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Voir la version complète : Facebook:Astuces,trucs et infos



Lako
28/06/2016, 20h31
Il n’est évidemment pas le premier du genre mais il n’en reste pas moins très dangereux et c’est précisément pour cette raison qu’il est indispensable d’en parler autour de vous.http://www.fredzone.org/wp-content/uploads/2016/06/malware-facebook-640x491.jpgFacebook est confronté à un nouveau malware, un très méchant.
Comme la plupart de ses confrères, ce malware utilise le système de notifications de Facebook pour se répandre et pour infecter les utilisateurs.Facebook est confronté à un nouveau malwareLa notification en question ressemble à n’importe quelle autre alerte mais elle renvoie en réalité vers un fichier hébergé sur un serveur distant. Il suffira donc de cliquer dessus pour télécharger le programme malveillant sur votre ordinateur. Il sera inactif sous cette forme, bien sûr, mais il infectera immédiatement votre machine si vous cliquez sur le fichier d’installation.D’après les informations dont on dispose, ce fameux malware s’appuierait sur Windows Script Host pour commettre ses méfaits et il serait donc totalement inactif sur OS X et sur Linux. En outre, tous les navigateurs ne seraient pas logés à la même enseigne.Selon Hackread (https://www.hackread.com/facebook-comment-tagging-malware-google-chrome/), le site à l’origine de la découverte, il viserait surtout les personnes sous Google Chrome. Attention cependant car cela ne veut pas dire que les autres navigateurs ne sont pas concernés.En théorie, il devrait aussi toucher les butineurs basés sur Chromium mais également Safari, Firefox ou encore Microsoft Edge. Le problème, c’est que la découverte est récente et nous manquons encore de détails sur le fonctionnement de ce malware.En attendant d’en savoir plus, il sera donc préférable de vous montrer prudent et de ne pas cliquer sur des notifications en provenance de comptes suspects. Bon, c’est un peu la base, mais c’est tout de même important de le rappeler parce que Facebook n’est pas uniquement fréquenté par des ingénieurs ou des professionnels du web.

yacineskoura
28/06/2016, 20h44
Trop de virus c est temps ci autour de nous,entre Android,facebook,et les multitudes virus sur les navigateurs,sa craint
Je parle même pas du virus c- nile.

ironman
30/06/2016, 17h36
Facebook va modifier son fil d'actualité pour privilégier les messages postés par les amis et la famille.http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/facebook2_1.jpg


Facebook va modifier son fil d'actualité afin de privilégier les messages postés par les amis et la famille, a indiqué mercredi un des responsables du réseau social, un changement qui pourrait affecter le trafic des sites d'information. "
Nous allons actualiser le fil d'actualité durant les prochaines semaines de façon à ce que les messages postés par les amis auxquels ils sont vraiment attachés se situent plus haut sur votre fil", explique Lars Backstrom, directeur de l'ingénierie au sein de Facebook, dans un message publié sur le site institutionnel de Facebook.
Concrètement, un article ou du contenu posté sur la page Facebook d'un média aura plus de chance d'apparaître dans les premières positions sur le fil d'actualité d'un internaute s'il a été partagé, "aimé" ou commenté par ses amis ou sa famille.
Si cet article a seulement été posté sur la page d'un média suivi par l'internaute, sans susciter de réactions significatives de la part de ses amis ou de sa famille, il n'apparaîtra pas dans le haut du fil d'actualité.
Cette décision intervient quelques semaines après la polémique autour de la rubrique "trending", qui mentionne les sujets dont on parle le plus sur Facebook. Début mai, le réseau social a été accusé, par le site d'information Gizmodo -qui a produit des témoignages d'anciens prestataires de Facebook-, de manipuler les résultats apparaissant dans cette rubrique, quitte à écarter certains sujets.
[COLOR=#333333][FONT=helvetica]Facebook a lancé une enquête interne qui a établi, selon le réseau social, qu'il n'y avait pas eu de démarche concertée ou de manipulation. Le géant californien a néanmoins assuré qu'il prendrait des mesures pour préserver la neutralité de sa plateforme.


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ironman
03/07/2016, 17h33
http://img.bfmtv.com/c/630/420/91d/0cd73386af33eafb7d6e62d463a87.jpg







11 000 bots ont été créés depuis le lancement de Messenger Platform. Son directeur David Marcus dresse aujourd’hui un premier bilan de cette innovation et annonce l’intégration de l'assistant Facebook M d’ici deux ou trois ans.[COLOR=#333333][FONT=Arial]Français passé par Genève, David Marcus a été président de Paypal avant de prendre la tête des activités de messagerie de Facebook en 2014 au poste de vice-président. Il a notamment été l’artisan de l’autonomisation de Messenger. Présent sur le salon Viva Technology ce vendredi 1er juillet, il revient pour nous sur l’ouverture il y a deux mois et demi de Messenger Platform (http://www.01net.com/actualites/facebook-messenger-veut-vous-faire-chatter-meme-quand-il-est-ferme-966230.html). Cet outil permet aux développeurs tiers de créer leur propre bot pour interagir avec les utilisateurs de Messenger après qu’ils se soient abonnés. Une petite révolution dans le monde des messageries.
01net : Quel est le bilan que vous tirez des premiers mois de Messenger Platform ?
David Marcus : on compte à ce jour plus de 11 000 bots qui ont été créés depuis le début et 23 000 développeurs qui se sont inscrits sur la plate-forme. Nous considérons que c’est un succès.
Les utilisateurs se plaignent de messages trop fréquents et de sollicitations hors sujet (http://www.01net.com/actualites/facebook-messenger-on-a-teste-les-bots-et-on-s-est-fait-de-nouveaux-potes-966590.html). Que leur répondez-vous ?
Facebook Messenger garde un droit de regard sur les bots avant leur déploiement et nous n’acceptons pas ceux qui ne respectent pas notre charte de qualité ou nos règles de confidentialité. Nous avons aussi la possibilité de les bloquer après coup et d’être alerté lorsqu’un bot est trop souvent désactivé. Quant aux utilisateurs, ils peuvent désactiver les notifications et bloquer les bots.
Mais je n’ai pas de problème pour reconnaître que les premiers bots n’étaient pas tous de qualité. De la même manière qu’il y a eu beaucoup de sites atroces au début du Web, et ensuite des appli mobiles atroces avec les premiers smartphones. Aujourd'hui, nous avons suffisamment de recul pour voir ce qui fonctionne. Voyage SNCF en France ou encore American Express aux Etats-Unis marchent très bien, par exemple.
http://img.bfmtv.com/c/800/531/f71/f587c68ad35177670ae833e54e36b.jpeg01net.com - David Marcus, vice-président de Facebook et directeur de Facebook Messenger.Quels sont les bots qui fonctionnent bien justement ?
Ce qui est sûr, c’est qu’un bot ne peut pas être la réplique d’un site internet. Si celui de la NBA rencontre un grand succès, c’est parce qu’il ne commente pas les résultats tout le long d’un match. Au lieu de cela, il envoie une vidéo très courte après chaque rencontre, comme une sorte de résumé. On a aussi remarqué que les médias qui suscitaient le plus d’adhésion étaient ceux qui étaient les plus pointus et qui n’envoyaient pas plus d’une notification par jour. Les informations générales ont moins de succès.
Autre formule qui marche, le bot dating de Meetic en France, qui vient d’être lancé en démonstration et qui s’articule autour de deux personnages, Lara et Tom. Les internautes passent un petit test en dialoguant avec eux, ce qui aboutit ou non à une inscription. Dans ce cas-là, le bot peut remplir la même fonction qu’un formulaire. Sauf que cela est bien plus plaisant et plus pratique à utiliser et pas besoin de s’identifier.
Nous travaillons maintenant à ce que toutes les interactions ne soient pas forcément conversationnelles. Que les gens puissent cliquer sur des images ou sur une liste de réponses possibles sans avoir besoin de prendre la peine d'écrire. On espère lancer aussi très bientôt la possibilité de commander une pizza ou un taxi depuis un bot dans Facebook Messenger en France comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis.
A partir de quel moment considérez-vous qu’un bot rencontre le succès ?
Quand les marques obtiennent un résultat supérieur à ce qu’elles auraient eu avec un site ou une appli en termes d’audience et de transformation.
Mais ces bots ne sont-ils pas une menace de perte d’audience pour les médias et les marques ?
Non, je ne pense pas. Aujourd’hui, on n’utilise pas plus de 5 à 10 applications mobiles. Il devient donc extrêmement difficile pour une nouvelle application de s’imposer à grande échelle. Si vous voyagez une fois avec KLM, par exemple, nous n’allez pas vouloir télécharger son appli. Nous offrons une solution alternative et hybride avec les bots. Vous pouvez donner tous les critères de votre réservation au cours d’une conversation et conserver toutes les informations de votre voyage et votre historique, centralisés dans Facebook Messenger. Même chose pour réserver une chambre hôtel avec le bot Hôtel InterContinental.
Ce que je crois aujourd’hui, c’est qu’il vaut mieux que nous ajoutions de la valeur à Facebook Messenger plutôt que de créer des services qui n’existent pas encore.
Avez-vous toujours pour projet de proposer un mode chiffré en option sur Facebook Messenger ?
Oui. Je ne peux pas en dire plus à ce stade.
Où en est le projet Facebook M (http://www.01net.com/actualites/facebook-annonce-m-un-assistant-personnel-integre-a-messenger-909999.html) ?
Nous continuons à avancer. Je pense que nous serons en mesure de l’intégrer dans nos serveurs d’ici deux ou trois ans. Le projet est piloté par Alexandre Lebrun, le fondateur de la start-up Wit.ai que nous avions rachetée l’année dernière, en partenariat avec Yann LeCun qui dirige le FAIR. Pour le moment nous testons Facebook M à toute petite échelle aux Etats-Unis et nous comptons l’ouvrir à des développeurs tiers.
Le principe est de s’appuyer à la fois sur une intelligence artificielle et des ressources humaines pour répondre aux questions des internautes formulées en langage naturel. Au départ, l’intelligence artificielle n’était même capable de dire le temps qu’il fait à Bordeaux. Depuis, nous avons beaucoup progressé. Les hommes sont là pour apporter de la valeur ajoutée aux réponses et permettre à la machine de mieux comprendre les requêtes. Mais Facebook M sera difficile à internationaliser.

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Lako
05/07/2016, 19h53
http://media.begeek.fr/2016/02/facebook-650x432.jpg

Facebook propose désormais de rédiger ses messages dans plusieurs langues grâce à son système de traduction automatique.Si vous avez beaucoup de contacts sur Facebook (http://www.begeek.fr/facebook) et que ces derniers viennent des 4 coins du monde, il est parfois compliqué pour tout ce beau petit monde de s’entendre. Souvent, les réponses à un post se transforment en une auberge espagnole où toutes les langues se mélangent (pas d’allusion coquine s’il vous plaît !).
Pour permettre à chacun de se comprendre le mieux du monde, Facebook est en train de tester la possibilité d’écrire les messages dans plusieurs langues, et ce, de manière très simplifiée.
Un compositeur de message polyglotteC’est dans une note publiée sur le blog Facebook Code (https://code.facebook.com/posts/597373993776783)que cette nouvelle fonctionnalité a été annoncée. Son fonctionnement est très simple, mais diablement efficace. Si par exemple vous gérez une communauté parlant à la fois français, anglais et allemand, il vous suffit de rédiger votre message dans la langue de Molière.
Ensuite, il suffit de choisir dans l’éditeur de texte les autres langues dans lesquelles le message devra apparaître. Une traduction automatique sera proposée (que vous pourrez éditer) et il suffit de poster votre message en plusieurs langues. L’avantage ici, c’est que les utilisateurs français verront le message écrit dans cette langue, les Allemands dans la langue de Goethe et les Anglais dans la langue de Shakespeare sans que les autres langues apparaissent. Voilà qui devrait faciliter les échanges !
Comment activer cette optionPour activer l’option, il vous suffit de vous rendre dans les paramètres linguistiques (https://www.facebook.com/settings?tab=language&edited=account) du réseau social et d’activer l’option des publications en plusieurs langues. Ensuite tout se passe dans l’interface de rédaction des messages.
L’intérêt de cette fonctionnalité est double pour Facebook. Tout d’abord, cela permettra de fédérer encore plus les utilisateurs. Mais Facebook prévoit également d’utiliser les traductions proposées par les utilisateurs pour améliorer son algorithme de traduction automatique. Pour le moment, 44 langues sont disponibles.

Lako
09/07/2016, 15h20
OpenCellular permet de créer des réseaux cellulaires locaux pouvant délivrer une connexion 4G ou servir de bornes Wi-Fi. L'objectif : connecter les endroits les plus reculés du monde à Internet.
Cela fait plusieurs années que Google et Facebook se battent pour connecter la planète entière à Internet, et à leurs services évidemment. Pour cela, Google a ses ballons stratosphériques (http://www.cnetfrance.fr/news/google-accuse-d-avoir-vole-des-technologies-pour-son-projet-loon-39838458.htm), Facebookses drones (http://www.cnetfrance.fr/news/le-drone-geant-de-facebook-pret-a-prendre-son-envol-39823168.htm).
Mais dès cet été, le réseau social de Mark Zuckerberg aura également OpenCellular, un boîtier permettant de créer des réseaux cellulaires à l'échelle locale, annonce Facebook sur son blog (https://code.facebook.com/posts/1754757044806180/introducing-opencellular-an-open-source-wireless-access-platform) dédié aux développeurs ce vendredi 8 juillet.
Appels, SMS, et InternetLe boîtier, de taille assez contenue, permet de passer des appels, d'envoyer des SMS, d'aller sur Internet avec une connexion sans-fil pouvant aller de la 2G à la 4G, ou encore de servir de borne Wi-Fi. OpenCellular est également très résistant car conçu pour fonctionner dans des conditions climatiques extrêmes, qu'il s'agisse de températures très hautes, très basses, ou encore de vents violents.
Pour faciliter l'adoption de son boîtier et permettre aux opérateurs ou entreprises de créer le leur, Facebook a décidé que son appareil serait open source, et cela, aussi bien côté logiciel que matériel.
http://www.cnetfrance.fr/i/edit/2016/07/facebook-opencellular-2.jpgDe la simplicité d'installationPeu coûteux, l'appareil serait aussi très facile à mettre en place. Il s'accroche un peu partout et pourrait même être installé par une seule personne sans compétences particulières en informatique, d'après le géant américain.
Il serait également très simple d'utilisation. Toutefois, dans certaines situations, il nécessitera l'aide des opérateurs afin d'être relié à leur réseau. Mais le faible prix de la manœuvre devrait les inciter à s'y intéresser.

Lako
11/07/2016, 14h47
Facebook va intégrer le chiffrement de bout-en-bout sur l’application de messagerie Messenger. L’utilisateur aura la possibilité d’activer l’option « conversation secrète ».

http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/07/facebook-messenger-chiffrement-640x345.jpgCe n’est pas encore du chiffrement par défaut comme peut le proposer Whatsapp,racheté par Facebook en 2014 (http://www.journaldugeek.com/2014/02/19/16-milliards-dollars-facebook-rachete-whatsapp/), mais c’est un début. Le réseau social lance une nouvelle fonctionnalité, « conversation secrète » offrant une confidentialité totale à ses utilisateurs.Une fois l’option activée manuellement, les conversations passées entre les membres Facebook seront chiffrées de bout en bout. La plateforme dit avoir pris en compte le désir de confidentialité de ses membres concernant certains sujets abordés : santé, données bancaires ou financières, maladies, etc.Toutefois, le chiffrement des conversations ne sera accessible que sur un seul appareil (PC, tablette ou smartphone (http://www.journaldugeek.com/tag/smartphone/)) aussi bien pour l’expéditeur que pour le destinataire et ce, afin de ne pas avoir plusieurs clés de chiffrement à gérer. À l’instar de Snapchat, il sera également possible de fixer une durée de vie à un message au sein de la conversation avant que celui-ci ne s’efface.Pour le moment, seule une quantité restreinte de personnes teste cette nouvelle fonctionnalité avant qu’elle ne soit déployée plus largement cet été. « Conversation secrète » fonctionne grâce à Signal Protocol (développé par Open Whisper systems (https://fbnewsroomus.files.wordpress.com/2016/07/secret_conversations_whitepaper-1.pdf)), également utilisé par WhatsApp et ne protégera que le format texte dans un premier temps, excluant du même coup GIF, vidéos et tout autre « contenu riche ».

Lako
15/07/2016, 07h21
Les Instant Articles arrivent sur Facebook MessengerLes liens partagés sur Messenger s’ouvriront aussi sous le format Instant Articles.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-Intant-Article-sur-Messenger.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-Intant-Article-sur-Messenger.jpg)Lorsque vos pages web mobiles mettent du temps à charger, cela peut conduire à un abandon du lecteur. Pour résoudre ce problème, Facebook propose un format appelé Instant Article aux éditeurs. Outre le fait qu’en étant hébergé par Facebook sur son application, ces articles échappent aux bloqueurs de publicités, ils ont aussi l’avantage de se charger plus rapidement après le clic. Et comme l’affirme le numéro un des réseaux sociaux, un article sous ce format aurait 20 % de chances en plus d’être cliqué par ses utilisateurs. De plus, ces derniers seraient 70 % moins susceptibles d’abandonner la page lors du chargement.
Aujourd’hui, les Instant Articles sont disponibles sur iOS ainsi que sur Android et depuis la dernière conférence F8 de Facebook, tous les éditeurs peuvent l’utiliser. (http://www.presse-citron.net/tous-les-editeurs-peuvent-maintenant-publier-des-instant-articles-sur-facebook/)
Par ailleurs, aujourd’hui, ce format arrive aussi sur l’application Messenger. La fonctionnalité arrivera d’abord sur Android, puis sur iOS dans quelques semaines.
En substance, à partir d’aujourd’hui, si un utilisateur de Facebook partage un article disponible sous le format Instant Article sur Messenger, ce n’est plus la version web normale que sera ouverte mais celle sous le format Instant Article, pour que le lien s’ouvre plus rapidement. S’il utilise déjà le format de Facebook, l’éditeur n’a plus rien à modifier.

Lako
15/07/2016, 07h23
Si vous voulez produire des Instant Articles, Facebook vous proposera un plug-in qui s’occupe de tout.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/03/Facebook-INstant-Articles.png (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/03/Facebook-INstant-Articles.png)Depuis l’année dernière Facebook propose aux médias un format appelé Instant Articles qui permet d’avoir des articles qui se chargent plus rapidement lorsque les utilisateurs du réseau social cliquent sur les liens de ceux-ci.
Cela permet au réseau social d’optimiser l’expérience de ses utilisateurs sur fil d’actualité mobile, mais aussi de garder cette audience sur son application au lieu de la rediriger vers le web.
Les éditeurs, en contrepartie, peuvent espérer une plus large audience grâce à cette optimisation et donc plus de revenus, puisqu’il est possible de monétiser les Instant Articles. (http://www.presse-citron.net/instant-articles-facebook-autorise-plus-de-publicites-pour-satisfaire-les-editeurs/)
Pour le moment, seuls quelques médias partenaires de Facebook peuvent publier des Instant Articles et ceux-ci sont accessibles sur les applications Android et iOS du réseau social. Cependant, il y a quelques jours, il a indiqué qu’au mois d’avril, durant sa conférence F8, il annoncera l’ouverture de ce format à tous les éditeurs. (http://www.presse-citron.net/tous-les-editeurs-pourront-bientot-utiliser-les-instant-articles-de-facebook/)
De ce fait, si tous les médias ne peuvent pas encore utiliser le format, nombreux sont ceux qui étudient déjà comment mettre en œuvre celui-ci. Et la bonne nouvelle, c’est que dans un nouveau billet de blog, Facebook a annoncé qu’il va également proposer un plug-in pour WordPress qui génèrera automatiquement les versions Instant Articles pour les publications des sites.
En substance, le plug-in pour WordPress va analyser le contenu d’un article et utiliser celui-ci pour en créer l’équivalent sous le format propriétaire de Facebook. Cela devrait booster l’adoption des Instant Articles par les « petits sites ». Après, si un éditeur souhaite quelques customisations, il pourra modifier le code du plug-in, qui est open-source.

Lako
15/07/2016, 07h25
Un grand changement à venir sur Facebook MessengerLe géant américain des réseaux sociaux Facebook a annoncé vendredi qu'il proposerait un cryptage total des communications sur sa messagerie électronique Messenger, confirmant le renforcement croissant des dispositifs anti-surveillance chez les grands groupes internet.
Les quelque 900 millions d'utilisateurs revendiqués de Messenger pourront désormais engager des «conversations secrètes» qui ne pourront être lues que par leurs participants, a indiqué le groupe dans un communiqué.
«Fournir aux gens des moyens de communiquer en toute sécurité contribue de manière importante au fait de rendre le monde plus ouvert et plus connecté», a indiqué David Marcus, le vice-président du réseau social sur sa page Facebook.
Selon ce responsable, cette option est notamment utile pour échanger des informations médicales avec un médecin ou partager des données personnelles et financières avec des proches.
Facebook avait déjà, plus tôt dans l'année, opté pour ce mécanisme de sécurité sur sa messagerie WhatsApp et avait été suivi par ses rivaux Google et Apple.
Des représentants des forces de l'ordre et des élus ont toutefois critiqué ces décisions, en relevant que le cryptage ou chiffrement des conversations peuvent être utilisés par des délinquants ou pour planifier des attaques terroristes.
Les autorités américaines avaient d'ailleurs engagé un bras de fer judiciaire avec le géant Apple pour le contraindre à débloquer le téléphone d'un des auteurs de la fusillade de San Bernardino, en Californie, qui avait fait 14 morts en décembre dernier.
Apple avait refusé de coopérer et les autorités avaient finalement réussi à trouver un moyen d'accéder aux données du téléphone.

Lako
16/07/2016, 17h19
Confidentialité sur Facebook : Inutile de partager un avis
http://media.paperblog.fr/i/811/8115048/confidentialite-sur-facebook-inutile-partager-L-LLm7gI.jpeg
Vous avez certainement remarqué le nombre croissant de publications sur Facebook mentionnant que le réseau social est maintenant une entité publique et que nos informations confidentielles pourraient être vendues si on ne publie pas un statut pour restreindre les droits de Facebook dans les plus brefs délais.
Si de telles publications ont toujours été présentes sur Facebook, celles-ci semblent avoir proliféré à une vitesse folle dans les derniers jours. Sans surprise, cette prolifération coïncide avec l’annonce de Facebook mentionnant que son algorithme avait été modifié afin de nous montrer davantage de publications provenant de nos amis et de notre famille.
Dans mon cas, l’ancien algorithme avait donc l’effet d’un filtre anti-spam, m’évitant d’avoir à lire des publications comme celle-ci :
À partir de ce vendredi 24 juin 2016 à 10:05 (heure de l’est du Canada), je ne donne pas à Facebook la permission ni l’autorisation d’utiliser mes images, mes informations ou mes publications, tant du passé comme du futur, les miennes ou celles où j’apparais. Par cette déclaration, je donne mon préavis à Facebook qu’il est strictement interdit de divulguer, copier, distribuer, donner, vendre mes informations , photos ou prendre toutes autres actions contre moi sur la base de ce profil et/ou de son contenu. Le contenu de ce profil est une information privée et confidentielle. La violation de la vie privée peut être punie par la loi (UCC 1-308-1 1 308-103, le statut de Rome et autres lois canadiennes).
Note : Facebook est désormais une entité publique. Tous les membres doivent publier une note comme celle-ci. Si vous préférez, vous pouvez copier et coller cette version.
Si vous ne publiez pas une déclaration au moins une fois, vous aurez donné l’accord tacite permettant l’utilisation de vos photos, ainsi que les informations contenues dans les mises à jour d’état de profil.
Ne pas partager. Vous devez copier et coller
Ne publiez pas tout ce que vous voyez


Si ce type de message contribue à améliorer la confidentialité de votre contenu, ce sera uniquement parce que vous aurez perdu des amis à force polluer leur fil d’actualité.

Allons droit au but : ce type de publication n’a aucune valeur juridique. Si ce type de message contribue à améliorer la confidentialité de votre contenu, ce sera uniquement parce que vous aurez perdu des amis à force polluer leur fil d’actualité.
Il en existe différentes versions, toutes moins crédibles les unes que les autres. La plupart font référence à des lois étrangères et certaines contiennent des fautes ou des erreurs de frappe. Elles ont toutes en commun d’être (1) complètement ridicules et (2) absolument inutiles.
Pour ceux qui ne seraient pas convaincu, voici quelques bonnes raisons de ne pas publier ces avis :
1. Vous êtes déjà maître de la confidentialité de vos publications

En effet, les conditions d’utilisation du site (https://www.facebook.com/legal/terms) mentionnent clairement que le contenu et les informations que vous publiez sur Facebook vous appartiennent. Il vous suffit donc contrôler le partage de celles-ci via les outils mis à votre disposition.
2. Les références légales sont approximatives, voire non pertinentes

La plupart des messages comportent la mention suivante : «La violation de la vie privée peut être punie par la loi (UCC 1-308-1 1 308-103, le statut de Rome et autres lois canadiennes)».
En résumé, ces messages citent dans l’ordre : une loi américaine sur le commerce international, les règles de fonctionnement de la Cour pénale internationale et la totalité de la législation canadienne.
On va leur donner le mérite de ne rien laisser au hasard, mais disons que ça ratisse pas mal large!
3. Ce n’est pas comme ça que ça marche

En acceptant d’utiliser Facebook (ou pas mal n’importe quel site sur Internet), l’utilisateur consent à respecter certaines règles et autorise le site à faire certaines choses. C’est ce qu’on appelle les conditions d’utilisations.
Or, l’acceptation des conditions ne se produit pas seulement au moment de cliquer sur «J’accepte», mais bien à chaque fois qu’on utilise le service en question.
Techniquement, le simple fait de publier un message disant qu’on refuse de se plier aux conditions d’utilisation de Facebook constitue une acceptation de ces conditions d’utilisation, puisqu’on utilise le service pour ce faire.
Sans faire une analyse juridique exhaustive, rappelons simplement que les tribunaux considèrent que les conditions d’utilisation constituent un contrat d’adhésion valable si l’utilisateur est informé de l’existence des conditions, s’il les accepte et si l’utilisateur en retire une contrepartie. Ici, la contrepartie, c’est le privilège d’utiliser Facebook.
Bref, puisque Facebook demande aux utilisateurs de cliquer sur un bouton pour accepter les conditions d’utilisation, que le réseau social avise généralement les utilisateurs lorsque des modifications y sont apportées et qu’il est clairement mentionné que l’acceptation constitue une condition essentielle pour utiliser la plateforme, les utilisateurs sont donc liés par ces politiques d’utilisation tant qu’ils utilisent Facebook.
Confidentialité sur Facebook : C’est facile

Il est compréhensible que les utilisateurs soient tentés de prendre de telles publications au sérieux. En effet, tous ne sont pas juristes et on se fait sans cesse répéter qu’il faut être prudent sur Facebook et qu’il faut protéger nos informations confidentielles.
Malheureusement, ce type de partage ne fait que contribuer au problème, en plus de déresponsabiliser les utilisateurs. La plupart des gens se contenteront de partager de tels messages plutôt que de prendre le temps de comprendre les paramètres de confidentialité pour s’assurer que leurs publications demeurent confidentielles.

http://media.paperblog.fr/i/811/8115048/confidentialite-sur-facebook-inutile-partager-L-U4Xszm.pngPourtant, les outils mis à notre disposition sont très bien faits. En cliquant sur le petit cadenas dans le haut du site de Facebook, vous constaterez que l’entreprise a créé un tutoriel dynamique extrêmement simple.
En terminant, n’oubliez pas de partager cet article dans les plus brefs délais. Sinon, la totalité de votre fil d’actualité sera infesté de publications insignifiantes!

Lako
19/07/2016, 17h30
La vidéo hors-ligne débarque sur FacebookA l’instar de YouTube et DailyMotion, Facebook se lance dans la lecture hors-ligne des vidéos.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/06/Facebook-Pixabay.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/06/Facebook-Pixabay.jpg)A l’instar de YouTube (http://www.presse-citron.net/la-lecture-hors-ligne-debarque-sur-youtube-mais-vous-ne-pourrez-pas-en-profiter/), Facebook veut permettre aux utilisateurs de son réseau social qui se connectent depuis des réseaux de faible qualité de profiter de ses vidéos. Et il y a une semaine, il annonçait qu’il allait démarrer le test d’une fonctionnalité hors-ligne (http://www.presse-citron.net/facebook-teste-la-lecture-hors-ligne-des-videos/), qui permet profiter d’un bon réseau ou d’une connexion internet qui ne coûte pas cher, afin de la regarder plus tard.
Aujourd’hui, il semblerait que cette fonctionnalité du réseau social soit en train de se déployer sur la version Android de son application. Quelques sites rapportent en effet que si vous sauvegardez une vidéo Facebook sur cette application, celle-ci ne sauvegarde pas seulement le lien, mais aussi la vidéo, qui devient alors consultable hors-ligne.

Ce qui est étrange, c’est que comme le rapportaient nos confrères de TechCrunch, Facebook souhaitait tester la lecture hors-ligne avec quelques utilisateurs en Inde. Pourtant, aujourd’hui, il semblerait que la fonctionnalité soit déjà disponible dans le monde entier, comme l’indique The Next Web.
Quoi qu’il en soit, c’est une bonne nouvelle pour les créateurs de contenus, dans la mesure où la sauvegarde des vidéos permettra d’atteindre une nouvelle audience sur Facebook. Et à titre de rappel, les vidéos ne peuvent pas être copiées, mais uniquement consultées sur l’application du réseau social.

Lako
20/07/2016, 16h39
Facebook Messenger a maintenant 1 milliard d’utilisateurs
Il y a désormais un milliard de personnes dans le monde qui utilisent Messenger au moins une fois par mois.
http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-Intant-Article-sur-Messenger.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-Intant-Article-sur-Messenger.jpg)Lorsque Facebook a décidé de retirer la fonctionnalité de messagerie de ses applications mobiles pour obliger les mobinautes à installer Messenger, il a failli se faire lyncher. Cependant, Mark Zuckerberg expliquait que comme la messagerie est l’une des rares choses qui sont plus populaires que le réseau social, Facebook a décidé de séparer cette fonctionnalité afin de proposer une meilleure expérience. David Marcus, le français qui dirige l’équipe de Messenger, nous confiait quant à lui que « si c’était à refaire, on le referait ». (http://www.presse-citron.net/separer-messenger-de-facebook-si-cetait-a-refaire-on-le-referait/)
A l’époque (en 2015), Messenger comptait 500 millions d’utilisateurs et d’après le patron de Messenger, ce demi-milliard d’utilisateurs répondait 20 % plus vite qu’à l’époque où la messagerie était intégrée sur l’application Facebook.
Aujourd’hui, ce nombre a doublé. En effet, dans un billet de blog, Facebook annonce que Messenger a atteint le milliard d’utilisateurs actifs par mois. Quoi d’autre ? L’application aurait aussi une part de 10 % sur les appels VOIP dans le monde.
D’une simple application de messagerie à une plateformeA l’origine, Messenger était une simple alternative à la messagerie intégrée de Facebook, qui permet de répondre aux messages privés sur une interface qui faisait plus « SMS ». Mais Messenger a évolué très rapidement. Facebook a introduit les appels audio, puis les appels, vidéo ainsi que les appels de groupe.
Et depuis quelques mois, il permet même aux développeurs de créer des bots (http://www.presse-citron.net/oubliez-les-newsletters-les-bots-de-messenger-sont-la-pour-les-remplacer/), des intelligences artificielles qui interagissent automatiquement avec l’audience. D’après Facebook, Messenger compte aujourd’hui plus de 18 000 bots.

Lako
21/07/2016, 08h46
Un milliard d’utilisateurs sur Messenger, c’est ça qui est coolhttp://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/07/1b-newsroomheader.png
C’est la joie chez Facebook, qui a annoncé que son application de messagerie instantanée Messenger avait atteint le chiffre magique d’un milliard d’utilisateurs actifs mensuels.Le réseau social a bien de la chance, car il possède désormais deux apps de messagerie ayant franchi le seuil du milliard. WhatsApp y est parvenu en février. En clair, le réseau social compte dans son catalogue deux services de messagerie parmi les plus populaires sur le globe…Messenger est également la deuxième application iOS (http://www.journaldugeek.com/tag/ios-9/) la plus téléchargée de tous les temps… derrière le client officiel de Facebook. Sur Android, Messenger a été téléchargé plus d’un milliard de fois. L’application compte 18.000 bots ; 10% de tous les appels en VoIP sont réalisés au travers de Messenger ; 22 millions (!) de GIF sont envoyés chaque jour avec l’app.La prochaine grande étape pour Messenger sera de rattraper WhatsApp pour le chiffrement des conversations : ce sera bientôt une réalité (http://www.journaldugeek.com/2016/07/11/facebook-chiffrement-messenger/).

Lako
21/07/2016, 08h48
Le chiffrement arrive sur MessengerFacebook va intégrer le chiffrement de bout-en-bout sur l’application de messagerie Messenger. L’utilisateur aura la possibilité d’activer l’option « conversation secrète ».

http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/07/facebook-messenger-chiffrement-640x345.jpgCe n’est pas encore du chiffrement par défaut comme peut le proposer Whatsapp, racheté par Facebook en 2014 (http://www.journaldugeek.com/2014/02/19/16-milliards-dollars-facebook-rachete-whatsapp/), mais c’est un début. Le réseau social lance une nouvelle fonctionnalité, « conversation secrète » offrant une confidentialité totale à ses utilisateurs.Une fois l’option activée manuellement, les conversations passées entre les membres Facebook seront chiffrées de bout en bout. La plateforme dit avoir pris en compte le désir de confidentialité de ses membres concernant certains sujets abordés : santé, données bancaires ou financières, maladies, etc.Toutefois, le chiffrement des conversations ne sera accessible que sur un seul appareil (PC, tablette ou smartphone (http://www.journaldugeek.com/tag/smartphone/)) aussi bien pour l’expéditeur que pour le destinataire et ce, afin de ne pas avoir plusieurs clés de chiffrement à gérer. À l’instar de Snapchat, il sera également possible de fixer une durée de vie à un message au sein de la conversation avant que celui-ci ne s’efface.Pour le moment, seule une quantité restreinte de personnes teste cette nouvelle fonctionnalité avant qu’elle ne soit déployée plus largement cet été. « Conversation secrète » fonctionne grâce à Signal Protocol (développé par Open Whisper systems (https://fbnewsroomus.files.wordpress.com/2016/07/secret_conversations_whitepaper-1.pdf)), également utilisé par WhatsApp et ne protégera que le format texte dans un premier temps, excluant du même coup GIF, vidéos et tout autre « contenu riche ».

Lako
23/07/2016, 12h24
Facebook choisit Office 365 de MicrosoftLe réseau social Facebook devient un client Office 365 de Microsoft pour ses plus de 13 000 employés.
http://img.generation-nt.com/office-365_0096006401368672.png
C'est un client qui compte pour Microsoft et qui permet de mettre en avant ses services Office 365 au cœur même de la Silicon Valley. Basé à Menlo Park, le réseau social Facebook a décidé de faire passer ses plus de 13 000 employés à des services Office 365.http://img.generation-nt.com/office-365_00ED000001620050.pngEn particulier, les employés de Facebook (http://www.generation-nt.com/facebook-fil-actualite-tri-message-ami-actualite-1930557.html) se serviront des applications d'agenda et d'email d'Office 365. Par contre, Facebook continuera de s'appuyer sur plusieurs de ses propres services et n'adoptera ainsi pas Yammer - un réseau social interne pour l'entreprise - et Skype Entreprise.


Les contours de ce contrat ne sont toutefois pas clairement détaillés et on imagine bien que Facebook a dû faire en sorte qu'il n'empiète pas sur sa solution Facebook at Work qui est utilisée - et testée - en interne.Directeur des systèmes d'information chez Facebook, Tim Campos a en tout cas droit aux honneurs d'un billet sur le blog Office intitulé : Pourquoi Facebook parie sur Office 365 et le cloud de Microsof.Il y écrit notamment que Office 365 va au-delà de Word, Excel et PowerPoint, et évoque Office Delve qui est une application Office Graph et un tableau de bord d'entreprise pour la recherche personnalisée en s'appuyant sur du machine learning. Selon lui, il sera possible de tirer parti du Microsoft Graph avec les outils internes et services de Facebook.

Lako
23/07/2016, 15h34
Facebook sur Android permet de regarder les vidéos hors ligneLa sauvegarde ne s'arrête plus aux statutsDiscrètement, Facebook a commencé à déployer une mise à jour de son application Android qui permet aux utilisateurs d'enregistrer les vidéos pour les consulter plus tard. Une fois sauvegardé, le contenu est toujours accessible — même sans connexion réseau.

http://img1.lesnumeriques.com/news/54/54223/f_facebook.png

La fonctionnalité a d'abord fait son apparition en Inde, mais semble depuis ce mardi être active aux quatre coins du globe. Pour en profiter, il suffit de disposer d'un terminal mu par Android, de la dernière version de l'application du réseau social (https://play.google.com/store/apps/details?id=com.facebook.katana) et d'une connexion Internet. Concrètement, le menu associé à un post contenant une vidéo (flèche en haut à droite du post) offre désormais une option "enregistrer la vidéo", qui, comme son nom l'indique, lance la sauvegarde du contenu. Naturellement, il est nécessaire de rester connecté au Net assez longtemps pour aspirer le fichier. Mais par la suite, il est possible de le lire à tout moment en se rendant dans le volet "Enregistré" de l'application (menu principal, en haut à droite) — même si aucune connexion n'est disponible.

Notez que, contrairement à l'application Dailymotion, par exemple, les vidéos ainsi sauvegardées n'ont pas une durée de vie limitée. Elles resteront donc a priori dans la mémoire du terminal jusqu'à leur effacement par l'utilisateur — ou la suppression de l'application. On remarquera, par ailleurs, qu'elles ne sont pas stockées de manière à pouvoir être récupérées aisément en passant par un simple explorateur de fichiers. Le réseau social, qui se positionne de plus en plus fortement sur le créneau de la vidéo (http://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/facebook-paie-140-celebrites-medias-pour-utiliser-son-service-live-n53527.html), ne tient pas à voir ses contenus systématiquement dupliqués sur YouTube.

http://img1.lesnumeriques.com/news/54/54223/facebook-offline-video-save-796x413.jpg

Lako
24/07/2016, 11h58
Facebook à l’assaut de Snapchat avec Quick Updates
Facebook aurait lancé une phase de test concernant les Quick Updates, un service largement inspiré des messages éphémères de Snapchat.Né en 2011, Snapchat (http://www.begeek.fr/snapchat) a réussi à s’imposer comme l’un des nouveaux poids lourds des réseaux sociaux en très peu de temps. La plateforme de partage de statuts éphémères est même en train de marcher sur les platebandes de Facebook (http://www.begeek.fr/facebook), notamment auprès des internautes les plus jeunes.
Bien entendu, Facebook reste le numéro social n°1 dans le monde, mais commence à s’inquiéter de cette concurrence au point de développer des services largement inspirés de son jeune concurrent. Après l’échec de Slingshot il y a deux ans, c’est au tour des Quick Updates de faire leur apparition.
Facebook teste un concurrent de SnapchatCe sont nos confrères américains de Techcrunch (https://techcrunch.com/2016/07/21/facebook-quick-updates/) qui ont dévoilé la nouvelle. Selon eux, de nombreux utilisateurs de Facebook auraient vu apparaître une fonctionnalité baptisée Quick Updates.
Ces derniers ont en effet repéré un bouton en forme de smiley apparaître près de la barre de recherche de Facebook. En cliquant dessus s’offrait la possibilité de partager des photos avec un ou plusieurs amis, en y rajoutant du texte si nécessaire. Les photos ainsi partagées ne sont pas postées sur le fil d’actualité et ne sont consultables que par les personnes choisies, de plus, elles ne restent disponibles que pendant 24 heures.
Du neuf avec du vieuxPas besoin d’être un génie pour voir que cette fonctionnalité est largement inspirée de Snapchat. Selon les premiers retours, il semblerait cependant que la phase de test ne se déroule pas vraiment comme Facebook l’avait espéré et finalement, les Quick Updates ne devraient jamais être officialisées et resteront donc elles aussi éphémères !
On le voit, si Facebook a encore de la marge, le succès de Snapchat ne laisse pas indifférent du côté de la firme de Mark Zuckerberg (http://www.begeek.fr/facebook/mark-zuckerberg).

Lako
25/07/2016, 13h33
LES AUTORITÉS PRÉVIENNENT: N'ABUSEZ PAS AVEC LA PUBLICATION DE PHOTOS DE VOS ENFANTS SUR FACEBOOK

De nombreux utilisateurs ont l’habitude de poster tout et n’importe quoi sur Facebook. Y compris, et c’est très courant, des photos de leurs enfants, dont ils sont très fiers. Pourtant, il est nécessaire de se méfier avec certaines publications abusives...

Depuis quelques semaines, un nouveau « défi » circule sur le réseau social cher à Mark Zuckerberg : « Si tu es fière de tes enfants, poste 3 photos et nomine 10 de tes amies pour faire pareil ! ». Une pratique qui n’est, contrairement à de nombreux autres challenges Facebook, pas dangereuse, mais il faut toutefois se méfier.
http://www.feed-mdr.com/content/news/392.jpgVous voilà prévenus !
La gendarmerie française de la région Côte-d’Or appelle en effet les parents, et surtout les mamans, à se méfier : « Certes, vous pouvez être toutes fières ou fiers d’ailleurs d’être une maman ou un papa de magnifiques bambins, mais attention ! Nous vous rappelons que poster des photos de ses enfants sur Facebook n’est pas sans danger ! Il est important de protéger la vie privée des mineurs et leur image sur les réseaux sociaux. »
Et de conclure : « Parfois, les bons moments méritent d’être « juste » partagés dans la vraie vie ! »

Lako
28/07/2016, 09h38
Facebook veut que vous n’ayez plus besoin de Twitter.



http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Twitter-sur-mobile.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Twitter-sur-mobile.jpg)
A l’origine, Facebook et Twitter étaient deux réseaux sociaux fondamentalement différents. Facebook permet de trouver des amis et de communiquer avec eux en privé tandis que Twitter est une plateforme pour s’informer, pour réagir aux actualités et pour lire l’opinion des autres sur ce qui se passe dans le monde.
Cependant, Facebook a progressivement inclus ces caractéristiques de Twitter sur son réseau social

Tout d’abord, Facebook a lancé les hashtags qui, comme sur Twitter, permettent d’indexer les statuts. Puis, il a lancé les tendances sur son réseau social. Et l’année dernière, il a décidé de éinventer le moteur de recherche
A l’époque, j’expliquais qu’autrefois il s’agissait principalement d’un outil qui vous permet de trouver les statuts de vos amis ou des amis de vos amis. Mais depuis cette mise à jour, le moteur de recherche de Facebook montre des conversations publiques (parfois en temps réels) dans ses résultats.
Or, c’est exactement ce que des millions d’utilisateurs recherchent sur le moteur de Twitter (perso, je ne tweete presque jamais) : des discussions publiques sur les derniers attentats, sur la présidentielle américaine ou d’autres sujets d’actualité…
2 milliards de recherches sur Facebook

En tout cas, le moteur de recherche de Facebook est de plus en plus utilisé. Lors de l’annonce de ses derniers résultats trimestriels, l’entreprise a indiqué que ce moteur de recherche traite désormais 2 milliards de requêtes par jour, contre 1,5 milliards en juillet 2015 et contre 1 milliard en septembre 2012.
Et pendant que chez Facebook, tous les compteurs sont au vert (http://www.presse-citron.net/facebook-nest-plus-tres-loin-des-deux-milliards-dutilisateurs/), Twitter a du mal à convaincre de nouveaux utilisateurs.

Lako
28/07/2016, 10h11
Chez Facebook, tous les compteurs sont au vert.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/06/Facebook-fonction-anti-suicide.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/06/Facebook-fonction-anti-suicide.jpg)Facebook continue d’impressionner tout le monde avec ses résultats trimestriels. Le numéro un des réseaux sociaux vient de publier ses données pour le second trimestre 2016 et le moins que l’on puisse dire, c’est que sa croissance ne ralentit pas. En effet, désormais, Facebook n’est plus très loin des deux milliard d’utilisateurs. Selon ses derniers résultats, il compte maintenant 1,172 milliards d’utilisateurs par mois, contre 1,654 milliards au premier trimestre et contre 1,490 milliards il y a un an.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-r%C3%A9sultats-trimestriels.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-r%C3%A9sultats-trimestriels.jpg)Quant au nombre d’utilisateurs journaliers (le nombre d’utilisateurs qui ouvrent Facebook au moins une fois par jour), il est maintenant de 1,128 personnes.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-r%C3%A9sultats-trimestriels-1.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Facebook-r%C3%A9sultats-trimestriels-1.jpg)Par ailleurs, le nombre d’utilisateurs de Facebook sur mobile a également augmenté puisqu’il est maintenant de plus d’un milliard de personnes.
Et les revenus n’en sont pas moins impressionnants puisque durant ce second trimestre, Facebook a gagné 6,44 milliards de dollars (84 % de cet argent provient des publicités), ce qui correspond à une hausse de 59 % en glissement annuel.

Lako
28/07/2016, 10h29
Les bénéfices de Facebook ont quasiment triplé en un an
C'est une très belle performance qu'a révélée Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) mercredi lors de la publication de ses résultats du deuxième trimestre. Après avoir franchi la barre du milliard de dollars de bénéfices il y a six mois, la société a dépassé celle des 2 milliards à la fin du mois de juin. Même Google, qui avait aussi franchi ce palier après 12 ans d'existence, avait eu besoin de plus de temps - trois ans et demi - pour doubler le premier milliard. Par rapport à la même période l'année dernière, les bénéfices de la société de Menlo Park ont quasiment triplé - 186% d'augmentation !
Ces bons résultats sont dus à une hausse de 59% du chiffre d'affaires (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_chiffre-daffaires.html#xtor=SEC-3168) sur un an, pour atteindre 6,4 milliards de dollars au deuxième trimestre. La marge opérationnelle (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_marge-operationnelle.html#xtor=SEC-3168) a, elle, augmenté de 31% à 43%. Ces chiffres contrastent avec les résultats en demi-teinte des autres sociétés de la Vallée dévoilés hier ( Apple (http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0211161794709-apple-le-chiffre-daffaires-et-les-ventes-diphone-continuent-de-reculer-2017150.php) , Twitter (http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0211163737733-nouveau-rate-pour-twitter-qui-degringole-a-wall-street-2017248.php) ) et dépassent les prévisions des analystes.
Vers un plus haut historique à Wall StreetLes marchés ont récompensé la société californienne, son action gagnant 6% à après la clôture de la Bourse mercredi. Le réseau social semble parti pour ouvrir à son plus haut niveau historique jeudi à Wall Street - l'action est en hausse de 25% depuis le début de l'année, et la valorisation de la société dépasse désormais les 350 millions de dollars.
La clé du succès repose sur la ruée des annonceurs sur Facebook et Instagram. Ils sont attirés par le nombre toujours croissant d'utilisateurs sur les deux réseaux. Le premier compte désormais 1,71 milliard d'utilisateurs se connectant au moins une fois par mois, une augmentation de 15% en un an. Le deuxième a franchi la barre des 500 millions en juin dernier. Les revenus publicitaires de la société ont ainsi augmenté de 63% en un an.
Le mobile, principale porte d'entréeFacebook bénéficie aussi de son virage réussi vers le mobile. Les smartphones représentent désormais la porte d'entrée vers le réseau social pour plus de 90% des utilisateurs actifs quotidiens, un canal très recherché par les annonceurs, avec des prix plus élevés à la clé : le prix moyen d'une publicité a ainsi augmenté de 9%. Le mobile représente désormais une part ultra-majoritaire des revenus publicitaires : 84%, contre 76% il y a un an.
Les dirigeants n'ont pas donné de détails sur la part respective des deux réseaux mais Instagram, qui a introduit de la publicité sur son fil il y a un an et demi, « contribue de manière significative » a expliqué Sheryl Sandberg, la directrice des opérations du groupe. Dave Wehner, le directeur financier de la société, a cependant prévenu que le poids des publicités dans le total des contenus montrés sur Facebook ne pourrait pas continuer à augmenter sans risquer de rendre l'expérience utilisateur repoussante. La marge de progrès est cependant encore importante sur Instagram, où le ratio est moins élevé que sur Facebook, a-t-il indiqué. La société compte aussi sur les progrès d'Audience Network, l'offre de Facebook lancée en 2014 consistant à afficher ses pubs sur d'autres sites (Shazam, les jeux Kardhashian, le Huffington Post...), désencombrant ainsi le fil d'actualités de Facebook.
La vidéo, futur « coeur de tous les services »Mark Zuckerberg, le PDG (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_president-directeur-general.html#xtor=SEC-3168) de la société, a également fait part de sa satisfaction face aux « progrès du groupe dans la vidéo », expliquant qu'il comptait en faire « le coeur de tous nos services ». Si Live Video a permis d'augmenter le temps passé sur la plate-forme, l'offre qui permet de voir en direct des contenus réalisés par des inconnus comme des grands médias ne dégage pas encore de revenus. Sheryl Sandberg a précisé que la société comptait investir dans « de courtes vidéos », à la différence de Twitter qui passe des partenariats avec des chaînes de télévision pour diffuser des matchs en direct par exemple.

Lako
28/07/2016, 20h43
Facebook Messenger : voici comment retourner à l’ancienne boite de réceptionPour tous ceux qui n’aiment pas le nouvel écran d’accueil de Facebook Messenger.
En juin, Facebook a annoncé une drole de mise à jour pour son application Messenger. (http://www.presse-citron.net/facebook-messenger-a-aussi-un-algorithme-pour-votre-boite-de-reception/) En effet, au lieu de se contenter d’afficher une liste de conversations par ordre chronologique dans la boite de réception, Facebook a décidé d’y mettre des sections.
Ainsi, après quelques conversations récentes, Facebook interrompt la liste avec des sections comme les contacts favoris, les amis dont c’est l’anniversaire ou encore une liste d’amis qui sont en ligne.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/06/Le-nouvel-%C3%A9cran-daccueil-de-Messenger.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/06/Le-nouvel-%C3%A9cran-daccueil-de-Messenger.jpg)On peut comprendre qu’en effectuant cette modification, Facebook tente de doper l’engagement sur sa messagerie instantanée. Cependant, ce nouvel écran d’accueil n’est pas du goût de tout le monde (dont celui qui écrit cet article). Et fort heureusement, il est encore possible de retourner à l’ancienne version.
C’est d’ailleurs très simple. Sur l’écran d’accueil, il suffit de faire un appui long sur l’un des profils qui apparaissent sur la section que vous souhaitez faire disparaître. Cela va faire apparaître un menu sur lequel il y a un bouton « Masquer cette section » (vous savez ce qui vous reste à faire).

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Masquer-suggestions.png (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/07/Masquer-suggestions.png)Malheureusement, l’application indiquera que si « il y a du nouveau », la section peut réapparaître. Mais si ça arrive, il vous suffira de répéter l’opération.

Lako
29/07/2016, 16h03
Facebook : vos messages d’anniversaires dans un récap vidéoIl y a un moment de l’année où vous redoutez Facebook. Un moment de l’année où votre smartphone (http://www.journaldugeek.com/tag/smartphone/) devient fou à force de recevoir des notifications du genre “Bonne anniversaire” “Hpy Brthdy” ou “Maintenant t’as 30 ans, t’es VIEUX”. Le jour de votre anniversaire, votre mur Facebook est floodé de toutes part. Et Facebook va résumer tout ce flood dans une vidéo.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/07/Screenshot-69.pngAinsi, une fois votre mur envahi, Facebook vous proposera de visionner une petite vidéo similaire à ce qui existe déjà sur le réseau en mettant en avant les messages, mais aussi les photos postées à votre intention.Avant de la partager, vous pourrez choisir de la modifier. Ainsi, vous pourrez enlever la photo compromettante postée par votre copain d’enfance, ou alors le message de votre collègue un peu chelou. Vous savez, celui qui écrit “Bonne anniversaire”.

https://youtu.be/BGpgRGrpOKY

Lako
03/08/2016, 12h36
Facebook table sur les stars du foot pour booster son «streaming vidéo»

http://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/football-soccer-fc-barcelona-v-celtic-international-champions-cup-2016-aviva-stadium-dublin/1500000000728605/46:49,1973:1021-665-335-70/5cc07.jpg
Twitter (Periscope), Facebook (Facebook Live), Google (YouTube)... Tous les géants du Net parient sur le «live streaming», la diffusion de vidéos en direct, une tendance que les propos de Serge Aurier sur Pericope a révélé au plus grand nombre en France et qui devrait encore s'affirmer, en particulier grâce aux (vrais) contenus sportifs.


Une nouvelle preuve que le sport en direct et notamment le football sont appelés à servir le développement (et la monétisation) des audiences des réseaux sociaux vient d'être apportée par Facebook. Une preuve sonnante et trébuchante, ô combien.


Attirer des contenus premiumLancée à la poursuite de Twitter dont le service Periscope affiche une formidable croissance après un an d'existence seulement et des accords récents avec les grandes ligues de sport américain, l'entreprise de Mark Zuckerberg s'est engagée à rétribuer 140 éditeurs de contenus (http://www.wsj.com/articles/facebook-signs-deals-with-media-companies-celebrities-for-facebook-live-1466533472) pour promouvoir sa propre plateforme de streaming vidéo, Facebook Live. Parmi ces producteurs d'images en direct, le Barça, le Real, Arsenal...




Selon le Wall Street Journal qui a révélé cette série de contrats, Facebook a aligné 50 millions de dollars pour convaincre les éditeurs de diffuser leurs contenus sur sa plateforme. Les plus gros contrats (plus ou moins 3 millions de dollars pour un an) concernent de grands médias comme BuzzFeed, le New York Times ou CNN. Facebook a aussi signé des vedettes comme le chef écossais Gordon Ramsay ou l'humoriste américain Kevin Hart, maître de cérémonie lors de la dernière soirée des Oscars.


«Nous voulions inviter un large éventail de partenaires pour disposer de retours d'une grande variété d'organisations sur ce qui fonctionne et ne fonctionne pas», explique une porte-parole de Facebook citée par le WSJ. Le sport, lui aussi «invité» par Facebook, se partagera quelque 4,4 millions de dollars tirés des recettes publicitaires collectées par le réseau. Et la plus grosse part de cette galette ira aux Grands d'Espagne.





Selon les chiffres mentionnés par le quotidien américain (http://www.wsj.com/articles/facebook-enlists-soccer-elite-to-help-live-video-1469727818), le Barça touchera 1,03 million de dollars (918 000 euros) pour 11 mois de contrat (de mai 2016 à mars 2017). Leader football sur Facebook (plus de 94 millions de fans), le club catalan a déjà démontré sa puissance de frappe en fédérant quelque 550 000 connexions lors de la présentation d'André Gomes (https://www.facebook.com/fcbarcelona/videos/10154581058994305/) et presque autant pour un entraînement jeudi dernier en Angleterre (https://www.facebook.com/fcbarcelona/videos/10154583777399305/).


Iker Casillas, Alex Morgan, Kaka...Sur le même principe, Facebook a également enrôlé le Real Madrid contre 917 000 dollars. La régie audiovisuelle d'Arsenal touchera 349 000 dollars et Manchester City 221 000. Outre ces clubs à fort potentiel, le réseau social a aussi tablé sur quelques pointures individuelles dont Iker Casillas (211 000 dollars), l'Américaine Alex Morgan (115 000 dollars) et Kaka, le Ballon d'Or brésilien d'Orlando en MLS (49 000 dollars).


Si le football et les footballeurs se taillent la part du lion sportif, d'autres dieux du stade ont aussi été draftés par la firme californienne, des joueurs de foot (américain), le nageur Michael Phelps ou encore le pilote de F1 brésilien Felipe Massa.


Pour booster l'audience, Facebook envoie une notification à ses utilisateurs dès qu'un éditeur, dont ils ont «liké» le compte Facebook, lance un direct. Comme sur Periscope, la vidéo est également disponible en «replay» (deux tiers des vues environ).


Outre Periscope et YouTube, Snapchat s'affirme aussi comme un rival de Facebook sur le terrain du sport en direct. L'application a passé un accord avec Turner Sport (groupe Time Warner) pour créer des «histoires en direct» autour du basket, du baseball et du golf.

Lako
04/08/2016, 15h05
Aera 404 de Facebook : un lab hardware en mode collaboratif

http://www.silicon.fr/wp-content/uploads/2016/08/Water-jet-facebookaera404-684x513.jpg
Facebook a inauguré son laboratoire, Aera 404. Doté de machines-outils modernes, il se veut un lieu de collaboration entre ingénieurs des différents projets du groupe.

Facebook est connu pour sa présence dans le cyberespace avec son milliard d’utilisateurs quotidiens, mais la firme devient aussi un acteur majeur du hardware. Il suffit de regarder les différentes initiatives, comme OCP (Open Compute Project) qui vise à réaliser des infrastructures IT (stockage, serveur, réseau) standards, la réalité virtuelle avec Oculus ou plus récemment le drone Aquila pour diffuser l’Internet aux régions en manque de connectivité.
Pour réaliser toutes ses ambitions dans le domaine matériel, Facebook vient de se doter d’un laboratoire dédié au hardware. Basé sur le campus de Menlo Park, il est doté d’une surface de de plus de 2000 m². Facebook lui a donné le nom d’Area 404, référence au code d’erreur sur Internet quand on ne trouve pas une page. Dans un blog (https://code.facebook.com/posts/561611824036387/inside-facebook-s-hardware-labs-moving-faster-with-more-collaboration/), Spencer Burns, model maker CNC et Mikal Greaves, responsable énergie et mécanique, précisent que ce nom a été choisi, car ils n’ont pas trouvé de lieu comme celui-là avant. Sa construction a mis 9 mois et il s’est installé dans le Building 17 du campus.
Collaboration et prototypage de haut niveau

Mais qu’a-t-il de si particulier ce laboratoire ? Il a d’abord vocation à réunir les les ingénieurs travaillant sur les différents sujets touchant au hardware. Facebook dispose déjà de plusieurs laboratoires pour ses initiatives, Oculus dans la région de Seattle, un hangar pour le drone Aquila au Royaume-Uni et un espace pour la communication laser en Californie du Sud. Facebook a constaté qu’en réunissant les ingénieurs des différents sujets, le partage de leurs expertises peut faire avancer plus rapidement les projets. Area 404 se veut donc un lieu de collaboration, d’échanges pour une fertilisation croisée. Par exemple, l’équipe en charge du réseau sur OCP a donné des indications précieuses à celle responsable des transmissions sans fil, peut-on lire sur le blog.
Second élément d’Aera 404, il s’agit d’un lieu pour élaborer et accélérer le prototypage. Pour cela, Facebook a distingué deux zones dans le laboratoire, une partie dédiée au génie électrique et l’autre au prototypage. Pour réaliser ces différentes étapes, Aera 404 est doté des machines-outils les plus récentes et les plus performantes, impression 3D, découpe au jet d’eau, des fraiseuses et tours complexes, un microscope électronique et un scanner.

http://www.silicon.fr/wp-content/uploads/2016/08/9_Axis-1024x667-370x241.jpg (http://www.silicon.fr/wp-content/uploads/2016/08/9_Axis-1024x667.jpg)Avec cet outillage, Facebook ambitionne de créer plus rapidement des prototypes, de les tester et de les mettre rapidement en production. Toutes les initiatives du réseau social sont concernées par ce nouveau laboratoire y compris le Building 8 (http://www.silicon.fr/telegrammes-facebook-debauche-chez-google-un-hackathon-pour-lanfr-linkedin-soigne-hadoop-et-spark-projet-de-loi-sur-le-chiffrement-aux-us-publiee-144966.html), dirigé par Regina Dugan ancienne chef de la DARPA et qui est en charge de développer de nouveaux produits.

Lako
05/08/2016, 15h56
Ce qu’a fait Facebook pour lutter contre les clickbaits est INCROYABLE !Facebook part en guerre contre les clickbaits. Vous savez, ces titres incitatifs à l’extrême, un peu comme celui de cet article. Et pour gagner cette guerre, la firme de marque Zuckerberg sort la grosse artillerie en modifiant certains de ses algorithmes.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/08/Screednshot.pngUne attaque frontaleAinsi, Facebook analysera les titres et leur construction. Pas question ici de bloquer les titres incitatifs classiques (aussi vieux que la presse elle-même), mais bien les titres putassiers, qui ne donnent aucune information et qui existent seulement pour le clic. Ainsi, Facebook analysera la construction des titres et vérifiera s’ils se montrentclickbaits ou non en leur attribuant une note.Ainsi, les titres comme “Ce que cette maman a fait pour son fils est fabuleux” ou “Vous ne croirez JAMAIS ce que vient de trouver cet enfant dans son jardin” n’apparaîtront plus forcément dans votre fil d’actualité, malgré leur portée (reach). De plus, Facebook ne va pas seulement sanctionner les articles clickbaits, mais bien les pages qui les diffusent avec son système de notes. Une attaque frontale qui ne va pas forcément plaire aux sites et fanpages en question.Une guerre de longue haleineLa guerre contre les clickbaits ne date pas d’hier. En effet, il y a deux ans, Facebook avait déployé un algorithme pénalisant les articles connaissant une portée et un taux de partage anormal. Mais la chose n’a vraisemblablement pas suffi, puisque ce sont les sites qui les publient qui sont maintenant pénalisés. D’ailleurs, si cette mise à jour fonctionne bien, vous ne devriez donc pas voir cet article apparaître sur Facebook.

Lako
08/08/2016, 16h30
POUR CONCURRENCER SNAPCHAT, FACEBOOK TESTE LES FILTRES ET AUTOCOLLANTS




La guerre est déclarée entre les firmes de la Silicon Valley, qui rivalisent de majesté avec la copie, pour proposer dans leurs divers services des fonctionnalités identiques, aux appellations différentes, et entrant en concurrence frontale. Ainsi, outre Instagram qui a adopté les « Stories » il y a quelques jours, sa maison mère, Facebook, testerait en ce moment une autre fonctionnalité récupérée chez Snapchat.C’est décidément l’amour fou entre Facebook et Snapchat en ce moment. Dans une prochaine mise à jour de son application mobile, le réseau social de Mark Zuckerberg compte bien proposer des fonctions un peu plus créatives.http://www.fredzone.org/wp-content/uploads/2016/08/Facebook-Filtres-Autocollants-Photos-600x378.jpgOutre Stories proposé sur son autre pendant de partage de photos et vidéos, Facebook disposera bientôt de filtres et autocollants au sein des photos et vidéos. La fonctionnalité serait en cours de test en interne, et au sein d’un échantillon d’utilisateurs.Les Amériques à l’honneurFacebook a choisi le Brésil (où se tiennent les JO 2016 depuis quelques jours), et le Canada, pour tester ses filtres et autocollants. Fort d’une plage de 1,7 milliard d’utilisateurs désormais, le réseau social qui sait les jeunes attirés par ces petites fonctionnalités gadgets, compte réitérer le succès des filtres et autocollants de Snapchat sur sa propre application mobile. Ça a bien marché sur l’application de partage de photos éphémères, pourquoi ne serait-ce pas également le cas sur Facebook ?Dans la pratique ces nouveaux éléments visuels viendront se greffer au sein des photos et vidéos capturées, sur les visages des personnes présentes dans l’image. Le but est de généraliser leur usage, en proposant aux utilisateurs de partager leurs créations avec leurs amis, et ainsi de suite.Un désir de singularitéLoin de vouloir se faire coller un procès par son concurrent, Facebook use pour ses filtres et autocollants d’un moteur visuel développé par MSQRD, une application qu’il a rachetée il y a quelques mois de cela. Ainsi, la copie de Snapchat se limiterait tout simplement à l’idée originelle.Encore réservée à un cercle fermé d’employés et usagers sur Android et iOS au Canada, et iOS au Brésil, les filtres et autocollants Facebook seront proposés « prochainement » dans d’autres pays, au sein d’une mise à jour de l’application. Le réseau social n’a pas donné de date précise pour l’instant

Lako
09/08/2016, 09h01
Facebook imite Snapchat en proposant filtres et stickers
Après Instagram qui s’inspire des Stories de Snapchat, c’est au tour de Facebook d’imiter le réseau social aux photos éphémères en testant les stickers et les filtres.Snapchat (http://www.begeek.fr/snapchat) est très populaire auprès des jeunes utilisateurs, le réseau social au fantôme semble avoir trouvé la formule qui gagne et ses concurrents ne se gênent plus pour copier certaines de ses fonctionnalités. Facebook est en effet actuellement en train de tester de nouvelles fonctionnalités s’inspirant largement des stickers et des filtres disponibles chez son concurrent.
Facebook teste les stickers et les filtres façon SnapchatSnapchat avait refusé l’offre de rachat de Facebook et il semblerait que le plus grand réseau social au monde ait encore du mal à accepter ce refus. On apprenait, il y a quelques jours, que les Stories, empruntée à Snapchat, faisaient leur apparition sur Instagram (filiale de Facebook, rappelons-le) et c’est maintenant au tour des stickers et filtres d’être déployés dans l’application du réseau social de Mark Zuckerberg. Des fonctionnalités qui sont, là encore, la marque de fabrique du réseau social au fantôme.
A l’heure actuelle, seuls les utilisateurs canadiens et brésiliens ont accès à ces nouvelles fonctionnalités, mises en place alors que les Jeux Olympiques de Rio ont débuté il y a quelques jours. Au Canada elles sont disponibles sur iOS et Android (http://www.begeek.fr/android) et uniquement sur iOS au Brésil.
Rattraper son concurrent sur le partage des photos et vidéosAfin de séduire toujours plus les jeunes utilisateurs, Facebook ne semble avoir aucun complexe, tous les coups sont permis, quitte à emprunter des fonctionnalités qui ont fait le succès de ses concurrents. Snapchat est en plein essor et le réseau social de Mark Zuckerberg veut rattraper son retard sur le partage des photos et vidéos en proposant toujours plus de fonctionnalités à ses membres.
Ainsi, lorsque les membres ouvrent l’application Facebook, la caméra frontale se montre directement au-dessus du fil d’actualité à la place du « exprimez-vous ». Ils peuvent alors prendre un selfie (http://www.begeek.fr/selfie) ou enregistrer une petite vidéo qu’ils pourront agrémenter de filtres et d’autocollants directement sortis de l’application MSQRD, l’application rachetée par Facebook plus tôt dans l’année. Le nouveau contenu sera publié dans le fil d’actualité de l’utilisateur tout comme un post classique.

Lako
13/08/2016, 04h48
Adblock Plus rebloque les publicités sur FacebookIl n'aura fallu que deux jours à Adblock Plus pour contourner la mesure anti-adblock de Facebook. Les publicités sont à nouveau dissimulées.

Cela n'aura pas été bien long. Il y a deux jours, Facebook annonçait (http://www.cnetfrance.fr/news/adblock-ou-pas-vous-allez-voir-les-pubs-sur-facebook-39840590.htm)avoir trouvé une parade pour que ses publicités s'affichent même si l'utilisateur possède un bloqueur de publicité. Eyeo, qui édite le plus célèbre d'entre eux, Adblock Plus, annonce sur Twitter l'arrivée une parade à la parade, pour cacher à nouveau les pubs sur le réseau social.
Dans le post de blog (https://adblockplus.org/blog/fb-reblock-ad-blocking-community-finds-workaround-to-facebook) accompagnant l'annonce, Ben Williams, l'un des dirigeants de la firme , explique que la solution a été trouvée par la communauté Adblock Plus. Le logiciel étant open source, chacun est libre de consulter et de proposer des améliorations du code du logiciel. L'union fait la force, et visiblement l'efficacité. Ce nouveau code n'est en revanche pas exempt de défaut, puisqu'il bloque les publicités, mais aussi le contenu de pages et en provenance de ses amis.
Il subsiste donc quelques faux positifs, qui n'existeront probablement pas dans quelques jours... à moins que Facebook ne réplique. C'est d'ailleurs le scénario le plus probable. Qu'importe, Ben Williams explique déjà que lorsque cela arrivera ils le contourneront à nouveau... et ainsi de suite. C'est donc le début d'un jeu de chat et de la souris. Ou d'une guerre ouverte.
En tant qu'organe de presse, nous rappelons tout de même à nos lecteurs que l'utilisation de bloqueurs représente un véritable manque à gagner pour la profession et qu'il est ainsi important de les utiliser avec discernement. Passer en "liste blanche" les sites que vous consultez régulièrement leur permettra de continuer à fournir du contenu que vous appréciez.

Lako
16/08/2016, 06h53
FACEBOOK PAYANT DÈS CET ÉTÉ? PAS SI VITE... VOICI LA VÉRITÉ !

Pour les gens qui ont connu le bon vieux MSN Messenger et Hotmail, vous savez qu'il y a eu des chaînes de courriels interminables disant que les services deviendraient un jour payants à moins qu'on partage un fameux message.

Eh bien il en va de la même chose pour Facebook, des canulars se promènent un peu partout sur le réseau social #1 de la planète en disant que celui-ci coûtera 5.99$/mois dès cet été si on ne partage pas un fameux message.
http://www.meilleurhumour.com/content/news/880.jpgÀ quoi ressemblent ce fameu message ?
C'est officiel. Signé à 12:20. C'est même passé à la télé. Facebook commencera à facturer cet été. Si vous copiez ceci à votre mur votre icône sera bleue et Facebook sera gratuit pour vous. S'il vous plaît transmettre ce message, si ce n'est pas fait votre icône sera supprimée.
P. S : C'est du sérieux, l'icône deviendra bleue

Bien évidemment, tout cela est de la frime et rien n'est vrai dans tout ça. On n'a qu'à regarder la page d'accueil de Facebook : "Facebook et gratuit et le restera toujours" !

Alors pas d'inquiétudes, évitez de partager ces messages inutiles.

Lako
19/08/2016, 11h48
Avec Unity, Facebook peut-il concurrencer Steam?

http://img.bfmtv.com/c/630/420/891/026064d50c9cd780575659c3bcef3.jpg
Le réseau social prépare une nouvelle plateforme dédiée aux jeux vidéos, destinée à être téléchargée par les utilisateurs.Avec bientôt deux milliards d’utilisateurs (http://www.01net.com/actualites/facebook-approche-les-2-milliards-d-utilisateurs-1020433.html), Facebook a sous la main une gigantesque communauté de joueurs. Le succès de titres comme FarmVille (https://www.facebook.com/FarmVille/)lui ont permis d’engranger plusieurs milliards de dollars sur les cinq dernières années. Mais ces revenus sont en érosion (https://techcrunch.com/2016/08/18/facebook-desktop-game-platform/) face à la concurrence du jeu sur smartphone et tablette. Pour remonter la pente, le réseau social vient d’annoncer un partenariat avec Unity (https://developers.facebook.com/blog/post/2016/08/18/FB-Unity-Alpha/), la plus grosse plateforme de développement de jeu du marché. L’objectif est de faciliter la tâche des studios qui voudraient promouvoir leurs jeux sur Facebook. Les joueurs bénéficieront quant à eux d’un nouveau logiciel pour accéder au catalogue.

Actuellement, le catalogue de jeux tient sur une simple page Web (https://www.facebook.com/games/). Lesgamers pourront bientôt télécharger une plateforme directement sur leur ordinateur. Un fonctionnement très proche de celui de Steam (http://store.steampowered.com/), mais avec un contenu plus orienté vers le casual gaming ou les jeux indépendants. Unity est très utilisé par les développeurs de jeux iOS et Android. Parmi les nombreux succès développés grâce à ce moteur, on retrouve Angry Birds 2 (http://www.01net.com/telecharger/linux/Jeux/fiches/132048.html),Temple Run (http://www.01net.com/telecharger/linux/Jeux/fiches/122204.html) ou encore Pokémon Go (http://www.01net.com/actualites/pokemon-go-telechargez-la-premiere-mise-a-jour-maintenant-1005525.html).

Lako
19/08/2016, 12h02
Facebook annonce le développement d’une plateforme de jeux vidéo sur PC
http://s2.lemde.fr/image/2016/08/19/534x0/4984904_6_804f_exemples-de-jeux-developpes-sous-unity-sur_8f8876da20dced3a16df48593fee58b4.png

Facebook veut monter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/monter/) en puissance dans le secteur du jeu vidéo. Le réseau social (http://www.lemonde.fr/social/) de Mark Zuckerberg, jusque-là surtout célèbre pour des succès grand public comme Farmville, a annoncé jeudi 18 août (https://developers.facebook.com/blog/post/2016/08/18/FB-Unity-Alpha/) un partenariat avec Unity Technologies (http://www.lemonde.fr/smart-cities-technologies/), à l’origine d’une boîte à outils pour les développeurs de jeux vidéo (http://www.lemonde.fr/jeux-video/) parmi les plus populaires dans le secteur. « Unity et Facebook (http://www.lemonde.fr/facebook/) allient leurs forces pour ajouter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/ajouter/) de nouvelles fonctionnalités au [moteur de jeu] Unity afin de faciliter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/faciliter/) l’exportation et la publication de jeux (http://www.lemonde.fr/jeux/) sur Facebook », précise l’entreprise sur son blog à l’intention des développeurs, tout en précisant qu’un « groupe limité » de créateurs de jeux a déjà accès à cette nouvelle option.Peu connu du grand public, Unity fait fonctionner (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/fonctionner/) de nombreux titres, aussi bien en deux dimensions (comme Monument Valley et Crossy Road sur smartphones), en 3D (tels les jeux indés très remarqués I Am Bread ouFirewatch), qu’en réalité virtuelle (comme Lucky’s Tale, jeu de lancement du casque de réalité virtuelle Oculus Rift). Il est notamment apprécié des développeurs pour son accessibilité et sa souplesse : il permet d’aisémentconvertir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/deuxieme-groupe/convertir/) un même titre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/titre/) sur des plateformes très différentes, du PC à la PlayStation 4 en passant par l’iPhone (http://www.lemonde.fr/iphone/). Et donc, prochainement, Facebook.


Pour le réseau social, qui revendique 650 millions de joueurs actifs, ce mouvement s’inscrit dans la suite logique du rachat en mars 2014 d’Oculus VR, la start-up à l’origine du très médiatique Oculus Rift, dont le déploiement a commencé en 2016. Dans un communiqué de mai dernier, Unity revendiquait la place de « première plateforme de développement (http://www.lemonde.fr/developpement/) de réalité virtuelle au monde (http://www.lemonde.fr/afrique-monde/) », arguant que « 90 % des applications [de réalité virtuelle du casque de Samsung (http://www.lemonde.fr/samsung/)] Gear sont créées sur la plateforme, tout comme plus de la moitié des jeux lancés sur Oculus Rift. »
Sur le créneau du jeu vidéo en général et de la réalité virtuelle en particulier, Facebook est notamment en concurrence avec la plateforme de jeu vidéo numéro un sur ordinateurs, Steam, qui a lui aussi commencé le déploiement de son casque, le Vive, en partenariat avec le constructeur de smartphones HTC.


Facebook annonce le développement d’une plateforme de jeux vidéo sur PC
En savoir plus sur Facebook annonce le développement d’une plateforme de jeux vidéo sur PC (http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/08/19/facebook-annonce-le-developpement-d-une-plateforme-de-jeux-video-sur-pc_4984906_4408996.html#xr3jtTr9aOh1BpkU.99)

Lako
20/08/2016, 15h15
Facebook vise les jeunes fans de vidéo avec une nouvelle application
Le groupe américain Facebook vise les adolescents et jeunes internautes amateurs de vidéo, et la messagerie Snapchat très populaire auprès de ce public, avec une nouvelle application pour iPhone visant à créer des réseaux sociaux entre camarades d'école.
L'application Lifestage, mise à disposition sans fanfare par Facebook sur la boutique en ligne iTunes, peut être téléchargée par n'importe qui, mais on ne peut pas accéder aux profils d'autres utilisateurs si on a plus de 21 ans.
"Lifestage rend facile et amusant de partager votre profil vidéo avec votre réseau à l'école" et de "mieux connaître les gens dans votre école ou les écoles voisines", indique la description de l'application.
Le nouveau réseau social demande à ceux qui le rejoignent de faire des clips vidéo pour décrire ce qu'ils aiment ou ce qui les énerve, leurs styles de danse, et d'autres aspects de leur personnalité.
Ces clips sont réunis pour servir de profil public pouvant être vus par les autres utilisateurs, à condition qu'ils soient assez jeunes. Un outil permet aussi de bloquer ou signaler des personnes plus âgées.
Facebook n'a pas répondu à une demande de commentaire de l'AFP.
Certains observateurs voient dans ce nouveau produit un nouvel effort du groupe pour rester en phase avec les jeunes internautes pas forcément désireux de rejoindre leurs parents sur son réseau principal.
Lifestage renforce son offensive contre Snapchat, dont les messages et vidéos qui disparaissent après avoir été visionnés par leur destinataire sont très populaires auprès des adolescents américains.

Lako
22/08/2016, 11h58
Facebook lance Lifestage pour les jeunes et contre Snapchathttp://www.cbnews.fr/var/media/326/728x338/lifestage-325534.jpg
Avec Lifestage, Facebook vise les adolescents et jeunes internautes amateurs de vidéo, et... Snapchat très populaire auprès de ce public. La nouvelle application pour iPhone mise à disposition sans fanfare par Facebook sur iTunes (version américaine), peut être téléchargée par n’importe qui, mais on ne peut pas accéder aux profils d’autres utilisateurs si on a plus de 21 ans. "Lifestage rend facile et amusant de partager votre profil vidéo avec votre réseau à l’école" et de "mieux connaître les gens dans votre école ou les écoles voisines", indique la description de l’application. Le nouveau réseau social demande à ceux qui le rejoignent de faire des clips vidéo pour décrire ce qu’ils aiment ou ce qui les énerve, leurs styles de danse, et d’autres aspects de leur personnalité. Ces clips sont réunis pour servir de profil public pouvant être vus par les autres utilisateurs, à condition qu’ils soient assez jeunes. Un outil permet aussi de bloquer ou signaler des personnes plus âgées. Certains observateurs voient dans ce nouveau produit un nouvel effort du groupe pour rester en phase avec les jeunes internautes pas forcément désireux de rejoindre leurs parents sur son réseau principal. Lifestage renforce son offensive contre Snapchat, dont les messages et vidéos qui disparaissent après avoir été visionnés par leur destinataire sont très populaires auprès des adolescents américains.

Lako
22/08/2016, 16h22
IA : Facebook partage fastText, ses travaux sur le langage naturel

Facebook a versé fastText, son outil d’interprétation du langage humain par la machine, en Open Source. Objectif : accélérer les développements de l’intelligence artificielle dans la compréhension du langage.

Le laboratoire de recherche en intelligence artificielle de Facebook (le FAIR) vient de verser fastText en Open Source. FastText est une bibliothèque d’applications conçue pour construire des solutions évolutives de représentation et de classification de textes. Autrement dit, des outils d’intelligence artificielle pour interpréter le langage humain. Les chercheurs du réseau social ne se contentent pas d’ouvrir librement leurs sources logicielles au plus grand nombre (sur GitHub (https://github.com/facebookresearch/fastText)), ils se proposent également de partager leurs travaux de recherche (ici (http://arxiv.org/abs/1607.01759) et là (http://arxiv.org/abs/1607.04606)).
L’apprentissage de la sémantique est l’un des plus grands défis auquel est aujourd’hui confrontée l’intelligence artificielle. Il s’agit de faire comprendre et interpréter le sens des expressions, écrites ou orales, d’un humain par une machine. « Mais c’est un besoin essentiel, estiment les chercheurs Armand Joulin, Edouard Grave, Piotr Bojanowski et Tomas Mikolov dans une contribution de blog (https://research.facebook.com/blog/fasttext/). Le traitement de texte automatique constitue un élément clé de l’interaction au jour le jour avec votre ordinateur; c’est un élément essentiel que ce soit pour la recherche sur le Web, le classement des contenus ou le filtrage du spam, et quand cela fonctionne bien, c’est complètement invisible pour vous. Avec la quantité croissante de données en ligne, il y a un besoin d’outils plus souples pour mieux comprendre le contenu de très grands ensembles de données, afin de fournir des résultats de classification plus précis. »
FastText et l’approche par classementD’où l’idée de partager les recherches internes avec la communauté scientifique dans l’espoir d’accélérer les développements dans le domaine du traitement informatique du langage humain. Une démarche similaire à celle de l’Open Compute Project (OCP) du même Facebook pour améliorer le design hardware des éléments du datacenter. Les travaux de fastText s’attachent notamment à traiter des représentations de phrases composées de « sacs de mots » et d’informations issues de mots secondaires, et à les partager. L’objectif immédiat visant à classer efficacement les textes et à « apprendre » les mots par des représentations vectorielles.
L’approche de la solution de Menlo Park permettrait ainsi de palier les limites que les réseaux neuronaux informatiques rencontrent avec les grands ensembles de données. En utilisant des classificateurs hiérarchiques au lieu d’une structure plane dans laquelle les différentes catégories sont organisées en arbre. « Cela réduit le temps [de traitement] dû à la complexité de formation et de tests des classificateurs de texte [qui passent d’un mode] linéaire à [un mode] logarithmique en respectant le nombre de classes », souligne les contributeurs du billet.
Quelques secondes contre plusieurs heuresRésultat, la où les solutions comme Char-CNN ou VDCNN mettent plusieurs heures à interpréter du contenu Yahoo, fastText n’aurait besoin que de 5 secondes. Avec un taux de pertinence d’interprétation similaire, voire supérieur, aux offres concurrentes, selon Facebook. « FastText peut également classer un demi-million de phrases parmi plus de 300 000 catégories en moins de cinq minutes », assurent les chercheurs. Et cela dans différentes langues occidentales, dont l’anglais, l’allemand et le français. L’objectif final étant de construire des solutions qui sauront interpréter le langage naturel aussi bien que les humains. Un doux rêve qui relève aujourd’hui encore de la science-fiction.

Lako
23/08/2016, 12h35
Facebook songe à activer le son des vidéos auto-playe nouveau test de Facebook rend son application plus bruyante.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Facebook-Pixabay.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Facebook-Pixabay.jpg)Il y a encore trois ans, la plupart des vidéos sur Facebook était des liens vers YouTube. Mais depuis, Facebook a développé son format vidéo natif. Et l’une des fonctionnalités qui a contribué à donner de la visibilité aux vidéos Facebook par rapport aux vidéos des services tiers est l’auto-play.
Comme vous le savez certainement déjà, lorsqu’un vidéo Facebook apparait sur le fil d’actualité, celle-ci se lance automatiquement et s’arrête si vous continuez à faire défiler. Le son est désactivé mais si l’utilisateur s’intéresse au contenu, il peut faire monter le volume.
Cependant, on apprend aujourd’hui que le numéro un des réseaux sociaux teste une version de son application sur laquelle le son des vidéos est activé par défaut lorsque celles-ci se lancent en auto-play.
Quelques utilisateurs ont remarqué cette nouveauté et par ailleurs, dans un communiqué relayé par le site Mashable, Facebook a indiqué qu’il s’agit actuellement d’un test qu’il mène sur un nombre limité de comptes. « Nous faisons un petit test sur le fil d’actualité lors duquel les gens peuvent choisir de regarder les vidéos avec le son dès le début. Pour ceux qui sont concernés par ce test et qui ne souhaitent pas que le son soit activé, il peuvent désactiver cette fonctionnalité dans les options ou directement sur la vidéo », lit-on.
Cette mise à jour du fil d’actualité pourrait être assez impopulaire, mais en même temps, elle permettrait à Facebook d’avoir plus de portée pour ses vidéos, dans la mesure où avec le son, les vidéos auto-play attireraient encore plus l’attention des utilisateurs.

Lako
23/08/2016, 15h52
Facebook sait (presque) tout de vous, et il ne s'en cache plusFacebook lance un portail Web d’information sur sa méthode de ciblage publicitaire. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur la nature des nombreuses données personnelles collectées par l’entreprise.

Ce n’est un secret pour personne, Facebook est très gourmand en matière de données personnelles, dont il se sert pour offrir des publicités ciblées. Pour autant, nous ne connaissions ni la recette du réseau social pour constituer ses profils d’utilisateurs, ni la nature exacte des données collectées.
Mais l’entreprise de Mark Zuckerberg vient de faire un pas vers la transparence ce mardi 23 août en lançant un nouveau portail Web (https://www.facebook.com/ads/about/?entry_product=ad_preferences) et de nouveaux paramètres de gestion du ciblage publicitaire (https://www.facebook.com/login.php?next=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fad s%2Fpreferences%2F%3Fentry_product%3Dad_settings_s creen). Visant avant tout à informer les utilisateurs et à faciliter la gestion des données personnelles auxquelles Facebook peut accéder pour son ciblage, ces nouveaux outils nous en apprennent un peu plus sur ce que le réseau social sait de notre vie privée.
98 données différentes sur chaque utilisateurAinsi, on apprend que Facebook collecte pas moins de 98 données différentes sur chacun de ses utilisateurs afin de créer des profils qu’il vendra ensuite aux annonceurs. Parmi ces données, il y a l’ensemble des informations saisies par les utilisateurs sur le réseau social (publications, likes etc…), les données récupérées sur son terminal, ou encore sa localisation. Mais pas seulement.
En effet, Facebook peut par exemple connaître votre ligne de crédit ou certaines informations financières vous concernant, même si vous ne les lui avez jamais transmises. Comment est-ce possible ? C’est très simple, le réseau social traque votre activité sur presque tous les sites que vous visitez.
Des sources d’informations multiplesComme l'explique le Washington Post (https://www.washingtonpost.com/news/the-intersect/wp/2016/08/19/98-personal-data-points-that-facebook-uses-to-target-ads-to-you/?tid=sm_tw), Facebook est alerté dès lors que vous visitez un site possédant un bouton « like » ou « partager », et dès qu’une publicité en provenance de son réseau Atlas s’affiche. En outre, les éditeurs de sites Internet peuvent également avoir accès à un outil nommé Facebook Pixel, qui permet aux deux parties de tracer les visites de tous les utilisateurs de Facebook, connectés à leurs comptes ou non.
Le réseau social travaille également avec des sociétés telles que Epsilon et Acxiom, qui récoltent des informations à partir, notamment, de documents gouvernementaux ou de sources commerciales (abonnements à des magazines par exemple). Grâce à ces multiples sources, Facebook est capable de dire si vous êtes des parents, mariés, expatriés, ou si vous êtes sur le point d’acheter une voiture par exemple.

Lako
25/08/2016, 14h05
L’outil de profilage de Facebook est sûrement le pire test de personnalité au mondeGrâce aux données collectées lors de votre passage sur Facebook (et en dehors), le réseau social détermine votre profil publicitaire. Celui qu’il revendra aux annonceurs pour vous proposer ensuite des publicités ciblées, ou personnalisées. Le résultat est parfois très drôle. Surtout très loin de la réalité.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/08/facebook-profil-personnalit%C3%A9-publicit%C3%A9-640x402.jpgEn ces temps de courses à l’égo à la présidentielle, que ce soit aux États-Unis ou en France, les posts et commentaires politiques pullulent sur la plateforme.La collecte de données, business model de FacebookSur Facebook l’ensemble du contenu que vous publiez est analysé et traité par le réseau social afin de déterminer votre profil et de revendre les précieuses données qui vous entourent à des annonceurs qui proposeront ensuite des publicités personnalisées affichées sur votre profil et susceptibles de vous intéresser. C’est de cette manière que Facebook récolte plus de 90 % de ses revenus.La plateforme permet désormais à ses membres de consulter le profil qu’elle se fait d’eux dans les « préférences publicitaires (https://www.facebook.com/ads/preferences) », celui vendu aux annonceurs. Une initiative apparue en marge de son combat contre les bloqueurs de publicité (http://www.journaldugeek.com/2016/08/09/facebook-contourner-adblocker-forcer-affichage-publicite/). Facebook précise ainsi :
« Plutôt que de payer ces entreprises pour débloquer les publicités que nous affichons — comme certaines d’entre elles nous l’ont suggéré par le passé — nous donnons aux usagers le contrôle des publicités avec la mise à jour des préférences publicitaires et de nos autres outils de contrôle de la publicité »
http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/08/facebook_profil_publicit%C3%A9s-640x361.jpgDes données qui servent à votre profilage publicitaire« Nous utilisons des informations de différentes sources pour déterminer quelles pubs peuvent être intéressantes et utiles pour vous. Des choses comme vos informations de profil Facebook, votre activité sur la plateforme et vos interactions avec les entreprises peuvent influencer les pubs que vous voyez », indique encore la plateforme.Vous pouvez également voir quels annonceurs possèdent vos coordonnées et donc ceux dont vous pouvez voir les publicités. Libre à vous d’en supprimer ou d’en ajouter.Concernant votre profil publicitaire, il est constitué de vos centres d’intérêt, répartis en plusieurs catégories (Actualité et Divertissement, Personnes, Passe-temps et activités, Style de vie et culture, etc.).

ironman
25/08/2016, 17h26
Grande-Bretagne: les géants de l'internet accusés de ne pas en faire assez contre le cyber-jihadisme.
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/facebookafp_4.jpeg


Une commission du Parlement britannique a accusé jeudi les géants de l'internet, en particulier Google, Facebook et Twitter, de ne pas déployer suffisamment de moyens pour empêcher les cyber-jihadistes de mettre à profit leurs services.
"La ligne de front moderne, c'est internet", écrit le député Keith Vaz, président de la commission des Affaires intérieures, dans un rapport publié jeudi.
"Ses forums de discussion et réseaux sociaux sont la sève de Daech et des autres groupes terroristes en matière de recrutement, de financement et de diffusion de leur idéologie", poursuit-il.
"Et c'est en toute connaissance de cause que les grandes entreprises comme Google, Facebook et Twitter (toutes trois américaines, ndlr), se révèlent incapables de répondre à cette menace", ajoute-t-il en estimant que cet "échec" fait de certaines parties d'internet des zones de non-droit.
Quant aux centaines de milliers de comptes suspendus par Twitter et aux millions de vidéos supprimées par Google, elles ne représentent qu'une "goutte dans l'océan", affirme la commission.
Le problème, souligne-t-elle, vient notamment du manque de moyens humains mis à disposition pour traquer les contenus litigieux: "Ces entreprises ont des équipes de seulement quelques centaines d'employés pour surveiller des réseaux de milliards de comptes".
Twitter a annoncé la semaine dernière avoir suspendu 235.000 comptes ces six derniers mois dans le cadre de sa lutte contre les publications faisant la promotion du terrorisme.
Ajouté aux suspensions déjà évoquées en février, quand Twitter avait donné un chiffre pour la première fois, cela porte le total des comptes à contenus terroristes suspendus depuis mi-2015 à 360.000.
L'entreprise avait réaffirmé à cette occasion qu'il n'y a "pas d'algorithme magique" pour identifier les contenus terroristes sur internet. C'est aussi ce qu'ont indiqué par le passé d'autres grands acteurs d'internet.
A l'instar du Royaume-Uni, plusieurs gouvernements ont fait monter la pression pour renforcer la lutte contre la propagande jihadiste en ligne.
La commission du Parlement britannique recommande de muscler les moyens de la police anti-terroriste chargée de la surveillance d'internet. Plus insolite, elle propose également de faire appel aux créateurs de jeux vidéo pour contrer la propagande jihadiste avec des moyens sophistiqués.

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Lako
25/08/2016, 18h28
Après la vidéo, Facebook va tester le son en “autoplay”Les internautes sont majoritairement contre l’autoplay ? Facebook n’en a cure et va tester le son par défaut pour les vidéos diffusées en autoplay sur sa plateforme.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/08/facebook-son-autoplay-640x480.jpgFacebook, c’est 8 milliards de vidéos visionnées par jour (en novembre dernier), mais sans doute pas assez pour le réseau social n°1 dans le monde qui veut supplanter YouTube (http://www.journaldugeek.com/2015/12/30/video-facebook-mieux-youtube/) et risque de se faire distancer par Snapchat (10 milliards/jour en août).Mark Zuckerberg est « obsédé » par la vidéo et mise beaucoup sur ce format, c’est la priorité numéro un du réseau social : s’il fallait une preuve supplémentaire, les nouvelles options et fonctionnalités proposées (vidéo dans les commentaires (http://www.journaldugeek.com/2016/06/10/les-videos-en-commentaire-arrivent-sur-facebook/),Slideshow (http://www.journaldugeek.com/2016/06/28/slideshow-video-facebook/), Live Vidéo (http://www.journaldugeek.com/2016/02/20/facebook-live-video-monde-entier/)) autour du format chouchou en sont une.La vidéo sur mobile, le format star de FacebookFacebook « sera définitivement mobile et probablement tout vidéo d’ici à cinq ans », prédit Nicola Mendelsohn, vice-présidente de Facebook pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique. Le mobile est également le nouvel eldorado des annonceurs, ajoutez à cela le fait que la vidéo soit le support le plus rémunérateur en terme de revenus publicitaires et vous comprendrez l’activisme de Facebook en la matière. La vidéo représente donc l’avenir (Facebook Surround 360° (http://www.journaldugeek.com/2016/05/18/voici-la-premiere-video-facebook-tournee-avec-la-camera-surround-360/)) du réseau social.Le principal objectif est de capter l’attention de l’utilisateur pour qu’il visionne et partage toujours plus de contenu, vidéo si possible, et reste le plus longtemps sur le réseau social.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/08/facebook.jpg (http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/08/facebook.jpg)Après la vidéo, voici le son en autoplay…L’autoplay fut la première option choisie. Désormais, en déroulant le fil d’actualité, les vidéos se lancent automatiquement. Une pratique qui a le don d’irriter certains internautes, d’autant plus que le format est mis en avant donc présent en nombre sur le réseau social. Facebook peut ensuite se vanter d’engranger les millions de vues, la firme ne communiquant pas sur la manière dont elles sont comptabilisées.Jusqu’ici, le son était désactivé par défaut, libre aux membres de l’activer. Mais ça, c’était avant. Il arrive parfois qu’en lançant une vidéo, le temps que l’utilisateur active le son, il rate quelques précieuses secondes. C’est donc officiellement pour parer à cette difficulté et améliorer toujours plus l’expérience (de certains) utilisateurs que Facebook teste le son directement en autoplay. Uniquement en Australie pour l’instant, sur les vidéos y compris les publicités et Facebook Live.… malgré 80% d’avis négatifs sur la questionEt ce, malgré les 80% d’utilisateurs qui « réagissent négativement » aux publicités sonores qui s’affichent sur leur écran intempestivement, indique Mashable (http://mashable.com/2016/08/23/facebook-video-sound-autoplay/#HerkExstw5qd). Résultat d’une étude maison (https://www.facebook.com/business/news/updated-features-for-video-ads).Pour éviter les mécontentements, Facebook a prévu d’afficher une pop up expliquant comment désactiver le son par défaut dans les paramètres ou directement sur la vidéo. Dans une autre phase test, le son est désactivé par défaut, mais une icône son sera mise en avant pour faciliter l’activation/désactivation du son.Le résultat du test déterminera l’option à privilégier. C’est gagné ?

Lako
28/08/2016, 10h54
Facebook : Comment gérer le ciblage publicitaire ?Facebook propose un outil qui permet de gérer les centres d’intérêt qu’il vous a attribué en espionnant vos données de navigation pour son ciblage publicitaire.Vous l’avez sans doute déjà remarqué, Facebook (http://www.begeek.fr/facebook) est souvent très fort lorsqu’il s’agit de vous proposer de la publicité en rapport avec vos centres d’intérêt. Le système de ciblage publicitaire du réseau social est en effet particulièrement puissant, bien aidé par la somme d’informations personnelles qu’on lui fournit par les pages que l’on aime ou les groupes auxquels on appartient.
En fouillant dans les préférences de votre compte utilisateur, il est possible de voir comment Facebook parvient à vous proposer des publicités qu’il juge pertinentes pour vous en se basant sur vos centres d’intérêt.
Ce que Facebook sait de vousOn ne pense pas toujours à fouiller dans les paramètres utilisateurs de son compte Facebook, pourtant, ces derniers sont parfois riches en information. Pour savoir les centres d’intérêt que Facebook a identifiés vous concernant, il suffit de se rendre dans Paramètres > Publicités > Publicités basées sur mes préférences > Consulter les préférences publicitaires.
Vous aurez alors accès à la liste des centres d’intérêt que Facebook vous a assignés en piochant dans vos j’aime, partages, mais également en scrutant de près votre historique de navigation. Ces centres d’intérêt sont classés dans 13 catégories différentes et il est parfois effrayant de voir à quel point le réseau social nous connaît bien ! Il est également possible de voir des exemples de publicités affichées pour ces centres d’intérêt pour juger sur pièce si elles sont pertinentes ou non.
http://media.begeek.fr/2016/08/prfrences-publicitaires-facebook-650x488.jpg
Facebook compile vos centres d’intérêts et vous permet de les gérer
Gérer vos centres d’intérêtSi jamais vous voyez que l’algorithme vous a attribué une passion que vous n’avez pas, il est possible de gérer ces centres d’intérêt en supprimant ceux que vous ne jugez pas pertinents. Libre à vous de tout supprimer si vous le souhaitez. Plus intéressant encore, vous pourrez également consulter la liste des annonceurs qui utilisent vos coordonnées.
Là encore, vous pourrez gérer finement cette catégorie. Reste à savoir si vous préférez recevoir de la publicité ciblée susceptible de vous intéresser, ou être inondé par tout et n’importe quoi…

Lako
29/08/2016, 10h40
Facebook va employer moins d’humains pour sa rubrique TendancesAccusé de partialité politique, Facebook réduit l’intervention humaine pour sa liste des sujets tendances.
http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Hillary-Clinton.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Hillary-Clinton.jpg)
Par Zachary Moskow (Zachary Moskow) [CC BY-SA 4.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)], via Wikimedia Commons
Bien qu’il ne se définisse pas comme un média, contrairement à Twitter (http://www.presse-citron.net/twitter-nest-plus-un-reseau-social/), Facebook travaille avec des journalistes, pour faire tourner sa rubrique « Tendances ».Cette fonctionnalité avait fait l’objet d’une polémique au printemps (http://www.presse-citron.net/facebook-dement-les-soupcons-de-manipulation-politique-de-ses-trending-topics/), après la publication d’articles de Gizmodo, appuyés par des révélations, qui accusaient cette fonctionnalité de partialité politique, aux dépens du parti républicain, aux USA.
Et aujourd’hui, par ailleurs, Facebook décide de modifier le fonctionnement de cette fonctionnalité, qui utilisera moins d’humains et plus d’algorithmes.
Sur son site web, le numéro un des réseaux sociaux explique que le produit sera plus automatisé et qu’il n’y aura plus de descriptions rédigées par des humains pour ces sujets tendances.
Le groupe américain évoque des raisons pratiques. Il explique que pour que la fonctionnalité soit disponible pour un plus grand nombre de personnes, dans plus de pays, il est obligé de recourir à plus d’automatisation. Cependant, il admet que « suite aux retours qu’il a eu de la communauté Facebook plus tôt cette année », il a décidé de procéder à ces modifications plus tôt que prévu.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Les-Trendings-de-Facebook.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Les-Trendings-de-Facebook.jpg)Aucune preuve de partialitéAprès, il faut savoir que même si Facebook entend donc d’avantage automatiser la création de ses listes de tendances (qui sont personnalisées), il continuera à recourir à l’intervention humaine, afin de maintenir la qualité du produit.
En ce qui concerne les accusations de partialité, Facebook a également expliqué que suite aux révélations de Gizmodo, il a mené une enquête, mais n’a trouvé aucune preuve de partialité politique « systématique ».
Mais quoi qu’il en soit, la mise à jour annoncée aujourd’hui devrait calmer l’opinion publique aux Etats-Unis, à quelques mois des prochaines élections présidentielles.

ironman
29/08/2016, 17h24
Le pari risqué de Facebook dans les jeux vidéo
Facebook veut réinvestir le marché, avant l’avènement de la réalité virtuelle.L'ogre des réseaux sociaux rêverait-il de devenir roi dans la diffusion des jeux vidéo ? Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) a récemment annoncé un partenariat avec Unity (http://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0211215730325-facebook-veut-muscler-son-offre-de-jeux-video-2021975.php) , boîte à outils préférée des développeurs. Le but : aider les éditeurs à faire des jeux au format Facebook. La société de Mark Zuckerberg prépare dans la foulée une plate-forme de distribution dématérialisée pour concurrencer le leader mondial Steam, à destination des utilisateurs. Facebook veut ainsi signer son retour dans les jeux vidéo. Mais il voit plus loin encore, avec la réalité virtuelle. Son casque Oculus Rift a été officiellement lancé cette année.
Un vecteur d'engagement« Le jeu vidéo est un vecteur d'engagement et de monétisation de ses utilisateurs », explique Jean Pujol, consultant en culture digitale chez Wavestone. Ainsi, sur plus de 1,7 milliard d'utilisateurs, le réseau social compte 650 millions de joueurs. Un bassin de gamers actifs qui fait rêver beaucoup d'éditeurs. Le groupe affirme même avoir reversé 2,5 milliards de dollars de revenus aux éditeurs de jeux vidéo en 2015.
Mais sa plate-forme de jeux a perdu en attractivité. « Facebook a longtemps occupé une place de choix dans les jeux vidéo, jusqu'à la fin des années 2000 », explique Laurent Michaud, en charge des jeux vidéo à l'Idate. Rappelez-vous : Farmville, Candy Crush, et tous ces petits jeux qui fleurissaient sur vos murs Facebook. Des jeux dits « casual », simples, addictifs et occasionnels, que le réseau social diffusait. Vos « amis » vous invitaient peut-être même à y jouer. « Mais la société a raté un virage avec l'avènement de l'iPhone et la bascule vers les jeux mobiles », continue l'expert.
Vers l'Oculus RiftA long terme, « L'objectif de Facebook est la réalité virtuelle. Les jeux vidéo ne sont qu'un premier pas », explique Leslie Griffe de Malval, analyste-gérant chez Fourpoint. Facebook a investi 2 milliards de dollars en 2014 (http://www.lesechos.fr/25/03/2014/lesechos.fr/0203398755555_facebook-se-positionne-sur-la-realite-virtuelle-et-imagine-l-apres-mobile.htm) pour racheter la start-up Oculus VR (http://www.lesechos.fr/04/11/2015/lesechos.fr/021454587834_palmer-luckey--oculus----le-visage-poupon-de-la-realite-virtuelle.htm) , créatrice du casque de réalité virtuelle du même nom. La firme emploie ainsi, désormais, près de 400 personnes dans ce domaine. Le réseau social rêve d'améliorer ses interfaces, mais aussi de proposer des concerts en immersion depuis chez soi, ou de faire passer des fêtes de famille ensemble malgré la distance.
Mais le pari est risqué. L'Oculus Rift coûtera 699 euros. Un prix peu accessible au grand public. Seuls les détenteurs de PC puissants pourront jouer. Et la concurrence s'annonce acharnée. Steam et HTC sortent également leur casque Vive, la version concurrente (http://www.lesechos.fr/19/12/2015/lesechos.fr/021569512624_test-tech---le-casque-de-realite-virtuelle-oculus-rift-vs-le-htc-vive.htm) . Google, Microsoft, Sony et Apple sont aussi dans la course. « 2016 ne sera pas l'année de la vente en masse à des prix abordables. Cela va prendre un certain temps », avait averti John Riccitiello, le PDG (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_president-directeur-general.html#xtor=SEC-3168) d'Unity. Prochaine étape : avec la commercialisation de l'Oculus Rift en France le 20 septembre.
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Lako
30/08/2016, 16h37
Trending Topics de Facebook : à peine confiés aux algorithmes et déjà un gros couacFacebook dispose d’un service de Trending Topics aux États-Unis, jusqu’à présent des humains étaient chargés d’alimenter cette compilation de sujets très lus et très partagés sur le réseau social, mais il y a quelques jours Facebook a décidé de déshumaniser cette tâche.
Il n’aura donc pas fallu attendre très longtemps pour s’apercevoir que les algorithmes peuvent non seulement faire de grosses boulettes, mais que finalement les machines font les mêmes erreurs que les humains, en reprenant parfois une mauvaise information.Grosse boulette sur le Trending Topics de FacebookBeaucoup critiqueront le fait de confier cette tâche à des robots, mais pour mieux comprendre la situation, il faut revenir un peu en arrière. Pour l’instant, Facebook n’a lancé officiellement les Trendings Topics qu’aux États-Unis et comme chacun doit le savoir, l’Amérique se cherche un nouveau président en ce moment.En proposant une compilation des sujets les plus lus et plus partagés sur le réseau social, Facebook fait donc remonter une certaine tendance et indirectement une certaine préférence. Certains médias se sont donc montrés très critiques envers cette fonctionnalité et évidement certains politiciens ont vu d’un mauvais œil de ne pas être plus souvent cités dans les TrendingsTopics de Facebook, accusant même Facebook de « Censure ».Le réseau social ne souhaitant pas jeter aux oubliettes un service qu’il estime pertinent, a donc choisi de ne plus confier cette tâche à des équipes humaines, pouvant éventuellement montrer certaines « préférences » sur certains sujets. Le réseau social a donc décidé que cela serait des algorithmes qui feraient ce travail d’investigation, pour faire remonter les sujets les plus lus ou les plus partagés dans le flux des Trending Topics.Après « l’erreur est humaine », on peut dire : « l’erreur est algorithmique »Quoi de plus neutre qu’un robot (s’il a bien été programmé) pour effectuer cette tâche ? Le souci, c’est que comme un journaliste qui se laisserait abuser par un sujet populaire, repris dans la presse et intéressant, il est possible de tomber sur des hoax. Comme le disaient déjà les romains : « Errare humanum est », l’erreur est humaine ! On pourra dorénavant dire : « l’erreur est aussi algorithmique ». En effet, les Trending Topics ont fait remonter une information très populaire, très lue et très partagée, pendant de nombreuses heures… Le seul souci, c’est que cette dernière était totalement fausse.En effet, ce 29 août, un article publié sur un site favorable au candidat Donald Trump, indiquait que Megyn Kelly, la présentatrice de Fox News avait été licenciée par sa chaîne pour une trop grande proximité avec la candidate à la présidentielle, Hillary Clinton. En tête des Trending Topics pendant plusieurs heures l’information était totalement fausse. Voilà un cas qui risque d’obliger Facebook à revoir sa mayonnaise, car les hoax sont précisément un phénomène qui pullule sur les réseaux sociaux, alors si Mark Zuckerberg ne veut pas décrédibiliser son service, il devra inclure au moins un système de veille humaine. Le serpent se mord la queue, car on reviendra aux traditionnels dilemmes : « censure ? », « préférence ? », « partisan ? »…

Lako
30/08/2016, 19h23
Et si les utilisateurs pouvaient activer Safety Check ? Facebook y travailleParfois critiquée pour sa lenteur ou ses « oublis », la fonctionnalité Safety Check a au moins le mérite d’exister et de rendre un précieux service à des millions de personnes. Censée offrir une solution pour rassurer ses proches après une catastrophe ou un attentat, la fonction est aujourd’hui déclenchée par Facebook.
http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Safety-Check-Facebook-catastrophe-attentat.jpg
Pour mieux comprendre ce qu’est Safety Check, il s’agit d’une fonctionnalité qui est déclenchée (ou pas) par les équipes de Facebook, lorsqu’une catastrophe naturelle à lieu, comme après le séisme qui a frappé l’Italie la semaine dernière, ou après un attentat comme ce fut le cas la première fois le 13 novembre 2015. Ce système, lancé en 2014, permet de recevoir une alerte si vous êtes à proximité de cet évènement, de façon à être informé dans un premier temps pour se mettre à l’abri, mais surtout pour rassurer tous ses proches et amis, en envoyant un simple message.Facebook : et pourquoi ne pas laisser les internautes activer Safety Check ?Une excellente initiative, pourtant, le système Safety Check reste perfectible. Dans de nombreux cas il se déclenche en retard, comme ce fut le cas par exemple lors des attentats de Bruxelles, où la fonction n’était apparue que trois heures après l’attaque. Parfois, Safety check ne se déclenche pas du tout, comme par exemple au moment des attentats du 13 novembre en France, ce jour-là la fonction de Facebook s’était déclenchée sans soucis dans l’hexagone, pourtant la veille un attentat avait touché le Liban, sans que Safety Check ne puisse s’activer.Même cas de figure, le jour de l’attentat d’Ankara en Turquie, Safety Check avait fait son travail, alors qu’au même moment un attentat touchait la Côte d’Ivoire dans l’indifférence de Facebook.Facebook y travailleCet état de fait est peut-être sur le point de changer, car le réseau social travail sur un système, où cela serait les internautes eux-mêmes qui déclencheraient Safety Check. Mark Zuckerberg a précisé que le réseau social y travaillait lors d’une conférence à Rome ce lundi 29 août.Il a déclaré : « La prochaine chose que nous devons faire est de mettre cela en place pour que les communautés puissent le déclencher elles-mêmes en cas de catastrophe ». Aucune précision n’a été apportée, mais cela pourrait effectivement permettre de traiter les incidents locaux, que Facebook ne peut évidemment pas toujours connaître, de façon à ce que chacun puisse prévenir ses proches facilement et rapidement. Pensez-vous que Facebook doivent confier le déclenchement de Safety Check aux utilisateurs ?

ironman
31/08/2016, 17h55
Ce hacker aurait pu pirater (presque) n'importe quel compte Facebook.http://img.bfmtv.com/c/630/420/db0418/66bb2ee3f522f8bece1a81067e.jpg
Pixabay





Une faille dans le mécanisme de récupération de compte permettait de prendre le contrôle du compte d’un tiers. Pour autant, le chercheur qui l’a trouvé n’a reçu que 500 dollars de récompense.[COLOR=#333333][FONT=Arial]Pirater un compte Facebook n'est pas si difficile, à condition d'avoir quelques compétences techniques. En analysant le mécanisme de récupération de compte de ce réseau social, le hacker Gurkirat Singh a mis la main sur une faille relativement simple à comprendre. Lorsqu’on clique sur le lien « Mot de passe oublié » et que l’on renseigne son identifiant, on reçoit de la part de Facebook un email avec un code d’activation à 6 chiffres qui reste valable tant qu’il n’a pas été utilisé. Or, il y a un million de possibilités pour créer un code à six chiffres. M. Singh s’est donc dit que si plus d’un million d’utilisateurs envoyaient une requête de récupération de compte plus ou moins en même temps, certains auraient nécessairement le même code. Ce qui lui a donné l’idée d’une attaque.
Noyer Facebook avec des millions de requêtesL’homme s’est d’abord constitué une base de deux millions d’identifiants Facebook réels en effectuant des requêtes sur l’interface de programmation Graph API. Il faut savoir que chaque compte Facebook dispose d’un numéro d’identifiant unique. Vous pouvez connaître le vôtre en allant sur le siteFindmyfbid.com (http://findmyfbid.com/). En prenant des numéros d’identifiants au hasard, l’API permet au hacker de savoir s’il correspond à un compte réel. Ensuite, pour récupérer l’identifiant, il suffit de taper l’URL de Facebook suivi du numéro et hop, ce dernier se transforme automatiquement en identifiant. Nous l’avons testé : ça marche.
Après, Gurkirat Singh a écrit un script qui permet d’envoyer une demande de récupération de compte pour chaque identifiant. Pour ne pas être bloqué, il a fait en sorte que l’origine des demandes de récupération tournent sur plusieurs milliers d’adresses IP différentes. « Il y a plusieurs services en ligne qui offrent ce type de fonctionnalité », souligne-t-il, dans une note de blog (https://hackernoon.com/how-i-could-have-hacked-multiple-facebook-accounts-d9d335188d9b#.59oi7qb4h). Ensuite, il a choisi au hasard un code à six chiffres et a tenté une récupération pour chaque compte de sa base (au moyen d’un script automatisé, évidemment). Bingo, ça marche ! Il peut créer un nouveau mot de passe pour l’un des comptes.
http://img.bfmtv.com/c/800/442/cc5/3836c67080f4f47566f2ea88b271e.jpgAprès avoir notifié cette faille auprès de Facebook, Gurkirat Singh a reçu une récompense de 500 dollars, ce qui est relativement peu. « C’est une faille critique qui permet de complètement accéder au compte d’un tiers, mais pour Facebook c’est faiblement prioritaire. Je ne sais pas pourquoi », ajoute-t-il, un brin déçu. Depuis, Facebook a colmaté la brèche, en appliquant notamment des filtres plus agressifs sur les adresses IP. Auprès de Hacker News (https://thehackernews.com/2016/08/hack-facebook-account.html), le hacker exprime néanmoins ses doutes sur l’efficacité de ce patch. Il pense que son attaque est toujours faisable en prenant un pool d’adresses IP plus large.
Quoiqu’il en soit, sachez que l’authentification à deux étapes (code envoyé par SMS) permet de se prémunir contre ce type d’attaque. Même si un pirate arrive à modifier votre mot de passe, il lui faudra alors obtenir ce précieux code aléatoire. Ce qui commence à être nettement plus compliqué.

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Lako
02/09/2016, 11h53
Facebook Messenger se dote de la fonctionnalité Instant VideoInstant Video, c'est le nom de la dernière fonctionnalité de l'appli Facebook Messenger qui permet de lancer à la volée une vidéo sans son avec un correspondant.Les ajouts à l’application mobile Facebook (http://www.begeek.fr/facebook) Messenger s’enchaînent sans relâche. Cette fois, le réseau social met l’accent sur la vidéo avec Instant Video. Comme son nom l’indique, cette fonctionnalité est pensée pour connecter très rapidement deux correspondants en vidéo.
De la vidéo toujours plus rapideConcrètement, lors d’une discussion textuelle avec un contact, il suffit d’appuyer sur l’icône de caméra en haut à droite pour lancer instantanément la caméra frontale de votre smartphone sans que votre correspondant n’ait besoin de décrocher. Celui-ci verra alors la vidéo en live et pourra s’il le souhaite lancer sa propre caméra. Le son est coupé par défaut, mais un bouton est bien évidemment là pour l’activer. La vidéo ne prend pas tout l’écran et il est possible de continuer de discuter à l’écrit.



Pour pouvoir profiter de Instant Video, il faudra disposer de la dernière version de Facebook Messenger, sur iOS comme sur Android (http://www.begeek.fr/android).
Toujours plus de possibilités pour Facebook MessengerInstant Video n’est que la dernière pierre de l’important mur Messenger de Facebook toujours en construction. Pour mémoire, l’appli de messagerie intègre depuis peu les bots, les Instant Articles, permet de faire office (http://www.begeek.fr/office) d’application SMS par défaut et devrait prochainement être complètement chiffrée.

ironman
02/09/2016, 15h27
Facebook poursuit son offensive contre Snapchat en ajoutant la vidéo en direct à Messenger.
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/facebook_17.jpg


Le réseau social américain Facebook poursuit son offensive contre Snapchat avec l'ajout jeudi à son application de messagerie Messenger d'une fonctionnalité populaire auprès des utilisateurs de son rival, permettant de diffuser des vidéos en direct.
La nouvelle fonction permet d'ajouter des vidéos en direct aux échanges de messages écrits entre les utilisateurs de Messenger, explique une note publiée sur le site internet de Facebook. "C'est parfait pour partager des moments rapides avec des amis qui ne sont pas à vos côtés, ou pour enrichir vos conversations en vous voyant en face-à-face pendant que vous échangez des messages", écrit le groupe.
"Instant Video" est accessible en touchant un simple bouton intégré aux dernières versions de Messenger pour iOS (le système d'exploitation de l'iPhone d'Apple) ou Android (Google). Le son est éteint par défaut mais l'utilisateur peut décider de l'activer.
Cet outil rappelle beaucoup une fonction déjà présente sur Snapchat, un service de messagerie qui est devenu extrêmement populaire auprès des adolescents américains grâce à ses messages et ses photos qui disparaissent peu après avoir été vus par leur destinataire.
Certains analystes craignent depuis un certains temps déjà que les jeunes consommateurs, un public particulièrement prisé des annonceurs publicitaires, délaissent Facebook au profit d'autres services comme justement Snapchat.
Le réseau social aux 1,71 milliard de membres avait tenté de relativiser ces inquiétudes lors de ses derniers résultats trimestriels en juillet, faisant valoir que les adolescents utilisaient aussi beaucoup d'autres services du groupe comme ses messageries Messenger et WhatsApp (plus d'un milliard d'utilisateurs chacune) ou l'application de partage de photos et vidéos Instagram (500 millions).
Facebook n'en a pas moins multiplié ces derniers temps les initiatives s'inspirant beaucoup de produits proposés par Snapchat. Il avait ainsi annoncé début août l'ajout à Instagram d'un nouveau format de publications qui disparaissent après 24 heures et sont baptisées "Stories" (histoires), comme le produit équivalent chez Snapchat.
Une nouvelle application pour iPhone éditée par Facebook et visant tout particulièrement le jeune public avait aussi été mise à disposition assez discrètement le mois dernier sur la boutique en ligne iTunes. Lifestage ambitionnait de créer des réseaux sociaux entre camarades d'école, et permettait de partager des clips vidéo avec d'autres personnes n'ayant pas plus de 21 ans et venant du même établissement ou d'un établissement proche.

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Lako
06/09/2016, 14h53
Facebook teste une nouvelle section sur le fil d’actualitéFacebook pourrait mettre une nouvelle section dédiée aux statuts des amis sur le fil d’actualité.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Facebook-Pixabay.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/08/Facebook-Pixabay.jpg)Facebook ne cesse de mettre à jour son fil d’actualité. Et la dernière modification en date, qui est encore en train d’être testée, est la section dédiée aux conversations des amis.
Repérée par le site Mashable, cette section « What friends are talking about » apparaîtrait sur les fils d’actualité de certains utilisateurs sur la plateforme Android.
En substance, elle met en avant quelques statuts de profils et indique combien il y a de commentaires. Le but semble d’encourager les utilisateurs de Facebook à discuter d’avantage avec leurs amis, ce qui entre dans la nouvelle politique de Facebook pour le fil d’actualité

Lako
07/09/2016, 11h00
Facebook Messenger titille encore SnapchatFacebook propose une fonction de diffusion de séquence vidéo en directe à travers son app Messenger.

Facebook Messenger se dote d’une fonction Instant Video qui permet de permet de partager une vidéo éphémère en direct depuis l’application de messagerie instantanée. Cela vous rappelle quelque chose ? Snapchat évidemment.
Facebook duplique le modèle pour le compte de son outil Messenger (un milliard d’utilisateurs dans le monde). Une fonction disponible sur les déclinaisons iOS et Android de l’app de communication interpersonnelle.
Elle est différente des appels en vidéo. Cette fois-ci, il s’agit de réaliser une séquence vidéo live avec la caméra de son smartphone et de la partager avec son réseau. Par défaut, le son est coupé.
Une initiative qui rappelle celle d’Instagram Stories sortie cet été. On reste dans la sphère Facebook et on retrouve la dimension de courte vidéo à diffuser auprès de son réseau de l’app initialement dédiée au partage de photos (500 millions de membres actifs).
Cette nouvelle fonction survient alors que le groupe Internet de Mark Zuckerberg fait les yeux doux aux jeunes mobinautes à travers l’app Lifestage. Et ce, toujours pour narguer Snapchat (qui, parallèlement, progresse dans le business e-pub (http://www.itespresso.fr/snapchat-milliard-dollars-publicite-2018-137538.html)).
La vidéo est une fonction moteur dans toutes les apps de la galaxie Facebook. Le réseau social cherche d’ailleurs à optimiser son usage en menant des tests de son activé par défaut lorsqu’une vidéo s’enclenche.

ironman
09/09/2016, 14h39
Mark Zuckerberg accusé de censure sur Facebook

http://img.bfmtv.com/c/1256/708/e98/6b1c16e8d5d7a59498c9681e18b3f.jpg



Un quotidien norvégien regrette la suppression de la célèbre photographie de guerre par le réseau social.[COLOR=#333333][FONT=Arial]La ligne éditoriale de Facebook est une nouvelle fois critiquée. Aftenposten, l’un des principaux journaux norvégiens, vient de publier une lettre ouverte à Mark Zuckerberg (http://www.aftenposten.no/meninger/kommentar/Dear-Mark-I-am-writing-this-to-inform-you-that-I-shall-not-comply-with-your-requirement-to-remove-this-picture-604156b.html), fondateur et PDG du réseau social. L’Américain est accusé de censure, après que Tom Egeland (https://www.facebook.com/Tom-Egeland-185679154807131/), auteur norvégien, a été banni du site pendant 24 heures. Son tort est d’avoir mis en ligne la célèbre photo intituléeThe Terror of War (http://www.apimages.com/Collection/Landing/Photographer-Nick-Ut-The-Napalm-Girl-/ebfc0a860aa946ba9e77eb786d46207e) (La Terreur de la Guerre), prise par Nick Ut en 1973 lors de la guerre du Viêt Nam. Le cliché lui avait valu le prix Pulitzer de la photographie d'actualité.
http://img.bfmtv.com/c/2048/2137/725/dbcb64bcf780025b855b92b5921ea.pngAftenposten - La publication supprimée par Facebook"L'éditeur le plus puissant au monde"Sur l’image, des enfants vietnamiens touchés par les bombardements au napalm de l’armée sud-vietnamienne - alliée des Etats-Unis pendant le conflit - fuient en hurlant. Parmi eux, Kim Phuc, alors âgée de 9 ans et dont les vêtements ont été brûlés. Considérant l’image comme non conforme à ses “standards de la communauté” (http://www.01net.com/actualites/facebook-tout-ce-que-pouvez-publier-et-ce-quil-vaut-mieux-eviter-649212.html), Facebook a temporairement désactivé le profil d’Egeland. L’homme a par la suite publié un long message (https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=1203560296352340&id=185679154807131) critiquant la politique de censure du site.
Rapidement, l’Aftenposten a publié un article à son sujet (http://www.aftenposten.no/kultur/Norsk-forfatter-midlertidig-utestengt-fra-Facebook-etter-a-ha-postet-bilde-fra-Vietnamkrigen-603854b.html), lui-même illustré par l’image de “la petite fille au napalm” et publié sur la page Facebook du quotidien. Le journal explique avoir reçu un avertissement de la part des équipes du site, lui demandant de retirer ou flouter l’image et rappelant que “toute image représentant des organes génitaux, des fesses ou une poitrine féminine sera supprimée”. Facebook n’a pas attendu de réponse pour mettre ses menaces à exécution puisque la publication du média norvégien a aussitôt été supprimée.
Dans la lettre adressée à Zuckerberg, l’Aftenposten regrette l’incapacité du réseau social à distinguer ce qui relève de la pornographie infantile et d’une photographie de guerre. Espen Egil Hansen, rédacteur en chef du média, accuse celui qu’il considère comme “l’éditeur le plus puissant au monde” d’abus de pouvoir. “Je m’inquiète de voir le premier média du monde mettre un frein à la liberté plutôt que d’essayer de la promouvoir. C’est ce qui arrive parfois sous un régime autoritaire” ajoute-t-il.
L'impartialité de Facebook remise en causeCe n’est pas la première fois que Facebook est accusé de censure, notamment concernant la nudité féminine. A plusieurs reprises, le tableauL’Origine du monde de Courbet - représentant un sexe de femme - avait été supprimé (http://www.01net.com/actualites/facebook-re-censure-lorigine-du-monde-578301.html), au même titre que de nombreuses œuvres représentant des corps féminins (http://www.01net.com/actualites/facebook-censure-la-journee-du-nu-595465.html). Sur le site (https://www.facebook.com/communitystandards/?section=1), il est cependant rappelé que certaines photos comme celles “de femmes qui défendent activement l’allaitement ou qui montrent les cicatrices post-mastectomie de leur poitrine” sont autorisées.
Espen Egil Hansen pointe aussi du doigt la tendance de Facebook à orienter ce que verront ses utilisateurs. Il rappelle que “même pour un média comme Aftenposten, il est difficile de se passer de Facebook”, évoquant l’influence croissante du réseau social sur les contenus, avec l’arrivée de technologiescomme Instant Articles (http://www.01net.com/actualites/avec-instant-articles-facebook-se-lance-dans-lactualite-sur-mobile-654506.html). En mai dernier, il était également accusé de trier les informations visibles par les membres (https://www.theguardian.com/technology/2016/may/24/facebook-changes-trending-topics-anti-conservative-bias) pour privilégier certains partis politiques.

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Lako
10/09/2016, 16h26
Photo de la fillette vietnamienne : Facebook fait marche arrière après les accusations publiques de la Première Ministre NorvégienneFace à la polémique, Facebook a annoncé être revenu sur sa décision de censurer la célèbre photo d'une petite fille nue brûlée au napalm pendant la guerre du Vietnam.
« Nous avons décidé de rétablir l'image sur Facebook là où nous sommes au courant qu'elle a été retirée », a indiqué un porte-parole du groupe , disant avoir tenu compte des réactions de sa communauté d'utilisateurs et du « statut emblématique et d'importance historique » du cliché.
Facebook avait initialement justifié sa décision en faisant valoir que la photo ne respectait pas ses règles sur la nudité, avant de faire marche arrière.
« L'image d'un enfant nu serait normalement supposée enfreindre les règles de notre communauté, et dans certains pays pourrait même être considérée comme de la pédopornographie.
Dans le cas présent, nous reconnaissons l'importance historique et mondiale de cette image pour documenter un moment particulier », a ajouté vendredi le porte-parole.
Considérée comme un document historique et récompensée par le prestigieux prix Pulitzer, la photo incriminée de l'agence Associated Press montre une fillette nue de neuf ans fuyant sur une route, hurlant de douleur et de terreur, après une attaque au napalm de son village.
La polémique était partie de la suppression par Facebook il y a deux semaines d'une publication de l'auteur norvégien Tom Egeland sur le thème des photos de guerre, illustrée notamment par ce fameux cliché.

Lako
13/09/2016, 12h29
Dix ans après sa création, le fil d’actualité de Facebook divise toujours ses utilisateursHasard de calendrier. C’est en pleine polémique que Facebook (http://www.lemonde.fr/facebook/) a fêté, mardi 6 septembre, les 10 ans de son « news feed », le fil d’actualité du réseau social (http://www.lemonde.fr/social/) où l’utilisateur accède à l’ensemble des « posts » – les messages – publiés par son cercle de connaissances. La firme californienne a dû faire (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/faire/) face, la semaine dernière, à une importante levée de boucliers en Norvège (http://www.lemonde.fr/norvege/), à la suite de la censure de la photo (http://www.lemonde.fr/photo/) de la petite fille brûlée au napalm prise en 1972, lors de la guerre duVietnam (http://www.lemonde.fr/vietnam/), publiée par le grand journal local, l’Aftenposten.Le réseau social a supprimé l’image du compte du journal considérant qu’elle contrevenait à ses règles d’utilisation. Facebook, qui retire des contenus sur la base de signalements effectués par les internautes, avait déjà fait disparaître (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/dispara%C3%AEtre/) la photo d’autres comptes mais, en s’attaquant à un journal, le groupe a mis le feu aux poudres. Vendredi, cédant à la pression de l’opinion publique, il a fini par faire machine arrière.
De nombreux groupes « anti-fil d’actualité »L’histoire (http://www.lemonde.fr/histoire/) du fil d’actualité de Facebook, devenu la colonne vertébrale du réseau social, n’en est pas à sa première polémique. Sa création même avait suscité un tollé auprès des étudiants. Du jour au lendemain, l’utilisateur savait que son ami Pierre avait rompu avec Silvia, que Valérie était allée au cinéma (http://www.lemonde.fr/cinema/) ou que Claude était devenu ami avec Emma. Scandale ! Une pétition avait alors dénoncé cette intrusion insupportable dans la vie des internautes et de nombreux groupes « anti-fil d’actualité » avaient vu le jour. Mark Zuckerberg avait dû prendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/prendre/) la parole pouréteindre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/%C3%A9teindre/) le feu.
Dix ans plus tard, le phénomène inverse s’est produit. C’est parce que les utilisateurs se plaignaient d’être privés d’informations concernant leurs amis que Facebook a décidé de modifier (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/modifier/), il y a quelques mois, son algorithme pourprivilégier (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/privil%C3%A9gier/) les messages personnels au détriment des informations diffusées par les médias (http://www.lemonde.fr/actualite-medias/). Chris Cox justifie ce choix qui a laissé marris de nombreux titres de presse. « C’est à la suite de panels qualité que nous avons constaté que nos internautes avaient l’impression de rater (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/rater/) les “posts” de leurs amis », indique le chef de produit, se défendant d’avoir sciemment écarté les médias.

Connecter « le prochain milliard d’utilisateurs »Outre les éditeurs, la firme soigne particulièrement ses membres. Son ambition :connecter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/connecter/) « le prochain milliard d’utilisateurs ». Le groupe de Mark Zuckerberg, qui compte actuellement 1,7 milliard d’inscrits, a multiplié les innovations. Il a donné le coup d’envoi à Facebook Live, qui permet de diffuser (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/diffuser/) des événements en direct, a lancé un outil de prise de vidéo à 360 degrés et a installé des « chatbots », des robots capables de répondre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/r%C3%A9pondre/) aux internautes sur Messenger, sa messagerie instantanée.

Lako
13/09/2016, 12h29
Dix ans après sa création, le fil d’actualité de Facebook divise toujours ses utilisateursHasard de calendrier. C’est en pleine polémique que Facebook (http://www.lemonde.fr/facebook/) a fêté, mardi 6 septembre, les 10 ans de son « news feed », le fil d’actualité du réseau social (http://www.lemonde.fr/social/) où l’utilisateur accède à l’ensemble des « posts » – les messages – publiés par son cercle de connaissances. La firme californienne a dû faire (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/faire/) face, la semaine dernière, à une importante levée de boucliers en Norvège (http://www.lemonde.fr/norvege/), à la suite de la censure de la photo (http://www.lemonde.fr/photo/) de la petite fille brûlée au napalm prise en 1972, lors de la guerre duVietnam (http://www.lemonde.fr/vietnam/), publiée par le grand journal local, l’Aftenposten.Le réseau social a supprimé l’image du compte du journal considérant qu’elle contrevenait à ses règles d’utilisation. Facebook, qui retire des contenus sur la base de signalements effectués par les internautes, avait déjà fait disparaître (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/dispara%C3%AEtre/) la photo d’autres comptes mais, en s’attaquant à un journal, le groupe a mis le feu aux poudres. Vendredi, cédant à la pression de l’opinion publique, il a fini par faire machine arrière.
De nombreux groupes « anti-fil d’actualité »L’histoire (http://www.lemonde.fr/histoire/) du fil d’actualité de Facebook, devenu la colonne vertébrale du réseau social, n’en est pas à sa première polémique. Sa création même avait suscité un tollé auprès des étudiants. Du jour au lendemain, l’utilisateur savait que son ami Pierre avait rompu avec Silvia, que Valérie était allée au cinéma (http://www.lemonde.fr/cinema/) ou que Claude était devenu ami avec Emma. Scandale ! Une pétition avait alors dénoncé cette intrusion insupportable dans la vie des internautes et de nombreux groupes « anti-fil d’actualité » avaient vu le jour. Mark Zuckerberg avait dû prendre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/prendre/) la parole pouréteindre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/%C3%A9teindre/) le feu.
Dix ans plus tard, le phénomène inverse s’est produit. C’est parce que les utilisateurs se plaignaient d’être privés d’informations concernant leurs amis que Facebook a décidé de modifier (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/modifier/), il y a quelques mois, son algorithme pourprivilégier (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/privil%C3%A9gier/) les messages personnels au détriment des informations diffusées par les médias (http://www.lemonde.fr/actualite-medias/). Chris Cox justifie ce choix qui a laissé marris de nombreux titres de presse. « C’est à la suite de panels qualité que nous avons constaté que nos internautes avaient l’impression de rater (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/rater/) les “posts” de leurs amis », indique le chef de produit, se défendant d’avoir sciemment écarté les médias.

Connecter « le prochain milliard d’utilisateurs »Outre les éditeurs, la firme soigne particulièrement ses membres. Son ambition :connecter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/connecter/) « le prochain milliard d’utilisateurs ». Le groupe de Mark Zuckerberg, qui compte actuellement 1,7 milliard d’inscrits, a multiplié les innovations. Il a donné le coup d’envoi à Facebook Live, qui permet de diffuser (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/diffuser/) des événements en direct, a lancé un outil de prise de vidéo à 360 degrés et a installé des « chatbots », des robots capables de répondre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/r%C3%A9pondre/) aux internautes sur Messenger, sa messagerie instantanée.

Lako
14/09/2016, 19h14
Facebook s'excuse pour la censure de photos parfois injustifiéC'est une affaire qui suscite la polémique depuis quelques jours : un cliché historique signé Nick Ut et partagé sur Facebook a fait l'objet d'une censure par les algorithmes pour des raisons de nudité.


Au début du mois, l'auteur norvégien Tom Egeland publiait sur Facebook plusieurs photos sur Facebook, (http://www.generation-nt.com/facebook-pourquoi-envoyer-satellite-orbite-internet-actualite-1932597.html)dont la fameuse photo de Nick Ut présentant une petite fille nue, partiellement brûlée et en pleurs après le bombardement au napalm de son village. Un cliché célèbre datant de 1972, historique, qui incarne à lui seul les horreurs de la guerre du Vietnam.
http://img.generation-nt.com/facebook-censure_01B0000001639968.jpg
Rapidement, le cliché en question est censuré pour des raisons de présence de nudité. Les algorithmes de Facebook ont rapidement établi une violation des conditions d'usages du réseau social et bloqué le cliché pour limiter la prolifération de contenus pédopornographiques.
La solidarité s'organise et de nombreux utilisateurs du réseau social se mettent à partager de nouveau l'image, accélérant le travail des algorithmes. La situation dure, puis Erna Solberg, Première ministre du pays se met à partager elle-même ledit cliché pour forcer Facebook à réagir.
Pour le compte de la ministre, la censure n'est pas passée... Alors même que Facebook disait jusqu'à présent qu'il n’était pas possible pour ses outils de faire la distinction entre un nu pédopornographique et une image dont l'objectif et la portée sont différents...
Facebook s'est depuis expliqué et excusé pour les interventions parfois aveugles de ses algorithmes. Un porte-parole du réseau admet que l'image en question avait une importance historique et qu'elle n'aurait pas dû être censurée en promettant au passage une amélioration dans les mécanismes d'évaluation des images.

Lako
15/09/2016, 11h51
Facebook et Twitter pour l’amélioration de la qualité de l’info sur les réseaux sociauxhttp://www.cbnews.fr/var/media/331/728x338/draft-news-330418.jpg
Le réseau First Draft News (https://firstdraftnews.com/social-networks-unite-global-newsrooms-take-action-misinformation-online/) qui bataille depuis juin 2015, avec le soutien de Google, contre les fausses nouvelles sur le net et l’amélioration de la qualité de l’information sur les réseaux sociaux, a enregistré mercredi des soutiens de poids. Ce sont en effet rien de moins que Facebook et Twitter qui ont notamment intégrés le réseau qui comptent une trentaine de médias tels que l’AFP, franceinfo, Les Décodeurs (Le Monde), le New York Times ou encore le Washington Post. Les membres de First Draft News font œuvre de pédagogie et s’échangent leurs connaissances et mettent en place des formations.

Lako
15/09/2016, 12h45
Facebook est en train de déployer le Live sur son site webBientôt, vous pourrez faire des Live Facebook sur un ordinateur.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Une-femme-dans-un-bureau-avec-un-laptop.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Une-femme-dans-un-bureau-avec-un-laptop.jpg)Suivant les traces de Periscope, Facebook a lancé sa fonctionnalité Live l’année dernière (http://www.presse-citron.net/facebook-permet-maintenant-aux-celebrites-de-publier-des-videos-en-direct/). Et si celle-ci est déjà très utilisée (et très appréciée par le fil d’actualité), elle n’est encore disponible que sur mobile ou bien via l’API que Facebook a lancée lors de sa dernière conférence F8. (http://www.presse-citron.net/avec-la-live-api-facebook-va-peut-etre-achever-la-television/)
Cependant, le numéro un des réseaux sociaux entend permettre à ses utilisateurs de faire des vidéos en direct depuis les ordinateurs, via la version web de son service. Et hier, le site Social Times a pu obtenir la confirmation que Facebook est déjà en train de déployer cette fonctionnalité, après qu’un utilisateur ait remarqué la présence d’un nouveau bouton « Live Video » sur le site du réseau social.
Malheureusement, on ignore encore si Facebook entend déployer cette fonctionnalité rapidement ou s’il entend procéder petit à petit. Selon les sources du Social Times, l’ajout du bouton Live sur la version web de Facebook aurait été fait à la demande d’utilisateurs influents du réseau social, dont des journalistes et des vloggers. Le site explique également qu’en plus des caméras intégrées sur les ordinateurs portables, la fonctionnalité devrait également supporter les caméras externes.

Lako
15/09/2016, 13h47
Facebook travaille à la détection automatique des fausses informationsUn algorithme pour corriger (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/corriger/) les problèmes de l’algorithme : Adam Mosseri, le responsable du fil d’actualité de Facebook (http://www.lemonde.fr/facebook/), a annoncé ce 14 septembre (https://techcrunch.com/2016/09/14/facebook-to-roll-out-tech-for-combating-fake-stories-in-its-trending-topics/) que l’entreprise travaillait à un système permettant de détecter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9tecter/) automatiquement les articles d’actualité diffusant de fausses informations, et de les exclure (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/exclure/) de sa sélection des « sujets du moment ».Cette fonctionnalité, qui n’existe pour l’instant qu’aux Etats-Unis, propose une liste des sujets les plus partagés et commentés sur le réseau social (http://www.lemonde.fr/social/) à un moment donné. Ces derniers mois, des conservateurs américains avaient accusé Facebook de favoriser (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/favoriser/) les sujets « de gauche » dans sa sélection. Des accusations peu étayées et vivement démenties par Facebook, qui avait cependant choisi de modifier (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/modifier/) le fonctionnement de cette section, jusqu’alors gérée manuellement par une équipe d’éditeurs. Ces derniers ont été remplacés durant l’été par un algorithme qui choisit automatiquement les sujets.
Mais ce nouveau système a lui aussi très vite fait l’objet de critiques, notamment parce qu’immédiatement après sa mise en place, un sujet inventé de toutes pièces s’est glissé parmi les « sujets du moment ». Adam Mosseri affirme que ces erreurs appartiendront bientôt au passé : « Nous avons passé beaucoup de temps pour réduire (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/r%C3%A9duire/) l’apparition de [sujets inventés et de faux] dans le fil d’actualité. Nous faisons actuellement le même travail (http://www.lemonde.fr/travail/) pour les sujets du moment. » S’il reconnaît qu’il « reste beaucoup de travail, pour les sujets du moment comme pour le fil d’actualité », M. Mosseri estime que ce travail d’automatisation va aussi permettre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/permettre/)à Facebook de déployer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9ployer/) plus facilement les « sujets du moment » dans d’autres pays et langues.

Lako
16/09/2016, 18h54
Facebook concurrence Snapchat avec Lifestage !Tout le monde le sait : Snapchat, ça cartonne, Facebook aussi, donc forcément ces deux réseaux sociaux sont constamment en concurrence. Pour relever le niveau, Mark Zuckerberg a décidé de frapper fort et lance une toute nouvelle fonctionnalité après son Facebook Live : la fonctionnalité Lifestage.
Qu'est-ce que la fonctionnalité Lifestage ?
(http://i-exc.ccm2.net/iex/1280/1110819536/1199995.jpg)
Présents dans quasiment tous les smartphones mais surtout, chez les jeunes, cette nouvelle fonctionnalité vise essentiellement les moins de 21 ans. Ils pourront alors, comme sur Snapchat, filmer leur quotidien en y ajoutant des petits émoticônes sympas et chaque contenu pourra alors se retrouver sur la toile. Cette différence fera probablement la force de cette nouvelle fonctionnalité puisqu'elle pourra attirer plus de personnes sur le profil de la personne qui publiera sa "story".
L'application n'est pas encore disponible en France mais est d'ores et déjà mise en ligne aux Etats-Unis. Patience, vous pourrez bientôt en profiter aussi...

ironman
21/09/2016, 15h39
Facebook : de nouvelles options publicitaires pour doper les ventes en magasins.
Le réseau social propose deux nouvelles options aux marchands possédant des boutiques en dur. La première leur permet de communiquer sur des offres ajustées selon leurs stocks et la localisation des clients. La seconde leur apporte un ciblage optimisé par Facebook pour toucher les prospects les plus enclins à se déplacer dans leurs échoppes.


Quoi de plus frustrant pour un consommateur que de se rendre dans un magasin après avoir vu une publicité annonçant une promotion alléchante et de constater que le produit est déjà en rupture de stock. Pour éviter cette expérience négative, Facebook propose (https://www.facebook.com/business/news/dynamic-ads-for-retail-launch)aux commerçants deux nouveaux outils publicitaires. La première solution est une publicité “dynamique” qui s'ajuste automatiquement en fonction de la disponibilité du stock et de la localisation des clients.
Par exemple, si une enseigne de prêt-à-porter veut lancer une promotion nationale sur l’ensemble de ses boutiques, les publicités n’évoqueront que les produits disponibles dans le magasin le plus proche de la personne qui consulte l’offre. Et si un produit se retrouve en rupture dans une boutique, la réclame sera automatiquement mise à jour pour ne plus le mentionner.
La seconde solution proposée par Facebook est une “optimisation des visites” par le biais d’un ciblage publicitaire qui va s’adresser aux clients les plus susceptibles de se rendre dans la boutique de l’annonceur. Ces nouveaux formats sont d’ores et déjà testés aux Etats-Unis avec plusieurs chaînes de magasins en dur comme Abercrombie & Fitch, Argos, Macy’s, Pottery Barn et Target, etc.

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Lako
23/09/2016, 10h48
Facebook Messenger lance une fonctionnalité sondageFacebook veut que vous décidiez de vos programmes de soirées via un système de vote.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2015/05/Facebook-Messenger-plateforme-jeux.jpeg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2015/05/Facebook-Messenger-plateforme-jeux.jpeg)Facebook Messenger permet déjà à son milliard d’utilisateurs de discuter en groupe, par exemple pour décider du programme d’une soirée et pour savoir dans quel restaurant manger ou à quelle heure se donner rendez-vous.
Et bientôt, il sera peut-être possible de faire tout cela via la nouvelle fonctionnalité de sondage de l’appli de messagerie.
En effet, comme le rapporte TechCrunch, Messenger a lancé cette nouvelle fonctionnalité aux Etats-Unis, sur Android et iOS. Lorsque quelqu’un veut lancer un sondage dans une conversation de groupe, il lui suffit d’écrire la question et les propositions de réponses, puis d’attendre les votes de ses amis.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Question-sur-Messenger.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Question-sur-Messenger.jpg)Comme je le précisais plus haut, la fonctionnalité est encore testée aux Etats-Unis. Mais si les résultats sont intéressants, Facebook déploiera certainement les sondages Messenger dans d’autres pays.
Des micro-paiements générés automatiquement ?Sinon, en même temps que les sondages, Messenger a également lancé une fonctionnalité qui suggère automatiquement des micro-transactions.
Comme vous le savez peut-être déjà, Facebook Messenger est entré en concurrence avec PayPal en 2015 en lançant une fonctionnalité qui permet à ses utilisateurs de s’envoyer de l’argent. Et maintenant, il propose une assistance qui va encourager les gens à se servir de celle-ci.
Comme l’explique TechCrunch, si par exemple l’utilisateur reçoit un message comme « Tu me dois 8 euros », les algorithmes de Messenger vont suggérer une micro-transaction de 8 euros vers cette personne. Et l’utilisateur n’aura plus qu’à valider via un bouton s’il souhaite envoyer l’argent.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Question-sur-Messenger-1.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Question-sur-Messenger-1.jpg)

ironman
24/09/2016, 22h08
Facebook Messenger permet d’organiser vos sorties et de payer vos dettes entre amis.






Fini les discussions sans fin pour choisir dans quel restaurant on ira dîner, l’application Messenger propose une fonction de sondage. Autre amélioration: un bot vous propose de payer vos dettes directement depuis vos discussions.


Facebook Messenger s’enrichit de deux nouvelles fonctions vraiment très intéressantes. Révélées par le site Tech Crunch (https://techcrunch.com/2016/09/22/messenger-polls/), ces fonctions pour l’instant uniquement disponibles aux États-Unis permettent de créer facilement des sondages et payer ses dettes. Deux outils qu’on trouve par ailleurs via des applications sur mobile (et même Twitter pour le cas des sondages) et Facebook avant lancé une fonction de sondage sur ses pages en 2007, mais ici intégrées à une messagerie: c’est vraiment très malin.
Organiser vos sorties… et pas seulement
La fonction de sondage est assurément très pratique pour organiser une soirée, par exemple. Comme il n’est pas toujours évident de se mettre d’accord entre amis sur le choix du restaurant ou encore le film qu’on ira voir au cinéma, Messenger propose de créer un groupe de discussion avec un sondage auquel chacun peut répondreFacebook -Ce qui est d’autant plus intéressant, c’est que cette fonction ne se limiterait pas à une liste de choix possible comme "pizza ou sushi". Les sondages pourraient être complètement personnalisés. Toutes vos décisions de groupes devraient donc pouvoir se régler sur Messenger…et régler son ardoise aussi.
Payer ses dettes

La seconde fonction fait appel à "un bot", une sorte d’intelligence artificielle qui scrute vos conversations, surtout lorsqu’il s’agit d’argent. Comme on le voit dans l’image ci-dessous, sitôt que vous parlez d’argent avec un ami, un message apparaît pour vous proposer de vous acquitter de vos dettes.
http://img.bfmtv.com/c/358/511/a4c/6f71d810aaed06de44fe02fcd7853.jpg

Facebook -Certains pourraient trouver ce rappel à l’ordre un peu (carrément ?) déplacé, d’autant que cela met bien en avant le fait que vos conversations sont surveillées. Il y a toutefois de grandes chances qu’il soit possible de désactiver la fonction.
Mais si le concept vous plaît, sachez que les micro-transactions s’effectuent directement depuis l’application. Il faut donc renseigner un numéro de carte bancaire directement dans l’application Messenger. Celle-ci a donc dû être sécurisée en conséquence avec l’arrivée de cette nouvelle fonction. Si votre confiance en l’appli est assez limitée, d’autres existent sur les différentes boutiques d’applications de Google et Apple.

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Lako
28/09/2016, 06h32
Facebook pourrait lancer son concurrent de Slack le mois prochainSelon The Information, la version payante et professionnelle de Facebook arrivera le mois prochain.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Un-Mac-dans-un-bureau.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/09/Un-Mac-dans-un-bureau.jpg)Après avoir rendu toute une génération accro à son réseau social, Facebook s’apprête à s’attaquer au monde professionnel. Cela fait en effet un moment qu’il est en train de tester Facebook At Work (http://www.presse-citron.net/facebook-at-work-sera-lance-en-2016/), un outil de communication et de collaboration qui est basé sur Facebook, avec des entreprises.
L’un des avantages de Facebook At Work est que son usage sera facile à apprendre pour les employés. Il y a un fil d’actualité (mais avec des publications plus sérieuses), des groupes, et une messagerie instantanée, exactement comme sur Facebook.
A ce jour, le nouveau service est déjà utilisé par au moins 450 entreprises, mais dans le cadre d’un programme pilote. Cependant, selon les sources du site The Information, Facebook At Work pourrait enfin être lancé et rendu disponible à toutes les entreprises le moins prochain.
Pour le moment, l’info n’est pas officielle et elle est bien entendu à prendre avec les pincettes d’usage. Cependant, il faut noter que cela fait un bon moment que ce service fait parler de lui, et il serait logique que Facebook décide enfin de le déployer massivement. Normalement, il devrait être proposé via un système d’abonnement mensuel basé sur le nombre d’utilisateurs dans l’entreprise cliente.

Lako
28/09/2016, 08h49
Facebook Messenger fait les comptes et les bons amisDeux nouvelles fonctionnalités font leur apparition sur le service de messagerie instantanée de Facebook. Messenger accueillera désormais les sondages, afin de permettre aux membres de la plateforme de s’organiser entre amis, mais aussi un outil pour recouvrir les dettes encore non remboursées.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/09/facebook-messenger-sondage-remboursement-640x351.jpgLes bons comptes font les bons amis. Facebook met ce proverbe en pratique avec cette nouvelle fonctionnalité. Il ne vous a pas échappé que les bots ont fait leur entrée sur Messenger, plus de 11 000 bots sont déjà disponibles (http://www.journaldugeek.com/2016/07/06/11-000-bots-facebook-messenger/).Grâce à eux, vous pouvez commander un taxi (http://www.journaldugeek.com/2015/12/17/uber-facebook-messenger/), consulter la météo, mettre en place des abonnements automatisés ou régler des achats.http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/09/facebook-messenger-suggestion-renboursement.pngMessenger, recouvre les dettesDésormais, vous pourrez également récupérer les sommes prêtées à vos amis, sans avoir à le demander constamment. Une seule évocation suffit, Facebook se charge du reste. Ainsi, le bot « chat assist », relié à un mécanisme de machine learning, sollicitera un remboursement dès qu’il détectera des phrases du type : « tu me dois 18 $ », « envoyez-moi 100 € pour l’hôtel », etc.Messenger suggère ensuite au créditeur de payer directement via le système de paiement maison (http://www.journaldugeek.com/2015/03/18/facebook-paiement-mobile-amis/) lancé par Facebook en mars 2015.Des sondages entre amisIl sera également possible de créer une question (et ses réponses possibles), comme les sondages Twitter, et l’envoyer à tout le monde dans une discussion de groupe. L’objectif affiché ? « Aider les groupes à prendre des décisions et à faire des projets » (vacances, ciné, sorties, etc.).http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/09/facebook-messenger-question-sondage.png (http://www.journaldugeek.com/wp-content/blogs.dir/1/files/2016/09/facebook-messenger-question-sondage.png)Comme d’habitude, avec Facebook ces nouvelles fonctionnalités sont en phase de test et accessible à un petit nombre de personnes. Leur déploiement est limité au territoire américain pour l’instant.

Lako
29/09/2016, 15h27
Facebook veut inciter ses utilisateurs français à sécuriser leur compteLa plate-forme va lancer une campagne de sensibilisation dans notre pays pour que les internautes protègent mieux leur compte. L'outil Security Check up sera notamment mis en avant depuis le fil d'actu.En juillet 2015, Facebook avait lancé aux Etats-Unis une grande opération (http://newsroom.fb.com/news/2015/07/enhancing-security-with-a-quick-checkup/)pour faire prendre conscience aux internautes de l'importance de sécuriser leur compte. Elle s'apprête à mener une campagne analogue pour la première fois en France à l'occasion du mois européen de la cybersécurité (https://cybersecuritymonth.eu/)qui débute ce 1er octobre.
Lorsque les utilisateurs se connecteront à Facebook, une notification s’affichera en haut de leur fil d’actualité pour les inciter à utiliser l'outil Security Check up (https://www.facebook.com/help/799880743466869). Des vidéos pédagogiques seront également déployées durant plusieurs semaines. Enfin, un post récapitulatif suivra bientôt sur le blog officiel.
La page du Security Check up offre la possibilité de déconnecter son compte Facebook de toutes les applications et de tous les navigateurs que vous n'auriez pas utilisés depuis plus d'un mois. Elle permet également de choisir d'être averti d'une connexion sur un appareil ou un navigateur inconnus sur l'adresse mail de son choix ou via une notification Facebook. Enfin, elle détaille quelques conseils de bons sens sur le choix de son mot de passe.

Lako
01/10/2016, 16h39
Facebook est désormais disponible en langue corse, la 101e langue proposée par le réseau socialLes corsophones pourront désormais choisir la version corse de Facebook, 101e langue proposée par le réseau social depuis ce vendredi, a annoncé le groupe.
Facebook a aussi lancé des versions en maltais et en peul, langue parlée dans une vingtaine d’Etats africains, ce qui rend le réseau désormais disponibles en 101 langues.
Comme pour une quarantaine des langues de Facebook, la traduction en corse de dizaines de milliers de termes des menus, a été réalisée bénévolement par des milliers d’internautes corsophones, a expliqué Vannina Bernard-Leoni, directrice du pôle Innovation et Développement de l’Universita di Corsica Pasquale Paoli et coordonnatrice du projet.
«Le point de départ a été l’exemple des Bretons qui avaient lancé une traduction collaborative de Facebook en breton», raconte cette trentenaire, qui parlait corse avec ses grands-parents et le parle à sa fille .
«En 2014, j’ai contacté Facebook, qui nous a demandé de traduire un premier corpus de termes. Nous avons rassemblés des corsophones qui étaient également anglophones et connaissaient le digital. Puis ils ont mis à notre disposition leur application de traduction coollaborative, où tous pouvaient accéder».
L’initiative a suscité un réel engouement : plus de 2.000 participants ont traduit en deux ans environ 25.000 termes, avec un système de vote collectif pour choisir les différentes propositions.
«Mais Facebook ajoute constamment de nouvelles options, donc le pourcentage de traduction n’est jamais complet», souligne-t-elle
Les internautes peuvent maintenant choisir le corse parmi les langues proposées, et liront ainsi «cummentu» au lieu de «commentaire», «cliccu» pour «clic», «Mi piace» au lieu de «J’aime», «filmettu» au lieu de «vidéo» «ou encore «fa mottu» au lieu de «poke», laissé en anglais sur la version française.
Sur la quarantaine de 40 langues traduites de manière communautaire sur Facebook, 9 sont jugées en danger par l’Unesco, dont le corse.
Sur les 320.000 habitants en Corse, selon un sondage auprès de 500 personnes de plus de 18 ans publié en 2012 par la Collectivité territoriale de corse, environ 90.000 adultes le parlent bien et 45.000 assez bien, avec un grand écart entre les générations. Quant au corse écrit, seuls 45.000 le lisent bien et 45.000 assez bien.
Diaspora comprise, le nombre de locuteurs courant du corse est d’environ 120.000.
Plus d’un milliard de personnes utilise Facebook dans une langue autre que l’anglais.
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ironman
01/10/2016, 23h41
Facebook : de nouvelles options publicitaires pour doper les ventes en magasins.



Le réseau social propose deux nouvelles options aux marchands possédant des boutiques en dur. La première leur permet de communiquer sur des offres ajustées selon leurs stocks et la localisation des clients. La seconde leur apporte un ciblage optimisé par Facebook pour toucher les prospects les plus enclins à se déplacer dans leurs échoppes.

Quoi de plus frustrant pour un consommateur que de se rendre dans un magasin après avoir vu une publicité annonçant une promotion alléchante et de constater que le produit est déjà en rupture de stock. Pour éviter cette expérience négative, Facebook propose (https://www.facebook.com/business/news/dynamic-ads-for-retail-launch)aux commerçants deux nouveaux outils publicitaires. La première solution est une publicité “dynamique” qui s'ajuste automatiquement en fonction de la disponibilité du stock et de la localisation des clients.
Par exemple, si une enseigne de prêt-à-porter veut lancer une promotion nationale sur l’ensemble de ses boutiques, les publicités n’évoqueront que les produits disponibles dans le magasin le plus proche de la personne qui consulte l’offre. Et si un produit se retrouve en rupture dans une boutique, la réclame sera automatiquement mise à jour pour ne plus le mentionner.


La seconde solution proposée par Facebook est une “optimisation des visites” par le biais d’un ciblage publicitaire qui va s’adresser aux clients les plus susceptibles de se rendre dans la boutique de l’annonceur. Ces nouveaux formats sont d’ores et déjà testés aux Etats-Unis avec plusieurs chaînes de magasins en dur comme Abercrombie & Fitch, Argos, Macy’s, Pottery Barn et Target, etc.













Partage de données Facebook/WhatsApp : l'Allemagne dit Nein!


Facebook a interdiction de collecter et stocker les données des utilisateurs allemands de WhatsApp. Pour le régulateur, le réseau social viole la législation nationale et a en outre trompé les utilisateurs en revenant sur ses engagements publics.



http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2016/09/facebook-plus-whatsapp.jpg


Dormez tranquilles (http://www.zdnet.fr/actualites/whatsapp-le-respect-de-votre-vie-privee-est-inscrit-dans-notre-adn-39798639.htm). C'est en substance le message adressé à l'époque par les dirigeants de WhatsApp et Facebook au sujet de l'utilisation des données personnelles. Les années sont passées et les engagements ont pris un sens nouveau.

Non seulement les entreprises vont pouvoir communiquer auprès des utilisateurs de la messagerie, mais en outre WhatsApp va partager des données avec Facebook (http://www.zdnet.fr/actualites/whatsapp-se-trahir-c-est-grandir-un-peu-39841084.htm), sa maison-mère. Et comme souvent, cela relève globalement du "à prendre ou à laisser".

Synchronisation de masse sans base légale ni consentement

L'autorité de protection des données personnelles de Hambourg a choisi. Ce sera à laisser. Celle-ci vient de rendre une décision ordonnant à Facebook de mettre fin à la synchronisation de masse des données (https://www.datenschutz-hamburg.de/fileadmin/user_upload/documents/Press_Release_2016-09-27_Adminstrative_Order_Facebook_WhatsApp.pdf)entre les deux plateformes.

Le régulateur "interdit à Facebook, avec effet immédiat, de collecter et stocker les données des utilisateurs allemands de WhatsApp. Il est également ordonné à Facebook de supprimer toutes les données qui ont déjà été transmises par WhatsApp."

Interdiction donc pour Facebook de procéder à des croisements de données avec les informations des près de 35 millions d'Allemands utilisant WhatsApp. L'autorité reproche à Facebook d'être revenu sur ses engagements pris publiquement de ne pas partager ces données.

Elle estime ainsi que ce changement de pratique constitue une tromperie vis-à-vis des utilisateurs et du public, mais en outre viole la législation nationale sur la protection des données. WhatsApp et Facebook ne disposent pas de base légale pour procéder à ces échanges de données. Par ailleurs, le régulateur estime que le service n'a pas recueilli le consentement des utilisateurs.

Les carnets d'adresses WhatsApp pas encore transmis

Le réseau social pourra arguer, comme il a pu le faire par le passé, ne pas dépendre de l'autorité allemande mais de son homologue irlandaise. Le gendarme de Hambourg anticipe l'argument et assure que Facebook est bien soumis à la législation nationale, le traitement des données s'effectuant par l'intermédiaire de sa filiale locale.

"Cela doit être leur décision, s'ils veulent [les utilisateurs allemands] connecter leur compte avec Facebook. Par conséquent, Facebook doit au préalable demander leur consentement" insiste, dans un communiqué (https://www.datenschutz-hamburg.de/fileadmin/user_upload/documents/Press_Release_2016-09-27_Adminstrative_Order_Facebook_WhatsApp.pdf), le commissaire à la protection des données, Johannes Caspar "

Mais, Facebook a négligé de collecter le consentement de nombreux autres internautes, qui peuvent être utilisateurs ni de WhatsApp ni de Facebook. Comment est-ce possible ? Car ils figurent dans les carnets d'adresses téléchargés sur Whatsapp. Et ceux-ci pourraient donc en principe être partagés avec Facebook.

"Selon Facebook, cette quantité gigantesque de données n'a pas encore été collectée" signale cependant le régulateur. Pas encore. "La gravité de la violation de la protection des données aura un impact beaucoup plus grave" encore insiste l'autorité.

Lako
03/10/2016, 09h26
Facebook veut encore plus aider les pages à vendre des produits.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/le-e-commerce.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/le-e-commerce.jpg)
Bientôt, vous verrez peut-être sur votre fil d’actualité des photos ou des vidéos sur lesquelles des produits sont identifiés.
Jusqu’à présent, l’identification sur Facebook ne concernait que les personnes. Mais le site Business Insider a pu confirmer auprès du réseau social que dans le cadre d’un test, il permet aussi à quelques pages d’identifier des produits sur les photos, les vidéos, et les statuts.
Comment ça marche ? Lorsqu’un produit est identifié, les utilisateurs peuvent cliquer sur cette identification pour accéder à une page informative qui permet d’en savoir plus sur l’article en question.
http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/le-e-commerce-sur-Facebook.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/le-e-commerce-sur-Facebook.jpg)
Crédit : Business Insider
Cité par Business Insider, un porte-parole de Facebook explique que cette fonctionnalité est testée afin de« donner aux administrateurs de pages plus d’outils qui permettent de faire découvrir organiquement leurs produits ».
Pour le moment, seules quelques pages ont accès à la fonctionnalité, puisqu’il ne s’agit que d’un test. Mais comme Facebook parle de découverte « organique », on peut déjà imaginer que si la fonctionnalité est déployée sur toutes les pages de commerçants, elle sera gratuite.

ironman
03/10/2016, 16h02
Après Facebook Lite, voici Messenger Lite




http://img.bfmtv.com/c/1256/708/e17/844ed1a78cf2e2432d2c19271708a.jpeg

Cette version allégée de l'appli de messagerie permet accéder aux fonctions essentielles. Idéal dans les pays où l'accès à internet est limité.

Facebook continue son travail pour "connecter le monde". Après avoir lancé une version light du réseau social (http://www.01net.com/actualites/facebook-lite-le-reseau-social-en-version-allegee-messagerie-incluse-642985.html) début 2015, il réitère avec son appli de messagerie et propose Messenger Lite pour Android.
Dans un billet de blog (https://newsroom.fb.com/news/2016/10/empowering-the-world-to-stay-connected-introducing-messenger-lite/), le numéro un des réseaux sociaux explique que cette version "offre les fonctions essentielles de Messenger pour les marchés où la vitesse d’Internet est inférieure à la moyenne" et où la plupart des appareils tournent sous Android. "Les utilisateurs pourront rester en contact quel que soit le réseau auxquels ils ont accès et la mémoire de leur appareil", poursuit Facebook.
Un logo inversé

De fait, l’appli pèse moins de 10 Mo et est rapide à installer. Grâce à Messenger Lite, explique Facebook, les utilisateurs pourront envoyer des messages, des images ou des liens à n’importe quelle autre personne utilisant la version classique ou allégée de l’appli. Ils pourront aussi recevoir des stickers. En revanche, pas sûr qu’ils puissent profiter des vidéos, des"bots" (http://www.01net.com/actualites/facebook-messenger-on-a-teste-les-bots-et-on-s-est-fait-de-nouveaux-potes-966590.html) ou des Stories, actuellement en test auprès d’une poignée d’utilisateurs.
Petite figure de style, Messenger Lite a le même logo que l’appli traditionnelle, qui compte un milliard d’utilisateurs actifs, mais les couleurs sont inversées.
L’appli est en cours de déploiement au Kenya, en Tunisie, en Malaisie, au Sri Lanka et au Venezuela. D’autres pays suivront dans les prochains mois.

**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**

chenoui70
04/10/2016, 07h45
http://www.gif-maniac.com/gifs/40/40390.gif
http://www.echecs-club-ajaccio.com/photo/art/default/9111998-14499742.jpg?v=1457890945
Attention à ce virus qui circule sur Facebook
http://static0.7sur7.be/static/photo/2016/16/11/11/20161004084733/media_xll_9128756.jpg
Transmis par Messenger, ce virus progresse rapidement sur Facebook. Soyez vigilants.

Le virus se présente sous cette forme.
http://static2.7sur7.be/static/photo/2016/14/9/9/20161004084120/media_l_9128754.jpg
Si vous recevez via un de vos contacts par messagerie privée une photo de votre profil, accompagnée de votre prénom et d'un lien "xic.graphics", surtout ne l'ouvrez pas. Créé pour attiser votre curiosité, il s'agit d'un virus de type "Cheval de Troie". Si vous cliquez dessus, vous serez redirigés vers une page vous incitant à télécharger une extension afin de lire la vidéo. C'est à ce moment que le virus s'installe dans votre ordinateur, permettant à des pirates de subtiliser vos mots de passe. Vous enverrez ensuite vous-même ce virus à vos contacts sans même vous en rendre compte.
Si vous avez malgré tout téléchargé l'extension nommée "Eko", il est encore possible de vous en débarrasser. Pour cela, quel que soit votre navigateur (Chrome, Firefox, Explorer), rendez-vous dans l'onglet "Extension" et désinstallez "Eko".
Il est également fortement conseillé de modifier votre mot de passe Facebook et de scanner votre ordinateur à l'aide d'un logiciel anti-virus.

Lako
04/10/2016, 10h40
La fonctionnalité Marketplace de Facebook risque de faire chuter les trafics des sites de petites annonces.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Marketplace-de-Facebook.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Marketplace-de-Facebook.jpg)Facebook a toujours été un concurrent du Bon Coin. Si la vocation première du numéro un des réseaux sociaux est de permettre aux gens de « partager et rester en contact » avec son entourage, celui-ci propose aussi la fonctionnalité Groupes.
Et depuis toujours, cette fonctionnalité est utilisée par des centaines de millions de personnes pour poster des petites annonces ou trouver des articles d’occasion à acheter. D’ailleurs, selon Facebook, 450 millions de personnes visitent les groupes spécialisés dans les petites annonces, chaque mois.
Comme le nom l’indique, le Marketplace est un espace où les gens peuvent poster les choses qu’ils veulent vendre ou bien trouver quelque chose à acheter. Le principe est le même que celui des groupes de petites annonces, mais grâce à l’icône proéminente du Marketplace, Facebook devrait encore plus encourager les internautes à vendre ou acheter via son réseau social.
Lorsque l’utilisateur accède au Marketplace, il voit une page d’accueil sur laquelle les articles vendus par les personnes à proximité sont présentés. Il a la possibilité de faire des recherches, de filtrer les résultats (par prix, lieux, etc.) et même de parcourir dans des catégories.
Pour poster une annonce, il suffit de prendre une photo, de donner quelques détails, et le tour est joué. L’annonce sera visible par les autres utilisateurs du Marketplace.
Donc, pour ceux qui vont vendre des articles, il ne sera plus nécessaire de poster dans plusieurs groupes, il suffira de le faire sur le Marketplace. De même, ceux qui cherchent des articles à acheter n’auront plus à parcourir ces groupes, puisque tout sera sur cette place de marché unique.
Pour le moment, la fonctionnalité n’est proposée que dans 4 pays (les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et la Nouvelle Zélande) sur Android ainsi que sur iOS et seuls ceux qui ont plus de 18 ans peuvent y accéder. Cependant, Facebook entend déployer ce nouveau concurrent du Bon Coin dans d’autres pays, et sur la version web de son réseau social.
Sinon, il est à préciser que Facebook n’intervient pas dans les transactions. Comme dans les groupes de petites annonces, le numéro un des réseaux sociaux ne fait que faciliter la découverte des articles à vendre sur sa plateforme.

chenoui70
05/10/2016, 06h33
Facebook : un virus dangereux se répand sur le réseau, voici comment s’en protéger

Si vous utilisez Facebook, prudence ! Un virus dangereux circule actuellement sur le réseau social. Un cheval de Troie qui peut voler vos mots de passe ou de l’argent. On vous dit comment vous en protéger.
http://img.phonandroid.com/2016/10/facebook-virus-proteger.jpg

Les pirates à l’origine de ce virus ont mis en place un procédé assez simple mais toujours efficace. Un lien vidéo est envoyé sur la messagerie privée (Messenger donc sur smartphone) accompagné de la photo de l’utilisateur et de son nom.
Tous vos appareils peuvent donc être touchés. Pour que vous ne vous doutiez de rien, le lien est envoyé par l’un de vos contacts. C’est en tout cas ce que le virus fait croire.
Sous le nom de l’utilisateur et sa photo apparaît également un texte : xic.graphics. Si vous cliquez sur ce lien, il va vous conduire à une page ressemblant énormément à Youtube. Là, il vous sera demandé de télécharger une extension pour pouvoir visionner la vidéo. Le nom de cette extension est « Eko ». Et c’est là que se loge le fameux virus.
Outre le vol de vos mots de passe, informations personnelles ou encore des demandes de paiements, le virus va également envoyer le même message contenant le lien vidéo à tous vos contacts sans que vous ne vous en aperceviez.
http://i32.servimg.com/u/f32/11/42/95/92/prst10.gif
Suite de l'article et solution sur le site de l'article ICI (http://www.phonandroid.com/facebook-virus-dangereux-repand-reseau-voici-comment-proteger.html)

Lako
05/10/2016, 14h00
La version chiffrée de Facebook Messenger est désormais accessible à tousLa messagerie de Facebook (http://www.lemonde.fr/facebook/), Messenger, a fini de déployer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9ployer/) sa version chiffrée. C’est ce qu’a déclaré un porte-parole de l’entreprise dans les colonnes (https://www.wired.com/2016/10/facebook-completely-encrypted-messenger-update-now/) du site spécialisé Wired, mardi 4 octobre. Annoncée en juillet (http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/07/08/facebook-va-proposer-de-chiffrer-les-messages-dans-l-application-messenger_4966457_4408996.html), cette fonctionnalité est désormais accessible aux plus de 900 millions d’utilisateurs de l’application de messagerie, l’une des plus populaires au monde (http://www.lemonde.fr/afrique-monde/).Ils pourront choisir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/deuxieme-groupe/choisir/) de communiquer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/communiquer/) avec leurs contacts avec un chiffrement de bout en bout, ce qui signifie que seuls les appareils des personnes participant à la conversation pourront déchiffrer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/d%C3%A9chiffrer/) leurs messages – ce qui est censé les mettre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/mettre/) à l’abri des regards indiscrets, qu’il s’agisse de ceux des autorités, de pirates et même de Facebook. Il est aussi possible de faire (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/faire/) en sorte que les messages envoyés soient éphémères, comme sur Snapchat. Le protocole choisi par Facebook pour chiffrer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/chiffrer/) ces messages, appelé Signal, est réputé robuste.
Une option à activerWhatsApp, qui appartient à Facebook, avait annoncé en avril la généralisation de ce dispositif (http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/04/05/whatsapp-generalise-le-chiffrement-de-son-application_4896458_4408996.html) sur son application. Mais contrairement à WhatsApp, le chiffrement de Messenger ne se fera pas par défaut : il faudra pour cela activer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/activer/) l’option« conversations secrètes ».

chenoui70
06/10/2016, 07h29
Comment activer les conversations secrètes sur Facebook?

https://youtu.be/EpIqxZVDgNk
Alors qu'un virus se propage en ce moment via Facebook Messenger, le réseau social offre davantage de sécurité à ses utilisateurs sur sa messagerie privée.
Après une phase test cet été, Facebook Messenger permet depuis ce 5 octobre à ses 900 millions d'usagers d'activer le cryptage de leurs conversations, comme sur WhatsApp récemment. De cette manière, seuls les personnes qui prennent part à la conversation peuvent lire les messages: ni le gouvernement, ni les agences de renseignement et pas même Facebook ne peuvent y avoir accès.
Comment l'activer?
Pour y avoir droit, il suffit de procéder à la dernière mise à jour de Facebook Messenger sur votre smartphone. Rendez-vous dans l'onglet "Moi" en bas à droite et ensuite dans "Conversations secrètes" pour activer l'option. Enfin, avant de rédiger un nouveau message, cliquez sur "secret" en haut à droite avant de choisir le contact avec lequel vous souhaitez discuter.
Il vous est également possible de supprimer une conversation ou encore de choisir le temps de vie de votre message en cliquant sur la minuterie (voir démonstration ci-dessus).

Lako
06/10/2016, 09h19
Facebook Messenger : le chiffrement de bout en bout disponible pour tous

Tous les utilisateurs de l'appli de messagerie de Facebook peuvent enfin choisir de chiffrer leurs conversations.

Après des tests (http://www.01net.com/actualites/facebook-messenger-les-conversations-chiffrees-sont-en-phase-de-test-1003253.html) en juillet 2016, c’est officiel : Facebook Messenger propose officiellement à tous ses utilisateurs un mode de discussion chiffré de bout en bout. Personne, ni Facebook, ni les forces de l’ordre ne pourra espionner ces messages.
Facebook a choisi d’utiliser le même protocole de chiffrement que pour WhatsApp. C’est le protocole Signal, déjà vanté par Edward Snowden et développé par l’entreprise à but non lucratif Open Whisper System. Cette fonction s’inscrit dans un mouvement plus large au sein du monde high-tech. Google a fait de même pour sa récente appli Allo. Mais là où le bât blesse, c’est que ce mode d’échange ne soit pas disponible par défaut.
« Le fait que le chiffrement doit être activé manuellement avantage les utilisateurs informés qui ont le temps d’apprendre à utiliser les paramètres de sécurités obscures. Pas cool, Facebook. », a même tweeté un membre de l’ACLU pendant la période de test.

Les Conversations secrètes s’activent depuis le profil de l’utilisateur. A ce moment-là, un avertissement s’affiche pour rappeler que le smartphone sera le seul appareil disponible pour ce type de discussion.
http://img.bfmtv.com/c/820/716/da0582/77fc0615f64e60a84f8fce7041.jpegOn peut ensuite écrire un nouveau message. Sous Android, un petit cadenas apparaît alors en haut de l’écran pour que l’on active la Conversation secrète avec son interlocuteur. Sous iOS, le mot Secret le remplace. Une fois le contact choisi, l’interface de Facebook Messenger change légèrement et les messages apparaissent dans des bulles noires.
Enfin la fonction permet une dernière subtilité : une durée de vie peut être attribuée aux messages par le biais du chrono situé en bas à droite de l’écran. On peut alors choisir que ceux-ci disparaissent quelques secondes, minutes ou heures après avoir été lus.
Attention, pour que les messages soient chiffrés de bout en bout, les deux interlocuteurs devront avoir téléchargé la dernière version de l’appli.
Télécharger messenger pour android
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Télécharger messenger pour ios
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By:
Cécile
BOLESSE

ironman
08/10/2016, 23h09
Facebook sort une nouvelle application mobile, un calendrier pour trouver des "événements" (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-359809-facebook-sort-une-nouvelle-application-mobile-un-calendrier-pour-trouver-des-evenements.html)



http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/capture_decran_2016-10-08_a_09.05.40.jpg


Facebook a sorti vendredi une nouvelle application mobile, un genre de calendrier permettant de trouver ou retrouver des "événements" annoncés sur son réseau et susceptibles d'intéresser les utilisateurs.
L'application, baptisée "Events", est disponible depuis vendredi aux Etats-Unis pour les propriétaires d'iPhone, et est promise pour "bientôt" dans une version compatible avec les smartphones Android, indique le groupe américain sur son site internet.
L'application permet de visualiser facilement "les nouveaux événements qui intéressent vos amis, des événements annoncés récemment par des pages que vous aimez, et les mises à jour pour des événements avec lesquels vous êtes déjà connectés", détaille-t-il.
Elle permet également de rechercher des recommandations d'événements en fonction du moment ou de l'endroit qui intéressent l'utilisateur (immédiatement et près de l'endroit où il se trouve, ou dans la ville où il prévoit d'aller passer le week-end par exemple).
L'application intègre une carte interactive pour repérer où ont lieu les événements, ainsi qu'un calendrier rassemblant ceux que l'utilisateur a sélectionnés.
La nouvelle application va donner davantage de visibilité aux événements qui existent depuis longtemps sur le réseau, et qui représentent d'après Facebook plus de 100 millions d'utilisateurs chaque jour.
Le groupe n'a pas caché dans le passé sa stratégie de créer toute une "famille" d'applications mobiles. Hormis le réseau social lui-même, les plus populaires aujourd'hui sont ses deux services de messagerie Messenger et WhatsApp, qui revendiquent chacun plus d'un milliard d'utilisateurs, et l'application de partage de photos Instagram, qui émarge à 500 millions.







Voilà comment Mark Zuckerberg imagine le futur de Facebook.



http://img.bfmtv.com/c/1256/708/ae9/7d467f72cc23f83b679ed811d37c9.jpeg


Zucky a réalisé une démonstration live de ce que pourrait devenir le réseau social grâce à la réalité virtuelle. Son idée? Placer la communication avec ses proches au centre de l’expérience.

Lors du dernier Mobile World Congress, Mark Zuckerberg avait eu la maladresse de poster une photo (http://hightech.bfmtv.com/internet/mark-zuckerberg-affole-twitter-avec-une-photo-digne-de-1984-953511.html#content/contribution/edit) où on le voyait seul face à une foule de journalistes équipés d’un casque de réalité virtuelle. Il semblait ainsi symboliser le géant du web triomphant d’une population d’internautes asservie. Plus question de reproduire cette erreur. Zuck a entrepris de montrer au public les bons côtés de la VR et surtout comment elle pourrait améliorer leur expérience sur le réseau social.


https://www.facebook.com/zuck/videos/10103154531425531/

Hier, à l’occasion d’une conférence centrée sur le casque Oculus (http://www.01net.com/actualites/santa-cruz-le-futur-casque-vr-d-oculus-est-totalement-autonome-1045310.html), le patron de Facebook est monté sur scène pour réaliser une impressionnante démonstration live de communication avec plusieurs personnes situées physiquement à distance. Aussitôt, ses collaborateurs Lucy et Michael sont apparus sous la forme d’avatars. Chacun se tendant un miroir pour voir à quoi ressemble son double virtuel en éclatant de rire.Un potentiel riche de nouvelles fonctionnalitésMême si le rendu de l’image n’était pas extraordinaire, l’exercice a eu pour mérite de montrer tout le potentiel que pourrait tirer Facebook de ce nouveau média. Un groupe d’amis dispersé peut se rassembler virtuellement dans un même lieu et même s’immerger dans un autre monde, qu’il s’agisse de plonger sous la mer avec des requins ou d’explorer la planète Mars. Ou encore se retrouver dans le bureau bien réel de Mark et dans son salon près de son chien qui trône sur le canapé.On peut imaginer à partir de là de nombreuses fonctionnalités : jouer aux cartes, s’affronter à l’escrime, créer des accessoires après les avoir dessinés dans les airs, afficher des photos et des vidéos et de zoomer dedans. Le moment le plus surréaliste de la démo est sans doute celui où Zuckerberg appelle... sa femme Priscilla Chan sur son smartphone et prend un selfie de son avatar avec elle, puis le poste sur Facebook.Une expérience plus libre et immersiveLe tout semble simple mais relève pourtant de la performance. Mike Schroepfer (https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10154617942574443&set=a.58804319442.65415.514244442&type=3&theater), le directeur de la technologie de Facebook, en témoigne sur son compte. Son équipe a beaucoup travaillé sur la création des avatars et le fait de pouvoir communiquer y compris avec des gens qui ne sont pas équipés de casques de VR.Pour que tout cela devienne réalité, il faudra que les innovations technologiques de Facebook dépassent le stade du prototype. A commencer par le fameux "inside-out tracking", qui consiste à embarquer une caméra et des capteurs dans le casque pour détecter la position et suivre les mouvements de l’utilisateur, sans avoir besoin de recourir à des capteurs disposés dans la pièce ni être relié à un ordinateur. Pour une expérience plus libre et immersive, seule garante d'une communication bien réelle en environnement virtuel.


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Facebook va-t-il proposer une connexion mobile gratuite aux Etats-Unis ?

http://img.bfmtv.com/c/1256/708/73e/ff0323162db11192fd8315a44e456.jpg

L’appli Free Basics, qui offre gratuitement des services internet de base dans les pays émergents, pourrait être lancée aux Etats-Unis. Mark Zuckerberg serait en train de négocier le soutien de la Maison Blanche.[COLOR=#333333][FONT=Arial]Connecter la planète, c’est le mantra de Facebook avec sa fondation Internet.org et son application mobile Free Basics (http://hightech.bfmtv.com/internet/facebook-change-internet-org-pour-tenter-d-en-finir-avec-les-polemiques-917603.html), qui ciblait spécifiquement jusqu’à présent les pays en voie de développement. Mais, surprise, l’opération pourrait être étendue bien au-delà et notamment aux Etats-Unis.
Free Basics est disponible actuellement dans 49 pays d’Amérique Latine, d’Afrique et d’Asie et offre une sélection à des services pratiques (emploi, santé, informations) grâce à des partenariats avec des opérateurs locaux. Selon le Washington Post (https://www.washingtonpost.com/news/the-switch/wp/2016/10/06/facebook-is-talking-to-the-white-house-about-giving-you-free-internet-heres-why-that-may-be-controversial/), Facebook envisagerait de déployer Free Basics outre-Atlantique à destination d’un public pauvre et rural. Pour le moment, on ignore quels seraient les contenus disponibles et comment l’appli pourrait être circonscrite à une population bien définie.
La neutralité du net remise en questionMais l’idée a de quoi inquiéter. Les partisans de Facebook diront que son application permet de connecter des personnes jusque-là exclues d’Internet. Mais son existence même est une entorse flagrante à la neutralité du net.
Free Basics repose en effet sur le principe du zero rating qui consiste à ne pas décompter pas du forfait data des abonnés l’utilisation de certains services. Une pratique polémique : le gendarme européen des télécoms a décidé clairement d'encadrer et de limiter cette pratique (http://www.01net.com/actualites/europe-belle-victoire-pour-les-partisans-de-la-neutralite-du-net-1031548.html) pour éviter qu’elle ne renforce le poids d’acteurs déjà leaders sur leur marché. Quant auxassociations de défense des libertés (http://www.01net.com/actualites/des-associations-entrent-en-guerre-contre-le-projet-internet-org-de-facebook-654938.html), elles dénoncent le rôle de prescripteur de Facebook qui impose aux internautes mobiles le contenu et les services consultés. Ce qui est selon eux une forme de censure déguisée.
Pour faire bonne figure, Facebook a ouvert son API à tous les éditeurs et développeurs tiers qui le désirent. Mais les contenus gratuits sont toujours le fruit d'une sélection. C'est la raison pour laquelle l'Inde a interdit Free Basics sur son sol (http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/live-from-new-york-pourquoi-facebook-est-il-accuse-de-colonialisme-en-inde-1602-757825.html). Facebook aimerait donc bien éviter de reproduire ce fiasco. D'où son intense lobbying auprès de la Maison blanche depuis le printemps et sa tentative pour s'allier à des opérateurs locaux mineurs. En les appâtant avec un modèle freemium : la moitié des utilisateurs de Free Basics finit en effet par souscrire à des services payants une fois qu’ils ont goûté durant plus d’un mois à l’internet mobile. Pas sûr que cela suffise pour réussir ce coup de force.


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Lako
10/10/2016, 10h27
Facebook revoit les caractéristiques minimales des PC compatibles avec l’Oculus Rift à la baisse.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/01/Oculus-Rift-5.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/01/Oculus-Rift-5.jpg)Alors que tout le monde attendait l’Oculus Rift avec impatience, Facebook a choqué pas mal de personnes lorsqu’il a annoncé les caractéristiques minimales des ordinateurs compatibles avec le casque de réalité virtuelle. En effet, en plus de devoir acheter un Oculus Rift , il faudra également investir dans un ordinateur Oculus Ready (http://www.presse-citron.net/des-ordinateurs-oculus-ready-optimises-pour-les-casques-oculus-rift/) dont le prix peut dépasser les 1 000 euros (et tout ça, c’est sans compter le prix des nouveaux controleurs Oculus touch)
Lorsqu’on est un hardcore gamer, on ne compte pas forcément. Mais pour un public plus large, l’addition reste assez salée pour l’Oculus Rift et le PC Oculus Ready qui va obligatoirement avec.
Cependant, Facebook semble vouloir rectifier le tirLors de sa conférence Oculus Connect 3, le numéro un des réseaux sociaux a revu les caractéristiques minimum pour le PC à la baisse. En substance, il utilise une technologie appelée Asynchronous Spacewarp (ASW) qui réduit le nombre d’images par secondes, mais qui donne l’impression d’avoir les 90hz qu’on a normalement.
« Avec l’ASW, nous présentons des caractéristiques minimales pour le Rift qui vont permettre de proposer la réalité virtuelle à une audience encore plus large », explique Oculus dans un billet de blog. En réduisant les besoins en CPU et en GPU, Facebook espère réduire le coût de sa réalité virtuelle. Et grâce à cela, même un PC à 499 dollars aux Etats-Unis peut faire tourner l’Oculus Rift.
Mais Facebook (via le blog d’Oculus) précise néanmoins que pour avoir la meilleure expérience, il est préférable d’utiliser un ordinateur Oculus Ready avec les caractéristiques recommandées (et non minimales).
By presse citron

Lako
10/10/2016, 11h19
Facebook dévoile une application dédiée pour les événementsCertaines fonctionnalités du réseau social Facebook peuvent être amenées à devenir des applications dédiées. Un nouvel exemple avec l'application mobile Events Selon Facebook, plus de 100 millions de personnes utilisent tous les jours les événements de son réseau social. De quoi donc légitimer la publication de l'application Events qui débute sur iOS avant d'arriver sur Android. Pour le moment, la disponibilité ne concerne officiellement que les utilisateurs aux États-Unis.Events permet de prendre connaissance de nouveaux événements qui intéressent des amis, récemment annoncés sur des Pages suivies, ainsi que des mises à jour d'événements auxquels l'utilisateur est déjà connecté.Facebook explique la possibilité de naviguer parmi des recommandations d'événements en fonction du moment, de la localisation et de ses centres d'intérêt. L'application offre une carte interactive des événements et un calendrier. Il est possible d'interagir avec l'agenda du smartphone pour ajouter des événements Facebook.
Les actions menées au sein de l'application Events seront répercutées et visibles sur le réseau social Facebook. De la sorte, les amis Facebook ne disposant pas de l'application dédiée seront tout de même informés.Reste que même avec Events, l'objectif de Facebook demeure toujours identique : faire en sorte que les utilisateurs passent le plus de temps possible sur le réseau social, et ici en tentant de populariser davantage les événements Facebook.Récemment, Facebook a adapté la publication de petites annonces dans les groupes pour proposer Marketplace, qui est une plate-forme pour l'achat et la vente d'objets entre membres du réseau social (pas encore déployée partout dans le monde), mais directement sur l'application mobile Facebook. Une autre tactique visant à garder les utilisateurs captifs.

Lako
11/10/2016, 10h40
Facebook lance enfin son réseau social pour les entreprises.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Facebook-At-Work-ou-Workplace.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Facebook-At-Work-ou-Workplace.jpg)
Cela fait plus d’un an que l’on parle de Facebook at Work (http://www.presse-citron.net/facebook-at-work-sera-lance-en-2016/), le réseau social professionnel de Facebook. Après l’avoir testé avec au moins 1 000 organisations, la société de Mark Zuckerberg décide aujourd’hui de faire sortir le nouveau service de sa beta, mais aussi de le renommer Workplace.
En substance, comme le suggérait déjà l’ancien nom, Workplace est une version de Facebook taillée pour la communication interne des entreprises.
L’interface et l’expérience utilisateurs sont quasiment identiques à celles du Facebook que vous utilisez tous les jours. Il y a un fil d’actualité, des groupes, un chat (qui supporte les appels vidéo entre deux personnes et en groupes), des applications mobiles et même du live.
Cependant, votre réseau ne sera pas des amis, mais des collègues. Et vous ne verrez pas des photos de chats (du moins la plupart du temps ?), mais plutôt des conversations professionnelles.
D’autre part, contrairement au Facebook classique, qui est gratuit mais financé par des publicités ciblées, Workplace est payant.
Aux Etats-Unis, Facebook prend 3 dollars par mois par utilisateurs pour les 1 000 premiers utilisateurs. Mais plus une entreprise comptera d’utilisateurs de Workplace, moins les tarifs seront élevés. Sinon, pour les ONG et les institutions qui travaillent dans l’éducation, le service est gratuit.
Des compagnies comme Booking.com, Renault et Danone utilisent déjà Workplace, qui entre en concurrence directe avec les services comme Slack ou Yammer de Microsoft.
Facebook met en avant la séparation entre les comptes personnels des employés et les comptes sur Workplace, mais également la sécurité. Cependant, l’un de ses principaux avantages face à la concurrence sera certainement son interface.
By SETRA

sentenza
11/10/2016, 12h37
Attention au virus Eko qui circule sur Facebook Messenger

Le virus Eko sévit depuis quelques jours sur la messagerie de Facebook. Celui-ci se présente sous la forme d’un message contenant un lien vers une vidéo, envoyé par un ami via Messenger. Le logiciel vous incitera à installer sur votre poste une extension de navigateur. Attention, si vous acceptez, le virus s’immiscera sur votre ordinateur.
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Lako
14/10/2016, 08h49
Les vidéos Facebook sont enfin compatibles Chromecast et Apple TVFacebook continue de rattraper YouTube, cette fois-ci en permettant de diffuser ses vidéos sur les télévisions.
Si Facebook permettait de publier des vidéos depuis longtemps, la fonctionnalité n’était pas vraiment mise en avant. Et la plupart des contenus vidéo qu’on voyait passer sur nos fils d’actualités étaient surtout des vidéos YouTube et non des vidéos Facebook natives.
Mais depuis un moment, Facebook booste sa plateforme vidéo en ajoutant des fonctionnalités et en faisant lancer le contenu en auto-play sur le fil d’actualité,
Par ailleurs, le dernier effort en date de Facebook pour concurrencer YouTube est la compatibilité de ses vidéos avec le Chromecast et l’Apple TV. En substance, si autrefois, les utilisateurs de Facebook devaient regarder les vidéos soit sur leurs PC soit sur leurs mobiles, ils peuvent désormais les envoyer sur les télévisions via un Chromecast ou une Apple TV, et partager le contenu avec d’autres personnes.
Pour le moment, cette option n’est disponible que sur iOS, mais elle arrivera bientôt aussi sur Android. Pour en profiter, il suffit d’appuyer sur l’icône de télévision qui se trouve sur le coin supérieur à droite lorsqu’on regarde une vidéo sur son smartphone.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Facebook-Live.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Facebook-Live.jpg)Un coup dur pour la télévision ?A priori, Facebook souhaite concurrencer YouTube avec cette fonctionnalité. Mais il se pourrait que la première victime soit la télévision. En effet, comme vous le savez peut-être déjà, Facebook a une fonctionnalité « Live » qui permet à tout le monde de diffuser en direct sur le réseau social.
Et bien que la fonctionnalité n’en soit encore qu’à ses débuts, de nombreux médias ont déjà commencé à créer des émissions Live diffusées sur Facebook. Désormais, ces Live pourront être envoyées sur une télévision (à condition d’avoir un Chromecast ou une Apple TV) et être regardés en famille dans le salon.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que Facebook menace la télé traditionnelle. Lors de sa dernière conférence F8, le numéro un des réseaux sociaux a lancé une API pour le live , qui permet aux médias de diffuser en direct depuis leurs équipements pro alors qu’auparavant, il fallait utiliser un smartphone pour diffuser en direct (ce qui ne donnait pas forcément une bonne qualité).
By SETRA

Lako
19/10/2016, 10h50
Facebook a trouvé une nouvelle fonctionnalité pour concurrencer YouTube.

http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Le-Live-programm%C3%A9-sur-Facebook.jpg (http://www.presse-citron.net/wordpress_prod/wp-content/uploads/2016/10/Le-Live-programm%C3%A9-sur-Facebook.jpg)A l’instar de Meerkat et Twitter avec Periscope, Facebook propose également une fonctionnalité Live. Comme on pouvait s’y attendre, le numéro un des réseaux sociaux a boosté ces vidéos en direct sur le fil d’actualité, ce qui les permet d’avoir beaucoup d’engagement. Et la fonctionnalité que Facebook vient d’annoncer pour les pages vérifiées de son réseau social devrait permettre aux Live d’en avoir encore plus.
Sur YouTube, il est déjà possible de planifier une diffusion en direct, ce qui permet aux chaînes d’avoir un lien à partager, un lecteur à intégrer et un espace où l’audience peut interagir, avant même le début de celle-ci. Et désormais, Facebook va proposer la même chose : permettre aux pages de programmer leurs Live.
En substance, l’idée est de permettre à l’audience de se préparer, ce qui fait qu’un Live peut avoir un bon nombre d’utilisateurs connectés dès le début. Lorsqu’une page planifie un Live, une annonce est publiée sur les fils d’actualités des utilisateurs abonnés. Une option permet à ceux-ci de recevoir une notification lorsque le Live va commencer et l’audience peut accéder à la page de celle-ci pour commencer à interagir avant le début de la diffusion.
Le seul bémol, c’est que pour profiter de cette fonctionnalité, une page doit avoir le badge « vérifié » et utiliser Live API, un outil qui permet aux pages Facebook d’utiliser d’autres outils que leurs smartphones pour diffuser les vidéos en direct. Mais plus tard, Facebook entend proposer la fonctionnalité aux autres pages et ne pas la limiter aux utilisateurs de Live API. (http://www.presse-citron.net/avec-la-live-api-facebook-va-peut-etre-achever-la-television/)
Il s’agit pour Facebook d’une nouvelle manière d’entrer en concurrence avec YouTube. Si sa fonctionnalité Live est déjà bien mise en avant, c’est pour le moment sur YouTube que les keynotes et autres grands événements sont le plus souvent diffusés. Mais avec cette nouvelle fonctionnalité, les entreprises seront peut-être plus tentées de faire des Live Facebook lors de leurs conférences ou lancements de produits.
By Presse citron

ironman
21/10/2016, 18h48
Facebook accusé d'avoir supprimé une vidéo sur le cancer du sein
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/facebook2_0.jpg


L'association suédoise de lutte contre le cancer a accusé Facebook d'avoir supprimé une vidéo sur le cancer du sein.
L'association, Cancerfonden, a publié une lettre ouverte au réseau social pour dénoncer cette suppression.

ironman
24/10/2016, 14h52
Facebook propose de se faire livrer des repas ou d'acheter des places de cinéma
Facebook va désormais permettre aux Américains de se faire livrer un repas à domicile, acheter des places de cinéma ou prendre rendez-vous chez le coiffeur sans avoir à quitter son r éseau social. (http://www.morandinisante.com/article-sante-352549-facebook-est-cite-dans-67-des-cas-de-divorce-comme-preuve-d-affaire-extra-conjugale.html)
Le groupe américain a annoncé mercredi l'ajout sur les pages des commerces présents sur son réseau de nouvelles fonctionnalités permettant aux consommateurs d'interagir directement avec eux.
Pour se faire livrer à dîner, il suffira par exemple de cliquer sur un bouton sur la page d'un restaurant, explique Facebook (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-360004-des-medias-agaces-par-la-mainmise-de-facebook-et-google-sur-la-publicite.html)dans un message publié sur son site internet.
L'option est toutefois limitée pour l'instant aux restaurants utilisant certains services de livraison (delivery.com et Slice). Sur les pages des commerces comme les spas ou les coiffeurs, il sera possible de demander un rendez-vous à une certaine heure.
Le commerçant confirmera ensuite en utilisant Messenger, l'une des applications de messagerie mobile de Facebook. Certains commerces pourront aussi ajouter à leur page un bouton permettant de réclamer un devis.
Facebook a également conclu un partenariat avec Fandango pour permettre d'acheter des places de cinéma directement depuis la page consacrée à un film sur son réseau, ainsi qu'avec Ticketmaster ou Eventbrite pour obtenir des tickets pour d'autres événements ayant eux aussi leur propre page Facebook.
Le réseau a annoncé parallèlement un nouvel outil permettant d'obtenir des recommandations d'autres utilisateurs, notamment sur des commerces. Si l'utilisateur active la fonction "recommandations" sur un message où il demande des conseils, les suggestions faites par ses amis seront toutes sauvegardées au même endroit et affichées sur une carte.
Le réseau aux 1,71 milliard de membres réserve pour l'instant ces nouvelles fonctionnalités à ses utilisateurs américains, pour lesquels il a commencé à les déployer mercredi.
Il promet toutefois davantage de nouveaux outils "dans les mois à venir", en particulier pour "communiquer directement avec les entreprises".

ironman
28/10/2016, 15h49
Facebook lance des déguisements virtuels pour Halloween



http://img.bfmtv.com/c/1256/708/b84/fc3e5966273ef82faf74ecd72dfcd.jpeg


Facebook célèbre Halloween en proposant des filtres pour les vidéos en direct et en customisant ses boutons Réactions.

Sachant que plus de 69% des Américains comptent célébrer Halloween (http://www.slideshare.net/NationalRetailFederation/top-2016-halloween-trends?ref=https://nrf.com/resources/consumer-data/halloween-headquarters), c’est l’occasion pour Facebook de lancer deux nouvelles fonctions pour se mettre dans l’esprit de cette fête ultra populaire outre-Atlantique.
La première d’entre elles est l’arrivée des filtres MSQRD (http://www.01net.com/actualites/facebook-se-paye-l-application-masquerade-958049.html) (ou Masquerade) dans les vidéos Live. Cette fonction avait été annoncée au début de l’été (http://www.01net.com/actualites/facebook-se-paye-l-application-masquerade-958049.html)mais était un peu tombée dans l’oubli depuis.
Sur son site, Facebook (http://newsroom.fb.com/news/2016/10/no-tricks-just-treats-from-facebook-this-halloween/) explique que celle-ci permet d’appliquer à loisir des masques dynamiques sur son visage lorsque l’on se filme en direct. A la manière des Lenses de Snapchat (http://www.01net.com/actualites/snapchat-propose-desormais-des-lenses-payants-929932.html).



En pratique, il suffit de démarrer une vidéo et d’appuyer sur l’icône Masque et de choisir celui que l’on souhaite. Les premiers filtres disponibles sont des masques d’Halloween, parmi lesquels on trouve un crâne, une citrouille ou encore une sorcière avec chapeau pointu et teint verdâtre. D’autres plus classiques suivront.
Autre clin d’œil à Halloween, Facebook a modifié, pour quelques jours seulement, l’habillage de ses boutons de réaction. A la place des classiques emojis, on trouve une sorcière, un fantôme, Frankenstein et une citrouille. Mais pas seulement : le pouce levé, symbole du J’aime, fait apparaître les os de la main et le cœur est petit à petit grignoté. Amusant. Ce n’est pas la première fois que Facebook customise ses emojis. Le réseau social avait déjà changé ses boutons Réactions à l’occasion du 50e anniversaire de Star Trek en septembre.
http://img.bfmtv.com/c/709/542/c43/a4a7c94f0b1ff509a75d3f3480897.jpeg

Facebook -Petit hic, tout le monde ne pourra pas profiter des masques et de ces boutons modifiés. Pour le moment, seuls les internautes américains, britanniques et néo-zélandais disposant d’un appareil sous iOS peuvent y accéder. Facebook indique que les masques seront disponibles pour Android et dans d’autres pays "dans les mois qui viennent".



Facebook Lifestage, le concurrent de Snapchat, arrive sur Android
Lifestage est une application destinée aux lycéens qui fait la part belle à la simplicité d’emploi et surtout aux vidéos.Lorsque Mark Zuckerberg crée "The Facebook" en 2004, il propose initialement un réseau social pour les étudiants de l’université d’Harvard, qui sera ensuite étendu aux autres universités. L’application Lifestage est un peu un retour aux sources car elle s’adresse aux jeunes de moins de 21 ans, en particulier les lycéens. Après avoir fait ses armes pendant quelques mois sous iOS, l'appli arrive désormais sous Android.
L’objectif est de créer un profil "amusant" avec des éléments tels que son visage joyeux, son visage triste, ce qu’on aime ou pas, son meilleur ami et sa façon de danser. On peut aussi y ajouter des filtres MSQRD. Mais surtout, beaucoup d’éléments sont constitués de vidéos, ce qui positionne Lifestage comme concurrent de Snapchat.
http://img.bfmtv.com/c/1256/708/aaf/524708e5039b9dd86d52d30e56396.jpgLifestage ne nécessite pas de compte Facebook (http://www.01net.com/actualites/comment-se-desinscrire-de-facebook-le-pas-a-pas-921224.html). En revanche, il faut indiquer dans quelle école on se trouve et il faut au moins que 20 autres personnes de la même école se soient inscrites. Dès que l’école a son quota d’utilisateurs, ces derniers peuvent accéder aux profils des autres membres de leur école, mais aussi à ceux d’autres écoles. Pas de messagerie directe sur cette appli, mais un bouton de contact pour rediriger les personnes vers d’autres réseaux sociaux, par exemple Facebook.
Avec Lifestage, Facebook tente de reprendre la main sur les ados. Selon le site Digital Trends (http://www.digitaltrends.com/social-media/facebook-introduces-lifestage-app-compete-snapchat/?utm_source=feedly&utm_medium=webfeeds), le nombre d’adolescents entre 13 et 17 ans utilisant le réseau social a diminué de 25% entre 2011 et 2014. L’appli peut aussi être vue comme un laboratoire pour voir les habitudes des adolescents en matière de partage de vidéos, quitte ensuite à intégrer certaines de ces fonctions dans Facebook.
Pour le moment, l'appli ne semble disponible qu'aux Etats-Unis. Pas sûr, vu son succès mitigé - mi-octobre elle est tombée à la 1.380e place duclassement des téléchargements sur iOS réalisé par App Annie (https://www.appannie.com/apps/ios/app/lifestage-2/#), qu'elle arrive jusqu'au Vieux Continent.

Lako
31/10/2016, 14h37
Facebook continue de copier Snapchathttp://img.generation-nt.com/facebook-live-halloween-masques_0096006401641548.jpg
Une nouvelle fois, Facebook s'inspire clairement de Snapchat avec des filtres pour les visages et un côté éphémère pour le contenu généré. Facebook Live s'y met aussi pour Halloween.


Le réseau social Facebook emprunte unr nouvelle fois une fonctionnalité de Snapchat. Dans le cadre d'un test pour le moment limité à l'Irlande et avant un plus ample déploiement, Facebook propose des effets et des masques pour les photos et vidéos via une nouvelle icône caméra dans son application principale.
Le contenu ainsi obtenu peut être publié ou partagé en tant que message direct. Il demeure visible le temps d'une conversation après avoir fait l'objet d'un commentaire. Sinon, il disparaît dans un délai de 24 heures après envoi.
Les effets comprennent des masques en réalité augmentée pour des selfies et semblent très proches des Lenses de Snapchat. Le côté éphémère vient parfaire la copie du concurrent que Mark Zuckerberg avait échoué à racheter.
By GNT

ironman
31/10/2016, 15h00
http://s2.lemde.fr/image/2016/10/27/534x0/5021676_6_26fd_l-astronaute-americain-terry-virts-en-sortie_4aaa7811abebeb831114e9b8bc57e347.jpg

« Mais comment peut-il diffuser (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/diffuser/) en direct depuis l’espace, alors que moi, je n’arrive pas à avoir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/avoir/) la 3G la plupart du temps ? » Plusieurs internautes se sont étonnés, mercredi 26 octobre, de voir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/voir/) plusieurs pages Facebook (http://www.lemonde.fr/facebook/)influentes diffuser, à peu près au même moment, des « lives » en direct de la station spatiale internationale (ISS) montrant un astronaute en pleine sortie extra-véhiculaire. Et il y avait de quoi être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre/) étonné, car aucune de ces images n’était en direct.

Les pages Facebook Viral USA (https://www.facebook.com/VirallUSA/videos/204884829948823/), Interestinate (https://www.facebook.com/interestinate/videos/675322259293179/) ou encore Unilad (https://www.facebook.com/uniladmag/videos/vb.146505212039213/2430165973673114/?type=2&theater) et le Démotivateur (https://www.facebook.com/demotivateur/videos/10154400866579457/) en France (http://www.lemonde.fr/europeennes-france/) ont diffusé pendant une partie de la journée des images spectaculaires prises « en direct »depuis la station spatiale internationale, en orbite basse autour de la Terre. On y voyait clairement un astronaute manipulant sa caméra à l’extérieur de la station lors d’une sortie en combinaison spatiale, ce que l’on appelle une sortie extra-véhiculaire.
Ces Facebook Live, vus par plusieurs dizaines de millions d’internautes ont pourtant trompé leurs auditeurs : aucune des images diffusées n’était réellement en direct de l’espace. Comme l’ont déjà noté RTL (http://www.rtl.fr/culture/futur/non-la-nasa-n-a-pas-fait-un-facebook-live-depuis-la-station-iss-7785460713) ou encore Mashable (http://mashable.com/2016/10/26/facebook-live-iss-station-nasa/#RXv3KInyOmqz), ces images proviennent de différentes sorties extra-véhiculaires filmées à l’extérieur de la station entre 2013 et 2015. La comparaison entre différentes images l’indique clairement.

Lako
03/11/2016, 08h57
Facebook n’est plus très loin des deux milliards d’utilisateursLe numéro un des réseaux sociaux vient d’annoncer ses derniers résultats trimestriels (résultats des trois derniers mois) et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il se porte très bien.
En effet, Facebook compte désormais 1,79 milliards d’utilisateurs contre 1,71 milliards le trimestre précédent et contre 1,66 milliards au troisième trimestre 2015.
Sinon, il est à noter que sur ces 1,79 milliards de personnes, 1,05 milliards ne se connectent que sur mobile. D’ailleurs, en ce qui concerne les revenus, ce sont surtout les publicités affichées sur les smartphones qui propulsent le numéro un des réseaux sociaux. Sur ce plan, Facebook se porte aussi très très bien. Au troisième trimestre 2016, Facebook a enregistré 7,01 milliards de dollars de revenus et 2,38 milliards de dollars de profits. En glissement annuel, cela correspond à une hausse de 160 % !
Facebook s’investit dans la vidéoSinon, le PDG de l’entreprise, Mark Zuckerberg, a également souligné l’importance de la vidéo pour le réseau social. « Notre objectif principal a été de mettre la vidéo en priorité sur nos applications, écrit le PDG sur son profil Facebook. Les gens n’ont jamais autant créé et partagé de vidéos. C’est pourquoi nous construisons de nouveaux outils pour vous aider à vous exprimer de manière créative ».
Et la stratégie de Facebook est en train de payer. Depuis le mois de mai, le nombre d’utilisateurs de sa fonctionnalité Live a quadruplé. Les Stories d'instagram, une fonctionnalité toute récente, a déjà 100 millions d’utilisateurs parmi les 500 personnes abonnées au réseau social de partage de photos et de vidéos.
By Presse Citron

Lako
03/11/2016, 15h56
Facebook pourrait-il disparaître? Wall street s'alarme et l'action chute en BourseFacebook reculait fortement jeudi à Wall Street après que le géant des réseaux sociaux a publié la veille des résultats en hausse mais ne dissipant pas les inquiétudes des investisseurs sur la pérennité de ses revenus.
Le titre reculait de 4,44% à 121,53 dollars vers 15H45 GMT.
Facebook a pourtant publié mercredi soir des résultats trimestriels en forte hausse et supérieurs aux attentes. Son bénéfice net s'est notamment envolé de 166% à 2,4 milliards de dollars, tandis que son chiffre d'affaires a grimpé de 56% à 7 milliards.
Une croissance ralentie
Le réseau a parallèlement continué d'étendre son audience, avec un nombre d'utilisateurs passé de 1,71 milliard fin juin à 1,79 milliard trois mois plus tard. Et leur intérêt pour ses services ne semble pas faiblir: 66% des utilisateurs continuent de se connecter quotidiennement, un taux identique aux trimestres précédents.
Mais le groupe de Mark Zuckerberg a aussi indiqué qu'il aurait de la peine à maintenir un tel rythme de croissance. Le directeur financier David Wehner a dit attendre une diminution du taux de croissance du chiffre d'affaires dès le trimestre en cours, entamé début octobre. Facebook a aussi indiqué qu'il allait investir massivement dans l'embauche d'ingénieurs informaticiens et la construction de centres serveurs.
"S'il y a un point faible pour Facebook, c'est sa capacité à faire de l'argent avec tout autre chose qui ne soit pas de la publicité. En dehors de cela, rien ne s'annonce comme un grand succès", a souligné Jan Dawson de Jackdaw Research dans un tweet.

De nombreux axes de croissance importants
Mark Zuckerberg table sur la réalité virtuelle, l'intelligence artificielle et la fourniture de services internet dans des zones reculées pour développer les revenus du groupe. Mais, pour l'instant, la publicité compte pour 97% de ses revenus et sur ce total, 84% proviennent de la publicité sur appareils mobiles.
Selon Mark Mahaney de RBC Capital Markets, le mouvement de vente sur les actions Facebook est toutefois exagéré. "Nous estimons que Facebook a encore de nombreux axes de croissance importants", a-t-il indiqué dans une note, citant entre autres le site de partage de photos Instagram et la monétisation de nouveaux services utilisant son application de messagerie instantanée.
Michael Graham de Canaccord Genuity indique aussi que Facebook a "plusieurs innovations dans le secteur des services aux consommateurs qui devraient continuer de susciter l'intérêt des publicitaires", recommandant de conserver le titre dans les portefeuilles boursiers.
By RTBF

Lako
06/11/2016, 06h53
Facebook veut proposer plus de jeux dans MessengerLa messagerie teste actuellement la nouvelle plateforme Instant Games qui devrait être focalisée sur les parties multijoueurs. L’éditeur de Candy Crush King.com est déjà sur les rangs.


Les jeux vidéo sont-ils la nouvelle arme de Facebook Messenger pour fidéliser ses utilisateurs ? Les responsables de la messagerie reconnaissent en tous cas expérimenter en ce moment la plateforme Instant Games, comme le rapporte le site TechCrunch. Elle devrait être axée sur les jeux multijoueurs. Un premier essai a été repéré en Nouvelle-Zélande avec la mise à disposition dans Messenger du jeu de carte Shuffle Cats du célèbre éditeur de Candy Crush King.com.


Facebook Messenger revendique aujourd’hui plus d’un milliard d’utilisateurs dans le monde. Mais la concurrence est rude avec un public d’adolescents et de jeunes adultes davantage attiré par Snapchat ou Whatsapp. Alors, le service lance en permanence de nouvelles fonctionnalités pour engager ses abonnés. Basket, foot, échecs, on pouvait déjà trouver des mini-jeux sur Facebook Messenger depuis cette année, le service s’étant ouvert depuis peu aux développeurs tiers.


Du multijoueur asynchrone


L’intérêt d’Instant Games serait avant tout de pouvoir réaliser des parties multijoueurs asynchrones permettant de se mesurer contre ses amis sans forcément que tous soient connectés au même moment. Facebook pourrait lancer un kit de développement dès le mois prochain mais l’on ne connaît pas encore le modèle économique et l'on ignore si les éditeurs seront autorisés à pratiquer des achats intégrés. Big Viking Games, qui édite Galatron VS ou encore Fish World, serait aussi sur les rangs.


Rappelons que les efforts de Facebook pour se positionner sur le créneau des jeux vidéo se sont soldés par plusieurs échecs dont le plus retentissant fut le projet Spartan en 2011. Cette semaine, la société est revenue à la charge avec Facebook Gameroom, un client de jeu sur PC. C’est une application qui centralise les jeux disponibles sur le réseau social. Essentiellement des free-to-play.


Avec Instant Games, Messenger creuserait encore davantage le sillon de ces petits jeux accessibles à tous, pratiques et faciles à expérimenter durant de courtes pauses dans la journée et .. rendant les internautes captifs de sa plateforme.


By Amélie Charnay

Lako
09/11/2016, 08h21
Facebook va bien proposer des offres d'emploiFacebook cherche à se diversifier et à faire de sa plateforme un portail depuis lequel les utilisateurs pourraient accéder à toutes les fonctionnalités du Web. C'est ainsi que le réseau proposera prochainement des offres d'emploi.
Facebook cherche à rassembler toujours plus d'utilisateurs, mais également à les faire rester sur ses services. Et pour ce faire, il faut parfois tenter de remplacer d'autres plateformes populaires. Après avoir misé sur la photo et la vidéo pour concurrencer d'autres réseaux sociaux et même une "place de marché en ligne" pour concurrencer les sites de vente entre particuliers, c'est au tour de l'emploi de devenir le nouvel atout de Facebook.


Le réseau de Mark Zuckerberg s'en prend ainsi directement à LinkedIn, la plateforme spécialisée dans la recherche d'emploi rachetée par Microsoft au milieu de cette année.
Avec 1,79 milliard de membres actifs, Facebook pourrait ainsi se présenter comme le médiateur idéal entre les entreprises présentes sur son réseau et les utilisateurs à la recherche d'un emploi.


Facebook teste ainsi depuis quelques jours une nouvelle fonctionnalité déployée uniquement aux USA pour l'instant qui permet aux entreprises de publier des offres d'emploi sur leurs propres pages de profil. Les entreprises à la recherche de personnel pourront également payer Facebook pour une mise en valeur de leurs offres. TechCrunch a d'ailleurs pu repérer le lien en question, renvoyant vers la fonctionnalité Jobs.


Du côté des utilisateurs, les offres s'afficheront dans le flux d'actualité des entreprises qu'ils suivent, et il suffira de cliquer sur le lien pour postuler. Pour Facebook, il s'agira également de tenter de récupérer plus d'informations sur ses utilisateurs, et d'en assurer la véracité puisque lors du dépôt de candidature, ce sont les informations renseignées dans les profils qui seront transmises à l'entreprise.
By GNT

Lako
09/11/2016, 13h54
Facebook veut diffusé de la publicité avec l'Apple TV et Roku
http://www.telesatellite.com/images/actu/a/apple-tv-facebook.jpg
Facebook en partenariat avec A+E Network et Tubi TV va commencer à difuser des campagnes publicitaires à travers les matoss Apple TV et Roku .Pour le moment ni Facebook et ses partenaires n'ont donné de détails sur la taille et l'apparence des formats publicitaires qu'ils imposeront aux possesseurs de boîtiers Apple TV et Roku et les tests de diffusion doivent débuter cette semaine aux Etats-Unis .
http://www.telesatellite.com/images/actu/r/roku-ultra.jpg
Bien que ces boitiers OTT soient connectés à Facebook la plateforme publicitaire réseau social ciblera les utilisateurs en se basant sur leur adresse IP .
Aucune publicité pour cibler les utilisateurs d'Apple TV et Roku n'est encore commercialisée par Facebook . Ce sont des publicités de son propre réseau et pour des organisations à but non lucratif qui seront utilisées pendant la période de test . Si Facebook décidait de lancer des campagnes publicitaires au terme de ces expérimentations les utilisateurs d'Apple TV et de Roku pourraient ne pas du tout apprécier que le réseau social géant s'invite dans leur téléviseur avec un ciblage très approximatif .

Lako
09/11/2016, 14h13
Prisma vous permettra d’appliquer des filtres artistiques sur les Live Facebook.


prisma-facebook


S’il n’y avait pas eu Pokémon Go, Prisma aurait sans aucun doute été l’application de l’été, cette année. L’application Russe permet aujourd’hui de transformer les photos et les vidéos en œuvres d’art, en utilisant une intelligence artificielle qui permet d’imiter un style défini.


A ce jour, l’application a déjà été téléchargée plus de 70 millions de fois sur iOS ainsi que sur Android. Et maintenant, vous avez une autre bonne raison d’installer celle-ci sur votre smartphone.


En effet, Prisma lance une fonctionnalité de son application qui permettra aux internautes de publier des Live Facebook sur lesquels ses filtres sont appliqués. Afin de proposer cette fonctionnalité, Prisma se base sur la Live API lancée par Facebook il y a quelques mois, qui permet aux créateurs de logiciels ou d’équipements audiovisuels d’intégrer la diffusion en direct dans leurs produits.


La mauvaise nouvelle, c’est que pour le moment, cette fonctionnalité n’est compatible qu’avec les iPhone 6S et iPhone 7. Cité par The Verge, un responsable de l’application explique que ces restrictions sont dues au traitement en direct qui requiert des ressources importantes sur les mobiles.


Facebook et Google ne sont pas loin


En tout cas, après que Prisma ait lancé son application, basé sur un logiciel open-source appelé DeeArt et sur une technique appelée « transfert de style », les géants du web se sont de plus en plus intéressés à ce genre de technologie. Comme nous l’évoquions dans un précédent article, Google et Facebook ont déjà révélé qu’ils travaillent sur des fonctionnalités similaires. D’ailleurs, Facebook devrait prochainement lancer une fonctionnalité native à la Prisma sur son réseau social, aux Etats-Unis.


Mais face à ces concurrents, Prisma affiche sa confiance. Pour le PDG Alexey Moiseenkov, cela prouve que ses filtres sont populaires. Et il se dit « heureux que des géants des nouvelles technologies s’intéressent au transfert de style ». « Nous ne sommes pas inquiet et nous n’avons pas peur. Nous essayons simplement de nous améliorer chaque jour », ajoute-t-il.


Pour ce qui est du modèle économique, Prisma compte sur des filtres sponsorisés pour monétiser son application. Comme le rapporte The Verge, l’entreprise a déjà travaillé avec Gett, un concurrent d’Uber. Et elle entend aussi créer des filtres sponsorisés pour les Facebook Live.
By PresseCitron

Lako
10/11/2016, 05h11
Flash, le nouveau Snapchat de Facebook pour les pays émergentsFacebook a une nouvelle application à la Snapchat pour les marchés émergents.


snapchat-de-facebook-flash


Facebook n’en a toujours pas assez de courir après Snapchat. Alors qu’il propose déjà quelques fonctionnalités apparemment inspirées de l’application d’Evan Spiegel sur celles de Facebook, Instagram et Messenger, le numéro un des réseaux sociaux vient de lancer un nouveau service appelé Flash dont le fonctionnement rappelle également celui de Snachat.


Cependant, Flash a une petite particularité : il a été conçu pour les marchés émergents. Et pour le moment, il n’est disponible qu’au Brésil. Qualifiée de « clone de Snapchat » par des médias technos américains comme Recode et Android Authority, cette nouvelle application a cependant le mérite de fonctionner mieux dans les pays comme l’Inde ou le Brésil.


Dans ceux-ci, les internautes utilisent le plus souvent des mobiles d’entrée de gamme ou moyen de gamme. Et les connexions ne sont pas toujours aussi rapides que ceux qu’on a en Europe ou en Amérique du Nord.


Flash ne pèse pas plus de 25 MB, ce qui représente le tiers du poids de Snapchat. Et selon ReCode, son fonctionnement a été pensé pour les connexions faibles.


Donc, en substance, Facebook essaie de devancer Snapchat dans les pays émergents, où il n’a pas encore une très forte audience chez les jeunes. Et par ailleurs, Flash rejoint les autres applications développées par Facebook pour ces pays-là, à savoir Facebook Lite et Messenger Lite.


D’autre part, il est à noter que ce n’est pas la première fois que Facebook lance une application similaire à Snapchat. En 2014, le numéro un des réseaux sociaux a lancé Slongshot, une application qui ressemblait vraiment à Snapchat et qui était disponible sur iOS ainsi que sur Android. Mais n’ayant pas eu le succès escompté, Slingshot a été retiré des stores d’application cette année.
By PresseCitron

ironman
10/11/2016, 13h17
Facebook lance Flash, une copie presque conforme de Snapchat
http://img.bfmtv.com/c/1256/708/437/ffd72b9a31eec923053762ef9708e.jpeg

Puisque concurrencer Snapchat sur le marché nord-américain est vain, Facebook a décidé de lancer sa nouvelle appli dans les pays émergents.Cela fait un moment déjà que Facebook copie les fonctions de Snapchat pour ses propres produits. Il y a quelques jours, on apprenait que WhatsApp (http://hightech.bfmtv.com/logiciel/whatsapp-va-copier-les-stories-de-snapchat-1056271.html) testait une nouvelle fonction rappelant singulièrement les Stories. En ce début novembre 2016, la firme de Menlo Park va plus loin, révèle Recode (http://www.recode.net/2016/11/8/13553422/facebook-snapchat-competitor-flash-emerging-markets-brazil), en proposant tout simplement un clone de l’appli de partage de photos et de vidéos. Son nom: Flash.
Après avoir tenté (et raté) l’expérience par deux fois, avec Poke (http://www.01net.com/actualites/facebook-lance-son-application-de-messagerie-ephemere-sur-iphone-583063.html) en 2012 et Slingshot (http://www.01net.com/actualites/facebook-lance-slingshot-pour-concurrencer-snapchat-622112.html) en 2014, Facebook renouvelle l’expérience mais cette fois avec une différence de taille: cette appli a été conçue spécifiquement pour les pays émergents où le Wi-Fi se fait rare et où la connectivité est plus faible que dans les pays développés. D’où l’argument clé de Facebook pour pousser sa nouvelle appli: son tout petit poids. Flash pèse moins de 25 Mo, soit le tiers de ce que représente la version Android de Snapchat.



http://img.bfmtv.com/c/800/400/966/90df374af529649fa9adb6ad075d6.jpegCapture Recode -La stratégie de Facebook est claire. Puisque la firme de Menlo Park ne peut pas battre Snapchat sur le marché nord-américain où l’appli compte 60 millions d’utilisateurs quotidiens actifs, elle change de cible. Elle a d’abord tenté d’acheter Snow, un clone asiatique de Snapchat. N’ayant pas réussi cette opération, elle lance sa propre appli "allégée" et espère que celle-ci plaira suffisamment aux habitants des pays émergents pour qu'elle remplace l'originale dans le coeur des utilisateurs.
Il y a six ans, 60% des utilisateurs actifs de Facebook vivaient aux Etats-Unis, au Canada et en Europe. Désormais, seul un tiers vit dans cette zone. Les pays émergents sont donc devenus une zone à ne surtout pas négliger pour Facebook et probablement la seule désormais où le réseau social va pouvoir accroître son nombre d’utilisateurs. Flash n'est d'ailleurs pas la première offensive de Facebook sur ces marchés: la firme y a déjà lancé Facebook Lite (http://www.01net.com/actualites/facebook-lite-le-reseau-social-en-version-allegee-messagerie-incluse-642985.html) et Messenger Lite (http://hightech.bfmtv.com/logiciel/apres-facebook-lite-voici-messenger-lite-1043716.html).
Flash a été lancé cette semaine au Brésil. L'appli arrivera ensuite sur d’autres marchés assure Facebook sans encore indiquer lesquels, mais on peut raisonnablement penser qu'elle sera rapidement disponible en Inde et en Indonésie.



Facebook interrompt la collecte de données des utilisateurs de WhatsApp en Grande-Bretagne
http://img.bfmtv.com/c/1256/708/184/5639cdb3dd80764cc528184ada95a.jpeg

Menacé de représailles judiciaires, le groupe américain a accepté de cesser temporairement le partage de données entre le réseau social et l'appli de messagerie.On ne badine pas avec la protection des données en Grande-Bretagne. Le Information Commissioner’s Office (ICO), l’équivalent britannique de la Cnil, a annoncé que Facebook acceptait de suspendre le partage de données (http://hightech.bfmtv.com/securite/whatsapp-livre-desormais-les-donnees-de-ses-utilisateurs-a-facebook-1029710.html) entre le réseau social et l’appli WhatsApp.
Cet accord est une victoire pour la commissaire à l’information, Elizabeth Denham, qui a lancé une enquête sur ce partage de données il y a quelques mois déjà. Fin août, Facebook intégrait dans une mise à jour de l’appli de messagerie la possibilité de récupérer les données des utilisateurs de WhatsApp, notamment leurs numéros de téléphone, à des fins publicitaires. Les internautes ont protesté et les Cnil européennes (http://hightech.bfmtv.com/securite/whatsapp-et-facebook-ce-nouveau-partage-de-donnees-qui-derange-1053777.html) ont indiqué qu’elles allaient scruter ces changements à la loupe.



"Les modifications effectuées par WhatsApp et Facebook vont affecter un grand nombre de personnes. Certains peuvent considérer que cela leur offrira un meilleur service, d’autres s’inquiéter du manque de contrôle. Notre rôle est de faire la lumière sur ce genre de choses, de nous assurer que les entreprises sont transparentes avec le grand public sur la façon dont elles partagent leurs données privées, et de protéger les consommateurs en nous assurant que la loi est respectée", avait à l’époque déclaré la responsable britannique.
Facebook estime agir en conformité avec la loi"Je ne pense pas que les utilisateurs aient reçu suffisamment d’explications de la part de Facebook (https://iconewsblog.wordpress.com/2016/11/07/information-commissioner-updates-on-whatsapp-facebook-investigation/) sur ce qu’il allait faire de ces données, a-t-elle déclaré en ce début novembre dans un communiqué. Et je ne pense pas non plus que WhatsApp ait reçu l’accord de ses utilisateurs pour partager leurs données." Pour la responsable, ceux-ci devraient aussi avoir la possibilité de contrôler la façon dont leurs données sont utilisées en permanence, et pas seulement pendant 30 jours.
Elle a donc intimé l'ordre au groupe américain de cesser ses pratiques... sous peine d'entamer des poursuites.
"Nous avons rappelé la loi à Facebook et nous sommes heureux de voir qu’ils ont accepté d’interrompre la collecte de données d’utilisateurs britanniques pour un usage publicitaire ou pour améliorer leurs produits", a ajouté la responsable.
Ce à quoi la firme de Menlo Park a tout de même tenu à répondre qu’elle estimait que ses conditions d’utilisation mises à jour en août étaient conformes à la loi et suivaient les règles de la Cnil britannique. Et d’ajouter qu’elle restait disponible pour répondre aux questions des organismes de protection des données.

ironman
14/11/2016, 17h40
Election de Donald Trump : Facebook veut faire plus pour lutter contre les fausses infos
Mark Zuckerberg a pris la parole pour évoquer le rôle du réseau social dans l'élection de Donald Trump.
http://static1.ozap.com/articles/5/51/19/95/@/4534670-mark-zuckerberg-620x345-1.jpg

Comment expliquer la victoire de Donald Trump (http://www.ozap.com/personnalite/donald-trump_e1771) ? Depuis une semaine, les instituts de sondages, les spécialistes, les médias, tous sont pointés du doigt pour leur rôle dans la victoire d'un président dont la campagne a été marquée par des attaques sans précédent contre les minorités. Et la question du rôle de Facebook (http://www.ozap.com/compagnie/facebook_e458013) a également été posée. Pendant toute la campagne, les utilisateurs ont pu partager des contenus erronés, qui peuvent ensuite être assimilés comme véridiques par leurs proches. Certains médias n'ont donc pas hésité à pointer du doigt le laxisme du réseau social face au partage de contenus clairement faux et partisans publiés dans le but de nuire à un candidat.
"Les gens s'interrogent sur notre responsabilité"Après avoir éludé le problème, Mark Zuckerberg (http://www.ozap.com/personnalite/mark-zuckerberg_e158400) a finalement pris la parole sur Facebook (https://www.facebook.com/zuck/posts/10103253901916271) hier pour évoquer ces fausses infos. "Les gens s'interrogent sur notre responsabilité dans la lutte contre la propagation des fausses infos. C'est une question très importante et il est primordial pour moi de faire les choses bien", commence le créateur du réseau social, affirmant que "99% du contenu que les gens voient sur Facebook est authentique" et qu'une "toute petite proportion des contenus publiés est fausse".

Assurant que ces fausses infos ne sont pas limitées à un candidat plus qu'à un autre, Mark Zuckerberg estime donc "très peu probable" qu'ils aient joué un rôle dans la campagne. Malgré tout, il soutient qu'il ne veut "aucune fausse info sur Facebook". "Notre but est de montrer aux gens les contenus qu'ils estiment les plus pertinents, et les gens veulent des informations exactes. Nous avons déjà commencé à travailler sur la possibilité de signaler des contenus faux, et nous continuerons à y travailler", promet-il, notant toutefois que la pente est glissante.
"Nous devons procéder avec une extrême prudence. Identifier la 'vérité' est compliqué", poursuit-il en effet, distinguant certains "hoax" qui peuvent être complètement faux d'une part, et une quantité bien plus importante d'articles dont "l'idée de base est exacte mais les détails sont erronés". Mark Zuckerberg, qui profite de l'occasion pour vanter les mérites de Facebook dans l'aide à l'inscription sur les listes électorales de 2 millions d'Américains, conclut qu'il faut être "très prudent" quand on se place "en tant qu'arbitre de la vérité".






Quand Facebook fait virtuellement mourir 2 millions d'utilisateurs bien vivants
En raison d'un bug, près de deux millions d'utilisateurs du réseau social dont son fondateur Mark Zuckerberg, ont découvert en fin de semaine leur décès sur leur profil Facebook.
http://static1.ozap.com/articles/0/51/19/40/@/4534630-facebook-620x345-2.jpg


"Une terrible erreur". C'est en ces termes que le groupe américain Facebook a qualifié vendredi le bug survenu le jour-même sur son réseau social. En fin de semaine et selon une estimation des médias américains, près de deux millions d'utilisateurs, dont le fondateur du groupe, Mark Zuckerberg, ont découvert leur décès sur leur profil.
Comme le rapporte l'AFP (http://information.tv5monde.com/en-continu/bug-morbide-pour-facebook-138741), le bug s'est traduit sur les comptes Facebook des utilisateurs par une petite fleur et le message "En souvenir de" précédant leur nom. En temps normal, ces éléments signalent les comptes de commémoration des utilisateurs décédés lorsque leurs proches en ont fait la demande. "Selon notre règlement, si Facebook est informé du décès d'une personne, nous transformons son compte en compte de commémoration", a expliqué un porte-parole de Facebook à l'AFP. Il faut notamment pour cela présenter une preuve du décès de l'utilisateur.

Excuses de FacebookProblème, le bug de vendredi a transformé des comptes d'utilisateurs bien vivants en comptes de commémoration. "Nous espérons que ceux qui aiment Mark trouveront du réconfort en voyant ce que d'autres partagent" en hommage à sa vie, a-t-il par exemple été écrit un temps sur le profil de Mark Zuckerberg vendredi.
"Pendant un bref moment aujourd'hui (vendredi, ndlr), un message destiné aux comptes de commémoration a été posté par erreur sur d'autres comptes", a expliqué Facebook. "C'est une terrible erreur que nous avons désormais résolue", a ajouté l'entreprise américaine. Facebook a par ailleurs présenté ses excuses et assuré avoir travaillé aussi vite que possible pour corriger le bug.

Lako
15/11/2016, 09h06
Facebook teste les discussions publiques sur MessengerRooms, ou l’équivalent des groupes Facebook pour la messagerie, fait ses débuts sur l’application Messenger.


les-messenger-rooms


Au mois de septembre, le site TechCrunch avait découvert en fouillant dans le code de l’application Messenger que le numéro un des réseaux sociaux développait une fonctionnalité appelée Rooms dont le fonctionnement ressemble plus ou moins à celui des groupes Facebook.


En effet, contrairement aux conversations de groupes sur Messenger, qui sont généralement des conversations entre amis ou du moins entre des gens qui se connaissent, les Rooms sont des conversations publiques.


Plusieurs options sont proposées à ceux qui veulent ouvrir des Rooms. Mais la forme la plus ouverte permet de créer des discussions dont le contenu est visible par tout le monde et que n’importe qui sur Messenger peut rejoindre.


Cependant, il existe également des formes plus restreintes, comme les Rooms privés dont le contenu n’est visible que par les membres qui ont été approuvés par un administrateur.


En tout cas, l’idée est de regrouper dans ces conversations des personnes qui ne se connaissent pas forcément, mais qui partagent les mêmes centres d’intérêt.


Chaque Room sur Messenger est associé à un lien et si quelqu’un veut inviter d’autres personnes à rejoindre, il suffit de partager ce lien.


La fonctionnalité Rooms n’est encore disponible que dans deux pays


Pour le moment, la fonctionnalité Rooms n’est disponible qu’en Australie et au Canada. Facebook teste probablement d’abord celle-ci dans ces deux pays anglophones avant de lancer la fonctionnalité aux Etats-Unis, puis dans le reste du monde.


Sinon, si les Rooms de Messenger vous rappellent quelque chose, c’est normal. En effet, Facebook a déjà lancé une application séparée également appelée « Rooms » qui permettait à peu près de faire la même chose. Mais plus tard, le numéro un des réseaux sociaux a décidé de la retirer des boutiques d’application.
By PresseCitron

ironman
16/11/2016, 16h56
Avec son nouveau rachat, Facebook s'approche un peu plus des médias
http://img.bfmtv.com/c/1256/708/a53/91a2db7f027c53cde9c4ee4a9a79a.jpg

Facebook a acquis CrowdTangle, une start-up spécialisée dans le suivi des contenus faisant le buzz sur les réseaux sociaux. Ses services sont utilisés notamment par de grands médias comme la BBC ou RTL Group.Facebook (http://hightech.bfmtv.com/actualites/facebook-annonce-par-erreur-la-mort-de-2-millions-de-ses-utilisateurs-1058530.html)renforce son éventail d'outils proposés aux éditeurs de presse. Après la mise à disposition des médias du format Instant Articles, le réseau social met la main sur Crowdtangle, une start-up créée en 2011 qui revendique parmi ses clients des sites d'informations en ligne comme Buzzfeed ou Vox, des médias internationaux comme la BBC britannique, le luxembourgeois RTL Group et le suisse Ringier (éditeur du journal Le Temps), ou encore des organisations comme Greenpeace et l'Unicef.
Sa plateforme internet permet de repérer des actualités qui émergent soudainement ou des contenus qui deviennent viraux sur des services en ligne comme Facebook et sa filiale Instagram, mais aussi ses concurrents YouTube (Google) ou Twitter.



A l'issue de la transaction, dont les modalités financières ne sont pas divulguées, CrowdTangle restera gérée par ses dirigeants actuels.
Crowdtangle propose aux médias de suivre la propagation de leurs contenusDans un message confirmant la nouvelle sur son propre site internet (http://www.crowdtangle.com/), CrowdTangle affirme que "des centaines de rédactions et des milliers de journalistes utilisent l'outil (qu'elle propose) chaque jour".
CrowdTangle propose aussi des outils permettant aux médias de suivre la propagation de leurs propres contenus, de repérer des actualités dans des domaines particulier grâce à des mots clés, ou encore d'identifier les internautes ayant le plus d'influence sur les réseaux et ce qu'ils y disent.

Facebook promet d'investir pour développer et améliorer la plateforme, mais aussi de maintenir sa compatibilité avec des services rivaux comme Twitter ou YouTube.



Pourquoi les fausses informations ne vont pas disparaître de Facebook
Pour lutter contre les articles mensongers, Facebook revoit la sélection de ses annonceurs. Mais cela ne les empêchera pas de se multiplier sur les fils d’actualité.Dès les premières heures qui ont suivi l’élection de Donald Trump, Facebook et Google trouvaient une place sur le banc des accusés (http://hightech.bfmtv.com/internet/facebook-est-il-responsable-de-l-election-de-donald-trump-1058321.html). Les deux géants auraient une part de responsabilité (http://www.bbc.co.uk/newsbeat/article/37974816/the-problem-with-fake-news-on-facebook---and-how-to-spot-it) dans l’incapacité des médias à avoir senti l’émergence du candidat républicain. Ils sont également accusés d’avoir propagé de fausses informations à de nombreuses reprises. Les deux entreprises viennent d’annoncer de nouvelles mesures pour lutter contre le phénomène. Google va interdire aux sites mensongers (http://www.nytimes.com/2016/11/15/technology/google-will-ban-websites-that-host-fake-news-from-using-its-ad-service.html) d’utiliser ses services publicitaires. Facebook a décidé de suivre le même chemin (http://www.wsj.com/articles/facebook-bans-fake-news-sites-from-using-its-advertising-network-1479175778). Des décisions que les deux concurrents n’avaient pas voulu prendre auparavant et à l’efficacité très limitée.
Une ligne éditoriale à la carteMois après mois, Mark Zuckerberg campe sur sa position (http://fortune.com/2016/11/14/zuckerberg-facebook-media/): Facebook n’est pas un média. Pourtant, son modèle économique est comparable à celui de la plupart d’entre eux. Pour lui faire gagner de l’argent, le lecteur/utilisateur doit rester le plus longtemps possible sur ses pages. Mais là où un journal, un site d’information ou une chaîne de TV choisissent une ligne éditoriale, Facebook maximise ses revenus en s’adaptant à chacun de ses utilisateurs.


Il y a les photos du chat de votre cousine, celle de votre meilleur ami en Australie, mais également toutes ces informations qui sont susceptibles de vous intéresser. Dans les faits, vous ne voyez qu’une petite partie de tout ce que publient vos amis et les pages que vous suivez. Ce tri est le fond de commerce de Facebook, qui doit sélectionner ce qui captivera le plus. Pour cette raison, les soutiens de Clinton - largement majoritaires parmi les grands médias américains (http://www.bfmtv.com/international/sur-200-medias-americains-194-avaient-soutenu-hillary-clinton-1057376.html) - n’ont pas vu émerger (http://thenextweb.com/insider/2016/11/09/internet-tricked-thinking-trump-wouldnt-win/?utm_source=t.co&utm_medium=referral&utm_content=How%20the%20Internet%20tricked%20you%2 0into%20thinking%20Trump%20wouldn%27t%20win&utm_campaign=share%2Bbutton) le succès de Trump.
Mais "ces bulles" ne sont pas le seul effet secondaire de la politique de Facebook. Pour l’entreprise, ce n’est pas toujours la vérité qui paye le plus. Fin octobre, le site Buzzfeed publiait une analyse (https://www.buzzfeed.com/craigsilverman/partisan-fb-pages-analysis?utm_term=.plkkY29QW#.eknDQEokX) de 1000 publications de six pages Facebook engagées pour Clinton et Trump. Plus les informations étaient erronées, plus le nombre de partages et de commentaires était important.
Des millions d’électeurs concernésToujours selon le site américain, le nombre d’articles concernés est loin d’être résiduel. Des mensonges ont été retrouvés dans 38% des articles pro-Trump et dans 19% des articles pro-Clinton. Au total, les six grandes pages analysées cumulent environ 15 millions de fans. Certaines d’entre elles - comme Occupy Democrats (https://www.facebook.com/OccupyDemocrats/?fref=ts) ou Right Wing News (https://www.facebook.com/OfficialRightWingNews/?fref=ts) - ont un succès comparable à celles de médias “traditionnels” comme le Washington Post (https://www.facebook.com/washingtonpost/?fref=ts). Une partie importante des électeurs est donc concernée.
Google a également manqué de rigueur (http://www.mediaite.com/uncategorized/now-even-google-search-aiding-in-scourge-of-fake-inaccurate-news-about-election-2016/) dans la sélection de ses sources. Concernant les chiffres du vote populaire américain, remporté par Hillary Clinton, le moteur de recherche renvoyait vers un blog (https://70news.wordpress.com/2016/11/12/final-election-2016-numbers-trump-won-both-popular-62-9-m-62-7-m-and-electoral-college-vote-306-232-hey-change-org-scrap-your-loony-petition-now/) annonçant l’inverse. L’information erronée vient du site ultra-conservateur USA Supreme (http://www.usasupreme.com/breaking-trump-won-popular-vote-according-report/). Google a par la suite reconnu son erreur.


Les restrictions de l’utilisation des services publicitaires de Google et Facebook envers les sites peu scrupuleux n’arrivent donc qu’après de longs mois d’intox. Elles devraient permettre de lutter contre certains sites (https://www.buzzfeed.com/craigsilverman/how-macedonia-became-a-global-hub-for-pro-trump-misinfo?utm_term=.vgkG56JEy#.etDm28ROG) dont l’unique but est de générer des revenus grâce à la publication de fausses informations.
Mais pourquoi avoir attendu si longtemps? Chez Facebook, tous les salariés ne partagent pas l’avis de leur patron. Toujours selon le site Buzzfeed (https://www.buzzfeed.com/sheerafrenkel/renegade-facebook-employees-form-task-force-to-battle-fake-n?bftwnews&utm_term=.chG9qO5e3#.rvmXYzRVg), des dizaines d’entre eux se sont discrètement regroupés pour établir une liste de recommandations. Interrogé anonymement, l’un des employés admet que l’idée selon laquelle les fausses actualités publiées sur Facebook aient pu influencer l’élection “n’est pas folle”, faisant écho aux propos de Zuckerberg (http://www.theverge.com/2016/11/10/13594558/mark-zuckerberg-election-fake-news-trump). Il regrette par ailleurs l’inaction du fondateur du réseau social.
Des étudiants corrigent le problème en 36 heuresUne léthargie d’autant plus étonnante que les outils techniques existent. Le site Gizmodo (http://gizmodo.com/facebooks-fight-against-fake-news-was-undercut-by-fear-1788808204) rapporte que les développements permettant d’éviter l’apparition de contenus mensongers sur nos fils d’actualité avaient été entamés au printemps - un travail similaire a été réalisé par quatre étudiants (http://uk.businessinsider.com/students-solve-facebooks-fake-news-problem-in-36-hours-2016-11?r=US&IR=T)de l’Université de Princeton en 36 heures.
Mais lors de leurs travaux, les équipes de Facebook ont constaté que les publications ancrées à droite étaient davantage concernées que celles de gauche. De peur de heurter ses utilisateurs conservateurs, Facebook aurait finalement décidé de ne pas déployer la mise à jour.
Pourtant, c’est bien au niveau du fil d’actualité que les sites malhonnêtes sont susceptibles de faire le plus de dégâts. C’est principalement par ce biais que s’informe une majorité des Américains (http://www.journalism.org/2016/05/26/news-use-across-social-media-platforms-2016/), comme des Français (http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/CREDOC-Rapport-enquete-diffusion-TIC-France_CGE-ARCEP_nov2015.pdf). Pour le moment, rien n’a été annoncé à ce niveau (http://www.wsj.com/articles/google-pulled-into-debate-over-fake-news-on-the-web-1479159867). Facebook ne manque d’ingénieurs talentueux. Mais avec les multiples accusations de censure (http://hightech.bfmtv.com/epoque/contenus-violents-facebook-va-assouplir-sa-politique-de-censure-1051217.html) qui se succèdent, la boîte de Pandore est peut-être un peu trop grosse.

Lako
17/11/2016, 17h36
Facebook lance GameRoom et vise SteamC’est lors de la conférence Unity que Facebook a annoncé son nouveau service, et pas des moindres : GameRoom. Les jeux et le social en même temps.


Lorsque l’on parle de jeux sur ordinateur, on pense évidemment à la plateforme Steam, ou encore à GoG ou Origin. Maintenant, il faudra y inclure aussi Facebook et son nouveau service GameRoom.


Retour vers l’ordinateur


Facebook Gameroom se présente sous la forme d’un client destiné aux PC tournant sous Windows 7, 8, 8.1 et 10. Il n’est pas précisé, pour le moment, si les plateformes MacOS et Linux seront de la partie ultérieurement.


facebook-gameroom-2Ensuite, une fois dans le client, on retrouve une classification par catégories des différents jeux. Alors n’espérez pas de grosses productions dans le style Battlefield 1 ou Call of Duty, mais des jeux dits « casual » dont la gestion ou les parties ne prennent que quelques minutes à chaque fois.


Bien sûr, tous les jeux présents dans GameRoom sont aussi jouables sur Facebook et sont liés à votre compte du réseau social.


Le lien entre Unity et Facebook, et la raison de la présentation de GameRoom durant la conférence du moteur de jeu, est que la plateforme Unity permet aux développeurs d’exporter leurs jeux directement pour ordinateurs, pour mobiles, pour le Web et pour Facebook. Et c’est cette dernière option qui est logiquement gérée par GameRoom.


Pour profiter de cette nouvelle plateforme de jeux, rendez-vous sur la page dédiée à la nouvelle plateforme de jeux de Facebook.
By NumeRique.fr

ironman
21/11/2016, 16h55
Facebook annonce un nouveau siège à Londres et la création de 500 emplois


http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/capture_decran_2016-11-21_a_09.31.17.jpg
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Le géant américain des réseaux sociaux Facebook a annoncé lundi qu'il allait ouvrir un nouveau siège à Londres en 2017 et augmenter ses effectifs de 50% en créant 500 emplois, en dépit des incertitudes liées au Brexit.
Cette annonce, faite à l'occasion de la conférence annuelle de l'organisation patronale britannique CBI, constitue une bonne nouvelle supplémentaire pour le Royaume-Uni après une décision similaire prise très récemment par Google.

ironman
22/11/2016, 17h21
Facebook: La bataille contre les fausses informations s'intensifie aux Etats-Unis!
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/facebook2_1.jpg


La bataille contre les fausses informations, accusées d'avoir contribué à la victoire du républicain Donald Trump, s'intensifie aux Etats-Unis, avec une pression particulièrement forte sur Facebook (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-361457-facebook-annonce-un-nouveau-siege-a-londres-et-la-creation-de-500-emplois.html), même si Twitter et Google sont également visés.
Google et Facebook ont pris des mesures la semaine dernière pour assécher les revenus publicitaires des sites de "hoax" (canulars). Mais certains réclament davantage, appelant notamment à considérer Facebook comme une entreprise de médias avec une responsabilité éditoriale, une dénomination que le réseau refuse jusqu'ici.
"Ils font la même chose que pratiquement toutes les entreprises de médias, à savoir agréger des audiences et utiliser cela pour vendre de la publicité", avance Gabriel Kahn, un ancien journaliste qui enseigne à l'université de Californie du Sud.
D'après lui, en se représentant comme une plateforme "neutre", Facebook "permet à l'écosystème médiatique d'être pollué" avec des hoax. Margaret Sullivan, qui tient une rubrique consacrée aux médias dans le Washington Post, a suggéré que Facebook "devrait embaucher un rédacteur en chef de haut niveau et donner à cette personne les ressources, le pouvoir et les équipes pour prendre des décisions éditoriales solides".
Elad Gid, un entrepreneur du secteur technologique, a également estimé que cela ne devrait pas être très difficile de déterminer si un article est un canular pour une entreprise ayant l'expertise technique de Facebook.
"Etonnamment, un groupe d'étudiants de Princeton a été capable de créer à la va-vite un classificateur de fausses informations durant un hackathon de 36 heures", une compétition entre programmeurs, a-t-il souligné dans un blog.
Le réseau social a promis d'intensifier ses efforts pour éliminer les fausses informations, avec "une détection renforcée", une procédure simplifiée de signalement par les utilisateurs et "une vérification par des parties tierces", comme par exemple "des organisations respectées de vérification des faits", selon son PDG-fondateur Mark Zuckerberg.
Il a toutefois appelé à la prudence. "Les problèmes sont complexes, à la fois techniquement et philosophiquement", a-t-il argumenté la semaine dernière dans un message publié sur le réseau. "Nous sommes persuadés qu'il faut donner la parole aux gens. (...) Nous ne voulons pas être des arbitres de la vérité nous-mêmes". Dan Kennedy, professeur de journalisme à la Northeastern University, juge également important de faire la différence entre les sites "attrape-clics", qui ont été découverts jusqu'en Macédoine et cherchent uniquement à gagner de l'argent avec de fausses informations sensationnalistes, et des sites d'informations ayant des motivations politiques. "Je pense que Facebook pourrait faire beaucoup de choses pour lutter contre les fausses informations, et je pense que c'est quelque chose sur lequel tout le monde pourrait s'entendre, mais s'il essaye de s'attaquer aux sites ayant des motivations idéologiques, il va inévitablement se trouver pris dans les guerres de culture", prévient-il.
Dans un contexte de méfiance croissante du public envers les médias établis, toute tentative pour filtrer les voix divergentes pourrait "conduire à raviver d'anciennes polémiques sur les biais des médias", poursuit M. Kennedy. Scott Shackleford, éditeur du magazine Reason, juge lui aussi difficile de tracer une limite entre le filtrage des fausses informations et la censure de contenus aux motivations idéologiques: "Si Facebook prend la décision de censurer les +fausses nouvelles+, cela pèserait lourdement en faveur des plus +puissants+ organismes de médias traditionnels".
Dans un blog, Jeff Jarvis, professeur de journalisme à l'université de New York, et John Borthwick, un entrepreneur, ont estimé que la solution devrait plutôt passer par davantage de coopération entre le secteur technologique et celui des médias afin d'aider les utilisateurs à évaluer la crédibilité des contenus.
"Nous ne pensons pas que les plateformes devraient être mises en position de juger ce qui est vrai ou faux (...) comme des censeurs", écrivent-ils.
Mais elles "ont besoin de donner de meilleures informations et les médias ont besoin de les aider". Ils suggèrent aussi aux plateformes en ligne d'embaucher des journalistes afin "d'apporter un sens de la responsabilité publique à leurs entreprises" et "d'expliquer le journalisme aux techniciens et la technologie aux journalistes".

ironman
25/11/2016, 16h27
Facebook Messenger : des malwares se diffusent par des images piégées

Une campagne de spam vise à inciter les utilisateurs à installer une extension Chrome malveillante. Dans certains cas, ils se retrouveraient même avec le ransomware Locky.Attention arnaque. Des chercheurs en sécurité viennent de détecter une campagne de spam malveillante qui s’appuie sur de banales photos. Comme le précise le chercheur Bart Blaze dans une note de blog (https://bartblaze.blogspot.fr/2016/11/nemucod-downloader-spreading-via.html), la victime reçoit une image au format .SVG dans son fil Messenger. En cliquant dessus, il exécute en réalité un code Javascript intégré dans l’image. Si l’utilisateur est sous Chrome, ce code va le rediriger vers un faux site qui ressemble à YouTube et qui l’incite à installer une extension Chrome pour lire la vidéo.
http://img.bfmtv.com/c/1016/702/4e2/a122505ece98e33836fdfea0f4297.jpgUne fois installée, cette extension siphonne les identifiants Facebook et envoie l’image aux amis de l’utilisateur. Elle est capable de lire et modifier les données des sites web qu’il consulte, ce qui ouvre la porte à d’autres arnaques. Elle serait également capable de télécharger d’autres malwares sur l’ordinateur.



Un autre chercheur en sécurité, Peter Kruse, affirme avoir détecté des cas où le ransomware Locky est finalement installé sur le machine de l’utilisateur.

Toutefois, ce n’est pas l’avis de Facebook qui n’a détecté aucune installation de Locky à la suite de ces images piégées. Interrogé par SC Magazine (https://www.scmagazine.com/facebook-message-scam-delivers-malicious-script-parties-dispute-possible-locky-connection/article/574439/), Peter Kruse persiste et signe : « Il y a des tonnes de domaines malveillants utilisés dans cette campagne et quelque uns au moins essayent d’installer Locky », explique-t-il.
Quoi qu’il en soit, veillez à ne jamais ouvrir une image SVG dans Facebook Messenger. Et si, par malheur vous vous retrouvez avec cette extension Chrome malveillante, désinstallez là immédiatement et changez votre mot de passe Facebook.

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Lako
30/11/2016, 14h28
Facebook : les jeux Instant Games débarquent dans Messenger et le fil d’actuDésormais, les utilisateurs peuvent lancer des jeux directement dans le réseau social sans aucune installation. A ce jour, le catalogue compte 17 titres dont Pac-Man et Space Invaders.Afin d’accroître encore plus l’interactivité avec ses services, Facebook vient de lancer "Instant Games" (https://messengerblog.com/games/instant-games-now-on-messenger/), une plateforme de petits jeux qui peuvent être lancés directement depuis la messagerie instantanée Messenger ou le fil d'actu. Codés en HTML5, ils ne nécessitent aucune installation. Dans Messenger, il suffit par exemple de cliquer sur l'icône de la manette de jeu pour accéder à un catalogue constitué à ce jour de 17 titres, parmi lesquels des ultra-classiques comme Pac-Man, Space Invaders et Arkanoid. Facebook prévoit, évidemment, d'ajouter "beaucoup plus" de jeux au fur et à mesure.
http://img.bfmtv.com/c/709/360/c4a/cb446f9a1a8d38b528d6901223b5d.jpgDisponibles dans trente pays dont la France, ces jeux peuvent être partagés entre amis, par le biais de recommandations ou de messages postés sur le fil d'actu. Les utilisateurs peuvent également se lancer des défis ("Challenges"). Dans ce cas, le réseau social va automatiquement générer un classement comparatif entre les différents participants ("Leaderboard"), histoire d'ajouter un peu de piment. Les scores ne seront alors partagés qu'entre joueurs d'un même cercle d'amis.
http://img.bfmtv.com/c/900/491/425/0e1d201091373f843eaa9168a3f8b.jpgFacebook propose également aux utilisateurs un marque-page dédié leur permettant de retrouver facilement les jeux auxquels ils ont joué par le passé. Ces jeux fonctionnent aussi bien sur desktop que sur mobile. Dans ce dernier cas, il faut avoir un smartphone sous Android 5 ou iOS 8, ou les versions supérieures. Avec Instant Games, Facebook espère attirer un grand nombre de développeurs de jeux, qui pourraient être séduit par une audience potentielle de 1,79 milliard de personnes.

Lako
30/11/2016, 14h38
MESSENGER : FACEBOOK INTÈGRE 17 JEUX À SON APPLICATIONFacebook Messenger propose une nouvelle fonctionnalité très amusante depuis quelques heures. Baptisée « Instant Games », elle permet de jouer gratuitement avec ses contacts à des jeux de réflexion, mais aussi à certains grands classiques des années 80 tels que « Pac-Man » ou encore « Space Invaders », le tout sans quitter la messagerie de Facebook.Accessible directement depuis l’écran de conversation via une petite icône prenant la forme d’une manette, « Instant Games » vous permettra donc de défier vos amis Facebook sur pas moins de 17 titres disponibles. Une bonne nouvelle pour les joueurs et les nostalgiques, certes, mais qui n’est malheureusement pas sans imposer quelques contreparties, notamment en ce qui concerne vos données de navigation.
Très fiers de leur nouvelle feature les responsables de Messenger n’ont pas hésité à en vanter les mérites sur une page dédiée du blog officiel de Facebook. Pour eux les jeux sur Messenger sont « conviviaux, amusant et compétitifs » grâce à leur système de classement par score, leurs fenêtres de chat dédiées, et leurs fils de conversation de groupe.


Collecte de données, encore et toujours…


Disponibles depuis mardi 29 novembre sur les versions iOS et Android de la messagerie, et dans pas moins de 30 pays (dont la France), les 17 jeux d’Instant Games fonctionnent sous le protocole HTML5 et peuvent donc être lancés sur n’importe quel terminal, sans qu’aucune installation ne soit nécessaire.


Une fonctionnalité fort plaisante sur le papier, mais qui ne n’est pas aussi user friendly qu’on pourrait le croire…


En effet, si les intentions de Facebook ne sont certainement pas des plus mauvaises dans le cas présent, il ne faut pas oublier qu’en 2016 les services gratuits ne le sont jamais vraiment. Nous sommes bien d’accord, aucun paiement ne sera demandé aux utilisateurs, mais des contreparties sont bel et bien présentes, en particulier du côté des conditions d’utilisation de certains titres proposés sur le service.


Ainsi, si l’on se penche sur ces fameuses conditions, et notamment sur celles imposées par l’éditeur japonais Bandai Namco, on remarque que la collecte de donnée bat son plein à des fins publicitaires, et que sont stockées chez ce dernier : « votre type de navigateur, votre langue, les heures d’accès, les pages consultées, votre adresse IP et le site Internet que vous avez visité » avant d’utiliser leurs services.

Lako
11/12/2016, 15h37
Comment Facebook pourrait combattre les fausses informations grâce à l'intelligence artificielleUn brevet déposé par Facebook montre comment l'entreprise pourrait utiliser l'intelligence artificielle pour automatiser l'identification et la suppression de contenus contraires à ses règles d'utilisation.


Comment empêcher la propagation de fausses informations ? C’est l’une des questions les plus pressantes pour Facebook depuis que le réseau social a été accusé d’avoir permis l’élection de Donald Trump en ne faisant rien contre les faux sites d’actualité qui inventent des informations sans fondement pour des raisons économiques ou idéologiques. Un brevet déposé par Facebook aux Etats-Unis et publié début décembre montre justement comment l’entreprise pourrait s’y prendre pour automatiser la détection et la suppression de fausses informations grâce à l’intelligence artificielle.


Ce dépôt, qui n’a pas encore été accepté par l’agence américaine en charge des brevets, date de juin 2015. A l’époque, les priorités de Facebook étaient plutôt de détecter la pornographie, le harcèlement, la racisme et les discours de haine. Mais à la faveur des événements récents, un tel système pourrait aussi s’appliquer aux fausses informations.


L’idée de Facebook est d’entraîner un programme d’intelligence artificielle à reconnaître le "contenu répréhensible" qui n’a pas sa place sur le réseau social. Cette intelligence artificielle analyserait ensuite chaque contenu signalé par les utilisateurs comme étant contraire aux règles d’utilisations de Facebook pour lui attribuer un score, qui indiquerait la probabilité qu’il soit répréhensible.


L'utilisateur est-il digne de confiance ?


Afin de déterminer ce score, Facebook mettrait à profit les données qu’il possède sur ses utilisateurs. Pour celui qui a signalé le contenu, le programme regardera ses signalements précédents, afin de savoir s’ils sont en général validés ou rejetés par les administrateurs. Et pour l'utilisateur "accusé" d’avoir publié un contenu répréhensible, on consultera son "historique d’abus", c’est-à-dire les contenus qu’il a postés par le passé et qui ont été supprimés car jugés contraires aux règles de Facebook. Le programme peut aussi considérer d’autres informations comme le niveau de remplissage du profil, l'ancienneté du compte, le fait qu’il soit vérifié ou non, la localisation, l’âge et le sexe.


Une dernier paramètre envisagé par Facebook pour déterminer le score pourrait s’avérer utile dans le cadre de fausses informations: la possibilité de classer les contenus par "sujets". En analysant le contexte d’une publication (utilisateurs interagissant avec le contenu, commentaires), le système serait capable de déduire de quoi parle une publication. On peut imaginer que si une fausse information devenait virale sur Facebook, cette fonctionnalité pourrait permettre d’empêcher sa propagation en repérant que d’autres publications sur le même sujet ont déjà été considérées comme fausses.


Certains signalements seront ignorés


Les signalements des utilisateurs seraient classés en fonction de leur score, ce qui permettrait de traiter en priorité ceux qui ont le plus de chance d’être véritablement répréhensibles. En dessous d’un certain score que Facebook ne précise pas, les contenus signalés seront simplement ignorés. Le brevet précise que ce système pourrait en revanche détecter des contenus répréhensibles qui n’ont pas été signalés par les utilisateurs.


Ensuite, des administrateurs vérifieront que ces contenus méritent d’être supprimés et l'indiqueront aux programmes d'intelligence artificielle. Cette étape manuelle, qui existe déjà aujourd'hui, détermine ce qu’il adviendra du contenu en question (supprimé ou laissé intact). Elle permet aussi d’entraîner davantage l’algorithme en lui montrant qu’il avait raison ou tort. Comme avec tous les programmes basés sur une forme d’intelligence artificielle appelée apprentissage machine, le système est censé devenir de plus en plus précis à mesure qu’il apprend de ses erreurs.


La prise de décision pourrait s'automatiser


Mais le but de Facebook est bien d’automatiser le procédé dans certains cas. Ainsi, l’intervention humaine ne sera plus nécessaire "lorsque l’on estimera que les modèles d’apprentissage machine, qui déterminent la probabilité qu’un contenu signalé soit répréhensible, auront atteint un niveau désiré de précision". Ce fonctionnement permettrait d'accélérer l’identification et la suppression de contenus problématiques. Dans le brevet, Facebook parle seulement d’un "réseau social" et ne mentionne jamais son propre service. Mais on se doute que la situation ingérable qui y est décrite est la sienne.


"A mesure qu’un réseau social grandit [...], le nombre de publications croît et les administrateurs peuvent être amenés à vérifier en un temps relativement court un nombre immense de contenus signalés. L’échelle de ce passage en revue peut être un fardeau pour les administrateurs et créer des délais qui les empêchent de vérifier rapidement, et potentiellement de supprimer des contenus répréhensibles."
Pas sûr que ce système soit adopté


Un rapport de la Commission Européenne sorti ce mois-ci va dans le même sens: d’après ses constatations, Facebook, YouTube et Twitter examineraient seulement 40% des signalements de contenus haineux en moins de 24 heures.


Les entreprises technologiques comme Facebook déposent fréquemment des brevets, sans forcément implémenter les technologies brevetées à leurs plateformes. Ce système pourrait donc ne jamais être intégré à Facebook, ou en faire déjà partie. Il montre en tout cas les réponses envisagées par l’entreprise pour être à la hauteur de l’immense responsabilité conférée par la gestion d’un réseau de 1,8 milliard de personnes.


By Jamal El Hassani

Lako
13/12/2016, 15h27
Facebook : le livestream à 360 degrés est là !Le réseau social l'avait annoncé il y a quelques semaines : il est désormais possible de proposer des vidéos en direct à 360 degrés.


Facebook gère désormais les flux vidéo en direct à 360 degrés. (http://www.generation-nt.com/photos-360-degres-facebook-actualite-1929893.html) Le réseau social avait déjà annoncé l'arrivée de cette fonctionnalité, mais elle n'était pas encore prise en charge.
http://img.generation-nt.com/facebook-360-degres_01B0000001642866.jpg
Malheureusement, la fonction est pour l'instant limitée à quelques partenaires, dont le National Geographic. La page du diffuseur proposera ainsi des vidéos en direct et à 360 degrés depuis la Mars Desert Research Station qui se situe dans l'Utah aux USA, là où les scientifiques simulent la vie sur Mars.
Ce n'est qu'à compter de l'année prochaine que la fonction sera pleinement déployée pour les particuliers. Les utilisateurs pourront ainsi visualiser des flux retransmis en direct et faire tourner l'angle de la caméra.
Bien entendu, il faudra que le diffuseur soit équipé d'une caméra capable de proposer ce genre d'images, ce qui reste encore anecdotique chez les particuliers et finalement très peu exploitable au jour le jour en dehors de la pratique de sports extrêmes ou de la visite de lieux qui méritent une attention particulière.
By GNT

ironman
13/12/2016, 17h23
Facebook va lancer son service de transfert d'argent en Francehttp://img.bfmtv.com/c/1256/708/8b3/c3e2096e0904ca2f7bc258b16dec2.jpeg

Facebook a obtenu une licence pour le paiement électronique en Irlande selon le site TechCrunch. Déjà lancé aux États-Unis, le service devrait permettre aux Européens de transférer très facilement de l'argent entre utilisateurs.[COLOR=#333333][FONT=Arial]Vous avez perdu un pari à 10 euros avec un ami? Devez régler le loyer à votre colocataire? Recevoir de l'argent pour organiser la soirée du réveillon? C'est sur Facebook que vous pourrez aller prochainement pour ce type de démarche.
Selon le site TechCrunch (https://techcrunch.com/2016/12/07/facebook-just-secured-an-e-money-license-in-ireland-paving-way-for-messenger-payments-in-europe/), Facebook serait sur le point de lancer ce service en Europe. Le réseau social vient en effet de confirmer au site américain qu'il avait obtenu en octobre une licence lui donnant accès aux services de paiement électronique auprès de la Banque d'Irlande. Et si Facebook fait ce type de démarche, c'est qu'il prépare le lancement de ce service en Europe, et donc en France. Car, précise TechCrunch, l'Irlande étant en Union Européenne, l'obtention d'une telle licence ouvrirait de facto à Facebook l'ensemble du marché européen.


http://img.bfmtv.com/c/1200/825/5bb/7c2bcd783151ead34eb937a2c91a6.jpegDévoilé en 2015, ce service n'a pour l'heure été lancé qu'aux États-Unis. Il est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles Facebook a créé Messenger, son application dédiée à la messagerie. Car le service de paiement est une fonctionnalité supplémentaire offerte aux utilisateurs de Messenger en plus de l'envoi de pièces jointes et autres emojis. D'ailleurs, si le service n'est pas encore lancé en France, Facebook a déjà créé une page qui explique son utilisation. Concrètement, il suffit dans une discussion de cliquer sur le logo en forme de "$", saisir le montant (pas de plafond dans la limite de 9.999 dollars tous les 30 jours) et rentrer son code de carte bancaire. Le bénéficiaire doit à son tour entrer son code de carte et c'est fait. À noter que le service est gratuit, Facebook ne prend aucune commission.
http://img.bfmtv.com/c/877/736/86d/90931aeb02a1ecaefa14b3ac4f485.pngEt ce service est stratégique dans le business de Facebook. Le site qui réalise l'essentiel de ses revenus via la pub cherche depuis des années à s'ouvrir au commerce (http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/facebook-se-reve-en-centre-commercial-aux-45-millions-de-marques-913445.html#content/contribution/edit). Car après le transfert d'argent entre particuliers, Facebook songe à étendre ce service aux entreprises. Autrement dit, le site rêve à terme que ses utilisateurs puissent acheter directement des produits depuis Messenger. Et c'est là que l'affaire devient très lucrative pour l'entreprise de Mark Zuckerberg. Car si le transfert d'argent entre particuliers est gratuit, Facebook prend une commission lorsque des entreprises utilisent ce service. Elle s'élève à 30% de la somme versée par le client, peut-on lire sur la page Facebook dédiée aux conditions d'utilisation (https://developers.facebook.com/policy/credits) du service par les développeurs. Messenger est bien le futur nerf de la guerre de Facebook.


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Facebook publie de vieilles photos de ses utilisateurs sans leur consentement

De nombreux utilisateurs de Facebook se plaignent de voir d’anciennes publications remises en ligne par le réseau social.[COLOR=#333333][FONT=Arial]"Ce matin à 6 heures, quatre photos que j’avais postées en septembre sont réapparues sur mon fil d’actualité, incluant les données de localisation et d’identification de mes amis. Cela ne vient pas de moi". Sur la page d’aide du site (https://www.facebook.com/help/community/question/?id=10211848033458965), ce membre de Facebook explique avoir d’abord pensé à un piratage de son compte. Mais de nombreux témoignages similaires affluent depuis quelques heures.
Facebook reconnaît le problèmeSans explication, le réseau social republie de vieux statuts ou d’anciennes photos en les faisant apparaître comme de nouveaux contenus aux yeux des autres utilisateurs. Le tout sans aucun avertissement. Interrogé par le site américain PCMag (http://www.pcmag.com/news/350224/facebook-glitch-reposts-old-photos), un responsable de Facebook a confirmé l’existence du bug, ajoutant que les équipes tentent de résoudre le problème.



Ces manœuvres involontaires coïncident avec l’arrivée de la rétrospective proposée par Facebook (http://hightech.bfmtv.com/internet/facebook-creez-votre-video-retrospective-de-l-annee-1068432.html) à ses membres. Tous les ans, le site crée une vidéo -à l’allure bien kitsch- personnalisée pour chaque internaute, retraçant ses moments les plus importants des douze derniers mois. Une opération qui nécessite de puiser dans les anciennes publications et qui pourrait donc être liée au bug.


Des photos supprimées gardées en mémoirePlus inquiétant, un développeur explique (https://twitter.com/kevinfoad/status/807278732666961920?ref_src=twsrc%5Etfw) qu’une cinquantaine de ses photos ont été postées, toujours sans son consentement. Parmi elles, des images qu’il avait auparavant supprimées ou datant de plusieurs années (https://twitter.com/kevinfoad/status/807259794566512640). Il a également constaté la suppression de certains de ses amis et l’ajout d’autres membres. Habitant Cardiff (Pays de Galles), l'homme confirme que son compte est hébergé au Royaume-Uni. Le dysfonctionnement touche donc aussi des utilisateurs européens.
Cet épisode survient un mois après que Facebook a annoncé par erreur la mort de 2 millions de ses utilisateurs (http://hightech.bfmtv.com/actualites/facebook-annonce-par-erreur-la-mort-de-2-millions-de-ses-utilisateurs-1058530.html), incluant Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de l’entreprise. Ces difficultés ont le mérite de rappeler l’ampleur du volume de données personnelles sur lesquelles Facebook a la main…mais dont il n’a pas toujours la maîtrise.

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ironman
05/01/2017, 14h24
Les « adtech » écrasées par le duopole Google-Facebook dans la pub en ligne

L’an dernier, les levées de fonds des start-up du secteur ont reculé.

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Le gâteau de la publicité en ligne continue de s’épaissir chaque année, mais tous les acteurs du secteur n’en profitent pas. En cause, les parts toujours plus copieuses que se servent Google et Facebook qui croquent près de la moitié des parts de ce marché selon le cabinet eMarketer.


Dominateurs, les deux géants de la tech ne cessent de monter en puissance et de s’arroger davantage de revenus. Aux Etats-Unis, sur chaque nouveau dollar dépensé dans la publicité en ligne lors du premier trimestre de l’année 2016, 85 cents vont dans leur poche, estime Kleiner Perkins Caufield & Byers, un fonds américain de capital-risque.

Résultat, les « adtech » en pâtissent. L’an dernier, les levées de fonds impliquant ces start-up spécialisées dans la publicité programmatique à l’achat et à la vente ont été estimées à 343 par CBInsights, cité par le Financial Times » , contre 414 en 2015. Ce qui représente une baisse de 17% sur un an.

La tendance est la même en valeur puisque le montant total de ces opérations a été de 2,2 milliards de dollars en 2016, contre 3,2 milliards, un an plus plus tôt. Soit une baisse de 31%. Lors du dernier trimestre de l’année 2016, seuls 69 deals ont été bouclés, ce qui représente le niveau le plus bas sur trois mois, en volume, depuis l’année 2012.

"Les barrières à l'entrée sont moins fortes sur ce marché et le coût de création des différents outils a aussi diminué ces dernières années. En conséquence, le montant des investissements est moindre car les besoins de financement des start-up du secteur sont moins importants", tempère Paul Amsellem, cofondateur de la Mobile Marketing Association.

La France, un pôle majeur de la « adtech »
En cause aussi, la cannibalisation et la concurrence féroce entre les « adtech » qui peinent à se différencier les unes des autres, notamment au niveau de la technologie proposée. Une grande partie des espaces publicitaires sont commercialisés en mode programmatique et de nombreuses campagnes sont automatisées grâce aux algorithmes mis au point par ces jeunes pousses.

« Les gains chez les « adtechs » sont de plus en plus marginaux parce que ces sociétés sont constamment en train de se copier mutuellement. Beaucoup de ces start-up partent de 0 pour parvenir à 30 millions de dollars de revenus avant de reculer à 0 de nouveau. Pour un fonds de capital-risque, c’est dur de s’y retrouver », détaille Suranga Chandratillake, partenaire au sein du fonds d’investissement Balderton Capital, cité par le « Financial Times ».

"Facebook et Google ont permis de stimuler l'écosystème, ce dont bénéficient les adtech et tous les autres acteurs du secteur. Ces deux groupes sont les "H&M" et "Zara" de la pub en ligne. Mais les campagnes haut de gamme, sur-mesure avec des pubs contextualisées et créatives ne seront jamais assurées par ces plates-formes, il existe donc des opportunités pour de nombreux groupes et start-up sur le marché", fait valoir Paul Amsellem.

BidMotion, Ogury, Sublime skinz : de nombreuses start-up françaises parviennent bien à tirer leur épingle du jeu et la France s’est imposée comme l’un des pôles majeurs de ce secteur qui arrive progressivement à maturité. Il y a quelques mois, la pépite tricolore StickyAdsTV a été acquise par le géant l’américain Comcast moyennant près de 100 millions d’euros. L’heure de la consolidation pourrait bien avoir sonnée du côté des « adtech ». Cela tombe bien : Google et Facebook ont des moyens presque illimités pour y participer...

Lako
06/01/2017, 08h39
Facebook : lancement du Live AudioFacebook continue à proposer de nouveaux outils pour capter et partager des événements en direct. Après le Live Video et le Live 360, le réseau social a annoncé fin décembre le lancement du Live Audio. L'application permet ainsi de diffuser en direct l'enregistrement de l'environnement sonore, des entretiens audio en live, des lectures de livres. En cas de débit du réseau insuffisant, l'utilisateur qui veut publier sur l'application Live Video se verra proposer de basculer vers Live Audio. Quant à l'auditeur, il peut écouter le flux live depuis un terminal Android tout en quittant Facebook, ou pour les terminaux sous iOS, en continuant à naviguer sur d'autres publications dans Facebook. L'application va être testée prochainement avec plusieurs partenaires médias comme BBC World Service, des éditeurs comme Harper Collins ou les écrivains Adam Grant et Brit Bennett, annonce Facebook sur son blog.

ironman
09/01/2017, 15h31
Facebook : une extension montre à quel point l’IA du site analyse vos photos.
Si vous utilisez Facebook, vous savez déjà que les données que vous y postez sont décortiquées, analysées, et quantifiées. On peut ensuite grâce à l’API Facebook extraire et compiler ces données. Pour faciliter la méta-description et donc les données pouvant être extraites de vos photos, Facebook utilise désormais une intelligence artificielle. À l’efficacité assez inquiétante, comme le révèle cette extension Chrome. http://static.papergeek.fr/2017/01/facebook-ia-analyse-photos.jpg

Vous vous êtes déjà dit un jour que vous alliez supprimer votre compte Facebook (http://www.papergeek.fr/supprimer-desactiver-compte-facebook-comment-faire-5-minutes-955), avant de vous raviser ? Vous n’êtes pas seuls, le réseau social a en effet grandi au fil des ans au point d’acquérir une écrasante domination sur les autres réseaux sociaux. Si bien que le choix de passer sur un autre réseau social concurrent dépend du nombre d’amis que sont déjà sur le réseau de destination.Autant dire, si vous n’avez pas vos amis ailleurs, le choix est vite vu : soit vous avez Facebook, soit vous choisissez d’en finir avec les réseaux sociaux. Or le département R&D de Facebook (http://www.papergeek.fr/facebook) tourne à plein régime pour exploiter au maximum les données générées par les 1,53 milliards d’utilisateurs du réseau social. Même vos photos y sont depuis peu décrites, indépendamment des données que vous fournissez vous-mêmes.Facebook utilise désormais une IA pour décrire automatiquement vos photosL’intelligence artificielle de Facebook permet en effet de savoir si il y a des personnes, des animaux, des objets, dans quel endroit vous vous trouvez, par exemple. Et ces données décortiquées sont ensuite ajoutées sous forme de métadonnées aux images que vous postez sur Facebook. Métadonnées qui peuvent éventuellement être utilisées pour les non-voyants, du moins c’est l’explication officielle.Mais rien n’empêche l’utilisation de ces tags, en libre accès puisqu’ils sont simplement mis en guise d’alt sur chaque image, d’être utilisés à d’autres fins, comme la prospection commerciale par exemple. Oui, car du coup on peut scanner les tags et croiser ces informations pour en apprendre beaucoup sur les habitudes d’un utilisateurs (en plus de ses tags et de ses autres interactions sur le réseau).

Pire, on imagine que dans certains pays ces métadonnées pourraient être utilisées à des fins de surveillance étatisée. Entrez n’importe quel critère : LGBT, dissident, participe à des manifestations (etc…) et bingo, vous avez votre liste de personnes louches. Alors pour l’instant, les étiquettes accolées aux images sont plutôt de grandes cases, mais elles pourraient être amené à évoluer et à s’affiner.Show Facebook Computer Vision Tags : quelles données Facebook exploite sur vos photos ?C’est ce dont s’inquiète Adam Getgey, développeur d’une extension Chrome (http://www.papergeek.fr/extensions-google-chrome-add-ons-originaux-indispensables-14297) qui vous permet de facilement accéder à ces tags sur les photos que vous consultez ou uploadez sur Facebook :
Rien n’empêche [Facebook] d’utiliser [ces tags] pour vous montrer des publicités basées sur vos photos, même si c’est un autre utilisateur qui a envoyé la photo et qu’il ne vous a pas directement tagué dedans
Pour l’instant, cette nouvelle fonctionnalité d’auto-tagging n’a été déployée qu’aux Etats-Unis depuis avril dernier. Pour pouvoir utiliser l’extension Chrome Show Facebook Computer Vision Tags d’Adam Getgey (lien externe) (https://chrome.google.com/webstore/detail/show-facebook-computer-vi/elafbihhbfmfihdflghclaclcilcnmie?hl=en-US&gl=US), il faut donc changer la langue de votre compte Facebook pour le faire passer à l’anglais US.

À partir de là, si vous avez l’extension, un encart avec ce qu’a trouvé l’IA de Facebook sur vos photos s’affichera en haut à droite de chaque photos, de telle sorte à ce que vous sachiez quelles sont vraiment les données extraites. De quoi vous donner envie de bien planquer vos photos Facebook du public (http://www.papergeek.fr/facebook-comment-cacher-ses-photos-au-public-3102) !

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ironman
09/01/2017, 21h00
Facebook censure une photo d’une œuvre italienne

Le réseau social de Mark Zuckerberg fait encore parler de lui. Une photo d'une statue, située en Italie, a été censurée par Facebook, avant que le réseau ne fasse volte face.

Une photo censurée de plus !

Facebook a, une fois de plus, censuré une œuvre d'art, jugée non conforme à sa politique de modération, avant de se rétracter. C'est le quotidien anglais The Telegraph qui relate cette information, dans les colonnes de son journal. La photo est celle de la statue de Neptune à Bologne, prise par un de ses membres, Elisa Barbari, le 1er janvier. Le réseau social a jugé la photo trop « sexuellement explicite ».

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Elisa Barbari est une bloggeuse italienne qui aime publier régulièrement des anecdotes historiques sur le patrimoine culturel italien. Lorsqu'elle a publié la photo sur son profil, elle a reçu un message automatique de Facebook, lui disant que le contenu de cette image montrait de façon trop excessive le corps de la femme. Et surtout, certaines parties intimes du corps trop suggestives. Facebook, contacté par le site Mashable, a reconnu son erreur et a affirmé l'avoir corrigée immédiatement.

La politique de modération remise en cause

La politique de modération du site n'en est pas à sa première erreur et sûrement pas à sa dernière. Rappelons que sur le réseau social, les photos de parties génitales et de fesses sont strictement interdites, à l'exception de quelques photos triées sur le volet. Or, habituellement, les photos d'œuvres d'art montrant des corps nus restent autorisées.

Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, vient tout juste, en ce mercredi 4 janvier, de présenter ses vœux à la presse. Son nouveau challenge : terminer l'année 2017, en ayant fait le tour complet des États-Unis, sera-t-il réalisable cette année?

ironman
10/01/2017, 15h00
Facebook veut étendre l’intégration de pubs dans ses vidéos

Après le déploiement de publicités dans ses vidéos Live en août dernier, Facebook s'apprêterait à tenter de monétiser de la même manière les vidéos classiques.

Une nouvelle manière de répondre à la grogne des éditeurs de presse ? Après le déploiement de publicités dans ses vidéos Live en août dernier, Facebook s'apprêterait à tenter de monétiser de la même manière les vidéos classiques publiées sur sa plate-forme.

Selon le site spécialisé Re/code , Facebook va bientôt y insérer des spots publicitaires qui se lanceront au bout de 20 secondes de vidéo. De son côté, Marketing Land précise que ces pubs seront limitées à 15 secondes, se basant sur trois personnes proches du dossier.

Le réseau social aurait commencé à contacter des agences lundi pour les informer de la disponibilité de nouveaux espaces publicitaires. Facebook n'a pas souhaité faire de commentaire, mais cela serait une suite logique dans sa stratégie. En septembre, Dan Rose , vice-président en charge des partenariats, avait confié, en évoquant l'arrivée de la publicité dans les Facebook Live : "L'an prochain, nous allons commencer à réfléchir à la façon dont ce type de monétisation pourrait potentiellement être apporté à des vidéos classiques".



Facebook beaucoup investi dernières années pousser vidéos site
Facebook a beaucoup investi ces deux dernières années pour pousser en avant les vidéos sur son site - AFP PHOTO / Justin TALLIS
Après le déploiement de publicités dans ses vidéos Live en août dernier, Facebook s'apprêterait à tenter de monétiser de la même manière les vidéos classiques.


Selon le site spécialisé Re/code , Facebook va bientôt y insérer des spots publicitaires qui se lanceront au bout de 20 secondes de vidéo. De son côté, Marketing Land précise que ces pubs seront limitées à 15 secondes, se basant sur trois personnes proches du dossier.

Le réseau social aurait commencé à contacter des agences lundi pour les informer de la disponibilité de nouveaux espaces publicitaires. Facebook n'a pas souhaité faire de commentaire, mais cela serait une suite logique dans sa stratégie. En septembre, Dan Rose , vice-président en charge des partenariats, avait confié, en évoquant l'arrivée de la publicité dans les Facebook Live : "L'an prochain, nous allons commencer à réfléchir à la façon dont ce type de monétisation pourrait potentiellement être apporté à des vidéos classiques".À LIRE AUSSI
Facebook intensifie sa stratégie vidéo et convoite le marché de la pub TV
55 % des recettes pour les créateurs de contenus

Selon Re/code, les vidéos postées sur Facebook devront faire 90 secondes minimum pour accueillir un spot publicitaire. Les revenus seront partagés en Facebook et les créateurs de contenus, qui pourront en garder 55 %. Des conditions similaires à celles de YouTube, plate-forme reine pour la publicité vidéo en ligne .

Les annonceurs pourront choisir des catégories de vidéos dans lesquelles ils acceptent de voir leurs publicités apparaître et préciser lesquelles ils souhaitent éviter. De leur côté, les créateurs de contenus devront redoubler d'originalité : les vidéos devront être particulièrement accrocheuses et de qualité pour garder l'internaute captif au-delà de vingt secondes.

Refus catégorique du pre-roll

Facebook a beaucoup investi ces deux dernières années pour pousser en avant les vidéos sur son site, allant jusqu'à offrir des dizaines de millions de dollars à des influenceurs et des médias pour qu'ils utilisent son outil Live permettant la diffusion en direct. Le réseau social indiquait en 2016 que ses utilisateurs regardaient 100 millions d'heures de vidéo par jour sur son site.

Mais, à contre-courant de ce qui se fait aujourd'hui en ligne, son patron Mark Zuckerberg a toujours refusé d'intégrer des publicités au début des vidéos (pre-roll). Alors que ce type de contenu déferle désormais sur le réseau social, qui enregistre 1,79 milliard d'utilisateurs actifs mensuels, les créateurs de vidéo n'en tirent donc pas vraiment de profits jusqu'à présent.

Impact limité des "suggested videos"

L'an dernier, le réseau social a pourtant lancé les "Suggested videos", pour permettre la monétisation de certains contenus. Celui-ci est toutefois très limité. Il concerne précisément le carrousel de "vidéos suggérées" qui apparaît lorsqu'un internaute clique dans son fil d'actualité pour regarder une vidéo.

En avril, le Wall Street Journal affirmait , témoignages de médias à l'appui, qu'il n'avait pas rapporté grand-chose aux créateurs de contenus. "Nous voulons vraiment trouver [quelque chose qui fonctionne bien]. C'est une première étape. Nous sommes réellement ouverts à toutes les remarques pour trouver le bon modèle", avait alors défendu Fidji Simo, directrice de la vidéo chez Facebook .

ironman
11/01/2017, 17h12
Facebook massacre l’autonomie de votre batterie, voici la solution !
Facebook aurait enfin mis un terme au problème de l’impact qu’ont les applications de la firme sur les smartphones Android et iOS. Le fix aurait été appliqué côté serveurs après que de nombreux utilisateurs Android se soient plaints d’une étonnante réduction de leur autonomie consécutive à une mise à jour. Selon David Marcus, vice-président de la division produits messagerie chez Facebook, le problème vient d’être corrigé « côté serveurs ».
http://static.papergeek.fr/2017/01/facebook-aurait-enfin-regle-impact-applications-sur-batterie.jpg
On vous l’avait déjà dit dans un article, mais ce n’est un secret pour personne : les pires applications pour smartphone, à cause de leur impact sur la batterie, c’est Facebook et Messenger (http://www.papergeek.fr/desinstallez-application-facebook-vous-gagnerez-autonomie-11604). Enfin on peut mettre tout cela au passé, puisque visiblement, depuis aujourd’hui, des modifications ont été apportées « côté serveur » par la firme.Et des captures d’écran faites par les utilisateurs montrent effectivement la disparition de Facebook et Messenger des apps les plus gourmandes. En fait, les choses s’étaient peu à peu améliorées côté autonomie. Il faut dire que pour Facebook, ce problème est un véritable marronnier, et la firme a investi pour tenter de régler le problème.Et ce, particulièrement sur les terminaux Android, en raison des différences matérielles entre les marques et les modèles d’appareils. En décembre une mise à jour de Messenger apportait de nouvelles fonctionnalités, mais quelques temps après l’installation de l’upgrade, certains utilisateurs ont commencé à se plaindre d’un impact démesuré de l’application sur leur batterie.L’histoire est remontée via Twitter à David Marcus, vice-président de la division produits messagerie qui englobe l’équipe de WhatsApp et de Messenger. Au terme d’un rapide échange, le responsable a annoncé que le problème venait d’être réglé « côté serveurs ». Et les premières captures d’écran montrent effectivement la disparition de Messenger et de Facebook de la liste des apps les plus énergivores sous Android.

ironman
12/01/2017, 17h11
Israël: des smartphones de soldats piratés par le Hamas via des faux profils de jeunes femmes sur Facebook
Des dizaines de smartphones de soldats israéliens (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-361808-israel-les-grands-journaux-tv-du-soir-pirates-des-hackers-diffusent-des-messages-de-menace.html)ont été piratés par des membres du mouvement islamiste Hamas qui ont réussi cette opération grâce à de faux profils facebook de jeunes femmes sur les réseaux sociaux, a annoncé une source militaire. L'armée a lancé une campagne pour contrer cette cyber-attaque qui "peut potentiellement représenter une menace pour la sécurité de l'Etat d'Israël", selon une source des renseignements militaires qui a requis l'anonymat.
Selon cette source, des membres du Hamas ont contacté des soldats en utilisant de faux profils, en général de jeunes femmes, sur Facebook puis, après avoir gagné leur confiance, ont réussi à leur faire télécharger des applications qui étaient en réalité des virus pouvant contrôler leurs smartphones.
"L'ennemi connaît le langage des jeunes et a réussi à installer des virus pouvant contrôler les téléphones de dizaines de soldats", a-t-elle indiqué.
Un officier, qui a informé les journalistes sur l'escroquerie présumée, a déclaré que le groupe islamiste qui dirige la bande de Gaza a découvert aucun secret militaire dans l'opération de collecte de renseignements.
Le porte-parole du Hamas Fawzi Barhoum a refusé de commenter ces informations.

ironman
16/01/2017, 17h52
Facebook commence à tester son outil anti fake news en Allemagne





Technologie : Le roi des réseaux sociaux va notamment faire appel à des organismes indépendants pour vérifier certaines informations publiées.



Si Facebook a été critiqué au quatre coins du monde pour son laxisme envers la diffusion de fausses informations (ou fake news), c'est en Allemagne que les initiatives sont prises. En début d'année, le site Heat Street rapportait les propos du président du groupe parlementaire des sociaux démocrates Thomas Oppermann selon lesquels le gouvernement songe à faire passer une loi imposant des sanctions financières.


http://www.cnetfrance.fr/i/edit/2012/08/39774838/620x465/facebook_membres.jpg

En vertu de ce projet, les réseaux sociaux, au premier rang desquels Facebook, se verraient infliger 500.000 euros pour chaque jour de présence d’une fausse information dès lors qu’elle aura été signalée. Les plaintes concernant une fake news pourraient émaner à la fois de sources publiques ou privées.
La loi en question obligerait également les réseaux sociaux à établir une antenne en Allemagne chargée de traiter les demandes de retrait de fausses informations. Sous pression, Facebook a annoncé une série de mesures qui désormais seront testées à grande échelle en Allemagne dès le premier semestre en prévision des élections dans le pays.
Facebook propose ainsi une commande qui permet de signaler un contenu comme contenant de fausses informations. C'est une possibilité de plus en fait, puisqu'il était déjà possible de signaler un message comme étant "ennuyeux" ou "indésirable".

Le site comptabilisera ces signalements et décidera en fonction de cela, et d'autres critères non précisés, de soumettre le contenu à des vérificateurs spécialisés qui s'appuieront sur les codes du fact-checking de l'institut de journalisme Poynter. Suite à leur travail, les contenus litigieux seront tagués et indiqués comme "contestés par des vérificateurs indépendants" mais ces contenus ne seront pas censurés ou effacés. Autre conséquence : ces contenus ne pourront plus faire l'objet d'une promotion publicitaire.

ironman
17/01/2017, 17h41
Facebook au cœur d'un procès à 2 milliards de dollars
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Une entreprise américaine accuse Oculus, rachetée par Facebook en 2014, d'avoir volé ses technologies en matière de réalité virtuelle. Mark Zuckerberg témoigne ce mardi à Dallas.Après avoir couru 600 kilomètres, lu 25 livres et appris le mandarin, Mark Zuckerberg s'est mis au défi, cette année (https://www.facebook.com/zuck/posts/10103385178272401) , de voyager à travers les Etats-Unis pour "parler au plus de gens possible sur la façon dont ils vivent, travaillent et pensent à l'avenir". Le premier arrêt du patron de Facebook ? Dallas, au Texas.
Le trentenaire a publié lundi soir une série de photos, choisies avec soin, le mettant en scène en train de rencontrer des personnes du coin, planter des fruits et des légumes et discuter avec des étudiants.

Mais le déplacement du fondateur de Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) n'est pas qu'une partie de plaisir. Loin de là. Mark Zuckerberg est surtout à Dallas pour témoigner ce mardi dans le cadre d'un procès qui pourrait coûter 2 milliards de dollars à sa firme. L'affaire n'est pas récente. Elle a commencé par une plainte déposée il y a deux ans et demi mais prend une nouvelle dimension en ce début d'année avec la venue du patron milliardaire à la barre.
Des documents et technologies volées ?Après le rachat par le réseau social en 2014 de la start-up (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_start-up.html#xtor=SEC-3168) spécialisée dans la réalité virtuelle Oculus, l'entreprise ZeniMax Media attaque Facebook en justice. La société américaine de développement, d'édition et de distribution de jeux vidéo affirme que les produits développés par Oculus se basent sur ses technologies à elle, dérobées. Elle réclame 2 milliards de dollars de contrepartie financière à Oculus et Facebook, soit le montant déboursé par ce dernier pour s'offrir la start-up dédiée à la VR.
ZeniMax Media assure que les résultats de ses recherches - des milliers de documents décrivant ses technologies - ont été transmis à Oculus par l'un de ses anciens employés, John Carmack. Le développeur des célèbres jeux vidéo Doom et Quake travaillait pour une entreprise appartenant à ZeniMax Media, id Software, jusqu'en 2013, avant de rejoindre l'équipe d'Oculus. Celle-ci planchait à ce moment-là sur un casque de réalité virtuelle, Rift (http://start.lesechos.fr/actu-entreprises/technologie-digital/le-casque-de-realite-virtuelle-oculus-rift-debarque-en-france-5889.php) . D'après ZeniMax Media, les dirigeants d'Oculus savaient que John Carmack avait entre ses mains de quoi réaliser un produit digne de ce nom et ont sciemment repris ses technologies après son embauche. Facebook était au courant des faits avant de racheter la boîte, insiste encore le plaignant.
"L'histoire imaginaire de Palmer Luckey"ZeniMax Media affirme aussi dans sa plainte que la start-up a "communiqué à la presse l'histoire fausse et imaginaire que [Palmer] Luckey [fondateur d'Oculus] était l'inventeur brillant de la technologie VR qu'il avait développée dans le garage de ses parents". La société argue qu'avant l'arrivée de John Carmack chez Oculus, son casque Rift était "un prototype rudimentaire qui manquait d'une monture de tête, d'un logiciel VR, de capteurs de mouvements intégrés et d'autres caractéristiques et fonctionnalités importantes, nécessaires à la création d'un produit viable".
De son côté, John Carmack pointe du doigt le fait que son contrat de travail chez ZeniMax Media l'autorisait à travailler avec Oculus, puisque la start-up ne venait pas concurrencer directement ZeniMax Media. Il explique également qu'il avait présenté son projet de réalité virtuelle à son patron, Robert Altman, sans grand succès. "Altman a décidé de ne pas poursuivre l'opportunité de faire de Zenimax un acteur de la révolution du matériel VR", affirme-t-il.
Oculus et Facebook démententUn porte-parole d'Oculus dément quant à lui catégoriquement le vol de technologies auprès de Business Insider (http://www.businessinsider.fr/us/mark-zuckerberg-palmer-luckey-to-testify-in-2-billion-zenimax-lawsuit-against-oculus-vr-2017-1/) : "Oculus et ses fondateurs ont investi beaucoup de temps et d'argent dans la VR (...). Nous sommes déçus qu'une autre entreprise lance une action en justice inutile pour essayer d'obtenir le mérite d'une technologie pour laquelle elle n'avait pas de vision, de compétence et de patience."
Facebook est sur la même ligne, affirmant que l'ancien employeur de John Carmack n'a jamais réclamé les droits de propriété intellectuelle à Oculus jusqu'à ce que le réseau social annonce son intention d'acheter l'entreprise de Palmer Luckey.
Le procès, qui doit durer trois semaines, s'est ouvert le 9 janvier. Neuf jurés devront dire si Zenimax est en droit de réclamer une propriété intellectuelle sur l'Oculus Rift ainsi qu'un dédommagement. Le directeur de la technologie (CTO) d'Oculus et ancien employé de ZeniMax Media John Carmack a été le premier à être entendu. Après Mark Zuckerberg, Palmer Luckey doit témoigner un peu plus tard cette semaine. Facebook avait tenté d'y échapper, arguant que son patron n'avait pas à dévoiler les détails de l'acquisition d'Oculus. Mais le juge ne l'a pas entendu de cette oreille.

ironman
18/01/2017, 17h45
Facebook lance en France son premier programme d'accompagnement de start-up (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-363696-facebook-lance-en-france-son-premier-programme-d-accompagnement-de-start-up.html)
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/facebook-pharmacie.jpg

La numéro deux de Facebook, Sheryl Sandberg, a annoncé l'installation à Paris au sein du plus grand incubateur de start-up au monde de son tout premier "Startup Garage from Facebook (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-363567-facebook-veut-collaborer-davantage-avec-les-medias-et-chasser-les-fausses-informations.html)", un espace pour accompagner le développement de start-up indépendantes.
Installé sur le site de Station F (XIIIe arrondissement), l'incubateur financé par Xavier Niel, le programme de Facebook doit contribuer au "développement de start-up indépendantes qui contribueront à l'économie de la data en France et en Europe", selon Mme Sandberg.
Ce programme, dont il s'agit de la première mondiale, concernera lors de l'ouverture de Station F au mois d'avril, cinq start-up dans des domaines aussi variés que l'e-santé, l'identité numérique, le covoiturage ou encore la gestion des informations personnelles. A terme, il pourra accueillir entre 10 et 15 jeunes entreprises, pour une durée de six mois chacune.
En plus de l'accueil, ces jeunes pousses seront suivies par du personnel de Facebook et pourront assister à des ateliers sur "des domaines aussi variés que le design, l'expérience utilisateur, le marketing, le développement technologique ou encore les tests utilisateurs", précise le réseau social dans un communiqué.
Incubateur installé dans les halles Freyssinet, un ancien bâtiment ferroviaire dans le XIIIe arrondissement de Paris, Station F espère accueillir à terme un millier de start-up, via notamment des programmes proposés par les partenaires de l'incubateur, parmi lesquels Facebook, Vente-Privée, TechShop, HEC Paris ou encore divers fonds d'investissement.
Le site, financé à hauteur de 250 millions d'euros par Xavier Niel, comprendra une zone consacrée aux start-up avec 3.000 postes de travail, des espaces événementiels dont un auditorium, ainsi qu'un restaurant de 1.000 places ouvert au public 24 heures sur 24.
La construction d'une centaine d'appartements, destinés à accueillir des collaborateurs des start-up sélectionnées, est également en cours à Ivry-sur-Seine (94). Ils pourront héberger jusqu'à 600 personnes à partir de 2018.

ironman
19/01/2017, 17h27
Facebook : les pirates peuvent facilement espionner vos messages audio
Facebook, vulnérable aux hackers ? Nos confrères de The Hacker News rapportent qu’il est possible d’écouter tous les messages audio des conversations sur Facebook grâce à une simple attaque MiTM. Facebook et WhatsApp permettent en effet via une icône en forme de micro d’envoyer des messages audio à ses destinataires.
http://static.papergeek.fr/2017/01/facebook-pirates-peuvent-facilement-espionner-vos-message-audio.jpg
Un chercheur en sécurité égyptien, Mohamed A. Baset a mis en évidence une vulnérabilité de Facebook Messenger, ou plus précisément de sa fonctionnalité permettant d’envoyer des messages audio. N’importe quel hacker, même noob, pourrait ainsi avoir accès à l’intégralité des messages audio de sa victime.En fait à chaque fois que vous enregistrez un message audio, le fichier est envoyé sur les serveurs CDN de Facebook (https://z-1-cdn.fbsbx.com/…) qui sert le fichier pour vos destinataires. On remarque la présence d’HTTPS, censé compliquer l’attaque à distance. Ce lien absolu contient des tokens d’authentification.

Maintenant imaginez que vous puissiez obtenir ce lien absolu, soit via une attaque MiTM (Man-In-The-Middle). Il est alors possible de downgrader le protocole HTTPS vers du HTTP classique et de télécharger directement les fichiers audio. Avec cette méthode, un attaquant peut espionner tous les échanges audio de ses victimes sans que celles-ci ne s’en rendent compte,.De fait, Facebook n’a pas encore patché cette faille, liée aux spécificités du protocole HTTPS. Facebook est en effet en train de passer au protocole de transfert plus sécurisé HSTS (HTTP Strict Transport Security). Celui-ci force les navigateurs a passer par du HTTPS en interdisant le transfert entre un serveur sécurisé et non sécurisé.

Mohamed Baset a contacté Facebook à propos de cette faille « il y a longtemps » mais aurait eu une fin de non recevoir. Le réseau social estime en effet que cet upgrade de sécurité, en cours de déploiement pour l’ensemble de ses services, ne qualifie pas le White Hat à l’obtention d’une récompense pour sa trouvaille. En voici une démonstration en vidéo :


https://youtu.be/9y0cov6dHb4

ironman
25/01/2017, 17h20
Les médias et Facebook montent au front contre les « Fake news »

Facebook consulte les médias français pour créer un dispositif anti-« fake news » dans l’Hexagone.Pendant ce temps, les journaux musclent leur fact-checking et cherchent à collaborer entre eux.Alors que les « fake news » (ou fausses informations) ont largement perturbé la campagne électorale américaine, Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) a décidé d'agir en France sans attendre la présidentielle de mai.



Il est ainsi en train de consulter les éditeurs français pour lancer dans les prochaines semaines un plan anti-« fake news » dans l'Hexagone. Ce projet du premier réseau social au monde fait suite à celui qu'il a lancé en Allemagne, avec Correctiv, une « newsroom » de journalistes d'investigation logée dans une structure à but non lucratif financée par des dons. Facebook avait aussi lancé un initiative similaire aux Etats-Unis en fin d'année dernière, en s'appuyant sur des médias et des organisations comparables à Collectiv, comme PolitiFact.
Le sujet inquiète en plus haut lieu. Les pouvoirs publics - ministère de l'intérieur, Direction interministérielle du numérique (DINSIC) et l'Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) - auraient même demandé à rencontrer les représentants des Gafa, rapporte « L'Express ».
Le dispositif proposé par Facebook ? Ses membres qui tomberaient sur une information leur paraissant suspecte pourront désormais la signaler. Les éditeurs ayant signé et adhéré aux principes de la charte Poynter (transparence, honnêteté, neutralité, etc.) ont accès à ces signalements et peuvent alors accoler à l'intox un label mettant en garde le lecteur. Un lien sera aussi ajouté vers un article correctif. Et les sites véhiculant de fausses informations seront moins visibles sur la plate-forme.
Plusieurs médias restent toutefois encore dubitatifs. « Cela peut aider à repérer de fausses informations, mais il y a surtout, semble-t-il, une volonté de se donner bonne conscience, dit un spécialiste du numérique. Pour que ça marche vraiment, il faudrait que les Gafa bloquent totalement certains sites, ce qui pose plein de questions et va à l'encontre de leur business ». Bloquer les liens que les membres du réseau s'échangent va à l'encontre du modèle économique de Facebook. Autre grief, les médias reprochent à la société de Mark Zuckerberg, qui ne se définit que du bout des lèvres comme un média, de ne pas rémunérer l'effort de fact-checking, et de compter sur les autres pour le faire.
En attendant que Facebook mette en place son système, les médias musclent leur département de fact-checking (Les décodeurs au « Monde », Desintox à « Libération » ou Le vrai-faux des Echos aux « Echos ») et ils s'emparent de plus en plus du sujet. Même chose à l'étranger. CNN vient de recruter un journaliste écrivant sur les fake news et la BBC a annoncé la création d'un département spécialisé.
De nouvelles initiatives émergent. « Le Monde » va lancer début février Decodex, un outil qui permettra d'indiquer, dans une base de 600 sites, si un site est parodique ou satirique (et donc à prendre au deuxième degré), orienté (Les Décodeurs citent par exemple ivg.net (http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/12/07/ivg-net-le-site-tres-oriente-d-un-couple-de-militants-catholiques_5044551_4355770.html) ) ou véhiculant régulièrement de fausses informations.Les internautes auront la possibilité de rentrer des url ou d'installer sur leur navigateur un logiciel pour identifier instantanément les sites ou comptes Twitter problématiques. Le quotidien souligne dans Digiday (http://digiday.com/publishers/le-monde-identifies-600-unreliable-websites-fake-news-crackdown/) que Decodex sera apolitique. « Vous pouvez être d'extrême droite pourvu que vous ne manipuliez pas les faits », assure Samuel Laurent, des Décodeurs.
Enfin, certaines rédactions françaises travaillent au sein de First Draft News, une initiative réunissant des médias internationaux et Google rejointe par les réseaux sociaux, dont Facebook. Pour que cette collaboration fonctionne bien, First Draft aurait besoin que le réseau social l'alerte des intox potentielles.

ironman
27/01/2017, 16h50
Facebook se met à l’authentification par clé USB : comment ça marche ?
Facebook vient d’annoncer la mise à disposition d’un système d’authentification par clé USB au standard U2F. Ce dispositif permet d’élever la sécurité de votre compte d’un cran, puisqu’il devient indispensable de disposer de la clé en question pour pouvoir déverrouiller son compte sur un nouvel ordinateur. On vous explique comment ça marche et où se procurer ces fameuses clés.

http://static.papergeek.fr/2017/01/facebook-se-met-authentification-par-cle-usb-comment-marche.jpg

L’authentification à double-facteur (http://www.papergeek.fr/comment-mieux-securiser-ses-comptes-avec-la-double-authentification-5470) va devenir plus simple grâce aux clés USB U2F. Facebook vient d’ajouter la possibilité de mettre en place une authentification double facteur (http://www.papergeek.fr/facebook-comment-activer-la-double-authentification-pour-plus-de-securite-5500) via ce système. Auparavant, il fallait se contenter du générateur de code, ou du code reçu par SMS pour pouvoir débloquer son compte, ce qui n’est pas toujours hyper pratique. Surtout quand la batterie du téléphone destinataire des SMS ou du générateur de code est à plat.
Désormais, on peut se munir de n’importe quelle clé USB d’authentification compatible avec le standard U2F (on en trouve sur internet autour de 20 euros). Ces clés sont compatibles avec d’autres services comme votre compte Google. Si bien qu’une seule clé USB accrochée à votre porte-clés peut servir de modalité d’identification double-facteur pour plusieurs comptes autres que Facebook et compatible avec ce système.
Concrètement on parle de clés USB un peu spéciales puisqu’elles peuvent résoudre un problème mathématique à l’aide d’une clé privée. Il vous suffit de l’insérer dans un port USB de l’ordinateur lorsque cela vous est demandé et d’appuyer sur un bouton. Ou d’approcher votre smartphone compatible NFC. Il existe également des versions compatibles Bluetooth pour tous les autres appareils.
Les comptes avec lesquels cette clé est enregistrée, dont Facebook, sont alors déverrouillés. Pour activer cette nouvelle fonctionnalité, il vous faut tout d’abord vous procurer l’une de ces clés. On en trouve sur Amazon à un prix raisonnable, allant de 7,95 pour les plus basiques à une quarantaine d’euros pour les plus complètes en termes de modalités de communication (pensez à votre smartphone !), voire plus de 50 euros pour une YubiKey multi-standard.


La marche à suivre est ensuite assez simple :


Sur Facebook, allez dans vos Paramètres puis dans Sécurité


http://static.papergeek.fr/2016/05/facebook-parametres.pngLe menu Paramètres de Facebook


http://static.papergeek.fr/2016/07/facebook-parametres-securite.png


Cliquez ensuite sur Approbations de connexion puis Ajouter une clé et suivez les instructions qui s’affichent à l’écran

ironman
02/02/2017, 18h32
Facebook réussit son année 2016 encore mieux que prévu.

Le bénéfice net groupe doublé 3,6 milliards dollars trimestre
Le bénéfice net du groupe a plus que doublé à 3,6 milliards de dollars au quatrième trimestre - Shutterstock
Le réseau social de Mark Zuckerberg a presque triplé son bénéfice a 10,2 milliards de dollars.

Le réseau social américain Facebook a terminé l'année 2016 sur des résultats meilleurs que prévu, la publicité mobile continuant de soutenir sa croissance tandis que son nombre d'utilisateurs a encore progressé.

Le réseau social revendiquait en effet 1,86 milliard d'utilisateurs à la fin décembre, contre 1,79 milliard trois mois plus tôt . La part de ceux d'entre eux qui interagissent de manière quotidienne avec le service est stable à 66%, a précisé Facebook dans un communiqué mercredi soir.

Le bénéfice net du groupe a parallèlement plus que doublé à 3,6 milliards de dollars au quatrième trimestre, et presque triplé à 10,2 milliards sur l'ensemble de l'année. Son chiffre d'affaires a grimpé pour sa part de 51% sur les trois derniers mois, à 8,8 milliards de dollars, et de 54% sur douze mois à 27,6 milliards.

Des résultats supérieurs aux attentes

Ces niveaux sont supérieurs aux attentes des analystes, et de nature à rassurer le marché inquiet de voir la croissance ralentir, alors que le réseau a lui-même reconnu ne plus pouvoir beaucoup augmenter le nombre de publicités qu'il incorpore au fil d'actualité de ses utilisateurs, et qui ont été un véritable moteur pour lui ces dernières années.

Au quatrième trimestre, les recettes publicitaires du groupe ont encore augmenté de 53% à 8,6 milliards de dollars, et 84% de ce total provient des accès mobiles aux services du groupe.

Dans les échanges électroniques suivant la clôture de Wall Street, l'action Facebook gagnait 2,46%

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ironman
03/02/2017, 23h41
Législatives et facebook : Quand les réseaux sociaux deviennent une arme politique

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication NTIC sont devenues des outils incontournables pour les politiques. Les Algériens, eux, l’ont très bien compris, et ils comptent exploiter ce segment pour arriver à leurs fins. En l’occurrence mobiliser les militants et les conditionner en prévision des prochaines élections législatives.

En effet, les différents politiques et partis Algériens ont très bien compris l’influence des réseaux sociaux et les ont adopté. De ce fait, chaque formation a sa propre page Facebook, avec une alimentation quasi instantanée des activités. Certes ce n’est pas le cas de tous les partis, mais les plus en vue sur la scène politique nationale le font. Ces pages servent surtout à publier des communiqués, des annonces de sorties publiques ou encore de probables rencontres ou entrevues. Certains lancent même des débats sur leurs pages.

Il faut dire que ces derniers accordent une grande importance à leurs pages Facebook, qu’ils considèrent comme étant le miroir de leurs activités. Et ils veulent « partager » avec les internautes leurs activités quotidiennes.

Parmi les chefs de partis les plus influents sur Facebook, l’on retrouve le président du Parti Talaie El Houriyet, Ali Benflis. Sa page facebook

https://www.facebook.com/OfficialAliBenflis/?fref=ts comptabilise au moment de l’écriture de ces lignes 1.419.440 abonnées. Cette page est alimentée et mise à jour régulièrement. Il faudrait croire qu’il aurait une armada de « facebookeurs » pour gérer et alimenter cette page. C’est son propre fils qui gère la page avec une dizaine de jeunes facebookeurs. Benflis occupe la première place du classement Fan Zone Dz des personnalités politiques Algériennes.

Amar Ghoul, le président du TAJ, est également parmi les politiques les plus en vue sur le réseau de Mark Zuckerberg. Avec une page https://www.facebook.com/AmarGhoul/?fref=ts totalisant quelques 937.195 mentions « j’aime » ; il figure parmi les premiers du classement établi par l’étude Fan Zone Dz.

Même cas pour le président du MSP, Abderezzak Makri, avec 95.172 « j’aime ». Ce dernier même s’il n’a pas l’audience de Benflis reste néanmoins très présent sur ce canal : Communiqués, photos, vidéos… Makri ne néglige aucune action pour attirer de plus en plus de sympathisants. Et dans certains cas, il n’hésite pas à lancer des débats sur cette page. https://www.facebook.com/Abderrazak.Makri/?fref=ts

Pour sa part, le sulfureux Rachid Nekkaz comptabilise 1.041.908 abonnés. Ces derniers le suivent surtout pour être au courant de ses débandades et aventures aussi surprenantes les unes que les autres. https://www.facebook.com/nekkaz2019/.

Quant au FLN, il n’est pas vraiment très présent sur Facebook. La page bien qu’alimentée régulièrement ne comptabilise que 20.023 mentions « j’aime ». https://www.facebook.com/fln.net/?ref=br_rs. Le FLN mise sur une toute autre catégorie de communication.

Ce n’est pas le cas du RND qui possède une équipe dédiée aux réseaux sociaux. La page facebook du parti d’Ouyahia, possède déjà 116000 fans et tous les messages de de son secrétaire général passe par ce canal. Ouyahia avait inauguré cette page en juillet 2016 en postant des vidéos.

Des chaines TV et des achats de « j’aime »

Par ailleurs, certains partis politiques bien lotis financièrement ont même créé des chaines TV afin d’avoir plus de chance pour les prochaines élections ; c’est le cas du FLN et c’est une première. Dès l’arrivée de l’ex Ministre des Ptic, Moussa Benhamadi en tant que conseiller en information de Djamel Ould Abbas, le parti a lancé sa propre chaîne TV afin de mieux exprimer ses positions. Seulement la chaîne a été lancée sur une ancienne fréquence de la chaîne tv privée KBC. Face à la polémique qui enflait, M.Benhamadi a pris la parole pour démentir toute relation avec cette chaîne, en affirmant : « Nous sommes en train d’effectuer des essais techniques. Il s’agit en effet, d’un projet mais il n’y a rien de concret ».

Selon des sources du TAJ, Amar Ghoul y pense aussi et a déjà évoqué le sujet avec les cadres du parti, mais l’énorme budget que requiert un tel projet lui barre la route. Par contre, il n’est pas contre un candidat qui pourrait prendre l’initiative pour concrétiser un tel projet. L’ancien ministre des travaux publics peut compter déjà sur la chaîne El Bilad Tv et sa page facebook qui totalise plus de 6 millions de fans: Un record.

Par ailleurs, même si les réseaux sociaux sont réputés pour leur transparence, il n’en demeure pas moins que certaines activités soient, pour le moins, immorales. Il s’agit des achats de mentions « j’aime ». Cette nouvelle industrie parallèle qui consiste à gonfler la communauté des pages Facebook moyennant finance. D’ailleurs le groupe Facebook s’est récemment attaqué à ces nouvelles tendances. D’après des sources qui ont travaillé en tant qu’administrateurs de certaines pages facebook, plusieurs personnalités politiques s’adonnent à ce procédé. Nos sources citent Ali Benflis, Amar Ghoul et Rachid Nekkaz à titre d’exemple. Le président de Talaie el Houriyet aurait dépensé quelque 13.450 euros, Rachid Nekkaz 9453 euros et Amar Ghoul 4830 euros.

Lamine Réda

ironman
07/02/2017, 18h20
Une plate-forme de vidéo à la demande s’essaie au cinéma sur Facebook

Le film américain, « The Dirties », va être diffusé ce mercredi soir sur Facebook Live. Ce long-métrage a été récupéré par Outbuster, une plate-forme lancée par un ancien de TF1.C'est une première mondiale, et c'est une plate-forme indépendante française qui en est à l'origine : ce mercredi soir, sera diffusé un film sur Facebook Live (http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0211676343010-facebook-veut-etendre-lintegration-de-pubs-dans-ses-videos-2055940.php) . « The Dirties », long-métrage américain, est sorti en 2013 outre-Atlantique, mais n'a jamais été diffusé en France. Il a été récupéré par Outbuster, une plate-forme de vidéo à la demande lancée en juin dernier par un ancien de TF1.
« J'ai passé dix ans à travailler sur la VoD et je voulais approfondir ce sujet du e-cinéma et de la première fenêtre de diffusion sur le digital, explique le fondateur d'Outbuster, Etienne Metras. Plus de 90 % des titres produits dans le monde n'arrivent jamais en France, que ce soit en salles ou en VoD. »
La plate-forme propose donc des films indépendants, inédits en France à quelques exceptions près et qu'on ne trouve, en général, que sur Outbuster. Plus de 80 % des titres ne sont ni français ni américains. Une quarantaine de films sont présents en catalogue, mais celui-ci est renouvelé en permanence.
« Il s'agit d'un produit d'appel »« Nous fonctionnons comme une salle, nous avons des sorties tous les mercredis, il n'y a pas d'enjeu de volume pour nous », indique Etienne Metras. Deux tarifications sont proposées : l'une à l'acte, à trois euros la séance, l'autre à 9 euros pour un abonnement mensuel illimité.

La séance diffusée sur Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) Live sera, elle, gratuite. A l'issue de la diffusion, le film passera en payant, sur Outbuster. « Il s'agit d'un produit d'appel, un peu comme une projection presse qui serait réservée à notre communauté », explique Etienne Metras. Elle sera couplée à une diffusion en salle, à Paris, au Club de l'Etoile, précédée d'une discussion, elle aussi relayée sur Facebook Live.
3.000 inscrits, pour 300 abonnés en illimité« Je suis persuadé que ce type de films peut intéresser un public large. Mais celui-ci est de plus en plus imperméable aux médias traditionnels. En revanche, il reste sensible aux prescripteurs, notamment sur les réseaux sociaux », soutient Etienne Metras. La plate-forme s'est aussi associée à Sens Critique, un réseau social dédié aux produits culturels.

Avec cette opération sur Facebook Live, Outbuster espère accroître sa notoriété, alors qu'Internet ne s'est jamais vraiment imposé comme un canal de première diffusion pour le cinéma. « Jusqu'ici, cela tient surtout au type de film proposé, opine Etienne Metras. Si l'on présente des films à gros budget, avec des acteurs connus, le public pensera, sans doute à juste titre, qu'il n'a pas été distribué en salles car il n'est pas bon. C'est à nous d'aller dénicher des pépites. »
Outbuster compte aujourd'hui 3.000 inscrits, pour 300 abonnés en illimité. Elle est distribuée pour le moment en OTT, mais espère agrandir son réseau, d'abord par des applications pour téléviseurs et consoles de jeux, puis par une intégration dans les boxes des opérateurs. Elle verse aux producteurs un fixe sur l'abonnement, et partage les revenus sur le transactionnel.

ironman
08/02/2017, 18h13
Facebook met en place un outil d'entraide en cas de catastrophe.
Facebook a mis à jour sa fonction de sécurité "Safety Check" en offrant la possibilité aux utilisateurs de demander de l'aide ou de prêter main forte pendant une catastrophe.
Cette nouvelle fonction "Community Help" ouvre un forum sur lequel les victimes d'inondations, de tremblements de terre, d'incendies ou tout autre type de catastrophes, peuvent demander de l'aide, a expliqué la vice-présidente de Facebook, Naomi Gleit.
"En temps de crise, être connecté est plus important que jamais", dit-elle.
Facebook a lancé son "Safety Check" en 2014 pour permettre aux membres du réseau social d'indiquer à leur famille ou leurs amis qu'ils sont en sécurité lors d'événements dramatiques.
"Community Help" permet maintenant aux membres du réseau de trouver ou d'offrir de l'aide, par exemple de la nourriture, un abri ou un moyen de transport, pendant une crise.
"Safety Check a été activée des centaines de fois, mais nous savons que nous pouvons faire plus pour donner à la communauté les moyens de s'entraider", ajoute Mme Gleit.
Cette nouvelle fonction a été inspirée par les membres de Facebook qui utilisaient le réseau social pour organiser l'aide aux personnes après des catastrophes telles que les inondations à Chennai, en Inde, à la fin 2015.
Facebook active son "Safety Check" après avoir reçu des alertes des agences mondiales de signalement de crise et un volume important des messages concernant un incident sur le réseau social. Dans l'hypothèse d'une catastrophe naturelle ou accidentelle, l'outil d'aide communautaire sera également déclenché, assure Naomi Gleit.

ironman
15/02/2017, 18h09
Facebook va lancer une appli compatible avec le Fire TV d’Amazon et l’Apple TV

Le réseau social poursuit son offensive dans la vidéo.

Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) continue d'avancer ses pions dans la vidéo. Lundi, le groupe de Mark Zuckerberg a fait savoir (http://newsroom.fb.com/news/2017/02/new-ways-to-watch-facebook-video/) qu'il allait prochainement lancer une nouvelle application permettant aux utilisateurs de regarder celles publiées sur le réseau social depuis l'écran d'une télévision.
Celle-ci sera compatible avec les boîtiers Fire TV d'Amazon et l'Apple TV, ainsi qu'avec sur les télévisions connectées de Samsung. Cette application permettra au départ de regarder plus facilement des vidéos publiées par les contacts de l'utilisateur sur Facebook ou sur les pages qu'il suit, ainsi que les vidéos en direct (Facebook Live) les plus populaires sur le réseau.
Cette légère incursion vers la télévision est le signe que Facebook est en train de se muer de plus en plus en une entreprise « Video First », visant à devenir, à terme, un concurrent sérieux pour YouTube (http://www.lesechos.fr/11/07/2015/lesechos.fr/021200447879_facebook-ne-va-pas-s-attaquer-a-spotify-mais-declare-la-guerre-a-youtube.htm) (la plate-forme de vidéo en ligne de Google/Alphabet), voire Netflix, et de s'arroger, à terme, une part du copieux marché de la publicité télévisée (http://www.lesechos.fr/07/04/2016/LesEchos/22166-092-ECH_facebook-intensifie-sa-strategie-video-et-convoite-le-marche-de-la-pub-tv.htm) qui se monte à 70 milliards de dollars par an aux Etats-Unis.
Vers un partage des revenus avec les éditeurs

Facebook a beaucoup investi dans la vidéo ces dernières années, et Mark Zuckerberg, a de nouveau insisté sur son caractère prioritaire lors de la présentation des derniers résultats trimestriels (http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0211761678711-facebook-passe-le-cap-des-10-milliards-de-dollars-de-benefice-annuel-2062280.php) du groupe début février. Il a assuré y voir « une méga tendance du même ordre (d'importance) que le mobile », qui a servi de locomotive au groupe ces dernières années et fait de lui la sixième capitalisation boursière (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_capitalisation-boursiere.html#xtor=SEC-3168) mondiale, à 386 milliards de dollars.
L'an dernier, le groupe a ainsi lancé Facebook Live, permettant aux utilisateurs de publier des vidéos en direct. Pour encourager son utilisation, le réseau social, a, dans un premier temps, pris le parti de rémunérer les auteurs de ces formats (http://www.lesechos.fr/20/07/2016/lesechos.fr/0211142350535_facebook-live-s-attache-les-services-de-stars-de-youtube-et-vine.htm) (médias, YouTubeurs, etc).
Mais désormais, le groupe voudrait privilégier le partage de revenus avec les éditeurs, a confié Dan Rose, responsable des partenariats chez Facebook, lors de la conférence « Code media 2017 » organisée par le site américain « Re/Code » (https://www.recode.net/2017/2/14/14613398/facebook-live-video-partnerships-dan-rose) . En août dernier, le réseau social avait déployé des publicités dans ses vidéos Live en vue de monétiser ces contenus et il s'apprêterait à étendre cette fonctionnalité aux vidéos classiques (http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0211676343010-facebook-veut-etendre-lintegration-de-pubs-dans-ses-videos-2055940.php) .




Le son des vidéos Facebook bientôt activé par défaut


http://static.lexpress.fr/medias_11321/w_1911,h_1069,c_crop,x_10,y_181/w_640,h_360,c_fill,g_north/v1486563846/facebook-met-a-jour-sa-fonction-de-securite-safety-check_5796793.jpg

Le réseau social vient d'annoncer quelques innovations pour ses utilisateurs. Au programme notamment, l'activation automatique du son des vidéos figurant sur le fil d'actualité.

Facebook (http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/reseau-social-facebook_1492094.html) prépare quelques modifications dans son offre de vidéos. Alors que seules les images des vidéos de la timeline s'activent aujourd'hui (http://www.lexpress.fr/tendances/produit-high-tech/facebook_1645242.html), bientôt leur son se déclenchera également de façon automatique. C'est une des annonces que vient de faire le réseau social fondé par Mark Zuckerberg (http://www.lexpress.fr/styles/vip/mark-zuckerberg-fondateur-de-facebook_1741844.html) sur son blog (http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/02/15/32001-20170215ARTFIG00222-facebook-lancera-automatiquement-le-son-dans-ses-videos.php).
Les "scrolleurs" compulsifs pourront tout de même s'éviter ces pollutions sonores s'ils le souhaitent en désactivant l'option dans les paramètres de compte ou en coupant le son de leur terminal mobile. Après une phase de tests menée en Australie, cette nouvelle fonctionnalité, dont la date de lancement n'a pas été précisée, devrait s'étendre progressivement à l'ensemble des comptes Facebook.

Une vidéo "flottante" dans un coin de l'écran

Autre innovation, les usagers pourront bientôt minimiser le format des vidéos (http://www.lexpress.fr/styles/saveurs/comment-les-videos-de-recettes-sont-devenues-les-stars-de-facebook-et-instagram_1830525.html) et poursuivre la lecture de ces contenus "flottants" dans un coin de leur écran. En parallèle, il sera possible de continuer à parcourir d'autres actualités, voire d'utiliser une application complètement différente sur les appareils Android.
Par ailleurs, Facebook entend améliorer l'expérience des utilisateurs lors du visionnage de vidéos verticales, format parfois privilégié depuis un smartphone ou une tablette. Enfin, le réseau social lance également une application pour la télévision afin de multiplier les supports de ses contenus vidéo. Elle sera disponible au téléchargement sur les plateformes d'applications dédiées d'Apple, d'Amazon et de Samsung.



Avec ces annonces, Facebook -dont l'expérience utilisateurs se construit initialement sur la photo- recentre sa stratégie autour de la vidéo. D'après le site Engadget (https://www.engadget.com/2017/02/14/facebook-conquest-tv/), plus de 100 millions d'heures ont déjà été visionnées sur le réseau social au cours du mois de janvier 2016.







Facebook va diffuser des matches de football mexicain

http://www.telesatellite.com/images/actu/f/facebook-logo.jpg

Facebook étoffe son portefeuille de transmissions sportives en se lançant dans la diffusion de matches de football du championnat mexicain via sa plateforme de streaming Facebook Live.

Alors que le segment de la retransmission des ligues nationales de football est habituellement dédié à la télévision et protégé par des contrats millionnaires,Facebook vient de réussir un beau coup en garantissant la transmission, en anglais et sans publicité, de 46 rencontres de la Liga MX pour le marché américain grâce à un accord avec l’opérateur Univision. Cet accord prendra effet dès ce week-end avec lematch entre Club America et Chivas.

Si Facebook voit là une excellente manière d’entrer dans le très populaire milieu des transmissions de football, pour Univision, il s’agit également d’une opportunité de faire la promotion du football mexicain auprès d’un public de langue anglaise.

ironman
16/02/2017, 19h20
Facebook invite les développeurs du Moyen-Orient et d’Afrique à créer des robots intelligents pour Messenger

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Facebook (www.Facebook.com) met les développeurs du Moyen-Orient et d’Afrique au défi de développer des robots innovants dans le cadre du concours Bots for Messenger Developer Challenge. Ce concours s’aligne avec l’engagement de Facebook envers l’innovation au Moyen-Orient et en Afrique et fournit les outils dont les développeurs et les jeunes entreprises ont besoin pour développer, monétiser et évaluer les produits et services.

La société Facebook est née d’une culture de hacker et prospère grâce à la promotion de l’innovation sur les nouvelles plateformes. C’est pourquoi Facebook lance le concours Bots for Messenger Challenge qui vise à reconnaître et récompenser les développeurs capables de créer des robots plus innovants pour Messenger.

Les développeurs, réunis en équipes de trois personnes maximum, sont invités à créer des robots répartis dans trois catégories : les jeux et divertissements ; la productivité et les utilitaires ; et le bien social.

Récompenses

Équipes finalistes
Les 60 équipes finalistes (10 par catégorie dans chaque région) remporteront un équipement Gear VR et un téléphone mobile, une heure de mentorat dispensé par Facebook, et les outils et services de FbStart (https://Developers.facebook.com/fbstart), un programme de Facebook destiné à aider les jeunes entreprises naissantes dans leurs premières phases de développement.
Toutes les équipes d’étudiants qui accèderont à la finale gagneront un prix supplémentaire de 2 000 USD (le statut d’étudiant sera vérifié par le biais des comptes de messagerie enregistrés auprès des établissements accrédités par le gouvernement).

Équipes remportant la deuxième place
Pour chaque région, les trois équipes finalistes (une pour chaque catégorie) remporteront 10 000 USD et trois mois de mentorat auprès de Facebook.

Équipes gagnantes
Pour chaque région, les trois équipes gagnantes (une pour chaque catégorie) remporteront 20 000 USD et trois mois de mentorat auprès de Facebook.

Dates

Ouverture des inscriptions : 15 février à 9 h 00 GMT
Date limite des inscriptions : 28 avril à 11 h 59 GMT
Annonce des finalistes (30 équipes pour chaque région : Afrique subsaharienne et Moyen-Orient/Afrique du Nord) : 19 mai à 9 h 00 GMT
Date limite des inscriptions des finalistes : 2 juin à 11 h 59 GMT
Annonce des gagnants : 19 juin à 9 h 00 GMT (trois équipes gagnantes et trois équipes finalistes pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, trois équipes gagnantes et trois équipes finalistes pour l’Afrique subsaharienne)
Consultez les règles du concours ici : **Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**

Facebook débarquera prochainement sur les Smart TV

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Déjà présent sur les mobiles, tablettes et PC, Facebook va prochainement débarquer sur vos téléviseurs connectés. La société qui compte actuellement 1.8 milliards de membres vient de confirmer le lancement prochain d'une application Facebook pour les téléviseurs.

L'arrivée de cette application pour Smart TV est prévue d'ici les prochaines semaines. L'application sera dans un premier temps disponible sur l'Apple TV de quatrième génération et les boîtiers Fire TV d'Amazon. Suivront ensuite les téléviseurs connectés de marque Samsung.

L’application TV donnera dans un premier temps la possibilité de consulter les vidéos partagées par ses amis ou les pages que l’on suit. Seront aussi disponibles les meilleures vidéos en direct ainsi que des vidéos recommandées selon les centres d’intérêt de l'utilisateur.

Dans un premier temps, aucune publicité ne sera diffusée. Mais on imagine bien que Facebook grignotera à terme sur les budgets télévisuels des différents publicitaires.

ironman
07/03/2017, 18h20
Facebook expérimente le dislike sur Messenger

Attendu très longtemps sur le réseau social de Mark Zuckerberg, le dislike (« je n’aime pas ») pourrait enfin arriver, mais uniquement dans les conversations de Facebook Messenger.

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À l’époque où Facebook ne permettait que de « liker » un message, la demande pour un bouton inverse (le « dislike », ou « je n’aime pas » dans la langue de Molière) était grande. Facebook s’est toujours opposé à cette idée et a répondu à la demande avec les « réactions » actuellement en place sous forme d’émojis.

Selon TechCrunch, Facebook testerait actuellement sur quelques utilisateurs un nouveau bouton « dislike » sur Facebook Messenger. Les rares chanceux ayant accès à cette fonctionnalité peuvent ainsi réagir à un message par l’un des smileys habituels, une tête avec des cœurs à la place des yeux ou… un pouce vers le bas.

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Pour Facebook, il s’agit davantage d’un bouton « non ». Dans une conversation de groupe, cette nouvelle fonctionnalité permettrait donc de réagir à un message en particulier sans avoir à interrompre une discussion ou répondre en retard, bien après la question. Rappelons qu’il est déjà possible d’utiliser un émoji pour répondre par un dislike, ou bien par un autocollant.

Pour le moment, ce n’est encore qu’un test, mais cette option pourrait être déployée plus tard à plus grande échelle si elle fait ses preuves. Et qui sait, peut-être pourrons-nous un jour l’utiliser sur Facebook, mais il ne faut pas trop se faire d’idées

ironman
09/03/2017, 17h18
Facebook passe le cap des 400 milliards de dollars en Bourse.

Le réseau social est aujourd’hui la sixième capitalisation boursière mondiale.

Ils sont désormais six dans le club des géants à la capitalisation boursière supérieure à 400 milliards de dollars : Apple, Google, Microsoft, Berkshire Hathaway (le fonds de Warren Buffet), Amazon et désormais Facebook qui a franchi cette barre, pour la première fois de son histoire, ce jeudi, à l'ouverture de Wall Street.

Lancé en 2004, le réseau social a mis le cap sur la Bourse en 2012. Après des débuts cotonneux, avec un plus bas historique à 41,6 milliards de dollars le 9 novembre de la même année, la firme de Menlo Park a ensuite enchanté les marchés financiers de résultats trimestriels en résultats trimestriels.

Après avoir longtemps monétisé l'essentiel de ses services via le Web, le groupe a négocié à la perfection son virage vers le mobile en insérant de la publicité dans le fil de ses utilisateurs. Au point qu'aujourd'hui, le groupe ne compte qu'un seul adversaire de son calibre dans la publicité en ligne : Google.

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Une montée en puissance qui s'est traduite par l'ascension de son cours de Bourse. A l'été 2013, le groupe franchit la barre des 100 milliards de dollars de capitalisation boursière, puis celle des 150 milliards au début de 2014 . Lors du mois de septembre de cette même année, le sommet des 200 milliards est gravi. Quatorze mois plus tard, le réseau social atteint le cap des 300 milliards .

Et le groupe ne ralentit pas la cadence. Il ne lui aura fallu qu'un an et quatre mois pour que sa capitalisation boursière enfle, à nouveau, de 100 milliards de dollars, à 400 milliards, moins de cinq ans après son entrée à Wall Street. A titre de comparaison, Google aura attendu sa dixième année boursière pour faire de même, Microsoft douze ans, tandis qu'Apple aura mis plus de 30 ans.

Sixième capitalisation boursière mondiale, Facebook a-t-il les moyens de se hisser jusqu'aux 500 milliards ? Sans nul doute. L'an denier, le réseau social a encore affolé les compteurs en générant un chiffre d'affaire des 27,7 milliards de dollars pour un bénéfice net de 10,2 milliards.

WhatsApp, Messenger et Instagram sous le coude

Son parc se monte désormais à 1,86 milliard d'utilisateurs actifs mensuels et le groupe devrait atteindre la barre des 2 milliards dès cette année tandis que son revenu moyen par utilisateur a encore grimpé à 4,83 dollars sur les trois dernières mois de l'année 2016.

Des chiffres qui donnent d'autant plus le tournis que dans la galaxie Facebook, toutes les étoiles n'ont pas encore atteint leur firmament - tout particulièrement en termes de monétisation.

C'est le cas des applications WhatsApp, Messenger et Instagram qui, à elles trois, réunissent près de 3 milliards d'utilisateurs actifs mensuels. Le groupe pourra aussi aller chercher des relais de croissance dans les pays émergents. Pour l'heure, ces régions contribuent encore peu à ses revenus.

Snap fait du yo-yo en Bourse

A court terme, rien ne semble pourvoir enrayer la marche en avant du groupe de Mark Zuckerberg qui a aussi avancé des pions dans les jeux vidéo, la réalité virtuelle ou encore l'intelligence artificielle et se positionne de plus en plus comme un média. Mais gare tout de même à la concurrence. Considéré comme l'un des principaux dangers pour Facebook, Snap a fait son entrée en Bourse il y a une semaine.

Après deux premières séances réussies, le cours fait du yo-yo . Jeudi, en début de séance, la capitalisation boursière de l'application aux photos et messages éphémères frôlait les 30 milliards de dollars. Il lui reste encore un peu de chemin à faire avant de rattraper Facebook dont le parcours boursier n'est pour l'heure guère troublé par l'arrivée à Wall Street de son jeune challenger.

ironman
23/03/2017, 17h45
Facebook Live s'invite sur PC.

Après les smartphones et autres appareils mobiles, voici que Facebook Live débarque sur les ordinateurs. Désormais, il est possible de partager une vidéo en direct via une webcam, tout en étant assis devant son ordinateur.

Facebook Live sur ordinateur : les possibilités sont sans fin

Cette nouveauté de Facebook Live est un grand pas en avant pour le service de vidéo en direct de Facebook. Pour la première fois, il sera possible de parler sans avoir à tenir son smartphone dans ses mains. Les utilisateurs de Facebook amateurs de directs seront désormais plus enclins à faire d'eux-mêmes le centre de leurs vidéos, tandis que le fait de tenir un smartphone dans ses mains poussait davantage à filmer ses alentours ou d'autres personnes. Et bien entendu, cette arrivée sur les ordinateurs fera découvrir Facebook Live aux personnes ne possédant pas de smartphone dans des pays en voie de développement.

Les personnes utilisant Facebook à des fins professionnelles seront également servies. Désormais, il est possible de partager son écran d'ordinateur, pour faire une démonstration d'un logiciel, un tutoriel ou encore afficher une présentation PowerPoint. Les fans de jeux sur ordinateur seront eux aussi servis : ils pourront facilement diffuser leurs parties via Facebook Live, ce qui constitue ainsi une alternative à Twitch.

Le PC après le smartphone

Dès le lancement de la vidéo en direct avec l'arrivée de Periscope en mars 2015, les différents réseaux sociaux n'ont pas cessé d'innover. En janvier 2016, Periscope a permis à ses membres de diffuser depuis une caméra GoPro, tandis que des professionnels comme des chaînes de télévision ont pu diffuser depuis leur propre équipement (caméra ou sortie vidéo, comme dans une télévision). Facebook a lancé son Live en août 2015, l'assortissant en avril 2016 d'une API disponible aux professionnels, à savoir une interface logicielle pouvant s'intégrer directement dans équipement de l'utilisateur, comme une caméra numérique par exemple.

ironman
27/03/2017, 22h54
Facebook Messenger permet de se géolocaliser en direct.

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Facebook Messenger modifie son système de géolocalisation pour faciliter la vie de ceux qui le veulent.

Afin de rivaliser contre sa concurrence toujours grandissante, Facebook Messenger ajoute régulièrement de nouvelles fonctionnalités. Aujourd’hui, Facebook annonce l’arrivée de la Live Location, un système de géolocalisation amélioré par rapport à celui déjà existant.

Depuis 2015, il est possible de partager des coordonnées GPS avec un ou plusieurs de ses contacts afin de facilement se retrouver ou se donner rendez-vous à un endroit précis. Désormais, cette information serait mise à jour pendant 60 minutes afin de permettre à ses amis de nous suivre à la trace pendant nos déplacements pendant une courte durée.

Une fois ce laps de temps écoulé, la géolocalisation se désactive. Il est toutefois possible de la couper manuellement avant cela. En outre, Facebook précise que l’application n’accède aux données GPS que sur demande de l’utilisateur et ne stocke en aucun cas les données partagées.

Cette fonctionnalité peut être utile dans plusieurs cas, notamment pour signaler à des parents, des amis ou autres colocataires l’avancée de nos déplacements en direction d’un lieu de rencontre ou du domicile, le tout en direct. Cette nouveauté n’est d’ailleurs pas sans rappeler l’option teasée récemment par Google Maps.

ironman
17/04/2017, 21h21
Facebook s'attaque au "revenge porn"


Facebook annonce la mise en place de nouveaux moyens techniques qui empêcheront la circulation d'images intimes partagées sans le consentement de la personne y apparaissant.

Facebook usera de son immense base de données pour identifier des photos trafiquées

Les personnes se permettant de partager des images compromettantes de tiers resteront désormais sur leur faim : Facebook vient d'introduire un moyen qui empêche qu'une image signalée comme du "revenge porn" continue à tourner sur le réseau. Le dispositif concerne à la fois Facebook, Messenger et Instagram. Ainsi, il suffit qu'une image soit signalée sur une de ces plateformes seulement pour qu'elle soit immédiatement enlevée de l'ensemble des applications dans le giron de l'entreprise de Menlo Park.

Pour ce faire, Facebook s'appuie sur le système de "hashes", ces identifiants internes que Facebook assigne à chaque photo. Lorsqu'une nouvelle photo est uploadée, Facebook la compare à celles déjà mises en ligne sur le site. Si la photo est totalement nouvelle, il lui attribue un nouveau hash, en revanche, s'il s'agit d'une réplique d'une photo déjà uploadée auparavant, elle aura le même hash.

Prenons un exemple. Un ex-petit ami en colère contre son ancienne compagne décide de mettre en ligne une photo compromettante de celle-ci. Peu après qu'il a partagé la photo sur sa timeline Facebook, un de ses amis la signale en tant que photo intime partagée sans le consentement de la personne. La photo est immédiatement masquée et n'apparaît plus. L'utilisateur peu scrupuleux peut alors tenter aussi longtemps qu'il veut de la partager avec ses contacts via des messages privées sur Messenger : Facebook saura identifier l'image comme étant la même et bloquer tout envoi.
Vous êtes victime du "revenge porn" ? Adoptez les bons réflexes !

Facebook est soutenu dans cette initiative par l'association américaine Cyber Civil Rights Initiative, née d'une expérience personnelle de sa fondatrice en tant que victime du "revenge porn". Selon un sondage réalisé par l'association en 2013 auprès de 1 606 Américains, 61 % des personnes interrogées ont déjà pris des photos ou tourné des vidéos intimes d'elles-mêmes pour les partager avec quelqu'un d'autre, et 23 % des personnes interrogées ont vu ces photos partagées par leur destinataire par la suite. 90 % des victimes du "revenge porn" étaient des femmes et 95 % avaient moins de 30 ans. Dans 59 % des cas, le prénom et le nom de la victime étaient rendus publics, suivis de près par une capture d'écran de leur profil Facebook ou Twitter (49 %) et leur numéro de téléphone (20 %). 93 % des victimes ont déclaré avoir éprouvé un désarroi émotionnel et 82 % ont constaté des répercussions de cet incident sur leur vie sociale et/ou professionnelle.

Without My Consent, une autre association américaine très active dans ce domaine, recommande aux victimes de rassembler avant tout des preuves pour pouvoir par la suite prouver au tribunal qu'une photo intime a effectivement été partagée par un tiers. Avant de signaler le contenu offensant, l'association conseille de prendre des captures d'écran, de sauvegarder la page en PDF ou de l'imprimer. Il est également important de sauvegarder l'historique des messages avec la personne en question. Enfin, l'association recommande de contacter le réseau social et de lui demander de ne pas supprimer complètement de sa base de données les informations en question. En effet, ces dernières serviront de témoignage d'un tiers lorsque vous engagerez une action en justice et que le juge exigera des preuves de la part du réseau social.

ironman
01/05/2017, 17h48
Facebook veut lutter contre la propagande qui tentent d'utiliser le réseau social pour manipuler l'opinion publique.
Facebook a annoncé qu'il renforçait sa sécurité pour contrer les efforts de gouvernements et d'autres acteurs organisés pour répandre de fausses informations ou manipuler les discussions sur sa plateforme pour des raisons politiques.
La nouvelle initiative dépasse les actions comme le piratage ou les escroqueries financières pour s'attaquer également à "des formes plus subtiles et insidieuses d'abus, y compris des tentatives pour manipuler les discours civiques et tromper les gens", écrit le premier réseau social mondial dans un livre blanc.
Cela rentre dans le cadre des mesures prises par le groupe pour lutter contre les "fausses informations", qu'il avait été accusé d'avoir trop laissé circuler durant la campagne présidentielle américaine, favorisant ainsi la victoire de Donald Trump.
Mais cela vise aussi à contrer les gouvernements et les entités non étatiques qui tentent d'utiliser le réseau social pour manipuler l'opinion publique.
Facebook (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-367362-facebook-devoile-des-projets-de-modes-de-communication-futuristes-semblant-relever-de-la-telepathie.html)indique ainsi que son équipe en charge de la sécurité va cibler ce qu'il appelle des "opérations d'information", visant à "déformer le sentiment politique domestique ou à l'étranger".
Le groupe dit vouloir se concentrer sur trois axes d'action: "la collecte ciblée de données" par les gouvernements qui tentent de localiser des dissidents, "la création de contenus", à savoir la diffusion de fausses informations par l'intermédiaire du réseau, et "la fausse amplification", qui utilise des outils artificiels comme des systèmes robotisés automatisés ("bots") pour promouvoir ou dénigrer une cause ou un groupe de personnes.
Après l'élection présidentielle américaine, Facebook avait affirmé que sa plateforme n'avait pas joué un rôle majeur pour influencer les électeurs.
Dans son livre blanc, il dit toutefois avoir "répondu à plusieurs situations qui, selon notre évaluation, répondaient au modèle des opérations d'information".
"Nous n'avons pas de preuve que des comptes Facebook aient été compromis dans le cadre de cette activité, mais nous avons malgré tout détecté et surveillé ces tentatives, afin de protéger les connexions authentiques qui définissent notre plateforme", poursuit le document.
Facebook dit n'être "pas en mesure d'identifier de manière formelle les acteurs soutenant cette activité", mais ajoute que ses données "ne contredisent pas" les conclusions rendues en janvier par les services du renseignement américains, qui ont accusé la Russie d'avoir cherché à influencer le résultat de l'élection.
Le groupe a publié parallèlement le rapport qu'il publie régulièrement sur les demandes d'informations qu'il reçoit des gouvernements. Celles-ci ont augmenté de 9% au deuxième semestre, pour atteindre 64.279 requêtes, et dans environ la moitié des cas elles s'accompagnaient d'un ordre de justice lui interdisant de prévenir l'utilisateur concerné.

ironman
08/05/2017, 18h36
Facebook TV : après Netflix et Amazon, le réseau social proposerait des séries TV maison.
Facebook s’apprêterait à lancer Facebook TV, une plateforme de création de contenus vidéo. Et comme Netflix ou Amazon Prime vidéo avant lui, le réseau social de Mark Zuckergberg serait en passe de proposer des séries TV maison en partenariat avec des stars d’Hollywood peut-être dès le mois de juin. 24 séries seraient en préparation pour le lancement avec des formats très courts de 10 minutes, mais aussi des séries plus longues avec le « calibre » House of Cards en ligne de mire.
http://img.phonandroid.com/2017/05/facebook-tv-netflix-amazon.jpg

Immense plateforme forte de 2 milliards d’utilisateurs actifs, Facebook s’apprête à lancer Facebook TV, une plateforme de création de contenus courts et longs en partenariat avec « des stars d’Hollywood » comme le rapportent nos confrères de Business Insider. Facebook propose depuis longtemps son alternative à Youtube, sous la forme de vidéos que l’on peut uploader directement sur la plateforme. Mais souhaiterait aller un cran au-delà.



Facebook TV : le réseau social voudrait faire comme Netflix, avec 2 milliards d’utilisateurs en réserveToujours selon le journal, qui cite des « sources proche du dossier », le lancement du service se ferait à la mi-juin. Et pas moins de 24 séries seraient en préparation. Le réseau social chercherait à développer ce service dans deux directions distinctes : une poignée de séries à gros budget d’un côté, « du calibre de House of Cards » ou « Scandal ». Et une multitude de petites séries et autres pastilles web de l’autre. Mark Zuckerberg verrait ce genre de contenus comme une solution de long terme qui pourrait contribuer à retenir les utilisateurs sur le réseau social.
L’une des séries serait en VR (http://www.phonandroid.com/realite-virtuelle-comment-profiter-meilleure-experience-vr-smartphone.html). Conde Nast Entertainment serait en train de produire une sorte de reality show où les personnes se rencontrent en VR avant de se rencontrer dans la vraie vie. Il y aurait également de nombreux contenus centrés sur le public jeune. Ainsi que des contenus sportifs, comme le suggèrent des discussions avec la Major League de Baseball, par exemple.
La date de la mi-juin est évoquée pour le lancement, dont on ne sait pour l’heure, s’il sera mondial. Reste également une autre inconnue : celle de la formule. Impossible de savoir si ces contenus seront gratuits et mélangés au reste des vidéos, ou si Facebook développera une plateforme voire une application dédiée.

ironman
09/05/2017, 21h56
VR : Facebook ferme Story Studio.
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Facebook a décidé de fermer Story Studio, son studio consacré à la production de contenus en Réalité Virtuelle.

Le Studio Oculus n'aura pas fait long feu. Facebook a expliqué dans un communiqué qu’il se concentrera désormais sur le financement et le soutien à des productions externes, investissant 50 millions de dollars dans les contenus qui ne touchent pas le secteur du jeu, indiquant également que certaines de ces expériences pourraient être diffusées par Oculus Studios.

Les membres de l’actuelle équipe de Story Studio pourront soit assumer une nouvelle fonction chez Oculus ou opter pour d’autres activités créatives dans le secteur de la VR.

Story Studio a ouvert ses portes au début de 2015 et a produit un total de trois courts métrages : « Lost », « Henry » et « Dear Angelica ». Les trois restent quelques-uns des morceaux les plus connus du cinéma de Réalité Virtuelle, qui ont même été récompensés d'un Emmy Award, une première dans ce domaine.

ironman
12/05/2017, 18h10
Facebook n’abandonne pas l’idée de vous faire jouer sur Messenger.

Facebook est en train de tester de nouvelles fonctionnalités pour son application Messenger comme de nouveaux onglets ou encore la section « jeux » plus accessible.
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Facebook Messenger a prévu de revoir son interface sous Android. Son but ? Réorganiser d’une part l’écran des contacts grâce à des onglets et de l’autre, remettre en avant l’une des fonctionnalités déjà oubliées de l’application : les jeux.

La principale nouveauté est la réorganisation des onglets. Au lieu d’avoir la ligne des contacts « Actifs » dans vos messages, celle-ci sera disponible dans un tout nouvel onglet. Un troisième onglet sera lui aussi accessible pour isoler les discussions de groupes. Cela est plutôt bienvenu puisque cela permet de voir la totalité de ses contacts sont être interrompu par les barres dédiées aux « Actifs », par exemple.

L’autre changement concerne la section jeux, visible dans la barre de navigation inférieure. Vous pourrez ainsi défier vos amis de façon directement par le biais du bouton situé tout à droite de la barre, une astuce pour rendre la fonction plus attrayante puisque, outre l’effet de surprise procuré à leurs sorties, les Instant Games ont tendance à être oubliés.

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Facebook Messenger a prévu de revoir son interface sous Android. Son but ? Réorganiser d’une part l’écran des contacts grâce à des onglets et de l’autre, remettre en avant l’une des fonctionnalités déjà oubliées de l’application : les jeux.

La principale nouveauté est la réorganisation des onglets. Au lieu d’avoir la ligne des contacts « Actifs » dans vos messages, celle-ci sera disponible dans un tout nouvel onglet. Un troisième onglet sera lui aussi accessible pour isoler les discussions de groupes. Cela est plutôt bienvenu puisque cela permet de voir la totalité de ses contacts sont être interrompu par les barres dédiées aux « Actifs », par exemple.

L’autre changement concerne la section jeux, visible dans la barre de navigation inférieure. Vous pourrez ainsi défier vos amis de façon directement par le biais du bouton situé tout à droite de la barre, une astuce pour rendre la fonction plus attrayante puisque, outre l’effet de surprise procuré à leurs sorties, les Instant Games ont tendance à être oubliés.

Pour le moment, Facebook n’a proposé ce test qu’à quelques utilisateurs. Vous pouvez tenter de devenir testeur et recevoir la mise à jour qui prend en compte ces nouveautés en vous rendant ici, sur le Play Store, ou bien en téléchargeant l’APKMirror.

Entre le paiement entre amis, la géolocalisation et les réactions, Facebook Messenger n’en finit plus de chercher à s’améliorer. La conférence #F8 a été l’occasion pour le réseau social à 1,2 milliard d’utilisateurs de dévoiler son projet de Platform 2.0. qui apportera de nombreux outils à l’application pour les entreprises et les développeurs, mais aussi Chat Extensions qui intégrera une recherche musicale grâce à Spotify et Apple Music.

ironman
14/05/2017, 15h09
Facebook : des emojis pour réagir aux commentaires.28710

Le réseau social avait déjà ajouté cette fonctionnalité à son application Messenger.

Il y a un peu plus d'un an, Facebook ajoutait à son célèbre « J'aime », en forme de pouce en l'air, un « J'adore », un « Triste », un « Grr »... des emojis permettant d'exprimer sa réaction à la publication d'un « ami ». En mars de cette année, le réseau social étendait ces nouvelles possibilités à son application Messenger. Désormais, ce sont les commentaires sous un « post » qui en sont dotés.

Dans un premier temps, seuls les gens connectés via leur ordinateur avaient accès à cette nouvelle fonctionnalité, comme le note le site spécialisé Arobasenet. Les emojis dans les réactions aux commentaires ont finalement aussi été rajouté sur l'application.

Comment faire ?

Comme lorsque les émojis de réactions ont été ajoutées aux publications, il suffit pour les faire apparaître de laisser le curseur (ou son doigt sur un écran de mobile) quelques secondes sur la mention « j'aime » en dessous de chaque commentaire. Apparaissent alors, comme dans l'image ci-dessous, les six emojis disponibles.

ironman
19/05/2017, 17h58
Bruxelles inflige une amende de 110 millions d'euros à Facebook.

Le géant du Net avait transmis des informations erronées à Bruxelles lors du rachat de WhatsApp en 2014.Certaines cachotteries peuvent coûter cher. Jeudi, la Commission européenne a infligé une amende de 110 millions d'euros à Facebook (http://lesechospedia.lesechos.fr/facebook.htm#xtor=SEC-3167) pour lui avoir fourni des renseignements inexacts lors de l'enquête sur le rachat de WhatsApp, une opération à 22 milliards de dollars, validée fin 2014 par le gendarme européen de la concurrence. Le géant américain avait alors affirmé qu'il ne serait « pas en mesure » d'associer les comptes utilisateurs des deux services, ce qui avait apaisé certaines craintes de Bruxelles. Mais, en août 2016, Facebook fait volte-face et modifie la politique de confidentialité de WhatsApp, permettant aux données y étant récoltées d'être utilisées pour cibler les publicités sur les autres applications du groupe, comme Instagram.
Un signal fortDe quoi faire bondir Margrethe Vestager, la commissaire à la Concurrence : fin décembre, elle avait accusé Facebook d'avoir sciemment menti en 2014 et engagé à ce titre la procédure de mise en amende, qui a abouti jeudi. « La Commission a découvert que, contrairement à ce qui figure dans les documents de rachat en 2014, la possibilité technique d'associer automatiquement les comptes des utilisateurs [...] existait déjà à ce moment-là et que les responsables de Facebook le savaient », a répété hier la Commission. Ce nouvel épisode de l'intense bras de fer entre Bruxelles et les géants du Web fait aussi figure d'exemple. « Cette décision envoie un signal fort aux entreprises : elles doivent respecter tous les aspects du règlement sur les concentrations, y compris l'obligation de fournir des informations exactes », a déclaré Margrethe Vestager.
Facebook a encaissé le coup en plaidant la négligence. « Nous avons agi de bonne foi » et « l'erreur que nous avons faite dans les documents fournis en 2014 n'était pas intentionnelle », a réagi Aled Williams, un de ses porte-parole. Facebook ne contestera pas en justice : « L'annonce d'aujourd'hui clôt l'affaire », y explique-t-on. Pour le géant américain, l'essentiel est préservé : Bruxelles a confirmé, comme précisé dès décembre, que cela ne remet pas en cause le feu vert au rachat de WhatsApp. L'amende reste en outre « limitée » quand on sait qu'elle pouvait atteindre jusqu'à 1 % du chiffre d'affaires (https://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_chiffre-daffaires.html#xtor=SEC-3168) mondial de Facebook (27,6 milliards de dollars en 2016).
Le changement de politique de confidentialité de WhatsApp à l'été 2016 avait valu à Facebook les foudres des régulateurs européens et nationaux. L'entreprise a depuis cessé cette pratique, mais reste dans le collimateur pour sa gestion des données personnelles, comme l'a rappelé mardi l'amende de 150.000 euros infligée en France par la CNIL pour n'avoir pas protégé les données des utilisateurs contre une utilisation publicitaire.

ironman
25/05/2017, 17h56
Facebook offre désormais à ses près de deux milliards d'utilisateurs une plus grande variété de sources sur des événements majeurs (http://www.jeanmarcmorandini.com/article-368620-facebook-offre-desormais-a-ses-pres-de-deux-milliards-d-utilisateurs-une-plus-grande-variete-de-sources-sur-des-evenements-majeurs.html).
Facebook a annoncé une mise à jour de sa fonctionnalité des "sujets tendance" pour offrir à ses près de deux milliards d'utilisateurs une plus grande variété de sources sur des événements majeurs.
La nouvelle mise à jour présentera un "déroulé" de sites internet variés, a précisé le réseau social, qui avait été accusé de sélectionner ses sources d'information en mettant en place des "filtres". "Vous pouvez toujours cliquer sur un sujet pour voir quels sont les publications et les articles qui en parlent, mais nous avons redessiné la page pour faciliter la découverte d'autres publications qui ont couvert l'histoire, et ce que vos amis et les personnalités en disent", a ajouté Facebook dans un billet.
"Maintenant quand vous cliquez sur un sujet, vous verrez un déroulé d'histoires d'autres publications sur le même sujet, et vous pourrez les faire défiler". Dans le billet de Facebook, le responsable des projets Ali Ahmadi et le designer John Angelo expliquent que le but est d'aider les gens à "se sentir davantage informés sur ce qui se passe dans leur région".
Il n'y aura pas de "liste pré-établie de publications" et la mise à jour "n'affectera pas la manière dont les sujets sont identifiés", a encore noté Facebook.
Le réseau social avait annoncé début mai avoir mis à jour son algorithme pour limiter le nombre de renvois par ses utilisateurs vers des sites internet "trompeurs" et "de faible qualité", afin de lutter contre les spams et la désinformation. L'an dernier, Facebook avait rendu automatique la publication des "sujets tendance", réduisant la part humaine de cette sélection après avoir été accusé d'avoir omis délibérément des histoires couvertes par des médias conservateurs.
Cette mesure visait à renforcer la lutte contre les fausses informations ("fake news") qu'il avait été accusé d'avoir trop laissé circuler durant la campagne présidentielle américaine, favorisant ainsi la victoire de Donald Trump. Facebook avait conclu n'avoir pas joué de rôle majeur dans la décision des électeurs américains.
Les services américains de renseignement accusent la Russie d'ingérence dans cette élection en piratant le parti démocrate et en menant des campagnes de désinformation notamment sur les réseaux sociaux.

luchugsat
26/05/2017, 13h01
Facebook permet maintenant de faire des Live à deux

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Les journalistes pourront désormais faire des interviews en direct et à distance en utilisant le Live de Facebook.

En effet, ce dernier vient d'annoncer une nouvelle fonctionnalité qui permet d'inviter une autre personne.

Cette fonctionnalité s'appelle Live With. Elle était déjà accessible à quelques célébrités, et devient aujourd'hui disponible pour tous les profils et toutes les pages Facebook, à condition d'utiliser l'application iOS du réseau social (aucune indication n'est donnée concernant la version Android).

Pour inviter quelqu'un à partager l'écran sur la diffusion en direct, il suffit de choisir la personne dans l'audience. Si cette personne a commenté la diffusion, on peut aussi appuyer sur ce commentaire pour l'inviter.

Lorsqu'elle reçoit l'invitation, elle peut accepter ou refuser. Si la personne accepte, sa vidéo apparaît sur une vignette en mode portrait, ou bien côte à côte si c'est le mode paysage qui est utilisé.

En plus des médias, qui vont sûrement exploiter cette fonctionnalité, les simples utilisateurs vont aussi trouver de nombreux usages.

Faire un tutoriel avec capture d'écran vidéo sur Facebook Live
**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**

Des commentaires privés

En plus de cette nouvelle fonctionnalité qui permet de faire des Live à deux, Facebook est aussi en train d'en déployer une autre qui permet aux utilisateurs de commenter une diffusion en privé avec des amis.

Comme les vidéos en direct génèrent beaucoup de commentaires, Facebook a imaginé une fonctionnalité qui permet de créer une sorte de bulle privée dans laquelle seules les personnes qu'on invite peuvent commenter et voir les commentaires. Cela permet d'interagir ensemble sur une vidéo en direct sans avoir à commenter publiquement.

Facebook teste actuellement cette fonctionnalité dans quelques pays, mais il compte la rendre disponible partout dès cet été.

ironman
27/06/2017, 17h32
Bientôt 2 milliards d'utilisateurs sur Facebook


C'est lors d'une récente keynote que Mark Zuckerberg lui-même a annoncé que Facebook se rapprochait rapidement des 2 milliards d'utilisateurs. Probablement cette semaine, ou début de la prochaine. Rappelons que les prévisions de croissance du fondateur de Facebook vont même plus loin.

http://www.zdar.net/wp/wp-content/uploads/2017/06/mark-zuckerberg-2017.jpg
L'an dernier, en marge de l'annonce des résultats financiers, Mark Zuckerberg avait annoncer aux médias une prévisions de 5 milliards d'utilisateurs en 2030. L'ONU table de son côté sur une population mondiale comptant 8,5 milliards d'individus en 2030. Cela signifierai que le réseau social serait alors utilisé par plus d'un terrien sur deux, et ce dans moins de 15 ans.
Des chiffres vertigineux, même s'ils sont encore hypothétiques. Reste que Facebook, créé en février 2004, avait dépassé le cap du milliard d'utilisateurs mensuels actifs en novembre 2012. Il lui aura donc fallu quasi moitié moins de temps pour doubler ce nombre.
Ce nouveau cap va de pair avec la nouvelle mission que se donne l'entreprise : « It's not enough to simply connect the world; we must also work to bring the world closer together », qu'on peut interpréter comme une mission philanthropique visant à réduire les inégalités sociales.
A cette envolée philosophique de son créateur, s'ajoute par ailleurs des fonctionnalités très concrètes en faveur des Groupes, cette très puissante fonctionnalités de Facebook souvent occultée par les Pages, qui captent toute l'attention marketing des entreprises sur la plateforme.


Néanmoins, il est intéressant d'observer la transformation du discours de Mark Zuckerberg, devant au fil du temps de plus en plus "politique" : « In the next generation, our greatest opportunities and challenges we can only take on together -- ending poverty, curing diseases, stopping climate change, spreading freedom and tolerance, stopping violence" (...) "No single group or even nation can address these issues alone. That's why Facebook is turning its emphasis to building meaningful communities. This is our challenge. (...) And if enough of us work to build community and bring people together, then we just might change the world ».
Si, énoncée comme telle, la vision peut sembler idéaliste - et presque naïve - Facebook s'avère plus qu'armé pour s'inscrire dans la durée, devant peut être la première société internet aussi solide et aussi dominante. Et si Mark Zuckerberg n'est pour l'heure ni Président, ni même candidat à quelque mandat que ce soit, sa société enregistre au dernier pointage (premier trimestre 2017) un chiffre d'affaires de 8 milliards d'euros et 1,936 milliards d'utilisateurs mensuels actifs (http://www.zdnet.fr/actualites/mau-mon-amour-39784043.htm). Et bientôt 2, donc.







Facebook prépare un anti-Netflix

Le réseau social devrait lancer ses premiers programmes vidéo de qualité broadcast d’ici la fin de l’été. Des séries et des reality show ciblant les adolescents et les jeunes adultes.

Pas de politique, de nudité, d’actualité ou de langage grossier. Telles seraient les consignes de Facebook imposées aux producteurs avec qui la plateforme négocie actuellement des commandes de programmes exclusifs. Le réseau social déploie depuis le début du mois une application (http://www.01net.com/actualites/facebook-debarque-dans-vos-televiseurs-1181249.html)permettant de streamer sur une télévision les contenus vidéos de son site. L’étape logique suivante sera la diffusion d’émissions et de fictions de qualité TV d’ici la fin de l’été, comme le rapporte le Wall Street Journal (https://www.wsj.com/articles/facebook-is-going-hollywood-seeking-scripted-tv-programming-1498388401).
Facebook serait prêt à débourser trois millions de dollars par épisode, soit le niveau d’une série comme Breaking Bad. Mais on imagine mal le réseau social investir dans l’histoire d’un professeur de chimie se mettant à la fabrication et au deal de méthamphétamine vu son crédo plutôt consensuel.

http://img.bfmtv.com/c/1186/626/93c/f706acc86a3000e33553221db8f11.jpeg

Sport, téléréalité et séries courtes

Si Facebook refuse pour le moment de commenter en détail ses projets, il a tout de même précisé au Wall Street Journal qu’il souhaitait développer des rendez-vous avec du potentiel pour bâtir des communautés. Le sport, la comédie et la téléréalité font partie de ses axes prioritaires. Avec pour modèle la chaîne Freeform, qui appartient au groupe Disney-ABC Television Group, et qui cible les adolescents et les jeunes adultes. Facebook espère donc toucher les 13-34 ans et particulièrement le créneau des 17-30 ans.
La plateforme aurait déjà acheté le jeu Last State Standing, un challenge sportif de candidats provenant de tous les Etats du pays, et la série Strangers, centrée sur une jeune femme louant sur AirBnB la pièce libre de son logement à Los Angeles.
La société de Mark Zuckerberg rechercherait aussi du contenu court d’une dizaine de minutes. Dans ce domaine, deux applications ont déjà fait leur preuve en France avec Studio + ou encore BlackPills (http://www.01net.com/actualites/on-a-teste-blackpills-le-service-video-qui-veut-rendre-ses-abonnes-accros-1162695.html). L'originalité de Facebook serait de rétribuer les auteurs grâce au revenus publicitaires et avec un minimum garanti de 5000 dollars par épisode. Buzzfeed ferait partie des partenaires retenus pour travailler sur ce type de format.
A terme, Facebook ambitionnerait de ne diffuser que ses propres productions d'une durée maximum de 30 minutes par épisode ou émission. Du contenu court à picorer, mais pas en libre service comme sur Netflix. Pour tenir en haleine le public, les nouveautés seraient égrenées dans le temps. Dernière différence avec les plateformes de SVoD traditionnelles, le réseau social promet d'être totalement transparent sur ses chiffres d'audience. Mais il compte aussi insérer de la publicité dans tous ses programmes. La rançon de la gratuité.

ironman
04/09/2017, 18h54
Facebook : comment supprimer les applications et jeux liés à votre compte
Bon nombre d’applications ou jeux divers sont souvent affiliés à votre compte Facebook et disposent en l’occurrence de cette faculté à pouvoir accéder à vos données personnelles. Le mieux est alors de supprimer ces dispositifs de façon à préserver ses informations et ne plus être dérangé par certaines notifications. Voici comment faire pour s’en débarrasser.

Facebook est sans l’ombre d’un doute le réseau social n°1 où il est possible d’associer une multitude d’applications et de jeux à son compte personnel. Seules quelques secondes suffisent pour lier ces dispositifs à son profil mais qui restent toutefois « sournois » dans le sens où ils peuvent accéder sans mal à nos données personnelles.
Les informations nous concernant sont alors facilement à la portée de ces applications, qu’il est préférable de supprimer de façon à ces que données restent strictement confidentielles.
Facebook : comment se débarrasser des applications et des jeuxComment faire alors pour que ces systèmes n’aient plus accès à notre compte ? C’est ce que nous vous expliquons en détail par le biais des explications et des images ci-dessous, qui vous indiquent la démarche à suivre pour se débarrasser à 100% des applications et jeux ancrés dans son compte Facebook.


Ouvrez votre navigateur web (depuis un PC fixe ou portable)
Allez sur Facebook et connectez-vous à votre compte
Cliquez sur la petite flèche située en haut à droite de la barre supérieure (encadré bleu)

http://static.papergeek.fr/2017/08/facebook-page-accueil.jpg


Cliquez sur Paramètres

http://static.papergeek.fr/2017/08/facebook-onglet-parametres.jpg


Dirigez-vous ensuite vers l’onglet Applications (colonne de gauche)

http://static.papergeek.fr/2017/08/facebook-colonne-applications.jpg
Apparaît alors à l’écran une sorte de grille où figurent l’ensemble des applications et jeux associés à votre compte Facebook. Il se peut que toutes ne soient pas visibles, suffit pour cela de cliquer sur Afficher tout pour qu’elles le soient sur la page principale.
http://static.papergeek.fr/2017/08/facebook-suppression-application.jpg
Déplacez ensuite votre souris sur l’application à supprimer. Vous verrez alors apparaître un petit crayon et un X de couleur gris


Cliquez sur le X pour supprimer totalement l’application et/ou le jeu sélectionné
Cliquez enfin sur Supprimer pour finaliser le processus de suppression

http://static.papergeek.fr/2017/08/facebook-finalisation-suppression.jpg
Pour ce qui est des personnes qui utilisent Facebook depuis leur tablette tactile, il se peut cependant qu’elles ne puissent pas survoler l’application de façon à faire apparaître l’icône X. Dans ce cas, ces dernières ont juste à cliquer sur le logo du dispositif à supprimer pour que le crayon et la petite croix s’affichent. Reste alors plus qu’à cliquer sur Supprimer pour terminer la manipulation.
En suivant ces démarches à la lettre, vous devriez alors être facilement en mesure de faire du ménage sur votre compte Facebook et ainsi dire adieu aux applications et jeux qui s’emparent de vos données personnelles. C’est vraiment très simple alors n’attendez plus et foncez vous en débarrasser !

ironman
11/09/2017, 17h02
L'Espagne inflige une amende de 1,2 million d'euros à Facebook pour atteinte à la protection des données.
L'Agence espagnole de protection des données a infligé à Facebook une amende de 1,2 million d'euros pour avoir collecté des informations sur les usagers sans avoir recueilli clairement leur consentement. "L'agence déclare l'existence de deux infractions graves et d'une très grave relevant de l'atteinte à la loi sur la protection des données et impose à Facebook une amende totale de 1,2 million d'euros", indique-t-elle dans un communiqué. Facebook a deux mois pour contester l'amende.Selon cet organisme dépendant de l'Etat espagnol, Facebook collecte des données "sur l'idéologie, le sexe, les croyances religieuses, les goûts personnels et la navigation (sur Internet) sans informer de manière claire" les internautes sur l'usage qui en sera fait.Selon l'agence, Facebook s'en sert "à des fins publicitaires, entre autres, sans obtenir le consentement exprès des usagers", comme c'est prévu par la loi sur la protection des données, ce qui constitue une "infraction très grave".L'enquête de cet organisme a aussi permis de constater que le réseau social n'informe pas ses usagers de manière "exhaustive et claire" sur "les données qu'il va collecter et le traitement qui en sera fait, se bornant à donner quelques exemples".Ainsi Facebook tire des informations des interactions entre usagers et sur des sites tiers sans qu'ils sachent ce que le réseau social va en faire.C'est le cas quand ils visitent des pages hors Facebook offrant la possibilité de cocher "cela me plait", ou, quand, sans être membres, ils se rendent sur la page d'un membre. Enfin, selon l'agence, Facebook n'élimine pas les données collectées, même si la personne a fermé son compte et demande que ses données soient effacées. Elle les conserve pendant plus de 17 mois grâce à un "cookie".

ironman
12/09/2017, 18h34
Regarder des vidéos sur Facebook n'épuisera plus votre forfait mobile
Facebook teste le préchargement des vidéos en Wi-Fi afin de préserver le forfait data des membres du réseau social et rendre leur visionnage plus fluide.Regarder des vidéos sur un smartphone peut consomme énormément de data. Aussi, pour que vous puissiez économiser votre forfait, Facebook teste une nouvelle fonction baptisée Instant Vidéo.
L’existence de cette fonction, d’abord aperçue dans une capture publiée sur Twitter, a été confirmée par le réseau social au site américain Techcrunch (https://techcrunch.com/2017/09/11/facebook-instant-video/). Elle est actuellement testée auprès d’une poignée d’utilisateurs disposant d’un appareil sous Android, a-t-il ajouté.


La fonction charge les vidéos Facebook sur le smartphone de l’utilisateur lorsqu’il est connecté en Wi-Fi afin qu’il puisse les regarder plus tard sans que cela ne grève son forfait data ou lorsqu’il ne bénéficie pas d’une bonne connexion. Pour reconnaître les vidéos préchargées, l’utilisateur verra apparaître une icône représentant un petit éclair.
Cette fonction rappelle les Instant Articles (http://www.01net.com/actualites/avec-instant-articles-facebook-se-lance-dans-lactualite-sur-mobile-654506.html), eux aussi identifiés par un éclair blanc sur fond bleu. Mais si la fonction Instant Articles est conçue pour accélérer le chargement des articles, la nouvelle venue a pour objectif de faire tomber la barrière du coût lié au visionnage d’une vidéo sur un smartphone.
On le sait, Facebook a décidé de mettre l’accent sur la vidéo et cette nouvelle fonction entre parfaitement dans ce cadre. Elle permet d’améliorer l’expérience utilisateur, qui devrait du coup regarder plus de vidéos sur son mobile, d’autant qu’il saura que cela ne grève pas son forfait. Et comme les interactions sur les vidéos sont en hausse, Facebook a tout intérêt à ce qu’elles soient regardées en masse. Cette fonction pourrait aussi permettre à la plate-forme Watch (http://www.01net.com/actualites/avec-watch-facebook-vient-marcher-sur-les-plates-bandes-de-youtube-1233607.html) lancée cet été de s’installer plus facilement dans les usages.

ironman
15/09/2017, 17h34
vous pourrez bientôt mettre les bavards en sourdine
http://img.bfmtv.com/c/630/420/fec/a911c11c5e1e408c1fe627176234b.jpeg

Le réseau social teste une fonction qui empêche temporairement les mises à jour de certains amis ou pages d'apparaître dans votre fil d'actualité.
Marre des photos de vacances que publie non-stop un de vos amis ? Fatigué de voir des message d’une page financière que vous avez un jour décidé de suivre ? Facebook teste actuellement une fonction qui devrait vous plaire : un bouton Snooze pour mettre un ami, un groupe ou une Page en sourdine, révèle le site **Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**

La fonction apparaît lorsque l’on clique sur les trois points en haut à droite d’un post. Elle s’ajoute à la possibilité de ne plus suivre une Page ou une personne. En cliquant sur ce lien, on peut alors choisir la durée de la mise en sourdine : 24 heures, 7 ou 30 jours.
http://img.bfmtv.com/c/0/708/ea3/afa5fb6db2115ec12df0ee489fa9a.jpegTechCrunch -Ce bouton permet aux membres du réseau social « d’avoir plus de contrôle sur leur fil d’actualités », a confirmé Facebook au site américain. Ce n’est pas la première fois que la firme de Menlo Park essaye de donner la possibilité à ses membres d’agir sur ce qu’il voit sur leur fil.
Ainsi en 2012, il proposait une fonction « See less » (en voir moins) qui permettait de déterminer les amis dont on souhaitait voir moins de messages. Deux ans plus tard, le réseau social abandonnait cette fonction et la remplaçait par le bouton Ne plus suivre (http://www.01net.com/actualites/facebook-une-option-pour-limiter-les-publications-des-amis-qui-vous-spamment-631559.html) que l’on connaît. Celui-ci permet de ne plus voir de messages d’une personne sans pour autant ne plus être ami avec elle.
Cette nouvelle fonction permet donc de diminuer l’afflux de messages d’une personne ou page très prolixe sur Facebook. Si elle n’aura que peu d’influence sur la fréquence des posts d’un ami, elle va avoir un double effet sur les pages et groupes. Elle devrait diminuer le risque que des personnes cessent de les suivre mais si elles veulent éviter d’être mises sur la touche, elles devront aussi réfléchir au bien-fondé de leurs publications…

ironman
27/09/2017, 17h08
Facebook, Youtube, Instagram : les députés votent l’obligation de déclarer ses identifiants sur les réseaux sociaux
Facebook, Youtube, Twitter, Instagram… au nom de la lutte contre le terrorisme, un juge pourra désormais obliger une personne à déclarer l’ensemble de ses identifiants sur les réseaux sociaux auprès des autorités administratives. Les députés viennent de voter tard dans la nuit du mardi 26 septembre l’article 3 du projet de loi sur la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme, contenant cette disposition polémique qui avait pourtant été rejetée par le Sénat.

http://static.papergeek.fr/2017/09/assemblee-nationale.jpg (http://static.papergeek.fr/2017/09/assemblee-nationale.jpg)
Si vous êtes suspecté de terrorisme, vous pourrez désormais être forcé par un juge à déclarer l’ensemble de vos identifiants électroniques, et plus particulièrement ceux que vous utilisez sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Youtube, Twitter, ou Instagram. Cette mesure absente de l’Etat d’urgence entre dans le droit commun et complète des mesures tels que le port du bracelet électronique ou l’obligation de pointer au commissariat. Elle ne concerne que l’identifiant, et pas le mot de passe.
Concrètement l’obligation concerne tous les « identifiants techniques de tout moyen de communication électronique dont elle dispose ou qu’elle utilise« , et tout manquement sera passible de 45.000 euros d’amende et trois ans de prison, même en cas d’oubli. La mesure ne pourra s’appliquer qu’à des personnes « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace d’une particulière gravité pour la sécurité et l’ordre publics« .
Les députés votent l’obligation de déclarer ses identifiants Facebook, Youtube ou encore InstagramIl faut en prime démontrer que la personne est en lien « de manière habituelle avec des personnes ou des organisations incitant, facilitant ou participant à des actes de terrorisme » et montrant un soutient ou ayant adhéré « à des thèses incitant à la commission d’actes de terrorisme ou faisant l’apologie de tels actes« . De fait le vote de cette disposition est une demi-surprise : les sénateurs l’avaient rejetée en première lecture.
Mais la disposition a été réintroduite à l’Assemblée, dominée par des députésLa République en Marche. Des députés de la Gauche démocrate et républicaine ont déposé un amendement pour tenter de retirer la disposition du texte final – sans succès. Selon eux cette disposition est contraire au « respect de la vie privée, secret des correspondances et droits de la défense« . Le gouvernement défend de son côté une mesure qui doit aider les services de renseignement.

ironman
02/10/2017, 16h51
Facebook teste l'identification faciale pour récupérer un compte.
Les usurpations de comptes sont désormais monnaie courante sur Facebook. Pour lutter contre ce fléau, le roi des réseaux sociaux propose diverses protections permettant à un membre légitime de récupérer le contrôle de sa page, notamment à travers son numéro de téléphone.


http://www.zdnet.fr/i/edit/ne/2017/09/FaceID-technique-620.jpg

Mais le géant souhaiterait proposer une brique d'authentification plus forte via la biométrie. Ainsi, on apprend que Facebook est en train de plancher sur un outil de reconnaissance faciale qui permettra de valider la légitimité d'un utilisateur.
La fonction a été découverte par le chercheur Devesh Logendran, publiée par The Next Web et confirmée par la firme (https://techcrunch.com/2017/09/29/facebook-face-id/) qui évoque des tests en cours. "Nous sommes en train de tester une nouvelle fonctionnalité pour les gens qui veulent prouver rapidement et facilement la propriété de leur compte dans le cadre d’un processus de récupération", indique un porte-parole de Facebook.


Il s'agit donc bien d'un nouvel outil dans le processus de récupération et non pas d'une fonction d'authentification au compte. Selon les observations du chercheur, Facebook demandera à l'utilisateur de scanner son visage avec l'appareil photo du smartphone, le réseau social se chargeant ensuite de comparer ce cliché avec les photos publiées sur le compte de l'utilisateur. En cas de concordance, la récupération est autorisée. Pour se couvrir de tout espionnage, l'utilisateur devra donner son consentement en cochant une option autorisant le réseau social à fouiller dans les photos et les vidéos associées au compte.
Aucun calendrier de déploiement n'a été donné, Facebook voulant d'abord collecter les retours des testeurs. La principale question concerne la robustesse du dispositif : on se souvient que la reconnaissance faciale du S8 et du Note 8 (http://www.zdnet.fr/actualites/samsung-galaxy-note-8-la-reconnaissance-faciale-volontiers-abusee-39856882.htm)de Samsung ont été leurrés avec une simple photo. FaceID (http://www.zdnet.fr/actualites/securise-face-id-la-reponse-d-apple-aux-questions-qui-taraudent-39857948.htm) d'Apple semble plus perfectionné mais rien ne dit qu'il résistera aux assauts des hackers.

ironman
13/10/2017, 21h12
Facebook permet désormais de commander à manger depuis l’application.
Facebook annonce une nouvelle fonctionnalité permettant de commander à manger depuis son application mobile ou le site web. Les utilisateurs pourront se faire livrer ou réserver une commande à emporter dans divers restaurants grâce à des partenariats noués par le réseau social avec des services comme GrubHub, Delivery.com, DoorDash, ChowNow, Zuppler, EatStreet, Slice, et Olo.
http://img.phonandroid.com/2017/10/facebook-livraison-nourriture.jpg

Dans la section Explorer de Facebook, un nouveau bouton Order Food (commander à manger) est accessible dès à présent pour les utilisateurs américains. Il suffit ensuite de choisir un restaurant local pris en charge par l’un des services listés ci-dessus, puis de presser le bouton Start Order (commencer la commande). Si un restaurant est pris en charge par plus d’un service partenaire, l’utilisateur peut choisir celui qu’il préfère. Un navigateur va ensuite apparaître au sein de l’application Facebook pour permettre de naviguer sur les sites de ces services et de passer commande.
De fait, la commande ne s’effectue pas réellement depuis Facebook. Le réseau social permet uniquement de choisir un restaurant de de sélectionner un service de livraison. Concrètement, Facebook se contente d’ajouter un navigateur intégré à l’application pour que les utilisateurs puissent commander à manger sans quitter la plateforme. Ce système n’est donc vraiment utile que pour l’application mobile. Sur PC, il suffit d’ouvrir un nouvel onglet pour se rendre sur le site d’un service de livraison, ce qui ne semble pas suffisamment contraignant pour justifier l’apparition de cette fonctionnalité.



Facebook : une nouvelle option pour commander à manger sans quitter le réseau socialSelon Facebook, cette nouvelle fonctionnalité est en cours de test depuis 2016. Suite aux retours positifs des utilisateurs, la firme a décidé de déployer cette nouvelle option partout aux Etats-Unis sur iOS, Android et PC. En effet, d’après Alex Himel, vice-président de Facebook, de nombreux utilisateurs se servent déjà de Facebook pour naviguer parmi les différents restaurants de leur ville et décider ce qu’ils vont commander à manger. Ce nouveau système va simplifier le processus.
Pour l’entreprise, l’intérêt est évident. En permettant aux utilisateurs de rester sur l’application, Facebook s’assure que ses 2 milliards d’usagers (http://www.phonandroid.com/facebook-vient-de-passer-barre-symbolique-2-milliards-utilisateurs.html) continueront pour la plupart à naviguer sur le réseau en attendant la livraison, et pourquoi pas pendant qu’ils mangent. Une nouvelle méthode de Facebook pour monopoliser votre attention (http://www.phonandroid.com/facebook-monopolise-top-5-applications-android-plus-telechargees.html). Ce système va aussi permettre à la firme de concurrencer Google dans le domaine de la livraison de nourriture (http://www.phonandroid.com/google-veut-maintenant-vous-livrer-votre-nourriture.html). On ignore pour l’instant si cette nouvelle fonctionnalité sera lancée en France, en partenariat avec des services comme Deliveroo, Allo Resto, Tok tok tok ou Foodora. Seriez-vous intéressés par cette fonctionnalité ?

ironman
19/10/2017, 18h15
des statuts qui s’auto-détruisent bientôt disponibles
Facebook est en cours de test d’une nouvelle fonctionnalité permettant de créer des statuts à durée de vie temporaire, qui s’auto-détruisent au bout d’un certain temps donné. Il s’agit-là pour le réseau social de donner une nouvelle vie à ses statuts délaissés tout en surfant sur la vague du temporaire dont Snapchat est très friand.
http://img.phonandroid.com/2017/09/facebook.jpg

Alors que les utilisateurs convergent de plus en plus vers la notion de logiciels en tant que services constants, les réseaux sociaux se battent violemment et cruellement entre eux afin de réussir à garder leurs communautés… qui garantissent évidemment leurs revenus, les investisseurs et publicitaires se tournant vers eux ne cherchant qu’un nombre suffisant d’espace de cerveau disponible.
Problème que les utilisateurs sont très volatiles, faisant que de nouveaux concurrents font vite peur aux mieux installés. C’est le cas de Snapchat, l’application préférée des jeunes (http://www.phonandroid.com/snapchat-top-5-trucs-astuces-mieux-utiliser-lapplication.html) pour son côté temporaire, qui menace énormément les plates-bandes de Facebook. Ce dernier s’inspire une nouvelle fois de la mentalité de ce concurrent.


Facebook développe des statuts temporairesPour redonner un coup de boost à ses statuts textuels, de plus en plus abandonnés sur la plateforme, le réseau social teste actuellement sur certains comptes la possibilité de créer des statuts temporaires. Le principe est simple, et probablement exactement comme vous l’imaginez : vous disposez de 101 caractères pour écrire un statut qui disparaîtra au bout d’un temps donné.
Vous pouvez bien évidemment choisir la durée de ce statut, et si celui-ci va apparaître sur le fil d’actualité de vos amis ou non. Le but est de revenir à des statuts proches des débuts de Facebook (http://www.phonandroid.com/facebook-top-astuces-connaitre-absolument.html), tout autant que de surfer sur la vague de la temporalité des posts pour réussir à faire revenir les jeunes sur la plateforme.
Il n’est pas dit que cela fonctionnera toutefois. Même Twitter a revu sa limite de caractères (http://www.phonandroid.com/twitter-brise-limites-passe-tweets-280-caracteres.html), tandis que le format texte ne semble plus vraiment attiré les faveurs des jeunes plus habitués à partager des photos et des vidéos désormais. La fonctionnalité, en cours de test, ne sera pas déployée globalement avant un certain temps toutefois.

ironman
07/11/2017, 19h15
Facebook recense plus de 260 millions de faux comptes et doublons

Facebook revendique plus de 2 milliards d’utilisateurs actifs mensuels, mais le réseau social fait face à une recrudescence de comptes dupliqués et faux. Un problème majeur pour Facebook et Mark Zuckerberg qui ont fait de la lutte contre les fakes news et le clickbait une priorité.

Nous évoquions il y a quelques jours les résultats du troisième trimestre 2017 du géant américain Facebook. Le réseau social peut avoir le sourire, tous les signaux sont au vert sur le plan financier et le nombre d’utilisateurs actifs progresse. Facebook estime que 2,072 milliards d’utilisateurs se connectent à Facebook chaque mois (contre 2,01 milliards au deuxième trimestre 2017) et que 1,368 milliard d’utilisateurs sont actifs chaque jour.

12% des profils sont faux

Des chiffres qui ont de quoi donner le tournis, mais le réseau social de Mark Zuckerberg doit aussi faire face à une augmentation du nombre de « Fake Accounts », des profils dupliqués ou faux. Selon Facebook, 10% des comptes, soit 200 millions, sont des doublons et 60 millions de comptes sont faux (2-3 %).

Cette progression, on est ici passé de 6% à 10% concernant les profils dupliqués et de 1% à 2-3% concernant le nombre de faux comptes, s’explique par la mise en place d’une « nouvelle méthodologie » qui inclut de « meilleurs signaux » sur lequel Facebook peut s’appuyer.

Avec 200 millions, les « Fake Accounts » (faux comptes) sont le troisième pays le plus représenté sur Facebook (et le 7e pays le plus peuplé du monde), derrière l’Inde et les États-Unis, comme le signale Jason Kint (CEO de Digital Content Next).

Un problème de taille pour Facebook, mais aussi pour Twitter ou Google, comme le révèle le New York Times. Le célèbre média américain reprend une étude de Zachary Elwood et prend l’exemple de Keven S. Eversley, un faux compte qui diffuse chaque jour des informations « clickbait ».

Ces faux comptes sont notamment utilisés pour la diffusion massive de fake news. Le réseau social a été pointé du doigt lors de la campagne présidentielle américaine pour avoir permis la propagation d’informations délibérément fausses ou truquées. Facebook a récemment été entendu au Sénat avec d’autres géants du web (Google et Twitter) au sujet de publicités soupçonnées d’avoir été payées par la Russie pour influencer l’opinion publique. Comme l’explique Le Monde, le « Congrès américain et un procureur spécial enquêtent sur une possible ingérence russe dans la dernière élection présidentielle américaine, qui aurait favorisé une victoire de Donald Trump ».

Facebook fait-il le maximum pour lutter contre les faux profils et les fakes news ?

Pour le NYT et Jonathan L. Zittrain, professeur de droit de l’Internet à Havard, Facebook est réticent à l’idée de supprimer les faux comptes ainsi que les contenus trompeurs en raison de son modèle économique. En effet, ce type de contenu à vocation fortement virale permet de gagner des utilisateurs, de les fidéliser, et de faire progresser les recettes publicitaires.

De son côté, Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, a expliqué que « protéger notre communauté est plus important que maximiser nos profits ». Le réseau social dit avoir fait de la lutte contre les fake news sa priorité et s’est engagé à doubler les effectifs dédiés à la modération.

ironman
09/11/2017, 15h22
Facebook Messenger : comment envoyer de l’argent à vos amis

Facebook Messenger permet désormais d’envoyer de l’argent à ses amis directement dans l’application mobile. La fonctionnalité était déjà disponible aux États-Unis depuis deux ans. Elle l’est désormais en France. Le réseau social a annoncé que le déploiement a démarré le 7 novembre. Il le se fera progressivement dans les 4 à 6 prochaines semaines. Comment fonctionne l’envoi et la réception d’argent via Facebook Messenger ?



C’est une petite révolution. Facebook a lancé en France son service de transfert d’argent entre particuliers. Le réseau social compte désormais plus d’1,3 milliard d’utilisateurs dans le monde. Presque tout le monde utilise l’application de messagerie Facebook Messenger. Emprunter ou rembourser une petite somme à un ami n’aura jamais été aussi facile. Le gros avantage du service comparativement aux concurrents comme PayPal est que les transactions sont gratuites, c’est à dire sans frais sous-jacents.Cette gratuité des transferts, les utilisateurs d’Orange Bank, la nouvelle banque 100 % mobile (http://www.papergeek.fr/orange-bank-tout-savoir-banque-mobile-52731), y ont également droit. Comme souvent, nos amis américains étaient les premiers à pouvoir profiter de cette fonctionnalité. Il leur était en effet possible d’envoyer de l’argent via de Facebook Messenger depuis plus de deux ans. Le déploiement en France a débuté le mardi 7 novembre 2017 et s’achèvera dans les 4 à 6 semaines à venir.Facebook Messenger : comment envoyer de l’argent à ses contacts

Le système d’envoi d’argent avec Facebook Messenger est simple à utiliser. Dès que vous avez l’option, il suffit de :

Sélectionner l’ami qui doit bénéficier du transfert et d’appuyer sur l’icône « Plus (+)» dans la zone de composition du message
Au niveau du menu qui s’ouvre, cliquer sur l’option. « Envoyer de l’argent »

http://static.papergeek.fr/2017/11/envoyer-argent.jpg

Lors de la première utilisation de cette fonctionnalité, l’application demande qu’un code secret soit configuré et que les informations bancaires soient saisies (les cartes Visa et Mastercard sont prises en charge). Il suffit ensuite de saisir le montant souhaité, puis d’envoyer la somme.http://static.papergeek.fr/2017/11/payer.jpg

Il est important de préciser que l’utilisateur ne peut envoyer plus de 500 euros par transaction, et il existe un plafond mensuel s’élevant à 1500 euros. Autrement dit, il n’est pas possible d’envoyer ou de recevoir plus de 1500 euros par mois via Facebook Messenger. Le réseau social a par ailleurs mis toutes les chances de son côté pour rendre l’usage le viral possible. Vous pouvez envoyer de l’argent à un ami même s’il n’a jamais utilisé la fonctionnalité ou renseigné ses informations bancaires. Un message l’invitera à le faire dès réception de la somme.Par ailleurs, étant donné que l’argent est en réalité envoyé par virement de banque à banque, vous vous dites forcément que des frais supplémentaires devraient être facturés. Mais comme mentionné plus haut, les transactions sont gratuites. Facebook a en effet annoncé qu’il prenait en charge tous les frais de virement.C’est une petite révolution. Facebook a lancé en France son service de transfert d’argent entre particuliers. Le réseau social compte désormais plus d’1,3 milliard d’utilisateurs dans le monde. Presque tout le monde utilise l’application de messagerie Facebook Messenger. Emprunter ou rembourser une petite somme à un ami n’aura jamais été aussi facile. Le gros avantage du service comparativement aux concurrents comme PayPal est que les transactions sont gratuites, c’est à dire sans frais sous-jacents.Cette gratuité des transferts, les utilisateurs d’Orange Bank, la nouvelle banque 100 % mobile (http://www.papergeek.fr/orange-bank-tout-savoir-banque-mobile-52731), y ont également droit. Comme souvent, nos amis américains étaient les premiers à pouvoir profiter de cette fonctionnalité. Il leur était en effet possible d’envoyer de l’argent via de Facebook Messenger depuis plus de deux ans. Le déploiement en France a débuté le mardi 7 novembre 2017 et s’achèvera dans les 4 à 6 semaines à venir.Facebook Messenger : comment envoyer de l’argent à ses contacts

Le système d’envoi d’argent avec Facebook Messenger est simple à utiliser. Dès que vous avez l’option, il suffit de :

Sélectionner l’ami qui doit bénéficier du transfert et d’appuyer sur l’icône « Plus (+)» dans la zone de composition du message
Au niveau du menu qui s’ouvre, cliquer sur l’option. « Envoyer de l’argent »

http://static.papergeek.fr/2017/11/envoyer-argent.jpg

Lors de la première utilisation de cette fonctionnalité, l’application demande qu’un code secret soit configuré et que les informations bancaires soient saisies (les cartes Visa et Mastercard sont prises en charge). Il suffit ensuite de saisir le montant souhaité, puis d’envoyer la somme.http://static.papergeek.fr/2017/11/payer.jpg

Il est important de préciser que l’utilisateur ne peut envoyer plus de 500 euros par transaction, et il existe un plafond mensuel s’élevant à 1500 euros. Autrement dit, il n’est pas possible d’envoyer ou de recevoir plus de 1500 euros par mois via Facebook Messenger. Le réseau social a par ailleurs mis toutes les chances de son côté pour rendre l’usage le viral possible. Vous pouvez envoyer de l’argent à un ami même s’il n’a jamais utilisé la fonctionnalité ou renseigné ses informations bancaires. Un message l’invitera à le faire dès réception de la somme.Par ailleurs, étant donné que l’argent est en réalité envoyé par virement de banque à banque, vous vous dites forcément que des frais supplémentaires devraient être facturés. Mais comme mentionné plus haut, les transactions sont gratuites. Facebook a en effet annoncé qu’il prenait en charge tous les frais de virement.

ironman
20/11/2017, 20h37
Facebook veut vous empêcher de supprimer vos statutsFacebook a retiré à certains utilisateurs l’option vous permettant de supprimer facilement un statut que vous avez publié. Il semblerait que cela ne touche pour l’instant que le site Facebook et que les applications sont épargnées. Le phénomène a été constaté jusqu’à présent qu’au États-Unis. La grogne monte et les internautes demandent des comptes à Facebook.
http://www.maghreb-sat.com/forum/image/gif;base64,R0lGODdhAQABAPAAAP///wAAACwAAAAAAQABAEACAkQBADs=

Supprimer un statut sur Facebook n’est plus aussi simple pour certains internautes qui résident aux États-Unis. De multiples usagers ont constaté la disparition de l’option supprimer, qui est normalement proposée en cliquant sur les trois petits points qui se trouvent en haut à droite du statut. Les versions web de Facebook sont impactées par ce changement, alors qu’aucune modification n’a été aperçue sur l’application, qu’il s’agisse d’Android ou iOS. Aucune communication du réseau social sur le sujet à cette heure, on suppose qu’il s’agit d’un test de Facebook (http://www.phonandroid.com/facebook-messenger-bouton-je-naime-pas-test.html), qui en réalise régulièrement sur un échantillon réduit d’utilisateurs.


Facebook veut rendre plus difficile la suppression d’un statutParadoxalement, on sait que Facebook expérimente des statuts qui s’auto-détruisent (http://www.phonandroid.com/facebook-statuts-auto-detruisent-bientot-disponibles.html), à la manière de Snapchat. En tout cas, face à la levée de boucliers suscitée par ce changement, Facebook va devoir s’expliquer. Ses utilisateurs sont extrêmement mécontents et certains commencent même à lancer des appels au boycott contre le réseau social de Mark Zuckerberg.
Plusieurs théories circulent sur la raison de ce changement. En empêchant la suppression de statuts, Facebook tenterait de créer plus d’engagement. Plus alambiqué, certains pensent qu’il s’agit d’un moyen pour nous pousser vers l’application mobile. Enfin, d’autres pensent que Facebook veut que vous fassiez mieux connaissance avec ses menus.
Car il existe bien un autre moyen pour cacher un statut indésirable sur le fil d’actualité Facebook (http://www.phonandroid.com/facebook-fait-menage-fil-actualites.html) de vos amis. Bien moins pratique, mais quand on n’a plus le choix… Si la disparition de l’option supprimer venait à arriver en France, sachez qu’il existe une astuce pour rendre invisible n’importe lequel de vos statuts. Rendez-vous dans les paramètres et accédez au Journal d’activités. Dans la rubrique Historique Personnel, vous pouvez alors rendre votre statut uniquement visible par vous.

ironman
22/11/2017, 16h50
L'envoi de photos 4K désormais possible via Messenger.

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La plateforme Facebook évolue. Le réseau social annonce l'arrivée d'une nouvelle fonctionnalité importante pour les utilisateurs de l'application Messenger.

Il est aujourd'hui possible de transmettre des images de résolution 4K.

Facebook annonce le support de la résolution 4K via messenger. Le support des images de meilleure résolution est possible en France depuis les applications iOS et Android.

Le réseau précise que 17 milliards de photos via Messenger sont transmises en moyenne par mois. Il vous faudra simplement vous assurer de bénéficier de la dernière version de l'application pour en profiter.

ironman
29/11/2017, 20h47
Facebook pourrait exiger une photo de votre visage pour vous laisser accéder à votre compte.

Le réseau social teste une alternative au traditionnel CAPTCHA. Il a demandé à quelques utilisateurs de se prendre en photo pour s’assurer qu’ils ne sont pas des robots.

Tout le monde a un jour pesté contre les laborieux tests d’identification CAPTCHA (Completely Automated Public Turing test to tell Computers and Humans Apart). Ces suites de lettres à recopier ou ces images à identifier permettent de montrer que l’on est pas un programme informatique se faisant passer pour un vrai utilisateur. Il semblerait que Facebook ait entrepris de renouveler cette pratique en testant la demande de selfie auprès de quelques utilisateurs.

La photo est ensuite supprimée des serveurs

La mention suivante est ainsi apparue : « Téléchargez s’il vous plaît une photo de vous qui montre clairement votre visage. Nous la vérifierons et la supprimerons ensuite définitivement de nos serveurs ».
Contacté par Wired, Facebook a justifié ainsi sa démarche : « Ce test nous aide à détecter les activités suspectes sur différents sites, comprenant la création de compte, la demande d’amis, la configuration, la création et la modification d’annonces ».

Le processus est entièrement automatisé, y compris la vérification de la photo. Cette étape consiste tout simplement à s’assurer que l'image est unique. Mais elle oblige l’utilisateur à patienter pour accéder à son compte, le temps que son identité soit certifiée. L’expérimentation aurait débuté au mois d’avril dernier, d’après un post de la société sur Reddit.

Facebook n’est pas le seul à tenter de développer de nouveaux outils d’identification. Par le passé, Google avait inauguré une simple case à cocher pour déclarer que l’on était pas un robot. Au mois de mars dernier, il est allé beaucoup plus loin, dispensant la plupart des internautes de ces tests. Seuls ceux jugés « suspects » d’après leur comportement en ligne à l’instant de la connexion se voient désormais proposer une boîte de dialogue. Avec son selfie, Facebook semble prendre le chemin inverse, instaurant une démarche plutôt contraignante pour ses abonnés.

tarike93
09/12/2017, 15h05
merci pour ces info

ironman
12/12/2017, 19h10
merci pour ces info

Pour remercier il te suffit de cliquer sur le coeur noir.

Facebook veut vous permettre d’éviter les gros lourdauds dans les commentaires.

Facebook teste en ce moment même une nouvelle option qui plaira aux plus discrets d’entre nous. Le réseau social nous proposera bientôt de restreindre la lecture de l’un de nos commentaires.

Le réseau social Facebook continue d’être l’une des plus grandes puissances du web. Cependant, il perd quelque peu en saveur à mesure qu’il rentre dans les habitudes du plus grand nombre.

Les jeunes ne sont plus vraiment attirés par celui-ci, quand bien même ils y sont souvent inscrits. C’est ce qui conduit Facebook à copier régulièrement Snapchat, nouvelle coqueluche des adolescents.

Facebook a enfin une idée originale : se faire discret
On pensait que le développeur continuerait de copier à tort et à travers ses concurrents, mais il n’en est rien. Le site teste en ce moment même, auprès d’une poignée d’utilisateurs, une nouvelle fonctionnalité intéressante.

Un cadenas apparaît en effet sur la zone de commentaire. Celui-ci permet de restreindre sa lecture selon plusieurs règles : amis et créateur du post uniquement, amis uniquement, créateur du post et commentateurs uniquement ou tout le monde.

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Se préserver de la masse
On comprend très rapidement pourquoi une telle option est envisagée par Facebook. Commenter l’activité d’une page ou d’un groupe attire souvent une vague de commentaires qu’on ne souhaite pas nécessairement lire, à l’image d’un homme débattant dur comme fer pour convaincre que boire de la soupe fait guérir du cancer.

D’où notre titre abrupt, mais avant tout taquin. Une telle configuration permettrait de conserver un semblant de vie privée, même en interagissant avec les contenus des pages. Une évolution qui pourrait pousser plus de personnes à commenter les publications, et donc utiliser le réseau social.

ironman
10/01/2018, 17h51
Facebook serait sur le point de lancer une enceinte connectée.

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Le groupe pourrait dévoiler prochainement une enceinte connectée à 499 dollars permettant notamment de faire des chats vidéo. Une futur concurrent haut de gamme à l'Echo Show d’Amazon et aux Smart Displays de Google?

Facebook va-t-il enfin concrétiser son ambition de s'imposer sur le créneau du hardware ? Après avoir planché sur l’idée d’un smartphone, le groupe s’est contenté de racheter Oculus VR en 2014, ce qui lui a permis de proposer des casques de réalité virtuelle. Il serait maintenant sur le point de commercialiser une enceinte connectée que l’on commande à la voix et intégrant un écran pour effectuer des chats vidéo, d’après le site Cheddar. Nom de code : Portal. Des partenariats avec Spotify et Netflix seraient aussi prévus. Ce serait le premier vrai matériel connecté conçu de A à Z par le labo secret Building 8.

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Le prix qui circule, 499 dollars, paraît élevé. C’est le double du produit équivalent d’Amazon, Echo Show, sorti au mois de mai dernier aux Etats-Unis. Une somme qui pourrait toutefois être revue à la baisse. Mais le PDG Mark Zuckerberg se soucierait davantage d’avoir un impact sur le comportement des utilisateurs que de générer des profits. La commercialisation se ferait en ligne et au sein de pop-up stores.

De la reconnaissance faciale
Le positionnement serait novateur. Facebook aurait opté pour une stratégie marketing centrée sur la promesse de rester en contact avec ses proches et ses amis et non celle de fournir un assistant virtuel domestique comme Echo et Google Home. A cette fin, Portal serait équipé d’un objectif grand angle et d’un algorithme de reconnaissance faciale pour identifier les personnes et les associer à leurs comptes Facebook.

Une perspective qui a de quoi effrayer. Les enceintes intelligentes posaient déjà question à cause de leur micro, les transformant aux yeux des défenseurs de la vie privée comme de potentiels mouchards du quotidien. Si elles n’enregistrent rien sans sollicitation de l’utilisateur, elles envoient les requêtes dans le cloud et les conservent sur les serveurs des géants du web. Pas sûr que la perspective, en plus, d’être vus et identifiés avec Portal ravisse les consommateurs.

Facebook pourrait présenter Portal au mois de mai prochain, lors de sa conférence développeurs, pour une sortie au seconde semestre 2018.

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ironman
08/03/2018, 18h39
Messenger Lite : Facebook ajoute les appels vidéo.

Version allégée de l'application Messenger sur Android, Messenger Lite se dote des appels vidéo en face à face.

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Initialement, Messenger Lite ne devait être disponible que dans des pays en voie de développement, et où la connectivité peut poser problème. Finalement, l'application uniquement proposée sur Android a été déployée dans d'autres pays comme la France.

Version poids plume de moins de 10 Mo, l'application est compatible avec des smartphones équipés d'Android à partir de la version 2.3 (Gingerbread). Autant dire que nombre d'appareils anciens sont pris en charge.

Après des fonctionnalités de base de Messenger (échanges de messages, photos, liens, stickers, émoticônes, suivi des contacts actifs), Messenger Lite ajoute désormais les appels vidéo après les appels audio. Une fonctionnalité en temps réel qui concerne les appels en face à face.

" Les chats vidéo sont incroyablement populaires pour les personnes qui utilisent l'application Messenger. En 2017, il y a eu 17 milliards de chats vidéo dans Messenger, deux fois plus qu'en 2016 ", écrit Facebook. " Dorénavant, les personnes qui utilisent Messenger Lite peuvent avoir les mêmes conversations riches en face à face, quelle que soit la technologie à laquelle elles ont accès ou qu'elles utilisent. "

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ironman
23/03/2018, 17h36
Le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg confronté à la plus grosse crise de son histoire ne parvient pas à calmer les critiques.

A 33 ans, le patron-fondateur de Facebook Mark Zuckerberg, confronté à la plus grosse crise de l'histoire du réseau social, enchaîne les mea-culpa et les promesses mais sans parvenir à atténuer les critiques. Facebook "a été conçu pour rapprocher les gens", se vantait encore en janvier le jeune milliardaire qui a fondé l'entreprise il y a 14 ans.

Aujourd'hui, les critiques se déchaînent contre le groupe et son patron depuis que la société britannique Cambridge Analytica (CA) est accusée d'avoir récupéré à leur insu les données de 50 millions d'utilisateurs du réseau social.

Après des jours de silence, qui lui ont été vivement reprochés, Mark Zuckerberg a fini par présenter ses excuses mercredi soir:


"Cela a constitué un abus de confiance très important et je suis vraiment désolé", a déclaré le dirigeant du plus gros des réseaux sociaux. Facebook, qui compte plus de 2 milliards d'utilisateurs, pesait encore la semaine dernière plus de 500 milliards de dollars en Bourse, mais quelque 50 milliards de moins jeudi soir.

Cette contrition est loin d'être la première. Le jeune milliardaire aux boucles rousses, au visage presqu'encore poupin, a déjà ces derniers mois admis des erreurs, au gré des polémiques qui ont secoué le groupe, accusé de propager désinformation et "fake news", de menacer la démocratie, de susciter une addiction décérébrante, etc. Mais à force de polémiques, de promesses, d'excuses, "il ressemble à un type qui ne sait pas où il va", lance Bob Enderle, analyste du secteur.

Artisan du succès de Facebook, refusant de céder une once de pouvoir, M. Zuckerberg incarne son entreprise, et c'est donc lui qui encaisse les coups, comme l'illustre la une du dernier numéro du magazine Wired, qui le montre couvert de bleus, comme s'il avait été passé à tabac.

"J'ai lancé Facebook, et au bout du compte, je suis responsable de ce qui (s'y) passe", a-t-il dit mercredi, se plaçant lui-même encore davantage dans la ligne de mire des analystes, experts ou élus. Mark Zuckerberg, qui continue à s'habiller en t-shirt et en jean malgré une fortune estimée à quelque 70 milliards de dollars, "n'a pas su s'attaquer aux problèmes de fond", estime Wired. Accusé de réagir trop tard, de penser qu'il peut tout régler sans aide extérieure, l'ancien d'Harvard, initié dès 11 ans à la programmation informatique, renoue malgré lui avec l'image d'un chef d'entreprise inexpérimenté et un peu arrogant dont il avait su se défaire jusqu'à ces derniers mois, au point de voir la presse lui prêter des intentions présidentielles.

"Son inexpérience s'illustre une nouvelle fois", estime Bob Enderle, estimant qu'il aurait dû se faire aider pour mieux gérer les crises.

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ironman
04/04/2018, 17h33
Facebook Messenger : la vidéo en HD et les photos à 360 degrés sont là.

Il y a du changement du côté de l'application Messenger de Facebook : la messagerie gère désormais les vidéos en HD et les photos à 360 degrés.
Progressivement, Messenger adopte de plus en plus de fonctionnalités déjà déployées sur le réseau Facebook. Ainsi, parmi les dernières options intégrées à la messagerie, on voit apparaitre les vidéos en HD.

C'est difficile à croire, mais Messenger ne gérait pas encore les vidéos en HD sur son service. Désormais le tir est corrigé et l'application permet d'envoyer et recevoir de la vidéo en HD toutefois limitée à la définition 720P. Une situation difficilement explicable quand tous les smartphones ou presque sont désormais capables de filmer en Full HD (et même 4K). Ce n'est donc pas encore avec cette mise à jour que l'on exploitera les écrans des smartphones haut de gamme.

Autre ajout, celui des photos à 360 degrés (ou moins). Il est ainsi possible de s'envoyer des panoramas à 180 ou 360 degrés qui permettent à l'utilisateur de faire défiler l'image en glissant le curseur du bout du doigt ou en orientant son smartphone et en le tournant autour de soi.

Pour profiter de ces fonctions, il faudra veiller à disposer de la dernière mise à jour en date de Messenger.

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ironman
16/05/2018, 16h40
Facebook lance une fonctionnalité proposant des offres d’emploi à ses utilisateurs


https://www.universfreebox.com/UserFiles/image/facebook_user_logo_1479971153709(1)(2).jpeg
Le réseau social vient de lancer une nouvelle option, simple et pratique, qui suggère des offres d’emploi à ses utilisateurs.
Après avoir lancé son service de rencontres (https://www.universfreebox.com/article/44424/Facebook-va-lancer-son-propre-service-de-rencontre-afin-de-concurrencer-Tinder) afin d’aider ses utilisateurs à trouver l’amour, Facebook souhaite désormais aider ses membres à trouver un emploi. Cela fait plus d’un an maintenant que les utilisateurs américains et canadiens de Facebook bénéficient de cette nouvelle fonctionnalité. Désormais disponible dans pas moins de 42 pays dont la France, cette dernière permet donc de postuler aux offres d’emploi présentes sur le réseau social.
https://www.universfreebox.com/UserFiles/image/Facebook%20offres%20d'emploi%201%20real(1).jpg
Afin d’avoir accès aux offres d’emploi de Facebook, l’utilisateur devra sélectionner dans la colonne de gauche la nouvelle rubrique « Offres d’emploi ». Les offres d’emploi proposées d’office sur Facebook sont sélectionnées par rapport à votre localisation géographique. Mais la rubrique comporte plusieurs filtres afin de sélectionner certains secteurs d’activité ou encore le type d’emploi (temps plein, temps partiel). Il est également possible d’effectuer une recherche d’offres d’emploi dans n’importe quelle autre ville. Toutes les annonces sont également affichées sur les pages Facebook des entreprises concernées.
https://www.universfreebox.com/UserFiles/image/facebook%20offres%20d'emloi%202(2).jpg
La nouvelle fonctionnalité de Facebook permet à un utilisateur, s’il est intéressé par une offre d’emploi, de postuler directement depuis le réseau social via le bouton « Postuler maintenant ». Par la suite, une fenêtre s’ouvrira affichant un formulaire dans lequel seront renseignées les coordonnées de votre compte Facebook. Vous pourrez également ajouter à ce document, vos expériences professionnelles et vos formations. Une fois qu’il est rempli, il n’y a plus qu’à cliquer sur « Envoyer ».
https://www.universfreebox.com/UserFiles/image/facebook%20offre%20d'emploi%20d%C3%A9taill%C3%A9e. jpg
Après avoir postulé, le candidat pourra communiquer avec l’entreprise par Messenger, afin d’apporter plus d’informations à l’employeur, mais aussi de détailler sa motivation.
A noter aussi que les entreprises n’auront pas d’accès approfondi aux données personnelles des utilisateurs du réseau social ayant postulé pour des offres d’emploi. Elles n’auront accès qu’aux informations enregistrées sur le formulaire ainsi qu’à celles disponibles publiquement sur votre profil.
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SIDALI55
18/05/2018, 20h19
FACEBOOK MESSENGER : COMMENT RÉCUPÉRER UNE CONVERSATION SUPPRIMÉE PAR ERREUR ?


Auteur :Nicolas JJE
Publié :24/04/2018

http://www.toucharger.com/article-media/170x125/349-facebook-messenger-comment-recuperer-une-conversation-supprimee-par-erreur.jpgSi vous utilisez régulièrement l’application de messagerie instantanée de Facebook, vous avez sûrement des messages que vous ne souhaitez pas perdre, parce qu’ils contiennent des photos, ou encore des vidéos qui vous sont chères. Mais un incident est si vite arrivé, et vous pouvez maladroitement supprimer certaines conversations.

FACEBOOK A CHANGÉ SA POLITIQUE DE GESTION DES DONNÉES UTILISATEURSSuite au scandale Cambridge Analytica, Facebook a du montrer patte blanche pour être fin prêt avant l’entrée en vigueur du RGPD (http://www.logitheque.com/articles/rgpd_qu_est_ce_que_c_est_definition_cadre_et_impac t_sur_les_societes_et_les_residents_de_l_ue_1851.h tm) (Règlement Général sur la Protection des Données). Le réseau social proposait avant le scandale un outil permettant de récupérer toutes ses données Facebook, sous la forme d’une archive Zip. Il était possible de récupérer certaines données même après leur suppression en l’utilisant. Il suffisait de se rendre dans les paramètres de Facebook puis de télécharger une copie de ses données.QUE FAIRE ALORS ?Malheureusement, pas grand-chose. Si vous avez activé l’envoi de notification Facebook par e-mail, il vous reste peut-être une copie de certains messages dans votre boîte électronique. Allez alors dans votre boite électronique et lancez une recherche avec le mot-clé "Facebook" ou le nom de votre interlocuteur.
http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/fb%20messenger%20dans%20gmail.jpgSi par malheur, cette solution ne fonctionne pas non plus, il ne vous reste que vos yeux pour pleurer. Mais si vos messages sont si importants, vous pouvez demander à votre interlocuteur de vous renvoyer des captures d’écran, ou tout simplement la conversation entière via l’outil de téléchargement des données de Facebook (http://www.toucharger.com/articles/comment-telecharger-une-copie-de-ses-donnees-facebook_201.htm).UN DERNIER CONSEILFacebook Messenger intègre une fonctionnalité d’archivage qui vous permet de sauvegarder vos conversations. Les conversations archivées sont récupérables via l’outil de téléchargement des informations de Facebook. Mais comment faire pour archiver une conversation Facebook ? Il faut réaliser une manipulation très simple depuis Facebook Messenger.Depuis l’application mobile, il faut se rendre sur la conversation, appuyer longuement sur celle-ci puis toucher la fonction « archiver ».
http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/Screenshot_20180424-144104(1).pngDepuis le site de Facebook, il faut dans un premier temps ouvrir la conversation dans Messenger puis se rendre en haut à droite pour cliquer sur « archiver ».
http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/FB%20messenger.jpg



COMMENT MASQUER SON NUMÉRO SUR FACEBOOK MESSENGER ?


Auteur :Nicolas JJE
Publié :28/02/2017

http://www.toucharger.com/article-media/170x125/166-comment-masquer-son-numero-sur-facebook-messenger.jpgComme vous le savez sûrement Facebook Messenger peut également être utilisée comme application SMS. De ce fait, elle exige votre numéro de téléphone pour récupérer vos contacts et envoyer/recevoir des messages. Mais vous serez sans doute d’accord avec moi, tout le monde n’est pas enclin à donner son numéro à Facebook qui a pour ambition de mettre en place un gigantesque annuaire. Dans ce rapide tutoriel nous allons vous montrer comment « masquer » votre numéro sur l’appli Messenger et le réseau social de Mark Zuckerberg .

SUPPRIMER SON NUMÉRO DE FACEBOOK MESSENGERSi vous avez malheureusement déjà saisi votre numéro dans l’application sachez qu’il est impossible de le supprimer au sens propre du terme. Tout se passe à l’installation de l’application et par conséquent vous devez simplement désinstaller Facebook Messenger de votre smarpthone et réinstaller l’application pour la configurer.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/facebook_messenger1600.pngTélécharger Facebook Messenger (http://www.toucharger.com/fiches/android/facebook-messenger-android/93875.htm)Sur le premier écran d’installation, ne cliquez surtout pas sur « activer ». Touchez « plus tard ».

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/Screenshot_20170227-110205.pngSur l’ écran suivant, l’application vous demandera votre numéro de téléphone, appuyez à nouveau sur « Plus tard ». Une boîte de dialogue s’affichera pour vous demander confirmation, à ce niveau choisissez « Ignorer ».

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/ignorer%20mon%20num%C3%A9ro.pngSi vous changez d'avis et que vous voulez au final faire de Facebook Messenger votre appli SMS, il vous suffira de"confirmer votre numéro de téléphone" dans les paramètres de l'application.
SUPPRIMEZ ÉGALEMENT VOTRE NUMÉRO DE FACEBOOKSi vous souhaitez disparaître de l’annuaire Facebook , vous pouvez également le faire en supprimant votre numéro de votre compte.
Rendez-vous sur l’application Facebook (http://www.toucharger.com/fiches/android/facebook-pour-android/78374.htm) et dans les paramètres du compte. Pour vous y rendre, passez par le menu « hamburger » situé à l'extrême droite de l’écran et descendez jusqu’à « paramètres du compte ».

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/Screenshot_20170227-110733.pngUne fois dans les paramètres, allez dans « Général ».

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/Screenshot_20170227-144525.pngAllez ensuite dans « Téléphone » et supprimez votre numéro de téléphone.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/supprimer%20num%C3%A9ro.pngEntrez votre mot de passe Facebook pour valider la suppression. Vous recevrez un mail de confirmation de la part de Facebook sur l'adresse mail utilisée pour le compte.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Masquer%20num%C3%A9ro%20messenger/Screenshot_20170227-145151.pngEt voilà, désormais vos contacts Facebook ne pourront pas trouver votre numéro de téléphone dans l’annuaire du réseau social. Un pied de nez aux utilisateurs malveillants se cachant parmi vos contacts et susceptibles de l'utiliser pour du spam téléphonique.


COMMENT TÉLÉCHARGER UNE COPIE DE SES DONNÉES FACEBOOK ?

Auteur :Justine Catherine
Publié :18/05/2017

http://www.toucharger.com/article-media/170x125/201-comment-telecharger-une-copie-de-ses-donnees-facebook.jpgVous souhaitez prochainement fermer votre compte Facebook et à cette occasion récupérer l’intégralité de vos données postées sur ce réseau social ? Pas de problème. L’équipe de Toucharger vous explique la démarche à suivre pour télécharger vos informations enregistrées sur Facebook, en toute sécurité. Vous pourrez ainsi sauvegarder l'intégralité de vos données sur votre ordinateur et utiliser cette copie en cas de souci. Alors ouvrez bien les yeux et prenez des notes, vous pourrez en avoir rapidement besoin !

Tout d'abord, connectez-vous à votre compte Facebook (http://www.toucharger.com/articles/comment-desactiver-et-ou-supprimer-son-compte-facebook_197.htm) et rendez-vous dans les Paramètres de ce dernier.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/TCG%20ok(1).jpg
Cliquez sur Vos informations Facebook, puis sur Télécharger vos informations.


http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/vos%20informations(1).jpgUne nouvelle page apparaît. Vous pouvez y sélectionner les informations à télécharger puis cliquer sur Créer un fichier. Notez que vous avez également la possibilité de modifier la qualité des photos et d'indiquer la période à prendre en compte.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/T%C3%A9l%C3%A9charger%20infos%20facebook(1).jpg
L'outil procédera alors à la création de l'archive contenant les données demandées et vous enverra une notification une fois le fichier prêt. Il faudra alors cliquer sur le bouton Télécharger.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles02/Facebook/2018-04-24_12-30-27.jpgAfin d’assurer la sécurité de la demande, Facebook demande la confirmation du mot de passe de votre compte pour valider le téléchargement. Attention si vous avez cliqué sur l’option se rappeler du mot de passe, celui-ci est directement saisi dans le champ concerné ce qui signifie que toute personne ayant accès à votre ordinateur peut créer une archive de vos données à votre insu. Soyez donc prudent !

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Archive_facebook/mot_de_passe.jpgIl ne vous reste plus qu’à l’enregistrer sur votre PC ou de l’ouvrir directement. Attention le fichier contenant l’intégralité de vos données Facebook est au format .zip. Il vous faudra utiliser un logiciel de dézippage comme WinRAR (http://www.toucharger.com/fiches/windows/winrar/8072.htm) ou 7Zip pour pouvoir accéder au contenu de ce dernier.

http://www.toucharger.com/media/files/data/Articles/Archive_facebook/ouverture_archive_facebook.jpg

ironman
10/08/2018, 01h00
Facebook Messenger introduit des jeux en réalité augmentée dans les appels vidéo.

La nouvelle fonctionnalité lancée aujourd’hui permettra de défier jusqu’à six personnes simultanément au cours d’un chat vidéo passé depuis l’application mobile de la messagerie.
Facebook a commencé à enrichir Messenger avec des jeux cachés il y a deux ans, puis carrément un onglet « Jeux ». L’application mobile passe aujourd’hui à la réalité augmentée avec des parties multi-joueurs à mener lors d’appels vidéo à deux ou plus. Jusqu’à six personnes peuvent interagir simultanément. Vous pouvez en avoir un aperçu dans la courte vidéo ci-dessous :


https://youtu.be/4LSJK7JwvIc


Deux jeux pour débuter
Le catalogue est très limité cependant puisqu'il débute avec seulement deux jeux : « Don’t Smile » qui, comme son nom l’indique, consiste à ne pas sourire le plus longtemps possible et « Asteroids Attack », dans lequel les participants attaquent des aliens... avec leur nez ! Par la suite, les utilisateurs pourront accéder au jeu de beach ball « Beach Bump » et un jeu de paires avec des chats « Kitten Kraze ».

Pour accéder à ces nouvelles possibilités, il faut cependant bénéficier de la dernière mise à jour de l’application mobile de Messenger dont le déploiement est en cours partout dans le monde. Elle n’est pas encore accessible à tous.

Rappelons que Facebook a lancé le logiciel AR Studio en 2017, afin d'encourager les développeurs tiers à produire des contenus en réalité augmentée. Depuis cette année, ils ont la possibilité de distribuer leurs créations non plus seulement sur le réseau social Facebook mais aussi Instagram, Messenger et Facebook Lite. On peut donc s'attendre à ce que les jeux en réalité augmentée dans les appels vidéo débarquent bientôt aussi sur Instagram.

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ironman
14/08/2018, 17h15
Le foot espagnol gratuit sur Facebook dans huit pays

https://img.generation-nt.com/ballon-foot_0096006401607082.pngPour les trois prochaines saisons, le championnat d'Espagne de football sera disponible gratuitement et en direct sur Facebook dans des pays d'Asie du Sud.


Le populaire championnat de football d'Espagne, dont la nouvelle saison débute en fin de semaine, sera diffusé gratuitement et en direct sur Facebook. Une retransmission proposée dans huit pays : Afghanistan, Bangladesh, Bhoutan, Inde (deuxième pays le plus peuplé au monde), Maldives, Népal, Pakistan et Sri Lanka.
https://img.generation-nt.com/laliga-logo_00FA000001654197.jpgL'accord entre La Liga (la ligue espagnole de football) et Facebook porte sur les trois prochaines saisons. Il faut savoir qu'après la Premier League (championnat d'Angleterre de football), La Liga est le championnat de football pour lequel les droits TV sont les plus onéreux.
Reste que pour une diffusion en Asie du Sud, Facebook n'a probablement pas cassé sa tirelire. D'après l'AFP (https://www.afp.com/en/news/831/facebook-broadcast-la-liga-games-free-indian-subcontinent-doc-18c9vq3) qui cite le quotidien sportif espagnol Marca, il s'agirait d'un accord à 90 millions d'euros.
C'est la première fois que La Liga signe un accord de retransmission depuis un réseau social. Toutes les rencontres seront proposées via la page officielle de La Liga sur Facebook, ainsi que les pages des clubs ibériques.
On peut être sûr que le nécessaire sera fait afin d'éviter que d'autres pays à la culture plus footballistique non concernés par l'accord ne puissent pas avoir accès aux retransmissions sur Facebook. La liga est très chatouilleuse sur cette question.

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ironman
16/08/2018, 20h44
Facebook va diffuser la Ligue des champions en Amérique latine.


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Le réseau social diffusera 32 matches en direct par saison pour la période 2018-2021 dans les territoires en langue espagnole.

Facebook poursuit son offensive dans le football. Vingt-quatre heures après avoir annoncé qu'il diffuserait la Liga espagnole gratuitement en Asie du Sud-Est ,le réseau social a officialisé ce mercredi un accord avec l'UEFA pour retransmettre en exclusivité la Ligue des champions en Amérique latine. Le montant du contrat n'a pas été communiqué.



La firme de Mark Zuckerberg a acquis les droits de diffusion de 32 matches en direct par saison pour la période 2018-2021 dans les territoires en langue espagnole. L'accord comprend aussi, dès cette année, la finale de la Supercoupe de l'UEFA, qui se joue chaque année les vainqueurs des deux coupes d'Europe, la Ligue des champions et l'Europa League. L'édition 2018 opposera, ce mercredi soir, deux clubs espagnols le Real Madrid et l'Atlético Madrid.





Pour Facebook, la Ligue des champions est un marché en or. La dernière finale de la compétition, entre le Real Madrid et Liverpool, a été regardée par 180 millions de téléspectateurs sur 200 territoires selon l'UEFA.

C'est surtout une prise de choix dans sa nouvelle stratégie d'acquisition de droits sportifs. Celle-ci avait débuté en 2017 aux Etas-Unis. Facebook a acquis la retransmission de matchs de Major League Baseball - le championnat américain de baseball - avant de passer un contrat avec la NFL, la ligue de football américain, pour la diffusion sur le réseau social de résumés vidéo de tous les matchs, y compris le mythique Super Bowl.

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