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zadhand
21/04/2016, 19h11
A la une/Actualité/France_Élection Présidentielle (France)

Publié le 21.04.2016 à 11:18
Mis à jour le 21.04.2016 à 20:35


Rama Yade annonce sa candidature à l'élection présidentielle 2017.

Rama Yade
Femme politique

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Mame Ramatoulaye Yade, dite Rama Yade, née le 13 décembre 1976
à Dakar, est une femme politique française.
Naissance : 13 décembre 1976 (39 ans), Ouakam, Sénégal
Époux : Joseph Zimet (m. 2005)
Parti : Union des démocrates et indépendants
Parents : Djibril Yade, Aminata Kandji
Livres : Carnets du pouvoir (2006-2013), plus…
Enfant : Jeanne Zimet


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Sur TF1, l'ancienne secrétaire d'Etat Rama Yade annonce sa candidature
à l'élection présidentielle de 2017, «et pas à la primaire» de la droite organisée
par Les Républicains. «Je me présente parce qu'à situation hors norme il faut
un projet de radicalité», dit celle qui a rompu avec Nicolas Sarkozy après son quinquennat,
puis a échoué à prendre la présidence de l'UDI.
Elle a également lancé un site internet, La France qui ose, avec une «lettre aux Français».
2017, c’est déjà demain ! Voilà une nouvelle personnalité qui se lance dans la course présidentielle.
Rama Yade, l’ex-secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme puis aux Sports sous Nicolas Sarkozy
a officiellement déclaré ce jeudi soir au JT de TF1 qu'elle serait candidate. Et ce, sans passer
par la primaire de la droite et du centre.Celle qui n’a plus de mandat électif et qui n’est plus affiliée
à aucun partidepuis son exclusion du parti radical se positionne sur une ligne « ni droite ni gauche » ,
un peu à la Emmanuelle Macron. Elle se prévaudrait du soutien « d’écolo, de centristes et de libéraux
en rupture de partis, ainsi que de diverses associations », écrit le quotidien national.

zadhand
22/08/2016, 16h18
Nicolas Sarkozy annonce sa candidature à l’élection présidentielle de 2017

POLITIQUE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2017
Nicolas Sarkozy
Ancien Président de la République française
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Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, dit Nicolas Sarkozy [ni.kɔ.la saʁ.kɔ.zi],
né le 28 janvier 1955 dans le 17ᵉ arrondissement de Paris, est un avocat
et homme d'État français. Il est président de la République française du
16 mai 2007 au 15 mai 2012.
Naissance : 28 janvier 1955 (61 ans), 17e arrondissement de Paris, Paris, France
Taille : 1,65 m
Épouses : Carla Bruni-Sarkozy (m. 2008), Cécilia Attias (m. 1996–2007),
Marie-Dominique Culioli (m. 1982–1996)
Enfants : Jean Sarkozy, Giulia Sarkozy, Pierre Sarkozy, Louis Sarkozy
Frères et sœurs : Olivier Sarkozy, Guillaume Sarkozy, François Sarközy de
Nagy-Bocsa, Caroline Sarközy de Nagy-Bocsa
Livres : La France pour la vie, Témoignage, plus…

22.08.2016 à 1h33
Mis à jour le 22.08.2016 à 16h12

Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, et actuellement
à la tête du parti d’opposition Les Républicains, publie mercredi 24 août
un livre dans lequel il annonce sa candidature pour un nouveau mandat
présidentiel en 2017 « J’ai décidé d’être candidat à la présidentielle de 2017.
La France exige qu’on lui donne tout. »Intitulé Tout pour la France,

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l’ouvrage de 231 pages est édité chez Plon. Ecrit en trois mois, il se divise
en cinq chapitres intitulés « Le défi de la vérité », « Le défi de l’identité »,
« Le défi de la compétitivité » « Le défi de l’autorité », « Le défi de la liberté ».
La déclaration de sa candidature y figure en prologue.

kobayachi
27/08/2016, 15h04
Si en France on a second tour Sarkozy/Le Pen ça donnera extrême droite contre extrême droite.

Ses élections puent.

zadhand
05/10/2016, 22h03
Arnaud Montebourg se confie sur ses origines
"Je me sens algérien"

publié le 04 octobre 2016 à 15h10


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Le candidat à la primaire de la gauche Arnaud Montebourg s’est confié
sur ses origines à Karine Le Marchand dans « Une ambition intime »
sur M6, dont un extrait vient d’être dévoilé sur Twitter.Arnaud Montebourg,
qui vient d’annoncer qu’il se présentera au sein des primaires organisées
par le Parti Socialiste afin de désigner le candidat pour 2017, a accordé une
interview à Karine Le Marchand pour le nouveau rendez-vous politique de
la chaîne qui débute le 9 octobre prochain à 21h, « Une ambition Intime ».
Et un extrait vient d’être mis en ligne, dans lequel
le candidat à la primaire de la gauche s’est confié
sur ses origines familiales.
On apprend que le grand-père maternel d’Arnaud Montebourg était algérien
« C’était un arabe qui s’était engagé
dans l’armée française avant la guerre.
Il a épousé une femme française, une blonde aux yeux bleus. Pour nous,
la religion, c’était quelque chose qui n’existait pas. Il était fort, il avait une
voix forte, il était un peu exubérant, il m’a transmis le goût de la voix forte
qui porte. Moi quand je l’ai connu, il portait le béret. Je me sens algérien,
je suis des deux rives. » explique-t-il.
Arnaud Montebourg est le fils de Michel Montebourg et de Leïla Ould Cadi,
née à Oran en 1939. Son grand-père, Khermiche Ould Cadi, vient d’une
famille berbère d’Algérie. Son aïeul Ahmed Ould Cadi, qui combattit aux
côtés de l’armée française lors de la conquête de l’Algérie, fut fait chevalier
de la Légion d’honneur en 1842.

zadhand
27/11/2016, 23h29
François Fillon remporte largement le second tour


PRIMAIRE DE LA DROITE ET DU CENTRE
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Mis à jour le 28/11/2016 | 00:44
publié le 27/11/2016 | 21:06


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Primaire de la droite : François Fillon remporte largement le second tour,
et représentera son camp à l'élection présidentielle de 2017
L'ancien Premier ministre a battu Alain Juppé, dimanche, lors du second tour
avec 68% des voix, selon des résultats partiels communiqués après 21 heures.

kobayachi
29/11/2016, 14h58
l’élection de Fillon, une bonne nouvelle pour le FN.


https://www.youtube.com/watch?v=fuh7E7T4WIc

Un sergent de François Fillon : « On n’a pas de problème ni avec les protestants, ni les catholiques, ni les juifs »

https://www.youtube.com/watch?v=JJZzIuIdKfA

Le 28 novembre 2016 à 8h54 sur France Info, Bruno Retailleau (Président Les Républicains de la Région Pays de la Loire et bras droit de François Fillon) déclarait :« Il y a une vraie question qui est celle de la radicalisation d’une partie de l’Islam. L’institut Montaigne qui ne peut pas être taxée d’islamophobie a fait une étude montrant que 28% des musulmans français pensent que la Charia est au-dessus de la loi de la République. Quand vous entendez les Frères Musulmans dire que le Coran est leur constitution, alors je dis Stop, il faut être im-pla-ca-ble. Quand on fait ce genre de déclaration, on n’a pas sa place dans la république française. Parce que ça, ça mène tout droit à la guerre civile ! François Fillon dit que la laïcité n’est pas le problème. On n’a pas de problème avec les Protestants, Catholiques, Juifs, Chrétiens … »Journaliste : « Il y a plus de problème avec l’Islam qu’avec une autre religion ? »
Bruno Retailleau : « Oui, absolument ! »

zadhand
01/12/2016, 20h52
Hollande renonce à être candidat
à l’élection présidentielle en 2017


01 décembre 2016, 19h32
MAJ 01 décembre 2016, 22h15

Promesses tenues, promesses bafouées quel est le bilan de François Hollande à l'Elysée ? Le renoncement de François Hollande, une première dans l’histoire de la Ve République
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La crise politique à la tête de l’Etat et du Parti socialiste vient de
franchir un nouveau pas avec l’annonce de Hollande de ne pas se
présenter à l’élection présidentielle. Cette décision ne nous fait ni
rire ni pleurer. Ce sera sans doute Valls qui va prendre la relève
pour assumer le bilan de ces cinq ans d’attaques antisociales et
sécuritaires. Ce soir, François Hollande, par sa décision de ne pas
briguer un second mandat a enfin fait preuve de lucidité sur sa
politique aux résultats désastreux. Au-delà de la zizanie dans son
propre camp le président de la République encore pour 5 mois
s'occupera t'il enfin de son pays ? L’année prochaine, il est maintenant certain que nous changerons de président de la République. Au-delà
des personnes, il faut changer de politique tout court.

sator5
02/12/2016, 09h02
bled la justice

zadhand
02/12/2016, 20h07
Le renoncement de François Hollande ouvre la voie à
des candidats peu attachés à l’Algérie


Vendredi 2 Decembre 2016



Le président français François Hollande a déclaré jeudi 1er décembre
qu’il ne briguerait pas un second mandat en 2017. Une première dans l’histoire de la Ve République et une mauvaise nouvelle pour l’Algérie.
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Dès son élection en 2012, François Hollande s’était rapproché de l’Algérie, et a réussi
à réchauffer les relations entre les deux pays, après une période de froid glacial sous
le règne de Nicolas Sarkozy. Hollande, qui entretient de bonnes relations avec le
président Abdelaziz Bouteflika, a effectué plusieurs visites en Algérie. Le parcours personnel
du président Hollande le portait déjà à être proche du pays, M. Hollande ayant travaillé huit
mois à l’ambassade de France à Alger. Il a donc des liens affectifs avec l’Algérie. Comme
Jacques Chirac et François Mitterrand, qui ont connu la Guerre de l’indépendance.
« François Hollande est l’un des rares hommes politiques à avoir compris que l’Algérie était
une question à part, qui concerne 6 à 7 millions de personnes en France, entre les anciens
soldats, les immigrés, leurs descendants et les harkis », a dit l’historien Benjamin Stora à
l’Express. Durant son mandat, François Hollande a même fait quelques gestes symboliques
en direction de l’Algérie. En 2012, année de son élection, le président Hollande avait affirmé
que la République reconnaissait avec « lucidité » la répression « sanglante » de la manifestation d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961. « Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient
pour le droit à l’indépendance ont été tués lors d’une sanglante répression » avait-il déclaré.
« La République reconnaît avec lucidité ces faits. Cinquante et un ans après cette tragédie,
je rends hommage à la mémoire des victimes ». Une déclaration qui lui avait valu de nombreuses critiques à droite. Sur le plan économique, le président Hollande avait conclu un partenariat d’exception avec son homologue algérien, permettant aux entreprises françaises d’obtenir de nombreux contrats en Algérie. Renault a installé une usine de montage de véhicules à Oran, et
Cevital a acquis des usines en France. « La France est le premier partenaire économique de
l’Algérie » et « entend le rester et même entend encore développer sa présence », avait déclaré Hollande en 2012. François Hollande critique le système colonial, répond à Nicolas Sarkozy et
appelle à l’amitié avec l’Algérie .Le renoncement de Hollande à briguer un deuxième mandat, et
la défaite d’Alain Juppé à la primaire de droite, ouvrent la voie à une nouvelle génération de responsables politiques peu attachés à l’Algérie. Les candidats déclarés ou pressentis donnés
comme favoris à la présidentielle française incarnent une nouvelle vague politique qui manifeste
moins l’intention d’un rapprochement avec l’Algérie ou le Maroc. À commencer par Manuel Valls,
sans doute le plus grand bénéficiaire du retrait de François Hollande. Le premier ministre devrait démissionner de Matignon et annoncer sa candidature à la primaire socialiste. Il est le favori des sondages pour représenter la gauche en 2017. Au cours de l’été 2016, Manuel Valls a affirmé des positions fermement anti-voile et anti-burkini, lançant notamment fin août une déclaration qui a
été très contestée : « Sur la place des femmes nous ne pouvons transiger. Marianne, le symbole
de la République, elle a le sein nu parce qu’elle nourrit le peuple, elle n’est pas voilée parce qu’elle
est libre ! C’est ça la République ! C’est ça Marianne ! » Du côté algérien, lors de sa visite en Algérie en avril dernier, le Premier ministre avait tweeté sur son compte officiel une photo qui le montrait assis près d’un président Bouteflika extrêmement fatigué, accompagnée du message « Échanges économiques, humains et sécurité : la relation franco-algérienne est forte, historique et stratégique ». Un dérapage que l’Algérie lui a fortement reproché et que le pouvoir algérien n’est pas prêt de pardonner. Avant cette visite, la presse française rapportait la gêne d’Emmanuel Macron, autre candidat à la primaire de gauche, de serrer la main au ministre de l’Industrie et des mines Abdeslam Bouchouareb, dont le nom était apparu dans les Panama papers. Il s’inquiétait pour « l’image du gouvernement français » soit « écornée », selon le Figaro. L’ancien ministre de l’Économie considère par ailleurs que la colonisation a eu des éléments « de civilisation », déclarant lors d’un entretien
avec Le Point : « Oui, en Algérie, il y a eu la torture, mais aussi l’émergence d’un État, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie ». À droite, l’Algérie ne compte pas beaucoup d’amis parmi les candidats.
Il y a d’abord les positions anti-islam, anti-immigration et anti-algérienne de Marine Le Pen, la candidate du Front National (extrême droite). Et puis, le vainqueur de la primaire de droite,
François Fillon n’est aussi extrémiste que la candidate du FN. Le candidat de la droite et du centre
est certes moins pro-marocain que Sarkozy, mais il est aussi brutal sur la question de la mémoire.
Dans son ouvrage « Vaincre le totalitarisme islamique » publié fin septembre, il dit qu’il n’y a
« pas de problème religieux en France », mais qu’il y a « un problème lié à l’islam ». Concernant la colonisation, l’ex-premier ministre sous Sarkozy (2007-2012) a également affirmé que la France
n’était « pas coupable d’avoir voulu faire partager sa culture aux peuples d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Nord ». François Fillon a également manifesté son opposition à la commémoration
de la fin de la guerre d’Algérie le 19 mars en France, déclarant « célébrer le 19 mars, c’est exprimer
à l’égard des victimes, c’est à dire des harkis et des pieds-noirs, une forme de mépris ».
Lors de la campagne pour la primaire de la droite, il n’a pas visité l’Algérie, devenue ces dernières années, une escale. Il reste Arnaud Montebourg, candidat à la primaire socialiste qui affirme ses origines algériennes, attendu en Algérie dans une semaine dans le cadre de sa campagne électorale. Mais il n’est pas le favori des sondages devant respectivement François Fillon, Marine Le Pen,
Manuel Valls et Emmanuel Macron.

zadhand
06/12/2016, 18h26
Valls annonce sa candidature


Présidentielle française
le 06-12-2016


Le Premier ministre français Manuel Valls a annoncé, hier,
sa candidature à la présidentielle de 2017 pour
“rassembler la gauche”,très divisée, face à une droite
et une extrême droite déjà lancées dans la bataille.
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“Je m'engage car je ne veux pas que la France revive le
traumatisme de 2002 avec une extrême droite au second tour”
de la présidentielle, a déclaré le chef du gouvernement,
faisant allusion à l'élimination du candidat socialiste d'alors,
Lionel Jospin, dès le premier tour de scrutin. Manuel Valls a
précisé qu'il démissionnerait dès mardi (aujourd’hui : ndlr)
pour se consacrer à sa campagne pour la primaire socialiste des
22 et 29 janvier, où il devra affronter d'autres personnalités
du parti plus marquées à gauche, comme l'ancien ministre de
l'Économie Arnaud Montebourg. La candidature de M. Valls ne
faisait guère de doute après l'annonce, vendredi dernier, par
le président François Hollande qu'il renonçait à briguer un
second mandat. “Ma candidature est celle de la conciliation,
elle est celle de la réconciliation”, a assuré le Premier
ministre français, depuis son fief électoral d'Evry en région
parisienne,dans un discours prononcé en présence de son épouse
et sous les applaudissement de la foule. “Aujourd'hui, j'ai une responsabilité rassembler”, a dit M. Valls.

zadhand
17/12/2016, 19h08
Primaire de la gauche
sept candidats sur la ligne de départ


17 décembre 2016


Ils sont sept sur la ligne de départ de la primaire de la gauche
organisée par le PS, après l'officialisation samedi des candidatures,
et ont désormais un mois de sprint devant eux pour mener une campagne
qui s'annonce âpre et électrique.

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Il y aura donc sept professions de foi disponibles mardi, sept pupitres lors des trois
débats télévisés (12, 15, 19 janvier) et, comme pour la primaire de la droite en
novembre, sept bulletins disponibles dans les quelque 8.000 bureaux de vote le 22
janvier, à l'occasion du premier tour. Parmi eux, quatre ministres socialistes du
quinquennat écoulé, Manuel Valls, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Benoît
Hamon, et trois représentants des partis satellites,Sylvia Pinel (Parti radical de gauche)
seule femme en lice -, François de Rugy (Parti écologiste) et Jean-Luc Bennahmias
(Union des démocrates et des écologistes). Cette liste, validée samedi par la Haute
autorité des primaires citoyennes (HAPC), a créé des crispations: le secrétaire national
du PS chargé du pôle "production et répartition des richesses", Fabien Verdier, dont la
candidature a été recalée officiellement faute de parrainages suffisants, s'est invité
avec fracas devant les micros et caméras pour dénoncer des "irrégularités" et des
"pressions". L'ancien inspecteur du travail Gérard Filoche, un autre déçu, a également
annoncé qu'il allait déposer un "recours", s'en prenant à la direction du PS. "Ce que je
crois c'est que c'est Jean-Christophe Cambadélis (le premier secrétaire du PS) qui décide,
et Christophe Borgel, pas la Haute autorité", a-t-il assuré devant le Palais de la Mutualité.
"Je suis surpris. On ne peut pas accepter un processus collectif avec des règles et quand
ces règles ne vous conviennent pas refuser de les respecter,a rétorqué Christophe Borgel,
président du comité d'organisation de la primaire. "Arrête ton cirque Gérard Filoche. Ce
que tu ne supportes pas c'est que la gauche du PS t'ait boycotté! Ils n'ont pas voulu te
parrainer point à la ligne!", a de son côté répondu sur Twitter M. Cambadélis.Cette annonce
marque le début officielle d'une campagne qui se terminera le 20 janvier mais qui a, dans
les faits, débuté il y a bien longtemps. - Gare aux boules puantes - Samedi, alors
que leurs candidatures étaient entérinées, l'ancien Premier ministre Manuel Valls distribuait
des tracts dans Paris quand Arnaud Montebourg se dirigeait vers Saint-Brieuc puis Guingamp
pour rencontrer des militants. Il n'y aura guère de répit ces prochaines semaines, sachant
que les fêtes de fin d'année resserreront encore le calendrier.


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Manuel Valls et Vincent Peillon dévoileront leurs programmes début janvier et multiplieront
les déplacements, après s'être lancés dans la course sur le tard, quand François Hollande
début décembre a renoncé à se représenter. Dans le même temps, Arnaud Montebourg et
Benoît Hamon continueront de labourer le terrain afin d'essayer de s'immiscer au second tour.
M. Bennahmias, Mme Pinel et M. de Rugy tenteront, eux, d'exister au milieu des poids-lourds socialistes. Pour le PS, les enjeux sont multiples. D'abord, réussir "sa" primaire, après le succès
de la primaire de la droite et du centre qui a réuni plus de 4,4 millions de votants et ainsi mis
sur orbite son vainqueur François Fillon.L'objectif est plus modeste puisque M. Cambadélis table
plutôt sur une participation comprise entre 1,5 et 2 millions d'électeurs, qui verseront un euro
par tour pour voter. Surtout, il faudra faire en sorte que le rassemblement reste possible après plusieurs semaines de débats, alors que la droite et l'extrême droite sont à l'heure actuelle bien
mieux placées pour accéder au second tour de l'élection présidentielle. Sans oublier Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron, que les sondages placent, à ce stade, devant le candidat
socialiste quel qu'il soit. Cette semaine, les accusations lancées contre Vincent Peillon et Arnaud Montebourg, soupçonnés de ne pas être à jour de leurs cotisations auprès du PS, ont été perçues comme des "malveillances" par les intéressés. Gare aux boules puantes d'ici à fin janvier !
"La primaire est le moyen de mettre en marche le cercle vertueux de l'unité", a préféré croire Jean-Christophe Cambadélis. Un voeu pieu ?

ironman
21/02/2017, 18h03
TF1 refuse de co-organiser un débat télévisé avec France 2.

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Le dispositif médiatique autour de la présidentielle se précise. Inspirés par le succès des débats des primaires, TF1 et France 2 travaillent activement à adapter leur dispositif mis en place il y a quelques semaines à la future présidentielle. Dans leur viseur : L'organisation de débats télévisés en présence des principaux candidats d'ici au premier tour. TF1 vient d'officialiser la diffusion de son propre débat le lundi 20 mars prochain en première partie de soirée. Selon "L'Opinion", celui de la Deux devrait être diffusé quelques jours plus tard, le jeudi 23 mars.

France 2 voulait un débat unique avec tous les candidats

Ce double-dispositif de programmation - qui interviendra donc juste avant le lancement de la campagne officielle, le 9 avril prochain -, ne manque pas de susciter des remous. En cause : le principe de ne retenir que les cinq ou six candidats les plus "importants" selon leur ordre d'arrivée dans les sondages. Invité ce matin des "Grandes gueules" sur RMC, Christophe Jakubyszyn, chef du service politique de TF1, a précisé que seuls les candidats crédités d'environ 10% des intentions de vote pourront participer au débat de la Une. Interrogé par des journalistes en marge d'un déplacement à La Réunion, François Fillon a estimé qu'il considère le procédé "très limite sur le plan démocratique", arguant qu'il "trouve un peu étrange d'organiser un débat en choisissant les candidats".


Autre épine dans le pied des deux chaînes : La possibilité qu'un ou plusieurs candidat(s) accepte(nt) de participer à l'un des débats et pas à l'autre. Pour éviter cet écueil, France 2 avait proposé, hier après-midi, à la direction de l'information de TF1 de co-organiser un seul débat - durant la campagne officielle - en présence de tous les candidats. Une proposition qui arrive un peu tard sur la table et que la Une n'a, selon nos informations, pas tardé à décliner, arguant qu'elle travaille seule sur son propre projet de débat télévisé depuis plusieurs mois. Format, réalisation, décor du plateau ou encore contacts avec les équipes des candidats sont ainsi autant de détails sur lesquels la Une s'est penchée il y a déjà plusieurs mois.

Dès lors, il n'est pas question pour la Une de renoncer à "son" projet. La chaîne, qui travaille sur le projet depuis le mois de septembre, avait d'ailleurs été la première à faire part publiquement de son intention d'organiser un débat entre présidentiables. Le mois dernier, Catherine Nayl, la patronne de l'info de la première chaîne avait publiquement fait connaître les intentions de sa chaîne dans les colonnes du "Figaro" puis du "Parisien". À l'époque, Michel Field, son homologue de France 2 avait simplement évoqué la venue de contradicteurs face aux candidats invités de "L'émission politique", sans mentionner l'organisation d'un éventuel débat télévisé.