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Voir la version complète : Escroquerie (manœuvre frauduleuse,faux documents,physique ou morale ,mensonge...)



zadhand
19/04/2016, 21h37
A LA UNE/ACTUALITÉ_Se déclarant victime d une escroquerie
le 19.04.16 | 10h00



La famille du défunt Salah Boubnider interpelle le Président

Alors que la veuve de Salah Boubnider accuse l’ancien compagnon du défunt, le commandant Azzedine,
d’«escroquerie» et interpelle le Président pour «faire appliquer les décisions de justice», l’avocat de ce dernier
récuse tous les faits reprochés à son client et promet «d’honorer» le remboursement des fonds objet du litige.
La veuve de l’ancien officier de l’ALN, Salah Boubnider, et ses enfants ont interpellé, hier, le président de
la République, en tant que premier magistrat, lui demandant de faire respecter la loi et à mettre un terme
aux manœuvres de celui qui se revendique, à tort, être sous sa protection pour intimider et bloquer l’exécution
d’un jugement définitif.Les signataires de cette lettre sont revenus sur les circonstances de cette affaire,
en déclarant «Victimes d’une escroquerie qui nous a ruinés, mes fils et moi avons déposé, le 14 octobre 2013,
une plainte au parquet de Chéraga contre Zerari Rabah, alias commandant Azzedine, son gendre Hadjouti Hamza
et sa fille, Chellali Fifi, pour ‘‘escroquerie’’, ‘‘faux et usage de faux’’ et ‘‘émission de chèques sans provision’’.
Jugée en première instance (...), l’affaire a connu son épilogue le 31 mai 2015 devant la cour d’appel de Tipasa,
qui a rendu deux décisions : sur le plan pénal, elle a condamné à 2 ans de prison ferme Zerari Rabah et
son gendre Hadjouti Hamza, et à 6 mois de prison ferme Challali Fifi, pour ‘‘escroquerie’’, ‘‘faux et usage de faux’’
et ‘‘émission de chèques sans provision’’», tout en ordonnant la restitution des sommes extorquées aux victimes.
Selon les signataires, durant la procédure, les mis en cause «ont organisé leur insolvabilité en transférant,
selon l’enquête, leur argent en France pour empêcher l’exécution du jugement, et au mois d’août 2015,
Me Farouk Ksentini, en sa qualité de président de la Commission nationale consultative de promotion et
de protection des droits de l’homme (CNCPPDH), a pris contact avec nous et avec d’autres victimes partie civile.
Devant témoins, il nous a tenu le discours suivant : ‘‘Le commandant Azzedine a vendu un immeuble, il va
indemniser toutes les personnes qui se sont constituées partie civile.’’ Pointant l’index vers le ciel,
Me Farouk Ksentini continue : ‘‘J’ai été chargé par de très hautes personnalités de l’Etat de régler ce problème,
je viens d’ouvrir un compte client le 5 octobre, je remettrai moi-même les chèques aux victimes.’’ Il dira même à
l’un de mes enfants : ‘‘Dites à Madame Boubnider que je suis le garant du recouvrement de ses biens spoliés’’.»
Mme Boubnider et ses enfants précisent que trois mois plus tard, leur avocat a entamé une procédure de contrainte
par corps contre Hadjouti Hamza près le tribunal de Koléa, dont relève la localité de Htatba, «résidence officielle
du condamné, même s’il habite chez son beau-père à Club des Pins. Le président du tribunal fixe la contrainte
par corps à trois années d’emprisonnement afin de l’obliger à régler sa quote-part des indemnisations décidées par
la cour de Tipasa».Informé de cette procédure, Me Ksentini, notent les signataires, «s’est présenté devant
le procureur de Koléa pour bloquer la procédure. Devant le magistrat, il s’est porté garant d’une solution à l’amiable,
en s’engageant à remettre lui-même les chèques à la partie civile le 17 janvier 2016 (…). Malgré le rendez-vous fixé
au 5 octobre pour le règlement définitif du problème, Me Farouk Ksentini nous a renvoyés au mois de novembre 2015,
puis décembre, puis au 17 janvier 2016 ! Mais toujours sans résultat.
En mars dernier, il s’est engagé plus concrètement, toujours devant témoins, en affirmant : ‘‘La vente de l’immeuble
du commandant Azzedine a été conclue, l’acheteur étant une entreprise publique et au vu de la somme importante
représentant le prix de l’immeuble, cela a demandé un peu de temps, mais le gouverneur de la Banque d’Algérie
m’a assuré que l’argent entrera sur le compte client le 6 avril 2016. Le 7 avril, vous aurez vos chèques’’.
Mais 10 mois après, l’exécution du jugement est toujours bloquée».
Les signataires du communiqué s’interrogent «sur le mobile des manœuvres dilatoires» de Me Ksentini,
«qui n’a pas hésité, en sa qualité de président de la CNCPPDH, à impliquer ‘‘de très hautes personnalités de l’Etat’’,
pour bloquer l’exécution d’une décision de justice».Ils qualifient cette situation d’«impasse», avant d’interpeller
le Président, en tant que premier magistrat du pays, garant de l’indépendance de la justice et du
bon fonctionnement des institutions.Contacté hier, Me Farouk Ksentini nie avoir exercé une quelconque pression
pour bloquer la procédure, comme le prétend la famille Boubnider. Il persiste à affirmer qu’il a été mandaté pour payer
les mis en cause avec lesquels il est arrivé à un arrangement à l’amiable pour leur restituer les sommes réclamées.
«L’argent existe, mais sa remise est une question de temps.S’ils ne veulent pas le récupérer à l’amiable,
ils ont des voies pour forcer le paiement. Moi, je ne suis qu’un avocat qui tente de trouver une solution à l’amiable.
Je n’ai aucun intérêt dans cette affaire et je ne peux influer sur la justice, pour la bloquer. La volonté de payer a été
clairement exprimée, il n’y a pas de raison de s’inquiéter. Il faut attendre que les revenus du bien vendu soient disponibles,
pour pouvoir payer», a déclaré Me Ksentini.

Salima Tlemçani

zadhand
09/05/2016, 20h27
A la une/Actualité_Oran-Cabinet illégal
le 09.05.16|18h26


Six ans de prison requis contre un « guérisseur »

Le tribunal correctionnel d’Oran a requis une peine de six ans de prison à l’encontre
d'un détenteur d’un cabinet illégal de "médecine spirituelle" à Oran, pour escroquerie
et atteinte à la pudeur. L’accusé qui prétendait guérir par des potions des maladies
psychiques avait ouvert un cabinet à Oran. Le père d’une jeune fille de 20 ans souffrant
de troubles psychiques, ayant suivi un spot publicitaire sur ce présumé charlatan sur
une chaine de télévision, l'a contacté et pris rendez-vous.
Intriguées la jeune fille et sa soeur qui l'a accompagnée ont raconté, les circonstances de
la consultation leur paraissant indécente, à leur mère qui, à son tour avisa le père qui déposa
une plainte auprès des services de la 6ème sûreté urbaine.
Les policiers ont aussitôt ouvert une enquête, qui a dévoilé que le cabinet a été agréé par
les services du commerce et de la santé sans s'assurer du statut juridique du propriétaire qui
détenait une carte d’artisan comme herboriste enregistrée auprès de la chambre d’artisanat
et des métiers.Les enquêteurs ont également observé une affluence sur le cabinet de ce présume
guérisseur. Arrêté en octobre dernier, il a nié, lors d'une première audience en présence de
la plaignante, les accusations portées contre lui.
L'enquête a permis de découvrir dans son cabinet plusieurs potions suspectes vendues jusqu'à
100.000 DA l'une. Le prix de la consultation est fixé 20.000 DA, a-t-on indiqué.

Le verdict dans cette affaire sera prononcé lundi prochain.

APS

zadhand
17/06/2016, 23h38
10 ans fermes pour Salah Moulay et 2 de ses complices


http://www.maghreb-sat.com/forum/attachment.php?attachmentid=24518&d=1466203968

BOUIRA
le 16-06-2016 10:00


24521

Le tribunal de Sour El-Ghozlane (sud de Bouira) a condamné, hier,
l’ex-gérant de la Sarl El Waâd Sadek, Salah Moulay, ainsi que deux
de ses complices, Laâmara Azzedine et Ziani Farid, à dix ans de
réclusion criminelle. Le reste des accusés, au nombre de trente,
a bénéficié de la relaxe, a-t-on constaté sur place. Lors de l’énoncée
du verdict, la salle d’audience, laquelle était pleine à craquer,
a carrément exulté de joie. “Justice ! Justice !”, “Salah, j’espère que
tu vas payer auprès du bon Dieu !”... étaient quelques-unes des
réactions des victimes de Salah Moulay. Ce dernier ainsi que ses
acolytes étaient têtes baissées, le visage blême et sont restés de
marbre lorsque le juge a prononcé le verdict. Pour rappel, le 26 mai
dernier, le représentant du ministère public avait dans son réquisitoire
chargé Salah Moulay ainsi que ses deux complices. “Ces personnes
ont abusé de la confiance de leurs clients. Elles se sont rendues
coupables d’escroquerie à grande échelle ayant conduit à la ruine de
milliers de victimes. Ce sont des faits avérés”, avait-il asséné. Les faits
de cette affaire remontent, faut-il le rappeler, à “l’âge d’or” de la
Sarl El Waâd Sadek, où son gérant avait réussi à tromper son monde
et escroquer des milliers de personnes en leur promettant un gain facile
et des bénéfices record. Des propriétaires terriens, aveuglés par l’“empire”
illusoire d’El Waâd Sadek, avaient cédé des centaines d’hectares au prix fort,
mais sans jamais voir la couleur de leur argent.

zadhand
14/10/2016, 00h54
Des iPhones importés illégalement interceptés
à l’aéroport d’Alger

12 octobre 2016



Un nouveau scandale secoue l’Aéroport international Houari Boumediene.
En effet, deux cartons remplis de téléphones mobiles de marque ‘’iPhone’’,
pesant 100 Kg, ont tenté d’échapper au contrôle des services de police.


25931


Cette importation ‘’illégale’’ a failli réussir grâce à la complicité de certains
douaniers et agents de la compagnie aérienne nationale Air Algérie.Néanmoins,
la vigilance des agents de la sûreté nationale ont avorté cette opération. Les
malfaiteurs ont essayé de faire entrer ces Smartphones, en présentant des
documents ‘’falsifiés’’, faisant croire aux policiers et douaniers que ces iPhones
étaient adressés à l’ambassadeur de Liban en Algérie, rapporte « Echourouk news ».
Cette opération qui remonte à Novembre 2015, n’a pas seulement échoué, mais
presque un an après les malfaiteurs et leurs complices des services de Douanes et
d’Air Algérie ont été condamnés. Mais cette condamnation servira-t-elle de leçon ? Certainement pas ! puisque des affaires similaires ont été enregistrées auparavant…