide, revendiqués par l'Etat islamique dans un communiqué, touchent Brussels Airport et la station de métro Maelbeek, dans le quartier européen de Bruxelles, faisant 32 morts et 340 blessés.
12/06: Un Américain d'origine afghane soupçonné de liens avec le groupe Etat islamique (EI) perpètre aux Etats-Unis le pire attentat "terroriste" depuis le 11-Septembre 2001, en abattant au moins 49 morts dans une boîte de nuit gay de Floride.
13/06: Assassinat d'un policier et de sa compagne près de Paris, revendiqué par un homme qui a prêté allégeance à l'EI.
28/06: Quarante-sept personnes sont tuées dans un triple attentat suicide à l'aéroport international Atatürk d'Istanbul. Selon le Premier ministre turc, "les indices pointent vers Daech".
14/07: Un Tunisien de 31 ans, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, fonce au volant d'un camion dans la foule, quelques instants après le feu d'artifice du 14 juillet à Nice, tuant 86 personnes, dont plusieurs enfants, et faisant 434 blessés. L'attaque est revendiquée par l'EI.
18/07: Un jeune demandeur d'asile, qui affirme être afghan, blesse cinq personnes, dont deux grièvement, dans un train régional en les attaquant à la hache et au couteau avant d'être tué par la police. L'EI revendique l'attaque, une première en Allemagne.
24/07: Un réfugié syrien, débouté de sa demande d'asile, se fait exploser dans le centre d'Ansbach (Bavière, sud), à proximité d'un festival de musique. L'attentat fait 15 blessés et provoque la mort de son auteur. L'agence Amaq, un organe de propagande de l'EI, affirme que l'auteur de l'attentat est l'un de ses "soldats".
26/07: Moins de quinze jours après le carnage de Nice, la France est une nouvelle fois confrontée au djihadisme avec l'assassinat d'un prêtre de 86 ans, le père Jacques Hamel, tué en pleine messe dans son église de Saint-Etienne du Rouvray par deux jeunes hommes, dont l'un était inculpé pour avoir tenté de rallier en Syrie. Cette attaque est la première contre un lieu de culte catholique en Europe revendiquée par le groupe Etat islamique (EI).
06/08: Deux policières sont blessées à la machette sur le parvis de l'hôtel de police dans le centre de Charleroi par un homme "criant Allah akbar" qui est ensuite abattu par les forces de l'ordre. L'Etat islamique (EI) revendiquera l'attaque le lendemain.
19/12: Un camion fonce sur la foule dans un marché de Noël dans le coeur de Berlin-ouest, faisant au moins 12 morts et 48 blessés.

chenoui70
21/12/2016, 05h16
La chasse à l'homme se poursuit
http://static1.7sur7.be/static/photo/2016/9/10/11/20161221065150/media_xll_9401741.jpg
La police allemande était engagée mercredi dans une chasse à l'homme, sa principale piste s'étant écroulée plus de vingt-quatre heures après l'attaque au camion-bélier sur un marché de Noël de Berlin, revendiquée par le groupe Daesh.
Six morts sont allemands, selon la police. Les identifications des autres victimes se poursuivent. Sur les 48 blessés, 14 étaient mardi soir entre la vie et la mort, selon le ministère de l'Intérieur.
Les enquêteurs ont dû se résoudre à libérer mardi soir leur seul suspect, un demandeur d'asile pakistanais, faute d'éléments. L'auteur des faits semble donc bien en fuite plus de 24 heures après le drame et la police n'a évoqué publiquement aucune nouvelle piste.
Une ou plusieurs personnes en fuite
La remise en liberté du suspect signifie aussi « qu'une ou plusieurs personnes » responsables de l'attentat « sont en fuite (...) avec une arme », sans doute celle qui a servi à tuer le chauffeur-routier polonais retrouvé mort dans le camion qui lui avait été dérobé, a-t-il ajouté dans la soirée sur la chaîne publique ARD.
Mercredi, la confusion et les craintes des Berlinois restaient donc grandes et les mesures de sécurité ont été renforcées à Berlin. De nombreux Berlinois sont venus déposer des fleurs et des bougies sur le lieu du drame, en souvenir des victimes.

chenoui70
23/12/2016, 07h00
https://www.votre-actualite.com/wp-content/uploads/2016/07/terrorisme.jpg
Les premières images de l'attentat de Berlin

https://youtu.be/jm_mb9Ax-5A
Les premières images de l'attentat à Berlin ont été diffusées par le journal allemand Bild. Capturées par la dasham d'un autre véhicule, elles montrent le camion-bélier qui se lance dans la foule du marché de Noël. Pris de panique, les gens fuient les lieux.
Le poids-lourd noir roule à une vitesse de 60 à 70 km à l'heure lorsque tout à coup, il change de direction et se dirige vers le marché, à proximité de la rue commerçante Kurfürstendamm. Les images diffusées par le journal allemand Bild ne montrent pas la suite du trajet meurtrier.
Le véhicule fou a continué sa course sur 80 mètres à travers les différents stands. Le bilan humain est très lourd: 12 morts, 49 personnes blessées, dont 25 bénéficient encore de soins.
Le conducteur présumé du camion, Anis Amri, n'a toujours pas été retrouvé par la police à l'heure actuelle. Le ressortissant tunisien, arrivé en Europe par l'île de Lampedusa, a été filmé huit heures après les faits devant une mosquée salafiste, située à quatre kilomètres du lieu de l'attaque, selon les images diffusées jeudi par la chaîne de télévision locale rbb.

zadhand
23/12/2016, 09h41
L'homme abattu à Milan est "sans l'ombre d'un doute"
Anis Amri, l'auteur présumé de l'attentat de Berlin, annonce
le ministre de l'Intérieur italien


Mis à jour le 23/12/2016 | 11:26
publié le 23/12/2016 | 10:56


Contrôlé par une patrouille de police dans une gare de
la banlieue de Milan, il a été abattu après avoir sorti
une arme et tiré sur un policier.
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Le ministère de l'Intérieur italien Marco Minniti a confirmé la mort
de l'auteur présumé de l'attentat de Berlin, qui a fait 12 morts lundi soir.
L'homme a été abattu par la police dans le nord de l'Italie, a-t-il indiqué
en conférence de presse, vendredi 23 décembre. "Cette personne est
sans l'ombre d'un doute Anis Amri", a-t-il déclaré. Contrôlé par une
patrouille de police dans une gare routière de la banlieue de Milan, le
suspect a été abattu après avoir sorti une arme et tiré sur un policier,
selon plusieurs médias italiens. Le pronostic vital du policier n'est pas
engagé. Un avis de recherche émis mercredi. Les policiers allemands
ont été vivement critiqués pour avoir focalisé leur attention pendant
24 heures sur un suspect pakistanais finalement mis hors de cause.
Dès mardi matin, les papiers d'Anis Amri avaient été retrouvés dans le
camion, mais l'avis de recherche n'a été lancé que dans la nuit de mardi
à mercredi, lui laissant un temps précieux pour disparaître. Ses
empreintes ont par ailleurs été retrouvées sur le camion qui a foncé
sur la Breitscheidplatz. Un suspect qui faisait l'objet d'un signalement.
Les autorités le savaient en contact avec des salafistes connus et il
circulait dans le pays en utilisant une demi-douzaine d'identités.
L'homme faisait même l'objet d'un signalement pour sa dangerosité au
centre national de lutte antiterroriste. Il avait été placé sous surveillance
policière pour un possible projet d'attentat, avant que la justice ne classe
l'affaire faute d'éléments probants.

chenoui70
23/12/2016, 15h01
http://corigif.free.fr/drapeau/img/ouganda.gifOuganda:
une vingtaine de morts dans un naufrage sur le lac Victoriahttp://static3.7sur7.be/static/photo/2016/18/8/4/20161223164221/media_xll_9407944.jpg
Environ 20 personnes sont décédées vendredi dans le naufrage de leur bateau sur le lac Victoria, dans le sud-est de l'Ouganda, et 10 autres ont été secourues, a-t-on appris auprès de la police ougandaise
"L'accident a eu lieu ce matin quand des gens qui retournaient de l'île de Bukasa sur le lac Victoria, où ils avaient passé les vacances de Noël, vers Entebbe, se sont noyés après que leur bateau a chaviré. Environ 20 morts confirmés, 10 ont été secourus", a indiqué le commandant de la police locale, Richard Musisi.
"Parmi les 20 qui sont morts, nous avons réussi à retrouver quatre corps. Les autres corps sont manquants, mais le service de la marine est sur zone pour les récupérer", a-t-il précisé.
"Nous tentons d'établir les causes de l'accident, mais nous ne savons pas pour l'instant ce qu'il s'est passé. Si le bateau était surchargé ou s'il s'agit du courant", a ajouté M. Musisi.
Bukasa est l'une des îles du lac Victoria, que se partagent l'Ouganda, le Kenya et la Tanzanie. Ses habitants sont essentiellement des pêcheurs et des paysans et elle est appréciée des touristes étrangers, même si aucun n'est recensé parmi les morts.
Les accidents sont fréquents dans les eaux ougandaises. En novembre, au moins 10 personnes avaient péri dans un naufrage sur le lac Albert, au nord-ouest de l'Ouganda.

zadhand
23/12/2016, 18h50
Avion libyen détourné sur Malte
les pirates de l'air se sont rendus


le 23.12.16|12h28
mis à jour le 23.12.16|17h12


Deux pirates de l'air armés de grenades et d'un pistolet ont
détourné vendredi un avion de ligne libyen vers l'aéroport de Malte,
où ils ont peu à peu libéré sains et saufs 116 passagers et membres d'équipage avant de se rendre.
**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**
Il y aurait 118 personnes à bord de l'appareil détourné.

"Les derniers membres d'équipage quittent l'avion avec les pirates", a annoncé
peu après 15H30 (14H30 GMT) le Premier ministre maltais, Joseph Muscat,
qui a communiqué sur Twitter pendant toute l'opération. "Les pirates de l'air
se sont rendus, ils ont été fouillés et placés en détention", a-t-il écrit juste après.
Selon le ministre des Affaires étrangères du gouvernement d'union nationale
(GNA), Taher Siala, les pirates de l'air sont des partisans de l'ancien régime de Mouammar Kadhafi qui réclament l'asile politique à Malte et veulent annoncer
la création d'un parti pro-Kadhafi. Selon des images de télévision, l'un des deux pirates est sorti de l'avion durant quelques instants en brandissant le drapeau vert
de la Libye sous Kadhafi. Le pilote de l'avion, Ali Milad, joint par une télévision libyenne, Libya Channel, a indiqué qu'ils étaient armés de grenades et d'un
pistolet. L'avion, un Airbus A320 de la compagnie Afriqiyah Airways, était parti
de Sabha, dans le sud de la Libye, avec 28 femmes, un bébé et 82 hommes en
plus des sept membres d'équipage, en direction de Tripoli. Mais les pirates ont
obligé le pilote à poursuivre environ 350 km plus au nord, jusqu'à Malte. Il a
atterri à 11H32 (10H32 GMT) à l'aéroport international Luqa et a été rapidement isolé, cerné de militaires.Les négociations, menées par le chef de l'armée maltaise, on permis la libération progressive des passagers en début d'après-midi, d'abord
les femmes et le bébé puis les hommes, comme l'a rapporté M. Muscat au fur et
à mesure. Dans le calme. Selon un correspondant de l'AFP sur place, les passagers sont descendus de l'avion très calmement, sans courir ni crier. L'aéroport a été fermé plusieurs heures et les vols en provenance notamment de Londres, Bruxelles et Paris ont été déroutés, avant de pouvoir à nouveau emprunter la piste. La Libye est plongée dans le chaos depuis la chute du dictateur Mouammar Kadhafi en 2011 et plusieurs milices se disputent le contrôle du territoire, en dépit de l'installation d'un gouvernement d'union nationale (GNA), soutenue par la communauté internationale.
Le chef de ce gouvernement, Fayez al-Sarraj, a annoncé officiellement samedi la libération de Syrte, bastion de l'organisation de l'Etat islamique. L'EI s'était emparé de la ville natale de Kadhafi en juin 2015 et a défendu son fief avec acharnement, utilisant des tactiques de guérilla urbaine, boucliers humains et mines antipersonnel.
La perte de Syrte est un important revers pour l'EI mais il reste toujours des jihadistes en Libye, comme en témoigne un attentat suicide à Benghazi dimanche.
Le GNA espère sortir renforcé de la bataille de Syrte au moment où il peine toujours, depuis son installation fin mars à Tripoli, à asseoir son autorité dans un pays dévasté par les conflits depuis la chute de Kadhafi en 2011.
Seules des compagnies locales, qui n'ont pas le droit d'entrer dans l'espace aérien européen, assurent des vols en Libye, avec quelques liaisons vers Tunis, Le Caire, Amman, Istanbul et Khartoum.

AFP

chenoui70
24/12/2016, 15h34
http://corigif.free.fr/drapeau/img/bangladesh.gifUne kamikaze se fait exploser au Bangladesh
http://static3.7sur7.be/static/photo/2016/12/16/14/20161224154245/media_xll_9410009.jpg
Une femme liée aux extrémistes musulmans au Bangladesh a actionné sa veste explosive lors d'une opération de police samedi à Dacca, blessant l'enfant qu'elle portait dans ses bras et tuant un autre activiste, a indiqué la police.
"Deux extrémistes ont été tués, dont une femme qui a actionné une veste explosive", a déclaré le porte-parole de la police, Masudur Rahman.
Ayant bénéficié de renseignements, les forces de sécurité ont encerclé un appartement à Dacca pendant plus de douze heures et ont échangé des coups de feu avec des activistes qui y étaient retranchés.
Selon M. Rahman, les deux activistes tués étaient membres du groupe islamiste Jamayetul Mujahideen Bangladesh (JMB), responsable selon les autorités de la sanglante attaque avec prise d'otages en juillet dans un café de Dacca, qui avait fait 22 morts dont 18 étrangers.
L'attaque contre le café avait été revendiquée par le groupe Etat islamique (EI), mais les autorités en accusent le JMB, niant que des groupes terroristes internationaux soient en position d'intervenir dans le pays.
Le JMB a été fondé à la fin des années 1990 et veut imposer la loi islamique au Bangladesh, pays à majorité musulmane mais laïc d'après sa Constitution. Le groupe s'était fait connaître pour une vague de plus de 400 attentats à la bombe à travers le pays en août 2005.

chenoui70
25/12/2016, 06h27
http://corigif.free.fr/drapeau/img/russie.gifUn avion russe disparaît des radars après son décollage
http://static3.7sur7.be/static/photo/2016/1/10/10/20161225080449/media_xll_9410530.jpg
Un avion de la défense militaire russe a disparu dimanche des radars peu après son décollage d'Adler, non loin de Sochi, a confirmé le ministère russe de la Défense. L'aéronef se dirigeait vers Lattaquié en Syrie et transportait 91 personnes, dont l'ensemble Alexandrov.
Le ministère russe de la Défense a annoncé dimanche qu'un avion militaire avec 91 personnes à bord avait disparu des radars après avoir décollé de la ville russe d'Adler (sud), ont indiqué les agences de presse russes.
83 passagers et 8 membres d'équipage
Le ministère a précisé que l'avion emmenait 83 passagers et huit membres d'équipage, et que des services avaient été mobilisés pour retrouver l'appareil, un Tupolev Tu-154.
L'avion "décollait pour Lattaquié et a ensuite disparu des radars", a affirmé une source des services régionaux d'urgence à l'agence TASS.
L'un des choeurs de l'armée russe était à bord
L'appareil transportait des soldats russes et des membres de l'Ensemble Alexandrov, l'un des choeurs de l'armée russe qui se rendait en Syrie pour participer aux fêtes du Nouvel an sur la base aérienne. Parmi les passagers figuraient également neuf journalistes, a indiqué le ministère.
Une source a précisé à l'agence Interfax, citée par la BBC, que l'avion a disparu des radars 20 minutes après son décollage, à 5h40, alors qu'il manoeuvrait au-dessus des eaux territoriales russes.
Le site du crash localisé
Les équipes de recherche ont localisé, en mer Noire, le site du crash de l'avion de la défense militaire russe disparu dimanche des radars peu après son décollage d'Adler, non loin de Sochi, rapporte l'agence Interfax sur base d'informations émanant des autorités. "Des fragments de l'avion Tu-154 du ministère russe de la Défense ont été retrouvés à 1,5 kilomètre du littoral de la ville de Sochi, à une profondeur de 50 à 70 mètres", a confirmé le ministère de la Défense, cité par des agences locales.
La Russie mène depuis septembre 2015 une campagne militaire, notamment aérienne, en Syrie pour soutenir le régime du président syrien Bachar al-Assad, un allié de longue date.

chenoui70
25/12/2016, 08h19
http://corigif.free.fr/drapeau/img/philippines.gifDes milliers de personnes fuient le typhon Nock-Ten aux Philippines
http://static1.7sur7.be/static/photo/2016/10/6/12/20161225091332/media_xll_9410577.jpg
Des milliers de Philippins fuyaient dimanche les régions côtières et d'autres endroits à risques de l'est de l'archipel à l'approche du puissant typhon Nock-Ten le jour de Noël.
Les autorités ont mis en garde contre la possibilité de vagues géantes de 2,5 mètres et de glissements de terrain dans la péninsule de Bicol et les îles avoisinantes. Les évacuations préventives pourraient concerner des centaines de milliers de personnes, ont indiqué les autorités.
"Nous nous sommes promenés avec des mégaphones pour demander aux gens de manger leur petit-déjeuner, de faire leurs sacs et de monter dans les camions de l'armée", a déclaré à l'AFP Alberto Lindo, un responsable d'Alcala, localité de 3.300 personnes proches du Mayon, un volcan actif. "Sur les flancs du volcan, il y a d'importants dépôts de cendres, qui sont susceptibles d'être délogés par les fortes pluies puis d'ensevelir les maisons", a-t-il ajouté.
Le typhon qui doit son nom à un oiseau du Laos
Parmi les premiers à être évacués, une centaine de bébés, des jeunes enfants et leurs parents ainsi que des personnes âgées ont été conduits dans une école à quelques kilomètres de là alors que des vents violents commençaient à secouer les arbres. Nock-Ten, qui doit son nom à un oiseau du Laos, doit toucher terre à Bicol dimanche dans la soirée avant d'atteindre lundi la région de Manille, plus au nord.
La région de Bicol, région pauvre et essentiellement agricole où vivent 5,5 millions de personnes, est souvent la première touchée par la vingtaine de typhons qui affligent l'archipel chaque année. Pour cette raison, les autorités estiment avoir éprouvé leurs procédures d'urgence de façon à minimiser le nombre de victimes.
D'après le Centre américain de prévention des typhons, Nock-Ten sera accompagné lorsqu'il touchera terre de vents soutenus de 231 kilomètres par heure, soufflant en rafales de 278 km/h. La tempête devrait affecter au total une zone où vivent près de 42 millions d'habitants, y compris Manille.
500.000 personnes menacées
La défense civile de Bicol a estimé que près de 500.000 personnes étaient menacées par le typhon. Environ 4.000 personnes ont gagné des abris d'urgence et 8.000 autres se sont réfugiées dans d'autres lieux, selon un décompte des autorités. Nock-Ten, qui va déferler sur les Philippines alors que la saison des typhons est normalement terminée, perturbe sérieusement les festivités de Noël, une période très importante dans l'archipel peuplé en grande partie par des catholiques fervents.
Certains vols ont été annulés tandis que toutes les liaisons par ferry ont été suspendues. A Manille, où des centres d'urgence ont été ouverts, les autorités ont demandé aux habitants des bidonvilles proches de la mer de partir. De même, les touristes doivent éviter d'aller sur les plages au sud de la capitale. Les scientifiques estiment que la virulence des tempêtes de ces dernières années est imputable au changement climatique. En novembre 2013, 7.350 personnes avaient péri ou avaient été portées disparues lors du passage du super-typhon Haiyan.






http://corigif.free.fr/drapeau/img/usa.gifLe dernier message de Noël du président Obama
http://static2.7sur7.be/static/photo/2016/6/15/0/20161225082716/media_xll_9410535.jpg
Le président américain Barack Obama et son épouse Michelle ont adressé samedi leur dernier message de Noël à leurs compatriotes, soulignant au passage les valeurs qui unissent les Américains, quelle que soit leur foi.
"L'idée est que nous devons chacun être le protecteur de notre frère, de notre soeur, que nous devons traiter les autres comme nous voudrions être traités", a insisté Mme Obama.
Le président américain a souligné que "ces valeurs ne servent pas seulement à guider sa famille dans la foi chrétienne, mais également les juifs Américains, les Américains musulmans, les non croyants, et les Américains de tous profils et de toutes origines".
Ces huitièmes et derniers voeux de Noël du couple Obama interviennent à un moment où les Etats-Unis sont particulièrement divisés, après une campagne présidentielle acerbe qui a conduit à l'élection du milliardaire républicain Donald Trump.
Lors de ce dernier message depuis la Maison Blanche, le couple Obama est apparu d'humeur joyeuse, avec en accompagnement des extraits des premiers voeux présidentiels du président démocrate, pour Noël 2009, où il ne pouvait s'empêcher de s'esclaffer.
Obama dresse la liste de ce qu'il a accompli
Barack Obama a également utilisé ce dernier message pour souligner ce qu'il avait accompli durant ses deux mandats à la tête des Etats-Unis, assurant que le pays est beaucoup plus fort aujourd'hui qu'il ne l'était lors de sa première élection en novembre 2008. "Ensemble, nous avons redressé la barre face à la pire récession depuis 80 ans, et nous avons ramené le chômage à son plus bas niveau depuis neuf ans", a-t-il insisté.
"Nous avons fait que les Etats-Unis sont désormais plus respectés à travers le monde, nous avons assuré le leadership dans le combat pour protéger la planète que nous laisserons à nos enfants, et bien plus encore", a plaidé le président américain, qui passera le relais à Donald Trump le 20 janvier.
Comme d'habitude, le président américain et son épouse ont également salué les militaires américains déployés dans le monde, ainsi que leurs familles.

chenoui70
25/12/2016, 11h05
http://corigif.free.fr/drapeau/img/russie.gifTupolev 154: la série noire continue pour l'ancien best-seller de l'aviation russe
http://static1.7sur7.be/static/photo/2016/17/14/10/20161225121700/media_xll_9410755.jpg
Le Tupolev Tu-154, modèle de l'avion militaire russe qui s'est abîmé dimanche en mer Noire avec 92 personnes à bord, a connu nombre d'accidents depuis sa création à la fin des années soixante.
Le Tupolev-154, semblable en apparence à un Boeing 727, a été l'un des avions les plus utilisés par les anciens pays du bloc de l'Est. D'une longueur de 47,90 m pour une hauteur de 11,40 m et une envergure de 37,55 m, il peut transporter 155 à 180 personnes à une vitesse de croisière de 850 km/h à 11.000 m d'altitude avec un rayon d'action de 4.000 km.
Voici le rappel des précédents accidents depuis quinze ans de ces triréacteurs de conception soviétique, produits à un millier d'exemplaires et qui ne sont plus produits depuis 1994. L'âge et l'entretien parfois négligé des appareils ont souvent été mis en cause.
1er janvier 2011:
Un Tupolev-154B de la compagnie Kolavia, avec 116 passagers et huit membres d'équipage à bord, prend feu alors qu'il roule sur la piste de l'aéroport de Sourgout (nord-est de l'Oural). Trois personnes meurent et une quarantaine d'autres sont blessées. Une interdiction temporaire du modèle B des Tu-154 s'ensuit.
04 décembre 2010:
l'atterrissage en catastrophe à l'aéroport de Moscou-Domodedovo d'un Tupolev Tu-154 fait deux morts et des dizaines de blessés. L'avion avait subi une panne de moteurs à 9.000 mètres d'altitude peu après son décollage d'un autre aéroport de la capitale russe.
10 avril 2010:
le chef de l'Etat polonais Lech Kaczynski et plusieurs hauts responsables du pays sont tués dans l'accident d'un Tupolev-154 de la présidence polonaise près de Smolensk, dans l'ouest de la Russie, qui fait au total 96 morts.
15 juillet 2009:
un Tupolev-154 de la compagnie iranienne Caspian Airlines effectuant la liaison Téhéran-Erevan s'écrase dans le nord de l'Iran, entraînant la mort de ses 168 passagers et membres d'équipage.
22 août 2006:
un Tu-154 de la compagnie russe Poulkovo s'écrase en Ukraine provoquant la mort de 170 personnes à bord.
12 février 2002:
117 personnes trouvent la mort en Iran lorsqu'un Tupolev-154 des lignes intérieures s'écrase sur un massif montagneux dans le sud-ouest du pays.
03 juillet 2001:
un Tu-154 de la compagnie VladivostokAvia, s'écrase près de l'aéroport d'Irkoutsk (Sibérie) à la suite d'une erreur de pilotage, faisant 145 morts.







http://corigif.free.fr/drapeau/img/allemagne.gifUne bombe provoque l'évacuation de 54.000 personnes en Allemagne
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Quelque 54.000 personnes étaient en voie d'être évacuées dimanche, jour de Noël, à Augsbourg dans le sud de l'Allemagne, après la découverte d'une bombe britannique datant de la 2e Guerre mondiale et qui doit être désamorcée à la mi-journée, ont annoncé les autorités locales.
L'évacuation a débuté en début de matinée et mobilise environ 900 policiers. Il s'agit de la plus importante en Allemagne depuis le dernier conflit mondial. L'engin de 1,8 tonne avait été découvert le 20 décembre lors d'un chantier dans le centre de cette ville bavaroise au nord-ouest de Munich. Les autorités ont délimité un secteur de sécurité de 1.500 mètres de diamètre autour du lieu de la découverte.
"Aujourd'hui, j'appelle toutes les personnes concernées à quitter, si possible par elles-mêmes, le secteur", a indiqué le maire d'Augsbourg, Kurt Gribl, dans un message vidéo posté sur le compte Twitter de la ville.
Des abris d'urgence dans des écoles ou des gymnases ont été mis en place pour les personnes, notamment âgées, n'ayant pu trouver à se loger chez des proches ou amis.
Le désamorçage, qui doit début à la mi-journée, peut prendre jusqu'à 5 heures, selon les autorités.
Plus de 70 ans après la fin de la guerre, le sous-sol allemand est toujours truffé de bombes non explosées, vestiges des intenses campagnes de bombardements alliés sur l'Allemagne nazie, et qui refont régulièrement surface, notamment à l'occasion de chantiers de construction. Les autorités estiment ainsi à quelque 3.000 le nombre de bombes dans le sous-sol de Berlin.

zadhand
25/12/2016, 16h11
Mali enlèvement d'une humanitaire Française à Gao


Mis à jour le 25/12/2016|15:18
Le parquet de Paris a ouvert une enquête, dimanche, après
l'enlèvement d'une humanitaire française, à Gao, au Mali. Elle
dirige une ONG qui s'occupe des enfants souffrant de
malnutrition. Le Quai d'Orsay est en lien avec sa famille.
Une humanitaire française a été enlevée à Gao, au Mali.Ce que
confirme le ministère des Affaires étrangères.
"Sophie Pétronin, ressortissante française, originaire de
l'Ardèche, qui possède aussi la nationalité suisse, a été
enlevée vers 17 heures hier soir,avec des hommes armés à
Gao, dans le nord du Mali. La région est très instable. Son
contrôle échappe toujours aux forces de sécurité maliennes.
Elles sont assistées sur place par des militaires,principalement
français", explique Astrid Mezmorian.
Les autorités françaises mobilisées
L'objectif des militaires français est de chasser les jihadistes
présents sur place, principalement affiliés à Al-Qaïda. "Pour
l'heure, l'enlèvement n'a pas été revendiqué. Sophie Pétronin
a 66 ans, elle est médecin, elle dirige une ONG qui vient en
aide aux orphelins et aux enfants malnutris. Elle connaît très
bien le Mali, elle parle la langue locale, elle est connue de tous
sur place",précise la journaliste. Les autorités françaises ont
déployé tous les moyens disponibles pour tenter de la retrouver.

zadhand
25/12/2016, 20h30
Noël sanglant au Congo-Kinshasa
au moins 22 civils tués au Nord-Kivu



Cette région, située dans le nord-est du pays, est ensanglantée
depuis plus de deux ans par des massacres.
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Le Monde.fr avec AFP Le 25.12.2016 à 21h12
Mis à jour le 25.12.2016 à 21h49

Vingt-deux civils ont été tués à l’arme blanche, samedi 24 et
dimanche 25 décembre, dans l’est de la République
démocratique du Congo (RDC), ont indiqué dimanche des
sources concordantes. Le drame s’est produit à Eringeti et
dans ses environs, dans le territoire de Beni, dans le Nord-
Kivu. Cette région, située dans le nord-est de la RDC, est
ensanglantée depuis plus de deux ans par une vague de
massacres ayant fait plus de 700 morts, selon Amisi
Kalonda, porte-parole militaire et militant associatif. M.
Kalonda a imputé l’attaque aux Forces démocratiques
alliées (ADF), rébellion ougandaise musulmane installée
dans la région depuis plus de vingt ans et accusée par
les autorités congolaises d’être responsables des tueries
en série dans la région. Un porte-parole des Forces
armées de la RDC a confirmé l’attaque et déclaré que
l’armée avait « tué quatre rebelles ADF ».« Le bilan est
très lourd pour les civils », a ajouté l’officier sans préciser
le nombre de victimes.« Le mode opératoire » toujours
identique « Hier [samedi], ils ont tué dix civils »
à Eringeti, a déclaré M. Kalonda. « Douze autres corps
ont été retrouvés [dimanche] dans des villages
environnants » par l’armée qui poursuivait les assaillants,
a-t-il ajouté.Teddy Kataliki, président de la Société civile
du territoire de Beni, une coalition d’associations locales,
confirme que « dix corps ont été retrouvés » samedi et
« douze autres corps de civils » dimanche,estimant pour
sa part qu’il s’agissait d’un bilan encore provisoire.Selon
un prêtre du diocèse catholique de Beni-Butembo,
l’attaque a fait « 27 morts » parmi la population, et a
créé la panique, poussant des habitants à fuir.
« Le bilan macabre est en train d’évoluer [...] au fur et à
mesure qu’on découvre des corps dans la forêt » aux
abords de la ville, a-il-dit. Selon M. Kalonda, l’attaque a
commencé en début d’après-midi samedi contre la ville
d’Eringeti, déjà frappée par plusieurs massacres similaires.
« Le mode opératoire est toujours le même », a-t-il dit les
victimes ont été tuées « à l’arme blanche et à la machette ».
Une violence aux rouages complexes.Plus de deux ans
après les premiers massacres, le gouvernement congolais
et les Casques bleus de la Mission de l’ONU au Congo
(Monusco), présents en nombre dans la région, s’avèrent
toujours incapables de protéger la population locale et
d’identifier les auteurs de ces crimes, régulièrement
présentés comme de « présumés ADF ».L’Est de la RDC,
et tout particulièrement le Nord-Kivu, est déchiré depuis
plus de vingt ans par des conflits armés. Plusieurs
chercheurs et militants associatifs locaux dépeignent, eux,
une violence aux rouages complexes dont seraient
responsables, outre des rebelles ADF, des soldats de
l’armée régulière et des combattants d’autres milices
locales, sur fond de trafics mafieux, de différends
ethniques et de conflits fonciers.

chenoui70
30/12/2016, 12h31
Découverte macabre au Brésil: s'agit-il de l'ambassadeur grec?
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La police brésilienne a découvert un corps carbonisé dans la voiture brûlée de l'ambassadeur de Grèce à Rio de Janeiro, porté disparu depuis deux jours, a indiqué vendredi une source au ministère grec des Affaires étrangères.
"Les autorités brésiliennes sont en train d'effectuer des tests ADN pour identifier le corps", a indiqué à l'AFP cette source ayant requis l'anonymat. La voiture découverte était celle que l'ambassadeur avait louée à Rio, selon cette source, qui n'a pas donné plus d'informations sur cette affaire.
Avis de recherche
La police brésilienne avait lancé jeudi un avis de recherche pour localiser l'ambassadeur de Grèce, Kyriakos Amiridis, vu pour la dernière fois lundi près de Rio de Janeiro, où il passait des vacances avec sa famille. M. Amiridis aurait été vu pour la dernière fois lundi soir, précise la police, qui a donné deux numéros de téléphone afin de lui transmettre "toute information aidant à localiser" le diplomate.
Vacances à Rio
L'ambassadeur grec, âgé de 59 ans, se trouvait en vacances à Rio de Janeiro depuis le 21 décembre et devait rentrer à Brasilia le 9 janvier, selon une fonctionnaire de l'ambassade. Selon les médias brésiliens, c'est la femme de l'ambassadeur qui a signalé sa disparition lundi, n'ayant pu entrer en contact avec lui alors qu'il était sorti seul du logement familial, dans la ville de Nova Iguaçu.
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chenoui70
31/12/2016, 08h34
L'ambassadeur grec au Brésil assassiné par l'amant de sa femme
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L'ambassadeur de Grèce au Brésil, Kyriakos Amiridis, a été assassiné lundi dans la banlieue de Rio par l'amant de sa femme, un policier militaire, dans le cadre d'un "crime passionnel" planifié par son épouse, a affirmé la police carioca vendredi.
Françoise de Souza Oliveira, l'épouse d'origine brésilienne, 40 ans, et Sergio Gomes Moreira, son amant de 29 ans, ont tous deux été arrêtés pour le meurtre de l'ambassadeur, âgé de 59 ans, a précisé le commissaire Evaristo Ponte lors d'une conférence de presse.
Le coup de filet policier a également visé Eduardo Moreira de Melo, 24 ans, un cousin de l'amant.
Cette rocambolesque affaire a éclaté au grand jour quand l'épouse de l'ambassadeur a signalé la disparition de celui-ci, mercredi, alors que le couple passait quelques jours de vacances dans leur résidence de vacances de Nova Iguaçu, dans le quartier de Fluminense, au nord de Rio, avec leur fille de dix ans.
Mais les déclarations de l'épouse sont vites apparues comme étranges, et cette version a encore un peu plus été mise en doute par les enquêteurs quand le corps "totalement carbonisé" de l'ambassadeur a été retrouvé jeudi dans le véhicule avec lequel il avait quitté le domicile.
Selon les policiers cariocas, le diplomate se serait défendu avant d'être abattu d'une balle tirée par une arme recensée comme appartenant à l'armurerie de l'ambassade.
Selon la police brésilienne, l'épouse et l'amant, "une personne de confiance" auprès du couple, auraient planifié ce meurtre, avec l'aide du cousin de l'amant. Mme Amaridis aurait promis de verser 80.000 reales (environ 23.000 euros) à ce proche pour son assistance.

chenoui70
01/01/2017, 08h03
http://corigif.free.fr/drapeau/img/turquie.gifAu moins 39 morts dans l'attaque d'une boîte de nuit à Istanbul
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L'attaque menée dans une discothèque d'Istanbul pendant la célébration du Nouvel An a fait 39 morts, dont au moins 16 étrangers, et son auteur est toujours recherché, a indiqué dimanche le ministre turc de l'Intérieur Süleyman Soylu.
Selon le ministre, 21 victimes ont d'ores et déjà identifiées et parmi elles figurent 16 étrangers et cinq Turcs.
L'attaque a aussi fait 69 blessés, dont quatre grièvement atteints, a-t-il ajouté.
Un précédent bilan communiqué par le gouverneur d'Istanbul faisait état de 35 morts, mais n'évoquait pas de victimes étrangères.
"Les recherches pour retrouver le terroriste sont toujours en cours. J'espère qu'il va être rapidement capturé", a ajouté le ministre.
L'assaillant a ouvert le feu après minuit dans une des boîtes de nuit les plus célèbres d'Istanbul, le Reina, où des centaines de personnes célébraient le Nouvel An.

chenoui70
01/01/2017, 11h36
http://corigif.free.fr/drapeau/img/burundi.gifAssassinat du ministre de l'Environnement burundais
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Le ministre de l'Environnement du Burundi a été tué par balles par un agresseur inconnu, tôt dimanche matin dans la capitale Bujumbura, a annoncé la police locale.
Ce meurtre est le premier visant un ministre en place depuis que le Burundi a plongé dans une grave crise politique avec la tentative du président Pierre Nkurunziza de briguer un troisième mandat en 2015, et ce après des mois de calme relatif.
Au moins 500 personnes ont été tuées et 300.000 ont choisi l'exil depuis le début de la crise politique au Burundi en avril 2015.
Emmanuel Niyonkuru, 54 ans, ministre de l'Eau, de l'Environnement et de la planification, a été "tué par un homme armé d'une arme à feu, alors qu'il se rendait à son domicile à Rohero, vers 00h45", selon un tweet du porte-parole de la police, Pierre Nkurikiye, qui a précisé qu'une femme a été arrêtée après cet "assassinat".
Sur Twitter, M. Nkurikiye a présenté ses condoléances "à la famille de la victime et à tous les Burundais", affirmant que ce crime ne restera pas impuni.







http://corigif.free.fr/drapeau/img/nigeria.gifUne fillette de 10 ans se tue en tentant une attaque-suicidehttp://static3.7sur7.be/static/photo/2017/3/1/1/20170101130043/media_xll_9424801.jpg
Une fillette de 10 ans s'est tuée samedi soir dans une tentative d'attentat suicide qui a fait plusieurs blessés, dont un grave, à Maiduguri, le berceau du groupe islamiste Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria, selon des témoins.
La petite fille a approché la foule rassemblée autour d'un restaurateur de rue pendant la soirée de nouvel an, vers 21H30, mais a fait exploser sa ceinture quelques mètres avant d'atteindre sa cible, selon des témoins de la scène.
"Elle est morte instantanément, mais une personne est très gravement blessée, après avoir reçu des éclats de l'explosion", a rapporté Grema Usman, un habitant du quartier. "D'après son cadavre, la fillette devait avoir dans les 10 ans", ajoute-t-il.
Victor Isuku, porte-parole de la police pour l'Etat du Borno, a confirmé dimanche cette attaque, assurant que les kamikazes étaient au nombre de deux, et que l'une d'elles a été "lynchée par la foule en colère" avant de pouvoir faire exploser sa ceinture.
Cet attentat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat mais le procédé est celui généralement utilisé par le groupe djihadiste nigérian Boko Haram, qui a souvent eu recours à des femmes et jeunes filles pour perpétrer des attaques contre la population.
Le 11 décembre, deux petites filles d'environ 7 ans se sont ainsi fait exploser dans un marché très fréquenté de Maiduguri, la capitale du Borno, faisant au moins 17 blessés et un mort.









http://corigif.free.fr/drapeau/img/indonesie.gifIncendie d'un bateau en Indonésie, 23 morts et 17 disparus
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Un incendie dimanche à bord d'un bateau indonésien qui transportait plus de 200 personnes et venait de quitter la côte près de Jakarta a fait au moins 23 morts et 17 disparus, des passagers paniqués n'hésitant pas à sauter à l'eau.
Le bateau se rendait sur l'île de Tidung, destination touristique à 50 km de la capitale, lorsque le moteur a eu des problèmes puis a explosé, provoquant un incendie dont la fumée a bientôt envahi le bateau, a indiqué le porte-parole de l'agence nationale des catastrophes, Sutopo Purwo Nugroho.
"194 personnes ont été récupérées. Le manifeste du bateau dit qu'il y avait environ 100 personnes à bord, mais à l'évidence cela est faux, alors nous poursuivons les recherches", a déclaré le porte-parole.
"Cela faisait un quart d'heure que nous étions partis lorsqu'on a commencé à entendre des cris à l'arrière du bateau", a raconté à la chaîne de télévision Metro TV une des passagères.
"C'est alors que j'ai vu la fumée, il y en avait de plus en plus. Le bateau était bondé, et les gens se battaient pour les gilets de sauvetage", a-t-elle expliqué.
Selon les premières informations, l'ensemble des passagers étaient indonésiens, a-t-on précisé de source officielle.
L'Indonésie, pays aux plus de 17.000 îles, est très dépendante du transport maritime, mais les accidents sont fréquents en raison du manque de respect des normes de sécurité.
En novembre, au moins 54 personnes ont été tuées lorsqu'un hors bord surchargé transportant 98 passagers --essentiellement des travailleurs migrants indonésiens- et trois membres d'équipage avait sombré après avoir heurté un récif. Il avait quitté la Malaisie à destination de l'île indonésienne de Batam.







https://www.pcsansvirus.com/medias/images/mise-a-jour.gifDes ressortissants de pays arabes et une Israélienne parmi les morts
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Des ressortissants de plusieurs pays arabes et une Israélienne figurent parmi les 39 morts, dont 15 étrangers, de l'attaque perpétrée par un homme armé dans une boîte de nuit d'Istanbul pendant la célébration du Nouvel An, ont indiqué dimanche une ministre turque et un porte-parole israélien. Un Belgo-Turc âgé d'une vingtaine d'années fait également partie des victimes, ont annoncé les Affaires étrangères.
Citée par l'agence progouvernementale Anadolu, la ministre de la Famille, Fatma Betül Sayan Kaya, a affirmé que des ressortissants de l'Arabie saoudite, du Maroc, du Liban et de Libye, figuraient parmi les morts, sans donner de chiffre exact pour chaque pays.
Par ailleurs, une Israélienne a été tuée et une autre blessée, a fait savoir un porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères.
Trois Français ont été blessés dans l'attentat, a annoncé dimanche le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault, qui condamne cette "lâche et odieuse attaque". "Nous sommes en contact avec les autorités turques qui sont en train de procéder à l'identification des corps. A ce stade, nous déplorons trois blessés de nationalité française", souligne le ministre dans un communiqué, sans donner plus de détails sur l'état de santé de ces ressortissants.
"La France réaffirme son engagement, aux côtés de la Turquie et de l'ensemble des membres de la coalition internationale, dans la lutte contre le terrorisme", ajoute-t-il. Plus tôt dimanche, le président François Hollande avait également condamné "avec force et indignation" cette attaque et exprimé sa "solidarité avec la Turquie dans cette épreuve".
Des dizaines de milliers de touristes israéliens, notamment des Arabes israéliens (17,5% de la population), se rendent chaque année en Turquie, un pays qui constitue une de leurs destinations favorites.

chenoui70
01/01/2017, 13h14
http://corigif.free.fr/drapeau/img/italie.gifUn colis piégé fait un blessé à Florence
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Un artificier de la police italienne a été grièvement blessé dimanche par l'explosion d'un colis piégé placé devant la vitrine d'une librairie d'extrême-droite à Florence (centre), a-t-on appris de source policière.
L'homme a été grièvement blessé à une main et à un oeil, a précisé le commissaire principal de Florence, Alberto Initmi, interrogé par la chaîne RaiNews24.
L'objet, qui avait attiré l'attention d'une patrouille de police tôt dimanche matin, se trouvait devant l'entrée d'une librairie proche de l'organisation d'extrême-droite italienne Casa Pound. Des artificiers ont été aussitôt appelés sur les lieux et c'est au moment où ils s'approchaient de la devanture de cette librairie, situé dans le centre historique de la capitale toscane, que l'explosion a eu lieu, selon les enquêteurs, cités par l'agence italienne Agi. L'engin était doté d'un système de déclenchement à retardement, selon ces sources. Hormis le policier blessé, l'explosion n'a fait aucun dégât matériel.
Casa Pound est né à Rome en 2003 après l'occupation d'un immeuble par des militants d'extrême-droite. Le mouvement compte aujourd'hui plusieurs centaines de membres qui manifestent régulièrement contre l'Union européenne ou l'immigration.





http://corigif.free.fr/drapeau/img/bahrein.gifDes terroristes s'évadent dans l'attaque d'une prison au Bahreïn
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Des hommes armés ont lancé dimanche une attaque contre une prison à Bahreïn et des détenus accusés dans des affaires "terroristes" ont pu s'évader alors qu'un policier a été tué, a annoncé le ministère bahreïni de l'Intérieur.
Les forces de sécurité ont lancé une opération de ratissage pour rechercher et arrêter "les éléments terroristes impliqués" dans l'attaque et retrouver les prisonniers évadés, a ajouté le ministère sur son compte Twitter.
L'attaque a, selon le ministère, pris pour cible la prison centrale de Jau (sud) où de nombreux citoyens bahreïnis de confession chiite accusés d'être impliqués dans des violences sont détenus.
Bahreïn, petit pays du Golfe dirigée par la dynastie sunnite des Al-Khalifa est secoué depuis février 2011 par un mouvement de contestation animé par la majorité chiite qui réclame une véritable monarchie constitutionnelle et une meilleure prise en compte de ses intérêts.
Plusieurs organisations de défense des droits de l'Homme se sont inquiétés récemment des poursuites contre des figures de l'opposition chiite.

chenoui70
02/01/2017, 12h24
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http://corigif.free.fr/drapeau/img/turquie.gifL'EI revendique l'attentat d'Istanbul
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Le groupe Etat islamique a revendiqué lundi l'attentat contre une discothèque d'Istanbul qui a fait 39 morts dans la nuit du nouvel An et dont l'auteur en fuite est traqué par les autorités turques.
Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, l'EI indique qu'"un des soldats du califat" a mené l'attaque contre une boîte de nuit huppée de la métropole turque, qui a fait de nombreuses victimes étrangères, pour la plupart originaires de pays arabes.
Fusillade
Les familles des plus de 20 victimes étrangères devaient récupérer lundi les corps de leurs proches tués par un homme qui a surgi dans la discothèque Reina dans la nuit de samedi à dimanche et tiré au hasard sur les centaines de personnes qui célébraient la nouvelle année.
Nouvel An sanglant
Cette attaque marque une entrée sanglante en 2017 pour la Turquie, déjà secouée en 2016 par une tentative de coup d'Etat et une vague d'attentats meurtriers attribués aux djihadistes ou liés à la rébellion kurde.
Précédent
C'est la première fois que l'EI revendique un attentat à Istanbul, mais plusieurs attaques contre des cibles touristiques dans la métropole turque lui ont déjà été attribuées par les autorités. En novembre, l'agence Amaq, organe de propagande de l'EI, avait affirmé que les djihadistes étaient derrière un attentat au véhicule piégé à Diyarbakir (sud-est). Mais cette attaque avait ensuite également été revendiquée par des Kurdes radicaux.
180 balles tirées
A 01H15 dimanche (22H15 GMT samedi), un homme armé d'un fusil d'assaut a surgi devant le Reina, discothèque située au bord du Bosphore sur la rive européenne d'Istanbul, abattant deux personnes à l'entrée avant de pénétrer à l'intérieur et d'y semer la mort. Selon les médias turcs, l'assaillant a tiré entre 120 et 180 balles au cours de l'attaque qui a duré environ sept minutes, avant de changer de tenue et de s'enfuir.
L'auteur en fuite
L'identité de l'assaillant n'était pas connue, mais le quotidien Hürriyet a rapporté lundi que les autorités suivaient la piste de l'EI et que le tueur pourrait venir du Kirghizistan ou d'Ouzbékistan. Le ministre de l'Intérieur, Süleyman Soylu, a déclaré dimanche que d'intenses efforts étaient entrepris pour retrouver le tireur et a espéré qu'il serait attrapé rapidement. "Le danger continue", écrit lundi le chroniqueur Abdulkadir Selvi dans le quotidien Hürriyet. "Tant que ce terroriste ne sera pas arrêté, nous ne saurons pas où et quand un massacre pourrait avoir lieu."
Istanbul sous haute sécurité
Cette attaque s'est produite malgré un déploiement massif de forces de police à Istanbul, ville tentaculaire frappée par de nombreux attentats au cours de l'année écoulée. Selon Hürriyet, les enquêteurs estiment que l'assaillant pourrait être lié à une cellule qui a commis un triple attentat-suicide à l'aéroport Atatürk d'Istanbul qui a fait 47 morts en juin, imputé à l'EI par les autorités.
Intervention turque en Syrie
L'attentat du Nouvel An survient alors que l'armée turque mène depuis quatre mois une incursion dans le nord de la Syrie dont elle tente de déloger l'EI et des milices kurdes. Dans son communiqué, l'EI accuse la Turquie, un pays peuplé majoritairement de musulmans, de s'être alliée aux chrétiens. Des rebelles syriens appuyés par l'armée turque tentent depuis plusieurs semaines de reprendre la ville d'Al-Bab, un bastion de l'EI dans le nord de la Syrie, où les forces d'Ankara ont subi de lourdes pertes. L'état-major turc a indiqué lundi que des avions turcs et russes avaient bombardé des cibles de l'EI dans le secteur d'Al-Bab dans la nuit de dimanche à lundi. - Corps rendus aux familles -
12 Turcs, un Belge et 26 étrangers
D'après les derniers chiffres des médias turcs, 12 Turcs sont décédés dans l'attentat, dont un belgo-turc, et 26 étrangers. Une victime n'a toujours pas été identifiée. Parmi les tués, pour la plupart originaires de pays arabes, figurent deux Jordaniens, trois Irakiens et trois Libanais, selon les autorités des trois pays. Une Franco-tunisienne, une Canadienne et une jeune Israélienne font également partie des morts.
"Nuit d'horreur"
"Nous étions venus pour passer un bon moment, mais tout s'est soudain transformé en nuit d'horreur", a raconté à l'AFP Maximilien, un touriste italien. "On a entendu des tirs de kalachnikov, on s'est dit que c'était peut-être des gens qui avaient trop bu et qui se bagarraient, mais les gens ont commencé à se jeter par terre", a témoigné Albert Farhat, sur la chaîne libanaise LBCI. Cette attaque a suscité une vague de réactions indignées dans le monde. Washington, Moscou, Paris et Berlin, ainsi que le pape François, l'ont notamment condamnée.

chenoui70
04/01/2017, 14h48
http://corigif.free.fr/drapeau/img/usa.gifUn train déraille à Brooklyn, une trentaine de blesséshttp://static3.7sur7.be/static/photo/2017/8/16/6/20170104161644/media_xll_9431361.jpg
Un train de banlieue a déraillé mercredi matin à Brooklyn dans New York, faisant une trentaine de blessés légers, selon un bilan encore provisoire. Le train de la compagnie Long Island Rail Road (LIRR) s'est écrasé vers 08h30 (14H30 HB), en pleine heure de pointe, sur les butoirs de l'Atlantic Terminal situé au coeur de Brooklyn.
Seon la chaîne de télévision locale New York 1 et quelques témoignages diffusés sur Twitter par des passagers du train, l'accident aurait fait une trentaine de blessés légers, soignés pour la plupart sur place par les services d'urgence.
"Mon train LIRR s'est écrasé à l'Atlantic Terminal, c'est fou, il semble qu'il n'y ait que quelques blessés légers", a tweeté un passager, en ajoutant quelques photos montrant notamment une personne au sol et une porte de train cassée.
Les accidents de train ne sont pas rares aux Etats-Unis. Le 29 septembre, un train de banlieue avait déraillé à l'heure de pointe en entrant dans la gare d'Hoboken (New Jersey), tout près de New York, faisant un mort et 114 blessés. L'enquête sur cet accident n'est pas encore terminée. On sait seulement pour l'instant que le train roulait beaucoup trop vite à son arrivée en gare.

chenoui70
05/01/2017, 12h58
http://corigif.free.fr/drapeau/img/turquie.gifExplosion devant un tribunal à Izmir: des blessés
http://static.directmatin.fr/sites/default/files/styles/image_880_495/public/turquie-izmir-attentat.jpg?itok=LMbrD37Y
Explosion voiture piégée près du Palais de Justice à Izmir. Fusillade aurait suivi. Un des terroristes aurait été tué.
Au moins 3 personnes ont été blessées dans une explosion près d'un tribunal dans la ville côtière d'Izmir, dans l'ouest de la Turquie, a rapporté l'agence Dogan, cinq jours après l'attentat qui a fait 39 morts dans une boîte de nuit d'Istanbul.
L'explosion a eu lieu près de l'entrée des juges et des procureurs, selon CNN Türk qui a parlé d'une voiture piégée. Les images diffusées à la télévision montraient un nuage de fumée, tandis que des ambulances et des véhicules de police étaient dépêchés sur les lieux.

chenoui70
05/01/2017, 14h17
http://corigif.free.fr/drapeau/img/syrie.gifAttentat à la voiture piégée dans un fief de Damashttp://cdn3-europe1.new2.ladmedia.fr/var/europe1/storage/images/europe1/international/syrie-au-moins-14-morts-dans-un-attentat-a-la-voiture-piegee-dans-un-fief-du-regime-2942954/30564347-1-fre-FR/Syrie-au-moins-14-morts-dans-un-attentat-a-la-voiture-piegee-dans-un-fief-du-regime.jpg
Au moins 14 personnes ont été tuées jeudi dans un attentat à la voiture piégée dans la ville côtière de Jablé, un fief du régime dans l'ouest de la Syrie, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
D'après l'ONG, il n'était pas clair dans l'immédiat si les morts sont des civils ou des soldats syriens en poste dans cette ville de la province de Lattaquié (ouest). Les services de sécurité ont bouclé la zone.
Bilan provisoire
La télévision d'Etat syrienne a fait état de neuf morts et de 25 blessés. Elle a précisé que la voiture piégée était conduite par un kamikaze qui l'a fait exploser dans cette ville touchée l'an dernier par un attentat revendiqué par le groupe djihadiste Etat islamique (EI).
Rue très fréquentée
La télévision a montré une voiture en flammes et des gens attroupés près du lieu de l'attentat survenu près du stade municipal, dans une rue très fréquentée.
Précédents
Le 23 mai, une série d'attentats dont des attaques suicide revendiqués par l'EI ont fait plus de 170 morts à Jablé et Tartous, autre ville côtière considérée comme un fief du régime en guerre contre les rebelles et les djihadistes dans le pays.

chenoui70
06/01/2017, 12h53
http://corigif.free.fr/drapeau/img/bresil.gifNouveau massacre dans une prison brésilienne
http://static3.7sur7.be/static/photo/2017/15/11/11/20170106142055/media_xll_9435776.jpg
Au moins 33 détenus ont été massacrés vendredi dans une prison de l'État de Roraima, dans le nord du Brésil, cinq jours après une mutinerie sanglante qui a coûté la vie à 56 prisonniers à Manaus en Amazonie, selon les autorités locales.
"Trente-trois morts ont été recensés à la Pamc (Pénitentiaire agricole de Monte Cristo) dans les premières heures de la matinée", a indiqué le gouvernement de l'Etat de Roraima dans un communiqué. Il a ajouté que la situation dans l'établissement pénitentiaire était à nouveau "sous contrôle".
La police est sur place pour faire les premières constatations et le bilan pourrait encore s'alourdir.
Action rapide
Selon le service de presse du gouvernement de Roraima, ce nouveau massacre n'a pas été perpétré dans le cadre d'une mutinerie mais lors d'une action rapide d'un groupe de détenus qui a duré moins d'une heure.
Une porte-parole du gouvernement de cet État du nord du Brésil a précisé à l'AFP qu'aucune arme à feu n'avait été retrouvée à l'intérieur de la prison et que les meurtres ont pour la plupart été commis à l'arme blanche.
Dix morts dans la même prison en octobre
En octobre, dix détenus avaient été assassinés dans cette même prison de Roraima, lors d'un affrontement entre factions rivales du crime organisé. Cette prison regroupe des membres du Comando Vermelho (CV), originaire de Rio de Janeiro, allié de la FDN (Familia do Norte), considérée par la police comme responsable du massacre de Manaus dans la nuit de dimanche à lundi.

zadhand
11/01/2017, 09h32
Tuerie de Charleston
Dylann Roof déclaré coupable des neuf meurtres


Actualité Monde Amérique du Nord
publié le 15/12/2016 à 22:03
mis à jour à 22:50


Dylann Roof, 22 ans, avait abattu froidement ces paroissiens dans une église noire de Caroline du Sud en 2015. Il encourt la peine de mort.
***Hidden content cannot be quoted.***

Coupable, sans circonstances atténuantes. Ainsi en a décidé le jury chargé
de se prononcer sur le massacre de Charleston commis par Dylann Roof en
2015. Le jeune homme blanc âgé à l'époque de 21 ans avait tué froidement
neuf paroissiens dans une église noire, par haine raciste. Ce dernier a choisi
de frapper "un endroit de camaraderie, où de vieux amis se retrouvaient pour
étudier la Bible", a rappelé le procureur Nathan Williams.
"Un endroit accueillant, où tout nouvel entrant se voyait proposer une chaise"
Il a vu dans le jeune solitaire "un homme d'une immense lâcheté, qui a abattu
des personnes qui avaient les yeux fermés" durant un moment de prière.
"La haine a déferlé autour de ces tables"
"La haine n'avait pas de place dans ce sanctuaire. Et pourtant la haine a déferlé
autour de ces tables", a commenté le procureur. "Et ce n'était pas la haine
colérique qu'on peut voir s'afficher sur un visage. C'était une haine froide,
calculatrice, qui avait enflé depuis des mois." L'accusé, a poursuivi le procureur,
s'est attaqué "aux plus vulnérables": il "a consacré le plus de balles à Susie
Jackson, qui avait 87 ans." Nathan Williams a décrit un homme "glorifiant" la
ségrégation et dont les écrits, saisis dans sa chambre, "dénigraient les autres
races." Il a exécuté ces Noirs "car il pensait qu'ils n'étaient rien d'autres que des
animaux." Il possédait des "centaines" de photographies de son
chat.Son avocat David Bruck a tenté l'impossible. Il a dépeint un jeune homme
perdu dans une immense solitude et sous influence néfaste. "Tout ce qu'il a fait
est une imitation de quelque chose qu'il a vu ailleurs", a affirmé l'avocat, qui a cru
voir une preuve d'humanité de son client dans le fait qu'il possédait des "centaines"
de photographies de son chat. La détermination de la sentence n'interviendra pas
avant plusieurs jours. Dylann Roof encourt la peine de mort.



Dylann Roof, auteur de la tuerie raciste de Charleston, condamné à mort


Dernière modification : 11/01/2017


Le jeune suprémaciste blanc de 22 ans a été condamné à la peine capitale mardi soir
pour avoir tué neuf personnes dans une église noire du sud des États-Unis en 2015.
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À l'énoncé de la sentence par le juge, Dylann Roof n'a pas cillé.
Les jurés ont tranché. Le suprémaciste blanc américain Dylann Roof a été condamné à mort,
mardi 10 janvier, pour l'assassinat de neuf paroissiens noirs dans une église de Charleston
en Caroline du Sud en 2015. Tuerie de Charleston le suprémacisme blanc, un danger sous-
estimé. Dylann Roof, 22 ans, avait été reconnu coupable le mois dernier des 33 chefs
d'accusation retenus contre lui pour les crimes commis dans l'Emanuel African Methodist
Episcopal Church le 17 juin 2015. Muni d'une arme de poing, le jeune homme était entré
dans l'église où des paroissiens noirs s'étaient réunis pour étudier des textes de la Bible. Il
avait froidement abattu neuf personnes présentes. "Je dois le faire. Vous violez nos femmes
et vous vous emparez de notre pays. Vous devez partir", avait-il prononcé en rechargeant
son calibre 45.Aucun regret. Les 12 jurés ont délibéré pendant moins de trois heures pour
parvenir à un verdict. Ils sont tombés d'accord à l'unanimité sur les facteurs aggravants
concernant ses homicides, notamment la préméditation et l'absence de remords,sans trouver
de circonstances atténuantes bénéficiant à l’accusé. À l'énoncé de la sentence par le juge, ce
dernier n'a pas cillé, se contentant de regarder devant lui. Charleston Dylann Roof voulait
déclencher une "guerre raciale".Dylann Roof, affirmant être sain d'esprit, avait obtenu le
droit de se représenter lui-même pendant cette phase du procès et n’a fait montre d'aucun
repentir dans les conclusions qu'il a présentées lors de cette dernière journée d’audience.Il a
expliqué aux jurés que le massacre qu'il avait commis était quelque chose qu'il devait faire et
n'a pas demandé qu’on lui accorde la vie sauve. "Le verdict rendu aujourd'hui signifie que
cette affaire est loin d'être terminée", ont affirmé les avocats de Dylann Roof après l’énoncé.
Il doit maintenant être jugé par un tribunal fédéral pour assassinat, une autre procédure dans
laquelle le ministère public demandera également une condamnation à la peine capitale.

ironman
13/01/2017, 21h51
Vague de froid: au moins 40 morts en Ukraine

Au moins 40 personnes sont mortes de froid depuis fin décembre en Ukraine, pays qui a connu ces dernières semaines des températures allant jusqu'à -25 degrés. Depuis le 30 décembre, "40 personnes sont mortes d'hypothermie", a déclaré la porte-parole du ministère ukrainien de la Santé, Tetyana Tymochenko. La plupart des victimes sont décédées dans la rue, a-t-elle précisé. "La cause de ces décès est notamment la consommation d'alcool", a ajouté la porte-parole. Les hivers ukrainiens sont souvent froids et rigoureux, avec des températures chutant parfois jusqu'à -25 degrés. Depuis début janvier, une vague de froid venue de Scandinavie touche l'ensemble de l'Europe et a fait des dizaines de morts, notamment en Pologne, pays voisin de l'Ukraine.

chenoui70
23/01/2017, 08h37
http://corigif.free.fr/drapeau/img/thailande.gifLes fortes pluies ont déjà fait 85 morts dans le sud de la
Thaïlande__23_01_2017
http://static3.7sur7.be/static/photo/2017/15/14/4/20170123091850/media_xll_9473434.jpg
Les crues soudaines qui frappent le sud de la Thaïlande ont déjà coûté la vie à 85 personnes et touché plus de 1,7 million d'autres depuis décembre dernier, indique lundi le Département de prévention et de réduction des catastrophes.
Les météorologues prévoient encore des pluies exceptionnellement fortes jusqu'à mercredi sur le sud du pays, ce qui n'arrangera en rien la situation déjà difficile dans 12 provinces actuellement sous eaux.
La province de Narathiwat a été déclarée zone sinistrée, a indiqué dimanche son gouverneur aux médias locaux. Les secours sont à pied d'oeuvre, la police et l'armée sont appelées en renfort pour aider la population.
Début janvier, le Premier ministre Prayut Chan-o-cha a qualifié ces intempéries des "pires depuis 30 ans".




http://corigif.free.fr/drapeau/img/usa.gifDes intempéries dans le sud des États-Unis font au moins 18 morts
http://static3.7sur7.be/static/photo/2017/6/0/4/20170123102208/media_xll_9473539.jpg
Des intempéries dans le sud des Etats-Unis ont provoqué ce week-end la mort d'au moins 18 personnes, selon un nouveau bilan donné par les autorités.
Au moins quatorze personnes sont mortes dans la nuit de samedi à dimanche en Géorgie (sud-est), frappée par une violente tempête, a précisé l'Agence de sécurité intérieure et des services d'urgence de l'Etat (GEMA/HS) dans un communiqué. Et cinq personnes sont encore disparues selon Buddy Duke, le maire d'Adel, toujours en Georgie.
Quatre autres personnes sont décédées et 20 ont été blessées samedi matin par une tornade dans le sud du Mississippi (sud), selon l'Agence des services d'urgence de cet Etat.
La tempête a provoqué d'importants dégâts, selon les météorologues de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), avec beaucoup de chutes d'arbres et de câbles électriques qui ont provoqué des coupures de courant dans plusieurs comtés.
Les autorités ont mis en garde contre le passage d'une autre dangereuse ligne de tornades, accompagnées de vents violents et de pluies torrentielles, qui pourrait frapper le nord et le centre de la Géorgie dimanche soir. Certaines régions ont déjà reçu 10 centimètres de pluie et pourraient encore recevoir 8 cm supplémentaires.

chenoui70
26/01/2017, 16h36
http://corigif.free.fr/drapeau/img/chili.gifLe Chili ravagé par les feux de forêt__26_01_2017http://static1.7sur7.be/static/photo/2017/6/12/11/20170126173440/media_xll_9482051.jpg
Au moins sept morts, des milliers de personnes évacuées, des villages rasés: le Chili est confronté à des feux de forêt qualifiés par la présidente Michelle Bachelet de "pire désastre forestier" de l'histoire du pays.
Les flammes se sont propagées depuis un peu plus d'une semaine dans sept régions du centre et du sud du pays, attisées par des températures très élevées et des vents violents.
Selon un nouveau bilan fourni jeudi par les services de Michelle Bachelet, les victimes sont un pompier volontaire, deux policiers, trois pompiers forestiers ("brigadistes") et un agriculteur.
Jeudi matin, les flammes ont atteint la localité rurale de Santa Olga et d'autres petites communes de la région de Maule, à 280 km au sud de Santiago. Ces localités sont les premières à être intégralement détruites par le feu.
Uniquement des dégâts matériels
"Heureusement, on a pu évacuer tout le monde et nous n'avons pas de pertes à déplorer, sauf des dégâts matériels", a déclaré Michelle Bachelet au cours d'une conférence de presse.
Le nombre des foyers actifs a doublé pour atteindre 64 en moins de vingt-quatre heures. Trente sinistres sont sous contrôle et cinq ont été éteints, selon le dernier bilan fourni par le Bureau national des urgences (Onemi).
Les incendies frappent en particulier des localités rurales où vivent pour l'essentiel des agriculteurs et des éleveurs de bétail. D'importantes entreprises forestières ont également été touchées, principalement dans la région de Maule, où les flammes ont ravagé 160.000 hectares, constitués pour l'essentiel de pins et d'eucalyptus.
Cette région, tout comme celle de Biobio, à 550 km au sud de Santiago, et de O'Higgins (centre) ont été placées en "état d'urgence constitutionnelle" par décrets présidentiels.
Plus de quatre mille personnes, pompiers, enquêteurs, carabiniers, militaires et civils, sont mobilisées pour venir à bout des incendies.
Aide internationale
L'aide internationale commence à se mobiliser. Des spécialistes français et des volontaires colombiens sont arrivés jeudi au Chili.
"Nous sommes entrés en contact avec d'autres pays: l'Uruguay, l'Argentine, le Pérou, les Etats-Unis, la Suède et le Canada nous ont proposé de collaborer", a indiqué le ministre chilien des Affaires étrangères, Heraldo Munoz, qui participait au sommet de la Communauté des Etats latino-américains et caraïbes (Celac) à Saint-Domingue, où il remplaçait la présidente Bachelet, restée au Chili en raison des incendies.
Un bombardier d'eau d'une capacité de plus de 73.000 litres d'eau et affrété par une fondation privée américaine a commencé jeudi sa deuxième journée de rotations pour combattre les flammes dans les zones les plus touchées.
Vents violents
Les conditions météorologiques restaient extrêmes jeudi dans le centre-sud de ce pays tout en longueur, coincé entre les Andes et le Pacifique.
Des vents violents continuent de souffler et les températures sont élevées, supérieures à 38 degrés, depuis plus de dix jours, autant de facteurs qui favorisent l'avancée des flammes. Santiago a enregistré mercredi un record historique avec 37,4 degrés.
L'atmosphère de la capitale chilienne, également affectée, s'est dégradée encore en raison du nuage de fumée provoqué par les incendies.










http://corigif.free.fr/drapeau/img/mexique.gifLe président mexicain annule sa visite à Washington__26_01_2017
http://static1.7sur7.be/static/photo/2017/9/4/11/20170126181842/media_xll_9482111.jpg
Le président mexicain Enrique Pena Nieto a annoncé jeudi qu'il annulait sa visite à Washington, où il devait rencontrer le 31 janvier son homologue américain Donald Trump.
"Ce matin j'ai informé la Maison Blanche que je n'assisterai pas à la réunion de travail programmé mardi prochain avec @Potus", a écrit M. Pena Nieto dans un message sur Twitter.
Quelques heures plus tôt, le président Trump avait lancé sur Twitter au président mexicain: "Si le Mexique n'est pas prêt à payer le mur, qui est vraiment nécessaire, ce serait mieux d'annuler la rencontre à venir".

chenoui70
27/01/2017, 12h42
http://corigif.free.fr/drapeau/img/maroc.gifCoup de filet contre des partisans de l'EI au Maroc__27_01_2017
http://static3.7sur7.be/static/photo/2017/13/7/5/20170127135535/media_xll_9484205.jpg
Les services de sécurité marocains ont arrêté vendredi sept suspects qui cherchaient à recruter des volontaires pour commettre des attentats dans le pays, lors d'une vaste opération visant des partisans du groupe djihadiste Etat islamique (EI), a annoncé le ministère de l'Intérieur.
L'opération a permis "le démantèlement d'une cellule" de sept suspects, selon un communiqué du ministère. Elle s'est déroulée dans cinq villes, notamment à Salé, près de Rabat, et El Jadida (centre), où le "cerveau" d'un "dangereux plan terroriste" a été appréhendé.
Des médias en ligne marocains ont fait état de déflagrations et d'échanges de tirs entre les policiers d'élite et les suspects à El Jadida. Une source sécuritaire marocaine a confirmé des tirs à l'AFP.
A El Jadida, les policiers ont visé une "planque secrète" utilisée pour "préparer des attentats en coordination avec des membres de l'EI sur la zone syro-irakienne et en Libye", a poursuivi le ministère de l'Intérieur. Deux gilets d'explosifs, un pistolet mitrailleur et sept armes de poing ont été saisis, ainsi que des produits chimiques utilisés pour la fabrication de bombes.
Les membres de cette cellule prévoyaient de "recruter" et de "militariser" de nouveaux volontaires pour commettre des "opérations de destruction" visant à "faire un grand nombre de victimes, créer la peur chez les citoyens et ébranler la stabilité" du Maroc, toujours selon le ministère de l'Intérieur.

chenoui70
29/01/2017, 05h37
http://corigif.free.fr/drapeau/img/malaisie.gifUn bateau transportant 31 personnes disparaît en Malaisie_29_01_2017
http://static0.7sur7.be/static/photo/2017/0/15/5/20170129071600/media_xll_9487460.jpg
Un bateau transportant 31 personnes, parmi lesquelles 28 touristes chinois, est porté disparu au nord de la partie malaisienne de l'île de Bornéo, a annoncé dimanche à l'AFP un responsable des gardes-côtes malaisiens.
"Le propriétaire du bateau a fait état samedi soir de sa disparition et nous avons lancé des recherches", a déclaré un porte-parole de l'Agence malaisienne de surveillance maritime (MMEA).
Outre les touristes, le bateau transportait un skipper et deux membres d'équipage. Les conditions météorologiques n'étaient pas bonnes samedi.
L'embarcation avait appareillé samedi matin à destination d'une île de mer de Chine méridionale située à une soixantaine de kilomètres à l'ouest de Kota Kinabalu, capitale de l'Etat de Sabah, qui se trouve à la pointe nord de l'île de Bornéo.
"Tous les proches des personnes à bord et moi-même espérons des progrès dans les opérations de recherches et de sauvetage", a déclaré le ministre du tourisme de l'Etat de Sabah, Masidi Manun. "Nos forces font de leur mieux".
De son côté, le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué dans un communiqué que son consulat général à Kota Kinabalu avait pris contact avec le gouvernement malaisien pour l'appeler à tout faire pour secourir ses ressortissants.

chenoui70
29/01/2017, 08h53
http://corigif.free.fr/drapeau/img/yemen.gif40 morts, dont 10 civils, dans un raid américain contre Al-Qaïda au Yemen
http://static2.7sur7.be/static/photo/2017/15/16/0/20170129103045/media_xll_9487665.jpg
Trente membres présumés d'Al-Qaïda, sept femmes et trois enfants ont été tués dimanche dans le premier raid d'envergure mené au Yémen par les Etats-Unis depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, selon un responsable yéménite.
L'opération a été menée par des drones et des hélicoptères Apache à Yakla, dans la province de Baïda (centre du Yémen), a ajouté ce responsable dont le bilan a été confirmé à l'AFP par des sources tribales.
Des drones et des hélicoptères Apache, munis de mitrailleuses lourdes, ont pris pour cible des repaires d'Al-Qaïda dans une école, une mosquée et un dispensaire, a indiqué le responsable qui a requis l'anonymat. Des sources tribales et locales avaient indiqué peu auparavant que le raid avait aussi visé les maisons de trois chefs tribaux liés à Al-Qaïda.
Les Etats-Unis, les seuls dans la région à disposer de drones pouvant atteindre des cibles au Yémen, considèrent la branche d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) comme la plus dangereuse du réseau jihadiste.
Des attentats très meurtriers
Les forces gouvernementales yéménites, soutenues depuis mars 2015 par une coalition arabe sous commandement saoudien, affrontent à la fois des rebelles Houthis, qui contrôlent une partie du territoire dont la capitale Sanaa (nord), et des groupes jihadistes bien implantés dans le sud et le sud-est du Yémen. Outre Al-Qaïda, le groupe Etat islamique a revendiqué des attentats spectaculaires et meurtriers ces deux dernières années au Yémen.
Depuis mars 2015, plus de 7.400 personnes ont été tuées dans le conflit au Yémen, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Un coordinateur humanitaire de l'ONU, Jamie McGoldrick, a donné un bilan beaucoup plus élevé en citant une estimation de 10.000 civils tués.

chenoui70
30/01/2017, 05h22
http://corigif.free.fr/drapeau/img/canada.gifFusillade mortelle à la grande mosquée de Québec_30_01_2017
http://static2.7sur7.be/static/photo/2017/9/7/10/20170130055114/media_xll_9489730.jpg
Deux hommes ont tiré sur des fidèles rassemblés pour la prière du soir dimanche au Centre culturel islamique de Québec (également connu sous le nom de grande mosquée de Québec), dans le sud-est du Canada, faisant cinq morts et une dizaine de blessés.
Deux hommes aux visages masqués se sont introduits dans l'enceinte du centre culturel vers 19h15 dimanche (lundi 00h15 GMT), ont raconté des témoins sur les télévisions. Un important dispositif policier s'est mis rapidement en place aux alentours, et les premiers blessés étaient soignés dans des ambulances sur place.
"On me dit qu'il y a au moins cinq morts", a déclaré Mohammed Yangi, président du Centre culturel islamique de la capitale québécoise. Un porte-parole de la police de Québec a confirmé sur les chaînes de télévision qu'il y avait des morts, mais sans préciser le nombre des victimes.
Une vaste opération policière a été lancée après la fusillade et deux suspects ont été interpellés, dont un à quelques kilomètres de Québec après avoir pris la fuite.
"Les Canadiens pleurent les victimes de l'attaque lâche dans une mosquée de Québec. Mes pensées sont avec les victimes et leurs familles", a indiqué le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur son compte Twitter. Il avait la veille promis d'accueillir les réfugiés "indépendamment de leur foi", au lendemain de la décision controversée de la Maison Blanche d'interdire l'entrée des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans.
Le chef du gouvernement de la province francophone Philippe Couillard a également condamné cette attaque contre des musulmans. "Le Québec rejette catégoriquement cette violence barbare. Unissons-nous contre la violence et solidarité avec les Québécois de confession musulmane", a-t-il écrit sur Twitter.
"Je condamne ce geste insensé", a aussi déclaré le maire de Québec Régis Labeaume.
Difficile dans la confusion de déterminer combien de personnes étaient rassemblées pour la dernière prière dimanche. Généralement, selon Mohammed Yangi, ce sont 60 à 100 personnes qui assistent à ces prières à la mosquée.
Les témoins avouaient leur incompréhension après cette fusillade. "Je ne comprends pas pourquoi ici, c'est une petite mosquée et Québec, ce n'est ni Montréal, ni Toronto", a déclaré un homme qui était à l'intérieur du centre au moment de l'attaque, sans vouloir donner son identité.
"On s'y préparait (à une attaque de ce type), car ça se passe dans le monde entier", a confié un policier chargé du périmètre de sécurité.
Le Centre culturel islamique de Québec avait déjà été la cible d'un geste à caractère haineux, mais beaucoup moins grave: une tête de porc avait été déposée devant l'une de ses portes l'été dernier. D'autres mosquées au Canada ont également été la cible de graffitis à caractère raciste au cours des derniers mois.

chenoui70
30/01/2017, 08h25
https://www.pcsansvirus.com/medias/images/mise-a-jour.gif
http://corigif.free.fr/drapeau/img/canada.gifLe 2e suspect de la fusillade à la mosquée de Québec a appelé lui-même la police
http://static0.7sur7.be/static/photo/2017/15/8/3/20170130101731/media_xll_9490173.jpg
Le second suspect arrêté par les policiers en lien avec l'attentat terroriste qui a fait six morts dans une mosquée de Québec, dimanche soir, aurait appelé lui-même les policiers pour se rendre, selon Radio-Canada, qui cite une source policière.
L'homme aurait été pris de remords quelques minutes après la fusillade. Il a alors appelé les policiers, selon Radio-Canada.
S'en est suivi une courte poursuite, qui s'est terminée près du pont de l'Île d'Orléans, à une vingtaine de kilomètres de la mosquée, lorsque le suspect a immobilisé son véhicule. Après de courtes négociations, il aurait accepté de se rendre aux policiers. Au moins une arme aurait été trouvée dans son véhicule.
Charles Michel condamne
La porte-parole de la Sûreté du Québec, Christine Coulombe, a indiqué que la police traitait l'événement comme un attentat terroriste en raison "d'éléments d'enquête" qui n'ont pas été divulgués. L'autre suspect a été arrêté près de la mosquée, dont 39 personnes présentes au moment de l'attaque sont sorties indemnes. "Rien ne laisse croire qu'il y aurait d'autres suspects", a encore précisé la porte-parole.
Selon le Collectif canadien anti-islamophobie, l'imam de la mosquée, le frère Azeddine, fait partie des victimes. Via Twitter, le Premier ministre Charles Michel a condamné un "attentat lâche" et exprimé ses "pensées" pour "les victimes et leurs proches". Le bourgmestre de Bruxelles Yvan Mayeur a lui témoigné la solidarité de la capitale avec la ville de Québec. "La haine ne peut triompher", a-t-il ajouté.

ironman
30/01/2017, 16h57
Québec: Deux ressortissants algériens tués dans l'attentat terroriste contre une mosquée
Deux ressortissants algériens ont été tués dans l'attentat terroriste qui a visé une mosquée au Québec (Canada), dimanche 29 janvier au soir, a rapporté le quotidien El Watan sur son site internet. (http://elwatan.com/actualite/attentat-contre-la-mosquee-de-quebec-deux-algeriens-parmi-les-victimes-30-01-2017-338219_109.php)
Karim Hassan et Khaled Belkacemi ont tous les deux trouvé la mort dans l'attentat, ajoute la même source.
Khaled Belkacemi, 43 ans, originaire d'Alger, était ingénieur en informatique à l’université Laval. Il est père de trois enfants.
Les autres victimes sont d'origine tunisienne, marocaine et malienne.
Deux assaillants cagoulés et armés se sont introduits dimanche soir, au moment de la prière d'El Isha, au rez-de-chaussée du Centre culturel islamique de Québec, dans le quartier de Sainte-Foy. Ils ont ouvert le feu sur les fidèles, tuant 6 morts et blessant 8 autres selon un bilan provisoire.

chenoui70
31/01/2017, 05h31
https://www.pcsansvirus.com/medias/images/mise-a-jour.gif
http://corigif.free.fr/drapeau/img/canada.gifAttentat à Québec: le suspect accusé de meurtres avec préméditation_31_01_2017
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L'étudiant québécois de 27 ans, auteur présumé des tirs qui ont tué 6 personnes dans une mosquée de Québec (Canada) dimanche soir, a comparu lundi en fin d'après-midi au palais de justice de la ville. Il a été inculpé, notamment de 6 meurtres avec préméditation, a annoncé la police canadienne. En tout, le jeune homme, Alexandre Bissonnette, fait face à 11 chefs d'accusation: en-dehors des 6 pour "meurtre au premier degré" (ce qui correspond à la notion d'assassinat, en Belgique), il est également accusé de 5 tentatives de meurtre, qui correspondent aux 5 personnes hospitalisées dans un état grave, "en utilisant une arme à feu à autorisation restreinte", précise Radio Canada.
"Des perquisitions sont en cours et on espère obtenir la preuve" qui pourrait déboucher prochainement sur une inculpation pour "terrorisme" et atteinte à la sécurité nationale, a indiqué la police lors d'un point presse. Au fil de l'enquête, d'autres chefs d'accusation pourraient dont venir s'ajouter au dossier. Environ 80 policiers sont encore sur le terrain pour les besoins de l'enquête.
Quelles motivations?
La police reste en revanche discrète sur les motifs présumés du jeune homme, qui comparaitra à nouveau le 21 février, ainsi que sur l'arme qu'il a utilisée. Bissonnette serait entré vers 19 h 45 dimanche soir dans le Centre culturel islamique de Québec, où il aurait ouvert le feu sur les fidèles qui y étaient rassemblés pour la prière. Parmi les 5 blessés graves, trois sont entre la vie et la mort, rapportent les médias locaux. Les 6 victimes décédées sont toutes des hommes, des Canadiens binationaux, selon le vice-président du Centre culturel islamique de Québec: un Marocain, deux Algériens, un Tunisien et deux Guinéens.
Le suspect a lui-même appelé la police une demi-heure après son acte pour s'accuser et se rendre. Il a expliqué avoir garé son véhicule avec les feux de détresse sur une bretelle d'une voie rapide à environ 20 kilomètres de la mosquée. La police l'a arrêté à 21H00. L'université Laval, proche de la mosquée où s'est déroulée la tragédie, a indiqué qu'il était étudiant à la faculté des sciences sociales.
Pro-Le Pen et anti-féministe
"C'est avec douleur et colère que nous apprenons l'identité du terroriste Alexandre Bissonnette, malheureusement connu de plusieurs militants à Québec pour ses prises de positions identitaires, pro-Le Pen et anti-féministes à l'université Laval et sur les réseaux sociaux", a dénoncé sur Facebook le collectif Bienvenue aux réfugiés - Ville de Québec.

chenoui70
03/02/2017, 13h00
http://corigif.free.fr/drapeau/img/ukraine.gifNouvelles victimes dans l'est de l'Ukraine, Washington condamne Moscou
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Au moins sept personnes ont été tuées vendredi le long de la ligne de front dans l'est de l'Ukraine, au sixième jour d'affrontements pour le contrôle de la ville d'Avdiïvka, Washington condamnant les "actions agressives" de Moscou.
Armée ukrainienne et rebelles prorusses s'affrontent depuis plusieurs jours à coup de mortiers et tirs d'artillerie dans cette ville industrielle sous contrôle de Kiev, située sur le front dans l'Est, à une dizaine de kilomètres au nord du bastion rebelle de Donetsk. Les autorités ukrainiennes ont annoncé la mort au cours des dernières 24 heures de trois soldats ukrainiens près de la ligne de front, tandis que les autorités séparatistes ont rapporté que deux civils avaient été tués par des bombardements ukrainiens à Donetsk.
Selon les forces de Kiev, une habitante et un secouriste ont aussi été tués dans les derniers combats à Avdiïvka, portant le bilan des affrontements à 32 morts depuis dimanche. Il s'agit des pires violences depuis l'instauration d'un cessez-le-feu "illimité" fin décembre. Les bombardements ont néanmoins diminué vendredi en intensité à Avdiïvka. Seuls des tirs sporadiques de mortier étaient audibles à ses extrémités, selon des journalistes de l'AFP sur place. Près de 20.000 habitants restent néanmoins sans chauffage malgré des températures hivernales. L'approvisionnement en eau courante a été rétabli mais les canalisations ne permettent pas d'approvisionner les appartements situés aux derniers étages des immeubles. Seul 200 personnes ont jusqu'ici réussi à quitter la ville.
'Condamnation forte et claire'
Les deux camps s'accusent mutuellement d'être à l'origine de cette flambée de violences, la première depuis l'investiture du président américain Donald Trump, qui prône un rapprochement avec la Russie accusée par Kiev et l'Union européenne de soutenir militairement les séparatistes, ce que Moscou dément. Lors de sa première intervention très attendue devant le Conseil de sécurité de l'ONU, l'ambassadrice des États-Unis à l'ONU Nikki Haley a affirmé jeudi vouloir "de meilleures relations avec la Russie", tout en "condamnant de manière forte et claire les agissements russes", qu'elle a qualifié d'"actions agressives".
"La Russie ne peut que prendre (des mesures) sur le front politique et diplomatique, ce qu'elle fait", a rétorqué vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. "Actuellement, l'important est d'une manière ou d'une autre de forcer et convaincre Kiev à abandonner ce genre d'aventures assez criminelles et pouvant compromettre le processus de Minsk", qui vise à rétablir la paix dans l'Ukraine de l'est, a-t-il ajouté. Jeudi, le président russe Vladimir Poutine avait déjà accusé Kiev d'avoir orchestré la reprise des hostilités, estimant que l'armée ukrainienne a "avancé de 200 mètres dans le territoire contrôlé par les milices" rebelles avant d'en être repoussé.
De son côté, le président ukrainien Petro Porochenko a appelé la communauté internationale à "mettre la pression sur la Russie pour obtenir un cessez-le-feu" dans l'Est. Investie par les combattants prorusses en avril 2014 avant d'être reprise quelques mois plus tard par les troupes de Kiev qui y ont depuis gardé un très important contingent, Avdiïvka a toujours été un point stratégique du conflit. Distante de moins de 10 kilomètres du bastion rebelle de Donetsk, c'est aussi un noeud routier dont les combattants rebelles ont su profiter pour déplacer des armes lourdes, sa cokerie ayant aussi une importance cruciale pour l'alimentation en électricité de la région.
Le conflit entre séparatistes prorusses et armée ukrainienne a fait plus de 10.000 morts depuis son déclenchement en avril 2014, qui a suivi l'arrivée d'un gouvernement pro-occidental à Kiev et l'annexion de la Crimée par la Russie. Alors que Donald Trump a prôné un rapprochement avec Moscou pendant sa campagne électorale, l'ambassadrice Nikki Haley a averti jeudi que les sanctions contre la Russie resteront en place "jusqu'à ce qu'elle redonne le contrôle de la péninsule (de Crimée) à l'Ukraine".

chenoui70
05/02/2017, 15h20
http://sd-6.archive-host.com/membres/up/cdc12cb60704c630fd16ee370cb58794f7fabd12/gifs/drapeaux/asie/afghanistan/afghanistan_pt-019.gifAu moins 50 morts dans une avalanche en Afghanistan
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Au moins cinquante villageois d'une même localité ont été tués dans une avalanche et un autre village englouti restait hors d'atteinte dimanche dans la province du Nouristan (nord-est), a annoncé le ministère afghan des Désastres naturels.
D'abondantes chutes de neige tombées depuis quatre jours sur le pays avaient déjà fait plus d'une cinquantaine de victimes en différents endroits du pays, selon les premiers bilans officiels.

chenoui70
10/02/2017, 13h39
https://www.pcsansvirus.com/medias/images/mise-a-jour.gif
http://sd-6.archive-host.com/membres/up/cdc12cb60704c630fd16ee370cb58794f7fabd12/gifs/drapeaux/asie/afghanistan/afghanistan_pt-019.gifLe bilan des avalanches en Afghanistan atteint 191 morts
http://static1.7sur7.be/static/photo/2017/1/11/0/20170210143857/media_xll_9516645.jpg
Les avalanches et intempéries en Afghanistan la semaine passée ont fait au moins 191 morts et 300 blessés, selon un nouveau bilan gouvernemental vendredi, alors que des opérations de secours se poursuivent dans les zones les plus touchées.
Trente-deux provinces afghanes ont été ensevelies sous d'abondantes chutes de neige, qui ont endommagé des maisons, entraîné des avalanches, et bloqué de nombreux habitants chez eux.
"Le bilan actualisé que nous avons reçu des provinces touchées par les avalanches et le temps glacial a atteint 191 morts", a déclaré à l'AFP le vice-ministre des Catastrophes naturelles, Mohammad Aslam Sayyas.
"La province la plus touchée est le Nouristan, où au moins 68 personnes ont été tuées par les avalanches récentes", a déclaré M. Sayyas. Les autorités ont intensifié les opérations de secours pendant la semaine, à mesure que les conditions météorologiques s'amélioraient, après avoir initialement peiné à atteindre ces zones montagneuses isolées.
"La vie ne sera plus jamais la même pour ces familles"
Au moins 300 personnes ont été blessées, a ajouté M. Sayyas, et plus de 500 autres secourues dans différentes zones du pays.
Les habitants du Nouristan ont subi d'importantes pertes financières, car des dizaines de maisons ont été détruites, a indiqué le gouverneur de la province, Hafiz Abdul Qayyom, ajoutant que les familles endeuillées recevaient de l'argent et de la nourriture par hélicoptère.
La Fédération internationale de la Croix rouge (FICR) a indiqué que des milliers de familles en Afghanistan et au Pakistan voisin peinaient à résister à la neige et au froid.
"La vie ne sera plus jamais la même pour ces familles", a déclaré le chef de la FICR en Afghanistan, Ariel Kestens. "Tout perdre du jour au lendemain est déjà tragique. Devoir en outre faire face à des froids extrêmes est un défi qui bouleverse toute une vie".
Le nord montagneux de l'Afghanistan est chaque année le théâtre d'avalanches d'autant plus meurtrières que les secours manquent d'équipement.
En dépit de milliards de dollars d'aide internationale versés depuis la chute du régime des talibans en 2001, l'Afghanistan, marqué par quatre décennies de conflit, reste parmi les pays les plus pauvres du monde.

chenoui70
15/02/2017, 16h02
http://www.drapeaux-shop.com/Gif-Anime/Drapeaux-Gifs/Drapeau-Iraq_240-gif.gifNeuf morts dans un attentat suicide à Bagdadhttp://md1.libe.com/photo/994004-des-irakiens-marchent-dans-une-rue-de-mossoul-non-loin-de-la-carcasse-d-une-voiture-piegee-le-15-jan.jpg?modified_at=1487175604&width=960
Dans une attaque à la voiture piégée dans un quartier à majorité chiite de Bagdad, un kamikaze a tué neuf personnes et il en a blessé trente autres. Le bilan de l’attaque a été confirmé par une source médicale et un colonel de la police.
L’attentat n’a pas été revendiqué dans l’immédiat par le groupe djihadiste État islamique mais il en porte la marque. L’EI est responsable de plusieurs attaques dans la région ces derniers mois. Le groupe djihadiste tente de résister aux forces irakiennes pour lui reprendre Mossoul, son dernier bastion dans le pays.

TESSIE
16/02/2017, 16h56
Bonsoir à vous tous.
Toutes les religions demandent le respect;l'amour de nos proches
et vous mes frères musulmans que ce soit Trump ou le pen vous êtes tous fourré dans le même sac.
Qui peut se prétendre d'une religion qui assassine des personnes sans aucune distinction et au nom de quel Dieu???
Tous ces kamikazes pensent mourir en martyre mais tous nos dieux quels qu'il soit
aucun ne demande le massacre de tous nos frères quelque soit nos religions.
Tout ce que veulent ces bêtes là car ce ne sont même pas des hommes c'est la guerre envers l'humanité.

chenoui70
18/03/2017, 14h01
http://sd-6.archive-host.com/membres/up/cdc12cb60704c630fd16ee370cb58794f7fabd12/gifs/drapeaux/europe/france/france_pt-019.gif"Scène de film, exercice ou attentat?" A Orly, les témoins sous le choc
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Un assaillant qui prend "en otage une militaire par le cou", des magasins qui ferment leurs rideaux instantanément, des valises abandonnées en plein aéroport: les témoins qui ont assisté à l'attaque samedi matin à l'aéroport d'Orly-Sud décrivent une scène aussi brève qui violente.
Un homme a été abattu vers 08H30 par les forces de sécurité à l'aéroport d'Orly-Sud (Val-de-Marne) après avoir tenté de dérober une arme à une militaire de l'opération Sentinelle.
"J'ai entendu des éclats de voix, et j'ai vu des militaires qui tenaient en joue une personne". Dominique (qui ne souhaite pas donner son nom de famille), 58 ans, devait prendre un avion avec son épouse pour la République dominicaine quand il a vu au premier étage de l'aérogare "un homme qui tenait en otage une militaire", a-t-il raconté à l'AFP : "il la tenait par le cou, et il menaçait les deux autres militaires avec le fusil de la femme" qu'il tentait d'arracher. Il comprend que c'est "sérieux". "Alors on s'est éloigné et en descendant les escaliers, j'ai entendu des coups de feu".
Hakim, qui devait prendre un vol pour l'Algérie avec ses parents et sa soeur, confirme que tout s'est passé très vite. Il se trouvait au "dépose-bagages" au rez-de-chaussée de l'aéroport, quand il a entendu des coups de feu. "On a compris que c'était assez loin de nous". L'attaque a eu lieu à 08H30 au premier étage du terminal Sud, dans la zone publique de l'aéroport,avant les contrôles de sécurité.
"On a pensé à un attentat"
"Le personnel nous a demandé de partir. On a laissé les bagages et on s'est mis à l'abri plus loin" tandis que les "magasins fermaient leurs rideaux". Lui et sa famille ne sont restés que "cinq minutes après les coups de feu". Mais, confie-t-il, "tout de suite on a pensé à un attentat". "Les gens ne comprenaient pas trop", explique Hakim. Sa mère qui est en fauteuil roulant n'a pas été bousculée malgré l'évacuation de l'aéroport. Enveloppée dans une couverture de survie dorée, la dame de 69 ans attendait patiemment, retranchée avec d'autres passagers derrière le cordon de sécurité, devant l'aérogare, sous la pluie.
Sofiane Slim, un agent d'escale de la Royal Air Maroc de 30 ans, lui, a cru que "c'était soit un film soit un exercice d'entraînement". Il se trouvait au rez-de-chaussée quand ont retenti les coups de feu. "C'a été la panique générale: les gens couraient de partout". "Dans la cohue, j'ai essayé de rassurer un peu les gens. Pendant dix minutes, on a dû se débrouiller un peu seuls. Il n'y avait que quelques policiers autour de nous. Ca courait dans tous les sens", raconte-t-il.
L'aéroport d'Orly a été entièrement évacué. Devant les terminaux, des files de voitures se sont formées tandis des centaines de passagers désorientés évoluaient au milieu des véhicules, traînant leur valises à roulette derrière eux. De nombreux véhicules de pompiers et de la police étaient sur place, ainsi que la Croix-Rouge. Des bouchons monstres se sont formés sur la voie rapide qui mène jusqu'à l'aéroport, les passagers descendant de voiture en quête d'explications.




Orly: ce que l'on sait
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Un homme connu des services de police et de renseignement a attaqué samedi matin une patrouille de l'opération Sentinelle à l'aéroport d'Orly, avant d'être abattu. Ce que l'on sait de cette attaque, qui fait l'objet d'une enquête ouverte par le parquet antiterroriste.
Samedi matin vers 06H55, un homme a tiré sur trois policiers lors d'un contrôle routier à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), au nord de Paris, blessant légèrement l'un d'entre eux à la tête avec un pistolet à grenailles. Il a ensuite pris la fuite. Puis il est repéré au sud de Paris, à une trentaine de kilomètres à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) où il fait "irruption dans un bar en proférant des menaces" et vole son véhicule à une femme, a affirmé le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux.
Il se rend ensuite à l'aéroport d'Orly, à une dizaine de kilomètres. Vers 8H30, au premier étage du hall 1 d'Orly-Sud, il "essaye d'aggresser une patrouille Sentinelle pour s'emparer de l'arme à feu de l'une des militaires" de la patrouille, composée de soldats de l'armée de l'air, a indiqué le ministre.
Selon une source proche de l'enquête, après avoir braqué la militaire avec le pistolet qu'il avait utilisé à Garges, il a bien réussi à s'emparer du fusil Famas de cette dernière, avant d'être immédiatement abattu. La militaire "mise à terre" par l'assaillant, ses deux collègues ont "ouvert le feu pour la protéger" et "protéger tout le public", a déclaré le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
Une opération de déminage a été menée mais aucun explosif n'a été retrouvé sur lui et à proximité.
Ce Français de 39 ans "est connu des services de police et de renseignement", a affirmé le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux. Selon les premiers éléments, il est né le 14 février 1978 et a des attaches dans le Val-d'Oise.
Les papiers présentés à la police à Garges-lès-Gonesse sont ceux qui ont été retrouvés sur l'homme abattu à l'aéroport, ont précisé des sources policières. L'homme n'était pas fiché S, mais fiché "J" au Fichier des personnes recherchées (FPR), et était donc recherché par la police judiciaire pour des faits de vol à main armée. Il a été incarcéré de mars à novembre 2016. Son casier judiciaire comporte "neuf mentions" pour des faits de droit commun, dont des vols à main armée et du trafic de stupéfiants.
"Détecté comme radicalisé", il avait fait l'objet en 2015 d'une perquisition administrative, qui "n'avait rien donné", selon une source policière.
Samedi vers midi, les enquêteurs ont placé en garde à vue son père et son frère, des auditions menées notamment pour dresser son profil.
La section antiterroriste du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête, confiée à la section antiterroriste de la Brigade criminelle (SAT), la sous-direction anti-terroriste (SDAT) de la police judiciaire et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Près de 3.000 personnes ont été évacuées du terminal Sud d'Orly ou confinées dans le terminal Ouest voisin. Orly-Ouest, où le trafic était interrompu depuis l'agression, a rouvert ses portes samedi vers midi mais celui d'Orly-Sud restait partiellement fermé.
Le trafic aérien est interrompu depuis 08H50, les vols étant suspendus dans les deux terminaux d'Orly, selon la Direction générale de l'aviation civile (DGAC) et Aéroports de Paris (ADP).
Des cellules de crise ont été mises en place pour accueillir les voyageurs à Orly comme à Roissy-Charles-de-Gaulle, où 28 vols à destination d'Orly ont été déroutés samedi matin, selon une source préfectorale.

chenoui70
18/03/2017, 19h46
https://www.pcsansvirus.com/medias/images/mise-a-jour.gif
http://sd-6.archive-host.com/membres/up/cdc12cb60704c630fd16ee370cb58794f7fabd12/gifs/drapeaux/europe/france/france_pt-019.gifL'homme abattu à Orly a déclaré "être là pour mourir par Allah"
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L'homme de 39 ans abattu samedi par les forces de sécurité à l'aéroport d'Orly-Sud, après avoir attaqué une patrouille militaire, a dit être "là pour mourir par Allah", a déclaré le procureur de la République de Paris, François Molins. Ziyed Ben Belgacem, déjà condamné pour plusieurs vols avec violence, s'est attaqué à cette patrouille en lançant: "Posez vos armes, je suis là pour mourir par Allah. De toutes façons il va y avoir des morts", a rapporté le procureur au cours d'une conférence de presse.
Une enquête a été ouverte, notamment pour tentative d'homicide et tentative d'assassinat sur personnes dépositaires de l'autorité publique, en relation avec une entreprise terroriste, ainsi que pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Trois personnes de son entourage sont en garde à vue: son père, son frère et un cousin âgé de 35 ans qui se sont tous trois présentés spontanément à la police.
"Une fuite en avant"
Ce dernier avait rencontré Ziyed Ben Belgacem durant la nuit qui a précédé les faits. Relatant le contrôle routier à Garges-lès-Gonesse (banlieue nord de Paris) lors duquel il a tiré sur des policiers au pistolet à grenailles, puis sa visite dans un bar dont il était habitué à Vitry-sur-Seine (banlieue sud), qui ont précédé samedi matin l'attaque d'Orly, François Molins a évoqué "une sorte de fuite en avant avec un processus de plus en plus destructeur qui va visiblement crescendo (...) avec des intentions qui sont criminelles de façon très objective".
Bidon d'hydrocarbures, briquet, le Coran
Avant d'attaquer une militaire à l'aéroport d'Orly-Sud (sud de Paris) pour s'emparer de son fusil d'assaut Famas, il a "jeté au sol un sac à dos contenant un bidon d'hydrocarbures", a précisé le procureur, indiquant qu'il avait également en sa possession un briquet et un paquet de cigarettes, ainsi que 750 euros et un Coran. "Les deux minutes (de confrontation) avec les militaires démontrent de façon assez évidente la très forte volonté de l'agresseur. (...) Il y a une volonté très forte d'aller au bout de ce processus", a-t-il affirmé.

chenoui70
20/03/2017, 04h06
https://www.pcsansvirus.com/medias/images/mise-a-jour.gif
Après l'attaque d'Orly, l'enquête se concentre sur le profil de l'assaillant
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Comment expliquer ce passage à l'acte jihadiste ? Au lendemain de l'attaque d'Orly, les enquêteurs tentaient dimanche d'établir ce qui a pu pousser Ziyed Ben Belgacem, braqueur multirécidiviste, à s'en prendre à une patrouille de militaires, avant d'être abattu.
Dimanche soir, les gardes à vue d'un frère et d'un cousin de l'assaillant, qui s'étaient présentés d'eux-mêmes samedi au commissariat, ont été levées, quelques heures après celle du père, laissé libre dès samedi soir, a-t-on appris de source judiciaire.
Ziyed Ben Belgacem, un Français d'origine tunisienne de 39 ans, condamné à plusieurs reprises pour des vols et signalé comme radicalisé en prison, s'est attaqué samedi à une militaire de l'opération Sentinelle à l'aéroport d'Orly-Sud (Val-de-Marne), en se disant prêt à "mourir" au nom d'Allah, au terme d'une équipée violente et solitaire à travers la banlieue parisienne.
"Mon fils n'a jamais été un terroriste. Jamais il a fait la prière et il boit. Et sous l'effet de l'alcool et du cannabis, voilà où on arrive", a témoigné son père à la radio Europe 1, à l'issue de sa garde à vue.
L'autopsie de l'assaillant, réalisée dimanche, doit déterminer s'il était sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants au moment des faits. Les enquêteurs analysent également son téléphone et les éléments recueillis lors d'une perquisition à son domicile. Selon une source proche de l'enquête, le domicile des parents a été perquisitionné et aucun élément intéressant n'a été retrouvé.
L'assaillant se trouvait dans "une sorte de fuite en avant avec un processus de plus en plus destructeur", a commenté samedi soir le procureur de Paris François Molins. Il avait lancé aux militaires au moment de l'agression: "Je suis là pour mourir par Allah. De toute façon, il va y avoir des morts".
Ziyed Ben Belgacem avait jeté au sol un sac contenant un bidon d'hydrocarbures juste avant l'attaque. Ont été retrouvés sur lui 750 euros, un exemplaire du coran, un paquet de cigarettes et un briquet et, à son domicile, de Garges-lès-Gonesse (Val d'Oise), quelques grammes de cocaïne ainsi qu'une machette.
"Élément déclencheur"
Pour le parquet, qui a ouvert une enquête notamment pour tentative d'homicide et d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste, l'agression d'Orly est le terme d'un "parcours violent et destructeur" entamé à 06H55 à Garges-lès-Gonesse, dans la banlieue nord de Paris. Arrêté à un contrôle routier, il tire au revolver à grenailles sur des policiers, en blessant légèrement un à la tête, et prend la fuite.
"On ne sait pas si le contrôle routier a été l'élément déclencheur du passage à l'acte ou s'il a pu y avoir une préméditation", a indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête.
L'homme réapparaît ensuite à une trentaine de kilomètres de là, à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) dans la banlieue sud, où il vole une voiture, avant de gagner l'aéroport d'Orly-Sud.
Pour le procureur, plusieurs éléments désignent Ziyed Ben Belgacem comme un homme dangereux, déterminé "aller au bout de ce processus" mortifère: le choix de la cible, des militaires, "correspond aux mots d'ordre diffusés par les organisations terroristes jihadistes" et le profil de l'assaillant, "repéré comme radicalisé à l'occasion d'un passage en détention au cours des années 2011-2012".
Toutefois, une perquisition administrative menée à son domicile en 2015 dans le cadre de l'état d'urgence n'avait "rien donné". Pour son père, Ziyed Ben Belgacem a été pris dans un engrenage, a payé ses "fréquentations" et une dérive dans la drogue. Cet homme, sous le choc, a relaté le dernier échange terrible qu'il a eu avec ce fils qui l'appelle depuis l'autoroute parce qu'il a "fait une connerie": "Je lui ai dit +non, moi je ne donne pas mon pardon parce que tu as touché à un gendarme+".
Cette attaque dans un aéroport avait contraint les autorités à évacuer les passagers et à dérouter voire annuler des vols. Dimanche soir, la situation était de retour à la normale, selon une porte-parole d'Aéroports de Paris. Elle survient à un mois de la présidentielle, dans un pays confronté depuis deux ans à une vague d'attentats jihadistes ayant fait 238 morts, et en plein débat sur le maintien de l'état d'urgence, en vigueur jusqu'au 15 juillet.
Le président François Hollande a jugé "essentiel" le renfort de militaires aux forces de sécurité, tandis que la candidate du Front national Marine Le Pen a attaqué un "gouvernement dépassé" face au "fondamentalisme islamiste". Une "outrance" vivement dénoncée par le Premier ministre Bernard Cazeneuve.


http://sd-6.archive-host.com/membres/up/cdc12cb60704c630fd16ee370cb58794f7fabd12/gifs/drapeaux/amerique-du-sud/perou/perou_pt-024.gif75 morts après des pluies diluviennes au Pérou
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Les pluies diluviennes causées par El Niño qui s'abattent depuis plusieurs jours sur le Pérou ont continué dimanche et provoqué inondations, avalanches et coulées de boue, dont le bilan s'établissait à 75 morts.
Selon l'Institut national de défense civile du Pérou (INDECI), 75 personnes ont été tuées et plus de 625.000 autres affectées par ces intempéries, dont 70.000 qui ont perdu leur domicile. La Croix-Rouge du Pérou a déployé des équipes de secours d'urgence dans les zones les plus touchées pour fournir des abris, de l'eau, des équipements sanitaires et de la nourriture, a indiqué la Croix-Rouge internationale dans un communiqué.
"Les premières évaluations de la Croix-Rouge sur le terrain montrent des dégâts extrêmement importants. Beaucoup de personnes ont tout perdu. Elles auront besoin d'aide pour reconstruire leur vie", a estimé Walter Cotte, directeur régional de la Croix-Rouge internationale pour les Amériques, cité par le communiqué. "Le nord du Pérou n'a pas connu une telle situation depuis la fin des années 1990", a-t-il ajouté.
La capitale péruvienne Lima, dont les dix millions d'habitants subissent les effets du phénomène météorologique El Niño depuis janvier, a été particulièrement touchée, avec des milliers de sinistrés et la perspective d'une rupture d'approvisionnement en eau potable. Le gouvernement a débloqué vendredi une aide d'urgence de 760 millions de dollars face à ces fortes pluies, provoquées par le réchauffement des eaux de l'océan Pacifique au nord du Pérou et l'absence de vents depuis l'Equateur.
Les pluies qui ont frappé ce pays ces dernières semaines sont similaires à celles qu'avaient connues le Pérou au cours du dramatique El Niño de 1998, lors duquel 500 personnes avaient trouvé la mort. Le pire phénomène El Niño au Pérou a été celui de l'hiver 1982-1983, pendant lequel 9.000 personnes avaient péri, victimes notamment des épidémies, avec une chute de 11,6% du PIB.

kobayachi
23/03/2017, 10h50
[Attaque à Orly] L’assaillant drogué et alcoolisé était était un déséquilibré qui... n’a jamais fait la prière -

Et si après l’hypothèse d’une « radicalisation express », on découvrait que la réelle explication du geste criminel de Zyed Ben Belgacem viendrait d’une prise d’alcool et de stupéfiants ? C’est ce qui vient d’être prouvé par les résultats des analyses toxicologiques réalisées ce dimanche. Effectivement, lors de son autopsie les analyses de Zyed Ben Belgacem ont révélé un taux d’alcoolémie de 0,83 gramme par litre de sang et la présence de cannabis et de cocaïne. Ces études toxicologiques viennent confirmer les révélations et les témoignages, laissant penser que l’assaillant était davantage ancré dans la délinquance que dans le terrorisme. Depuis ces derniers résultats biologiques, les gardes à vue du père, du frère et du cousin de l’assaillant ont été levées. Zyed Ben Belgacem était un Français âgé de 39 ans connu des services de police pour neuf condamnations, notamment pour vols et trafic de stupéfiants. Il était placé sous contrôle judiciaire. De plus, il était d’ailleurs “fiché J” au Fichier des personnes recherchées (FPR). Au contraire de la “fiche S” (pour sûreté de l’État), qui n’entraîne aucune action automatique de police ou de justice contre la personne, la “fiche J” signifie qu’il était recherché par la police judiciaire. Il était actuellement sous contrôle judiciaire pour un vol à main armé. Ces dernières informations pourront effacer l’image religieuse déployée par les médias dés les premiers heures qui ont suivi l’attentat à l’aéroport d’Orly. D’ailleurs, après avoir été relâché le père de Zyed Ben Belgacem précise qu’il « n’a jamais été un terroriste. Jamais il n’a fait la prière. Et il buvait. Sous l’effet de l’alcool et du cannabis, voilà où on en arrive. »

chenoui70
02/07/2017, 06h21
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Un attentat suicide fait plusieurs morts et des blessés à Damas
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Plusieurs personnes ont été tuées et d'autres blessées dans un attentat suicide ayant secoué dimanche matin l'est de la capitale syrienne Damas, rapporte la télévision d'Etat qui a aussi évoqué deux autres attaques déjouées.
"Les autorités compétentes ont poursuivi trois voitures piégées et réussi à faire exploser deux d'entre elles à l'entrée de Damas. Elles ont encerclé la troisième voiture place Tahrir où le terroriste s'est fait exploser causant un nombre de morts et de blessés", a indiqué la télévision syrienne.