PDA

Voir la version complète : Ligue Arabe [ Ligue des États Arabes (L.E.A)]



zadhand
12/03/2016, 11h13
A la une_LIGUE ARABE ou LIGUE DES ÉTATS ARABES (L.E.A.)
publié le 11.03.2016 16:30

22212

L’Egyptien Ahmed Aboul Gheit élu S.G de la Ligue Arabe



Ahmed Aboul Gheit
Homme politique

22213

Ahmed Aboul Gheit, est un homme politique égyptien.
Ministre des Affaires étrangères de l'Égypte
de juillet 2004 jusqu'à la Révolution de 2011.
Naissance : 12 juin 1942 (73 ans), Le Caire, Égypte
Formation : Université Ain Shams



La Ligue Arabe a un nouveau secrétaire général. Depuis hier jeudi,
c’est le diplomate égyptien Ahmed Aboul Gheit qui préside
au destinées d’une Ligue arabe dépassée et désuète,
succédant à Nabil El Arabi,a annoncé l’organisation
siégeant au Caire. Ahmed Aboul Gheit a été
le dernier ministre des affaires étrangères de
l’ex-président égyptien Hosni Moubarak avant de lui tourner
le dos lors des événements de 2011.

22214

En janvier 2011, rappelle le Monde, il avait été la risée des réseaux sociaux
pour avoir déclaré « l’Egypte n’est pas la Tunisie» quelques jours seulement
avant le soulèvement de janvier 2011, qui a mis fin au règne de Moubarak.
Contraint à la discrétion, il a rédigé ses mémoires, dans lesquelles il n’a pas hésité
à égratigner Hosni Moubarak qu’i avait servi pendant 7 ans.
Agé de 73 ans, Ahmed Aboul Gheit est connu pour être plus conciliant avec Israël.
En 2008, il avait accusé le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir dans la bande
de Gaza, d’avoir provoqué l’offensive israélienne sur l’enclave palestinienne.

zadhand
28/07/2016, 20h31
L’Algérie veut une réforme de la Ligue arabe

publié le 28.07.2016

22212

Le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue
des Etats arabes, Abdelkader Messahel, a organisé hier matin un point
de presse durant lequel il a notamment fait le point sur le sommet arabe
qui s’est achevé cette semaine à Nouakchott. Il a tout d’abord tenu à
souligner la nécessité de réformer la Ligue arabe afin de s'adapter
avec la nouvelle conjoncture régionale et internationale marquée par
la globalisation. «Nous sommes dans un contexte mondial et régional
différent, marqué par la globalisation, donc il est important que la Ligue
arabe s'y adapte», a indiqué M. Messahel lors d'un point de presse
consacré à l'évaluation des résultats du 27e sommet arabe, tenu
récemment à Nouakchott, M. Messahel a également rappelé que
l'Algérie «a toujours recommandé et travaillé, depuis le sommet de la
Ligue arabe, tenu en 2005 à Alger, à ce que la Ligue arabe puisse se
transformer». «Il y a un processus de réformes qui a été mis en place»,
a-t-il encore dit, annonçant une réunion «importante des représentants
permanents le 3 août au Caire qui fera des propositions à la réunion
ministérielle le 3 septembre dans la capitale égyptienne».Sur le 27e
sommet arabe, M. Messahel a indiqué qu'il s'est tenu dans une
«conjoncture très difficile pour le monde arabe». «La tenue de ce sommet,
pour la première fois en Mauritanie, a été un défi relevé par ce pays qui
n'avait que trois mois et demi pour l'organiser, après le désistement
d'un autre pays membre (Maroc)», a-t-il ajouté, il a fait d’autre part savoir
que ce sommet a abordé les thématiques «habituelles», à savoir les quatre
grands conflits que connaît le monde arabe (Libye, Irak, Yémen et Syrie)
que pour ces quatre grands dossiers, l'approche algérienne «se confond
totalement avec l'approche arabe et vice-versa».Expliquant cette approche,
M. Messahel a indiqué que «nous avons toujours privilégié la solution
politique à ces conflits, le dialogue entre les différentes parties, des solutions
sous l'égide des Nations-Unies et des solutions basées sur le respect
de l'intégrité territoriale, la souveraineté et l'indépendance de ces pays».
Le conférencier a enfin rappelé la présence du président tchadien,
Idriss Deby, à cette rencontre, pour signifier l’importance qu’accorde la
Ligue arabe au monde africain.


R. N.

zadhand
16/09/2016, 22h29
L’Algérie y prendra part mardi à New York

le 16 - 09 - 2016

22212



L’Algérie sera présente, mardi à New York, à la 71e session de l’Assemblée générale de
l’Organisation des Nations unies, où le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine
et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, prendra part, aux travaux de la
réunion ministérielle plénière du Forum global de lutte contre le terrorisme,
dont l’Algérie est membre fondateur.
**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**


Un communiqué du ministère des Affaires étrangères a indiqué que «Abdelkader Messahel présentera lors de cette rencontre les conclusions des deux ateliers organisés par l’Algérie». Rappelant que le premier atelier international, qui s'était tenu à Alger les 27 et 28 avril 2016, avait planché sur le rôle de l'Internet et des réseaux sociaux dans la prévention et la lutte contre la radicalisation et le cyber-terrorisme, alors que le deuxième, organisé les 7 et 8 septembre 2016, avait traité du «rôle de la démocratie dans la prévention et la lutte contre l’extrémisme violent et le terrorisme». Selon le même communiqué «le ministre prendra part à New York à la conférence ministérielle sur la Libye, dont les travaux font suite aux deux réunions internationales sur la Libye, tenues respectivement le 13 décembre 2015 à Rome (Italie) et le 16 mai 2016 à Vienne (Autriche), à la lumière des derniers développements intervenus sur la scène libyenne». Il participera également aux réunions ministérielles de la Ligue des Etats arabes et de l’Union africaine au cours desquelles les questions politiques, économiques, institutionnelles et sécuritaires seront abordées. Abdelkader Messahel aura, à cette occasion, des entretiens avec différents responsables au titre des questions inscrites à l'ordre du jour de la session. Il est à noter que la 71e Assemblée générale de l’ONU s’ouvrira mardi après-midi à New York sur fond d’une crise géopolitique majeure, accentuée par la guerre et les crises migratoires au Moyen-Orient. Pour la première fois l’Assemblée générale a appelé de ses vœux à la tenue d’une réunion de haut niveau sur les déplacements massifs des réfugiés et des migrants. L’ONU a précisé que «la réunion prévue mardi prochain devrait réunir des chefs d’Etats et de gouvernements pour discuter de la gestion des mouvements des réfugiés et aussi d’un plan plus responsable en réponse à cette crise». Ces discussions interviendront juste après l’annonce d’un accord russo-américain sur une trêve en Syrie, où la guerre a fait plus de 250 000 morts et cinq millions de réfugiés, soit «la plus grande population de réfugiés pour un seul conflit en une génération», selon les termes du haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés. L’ONU qui avait salué l’accord a dit s’attendre à ce que toutes les parties facilitent les efforts des Nations unies pour livrer l’aide humanitaire aux populations, y compris celles qui vivent dans les zones assiégées. A quelques jours de la tenue de la réunion, l’ONU s’active pour faire adopter le projet de «déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants», qui sera prononcé au cours de sa séance plénière de haut niveau qui se tiendra le 19 septembre.Le projet de déclaration de la réunion ne fait pas l’unanimitéCependant, le document final de la déclaration, transmis la semaine dernière à la 71e Assemblée générale de l’ONU, ne fait pas l’unanimité parmi les parties concernées par ce dossier. L’Union européenne, souvent critiquée sur la question de la détention des enfants réfugiés et sur son manque d’implication dans la crise, a émis des réserves le document de l’ONU en mettant l’accent sur le partage des responsabilités. L’UE qui a reconnu la nécessité de parvenir à un accord consensuel sur le dossier des réfugiés, s’est défendue en précisant que «la détention des enfants ne pouvait être qu’un dernier recours dans des circonstances exceptionnelles» et que ses accords juridiques en place offraient une plus grande protection des droits de l’Homme des migrants et de leurs familles. La Russie a de son côté refusé toute interprétation du document final de la déclaration qui peut aller à l’encontre des principes fondamentaux de neutralité et du respect de l’intégrité territoriale des Etats. «La situation actuelle est le résultat de l’ingérence irresponsable dans les affaires intérieures du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord», a souligné la Russie vendredi dernier lors des discussions tenues sur ce document. Par ailleurs, l’ONU a affirmé de son côté qu’en dehors de toutes considérations, l’économie mondiale estimée à près de 77 000 milliards de dollars a été incapable de mobiliser 10 milliards de dollars de besoins humanitaires. «C’est frustrant», a déclaré hier, Mogens Lykketoft, président de la 70e Assemblée générale de l’ONU à propos de l’échec de la communauté internationale à engager les financements nécessaires pour résoudre cette crise et mettre un terme aux attaques contre les civils qui sont à l’origine des déplacements des réfugiés

zadhand
08/11/2016, 22h36
Crise libyenne
Appel à un accompagnement loyal


PUBLIE LE 09-11-2016


Le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue
des États arabes, Abdelkader Messahel, a réitéré, hier à Addis-Abeba,
l'appel de l'Algérie, au respect de la volonté du peuple libyen dans le
processus de règlement de la crise qui secoue son pays, invitant la
communauté internationale à un accompagnement «loyal et franc»
pour l'aider à sortir de cette crise.
**Hidden Content: Check the thread to see hidden data.**
«L’Algérie est convaincue que les Libyens ont la capacité de pouvoir
dépasser leurs divergences. C’est pourquoi mon pays appelle, de nouveau,
au respect de la volonté des Libyens qui doivent s’approprier le processus
de règlement de la crise et invite la communauté internationale à un
accompagnement loyal, franc et sans équivoque, pour les aider à sortir
définitivement leur pays de la crise qui perdure et des dangers qui le
guettent», a déclaré M. Messahel à la réunion au sommet du Comite de
haut niveau de l’UA sur la Libye.Il a rappelé, à ce propos, que «l’Algérie
n’a cessé, depuis le début de la crise en Libye, d’attirer l’attention sur les
dangers d’une impasse dans ce pays, et a appelé à l’urgence et à l’impératif
d’inclure, à l’exclusion des groupes terroristes listés comme tels par les
Nations unies, toutes les parties libyennes politiques, sécuritaires, culturelles,
cultuelles, représentants de tribus et de la société civile, à s’engager dans le
processus politique et à œuvrer dans le sens du rétablissement de la stabilité
et de la sécurité en Libye». M. Messahel a souligné que l’Algérie «a défendu
cette position depuis septembre 2012 auprès Nations unies, de tous les
frères libyens avec lesquels elle entretient du reste des relations suivies et
empreintes de respect et d’amitié, ainsi qu’auprès de tous les partenaires
étrangers». Il a assuré, à cet effet, que l’Algérie «continuera d’appuyer les
efforts des Libyens, des Nations unies, de l’Union africaine, des pays voisins,
de la Communauté internationale et de tous ceux qui s’inscrivent résolument
dans le processus de recouvrement de la paix dans ce pays frère, pour mettre
fin aux souffrances incommensurables du peuple libyen qui n’aspire qu’à vivre
dans des conditions de quiétude, de sérénité et de développement». Cette
réunion se tient à un moment «crucial du processus de règlement de la crise
en Libye dont l’impact et les conséquences sur nos pays sont avérés», a relevé
le ministre. «Elle nous offre l’occasion d’évaluer ensemble les efforts en cours
sur la voie du retour à la paix, à la sécurité et à la stabilité en Libye meurtrie
par plus de cinq années d’affrontements, et participe aussi de cet engagement
renouvelé de notre organisation continentale à accompagner les parties
libyennes à mener à son terme ultime le projet de rétablissement définitif et
durable de la paix qu’elles ont scellé en signant l’Accord politique le 17
décembre 2015», a-t-il expliqué. Il a rappelé, aussi, que «depuis le début des
évènements que connaît ce pays voisin et frère, l’Algérie s’est investie fortement
pour le règlement de la crise en Libye et a largement contribué à la conclusion
de l’Accord politique libyen de manière discrète et décisive en abritant de
nombreuses rencontres de partis politiques et d’activistes libyens, en
encourageant le rapprochement des parties libyennes et en privilégiant la voie
du dialogue et de la réconciliation, seuls garants d’une paix durable et définitive
dans ce pays». «C’est cette position que l’Algérie a constamment portée pour
une Libye unie, apaisée, prospère et réconciliée avec elle-même», a-t-il indiqué.
Ainsi, «la solution politique fondée sur le dialogue inclusif entre toutes les parties libyennes qui rejettent la violence est l’alternative pour la sortie de la crise en
Libye. Toute démarche différente et non consensuelle risque de prolonger
indéfiniment cette grave situation». L’Accord politique signé sous l’égide de
l’ONU par parties libyennes, «malgré les obstacles mis à sa mise en œuvre dans
les délais et règles impartis, constitue le cadre de règlement de la crise dans ce
pays», a-t-il précisé.Cet accord «représente un compromis consensuel de
négociations qui ne peut, en aucun cas, satisfaire toutes les parties ou répondre
à l’ensemble de leurs préoccupations. Étant entendu que cet Accord doit gérer
une période de transition. Sa mise en œuvre nécessite un soutien total et loyal
de la communauté internationale, à travers un agenda unique celui du
rétablissement de la paix et de la stabilité dans ce pays voisin et frère», a
expliqué M. Messahel. Il s’agit, également, de «l’impératif pour les trois
institutions issues de l’Accord politique libyen (Conseil Présidentiel du
Gouvernement d’entente nationale, Chambre des Représentants et Conseil
d’État), de travailler ensemble et de fédérer leurs efforts pour sortir de
l’impasse et de dépasser les contingences actuelles». La position de l’Algérie
porte, en outre, sur «l’importance pour les Libyens de s’approprier le processus politique et trouver des solutions à leurs différends dans le cadre du dialogue
inclusif afin de préserver l’unité et l’intégrité territoriale de leur pays, de sa
souveraineté et de sa cohésion nationale». L’Algérie a souligné, aussi,
«la nécessité d’encourager et d’élargir les bases du dialogue national interlibyen,
pour inclure toutes les parties, notamment celles influentes aux plans politique, sécuritaire, culturel, religieux, économique, social et ce, en vue d’aboutir au
consensus le plus large possible et d’obtenir une plus grande adhésion populaire». L’Algérie, qui a défendu cette approche, depuis le début du processus onusien,
demeure convaincue que «c’est la seule voie, à même d’accélérer la sortie de crise»,
a affirmé M. Messahel. Pour l’Algérie, «le dialogue et la réconciliation nationale,
sans exclusion aucune, et sans ingérence extérieure sont garants du règlement
définitif de la crise pour éviter à la Libye les périls de division et de déstabilisation», a-t-il insisté. «L’urgence de la formation par le Conseil Présidentiel, qui bénéficie
de notre soutien, d’un Gouvernement d’entente nationale et son approbation dans
les meilleurs délais possibles par la Chambre des Représentants, conformément
aux dispositions de l’Accord politique du 17 décembre 2015, sans aucune ingérence extérieure, ni pressions et menaces de quelle que partie que ce soit, pour permettre
à ce Gouvernement d’assumer souverainement et pleinement ses missions multiples
aux plans politique, économique et sécuritaire», a-t-il précisé. «La construction de
la Libye de demain nécessite la mise en place d’institutions fortes, unies, justes et équitables chargées de servir indistinctement tous les Libyens», a ajouté le ministre. L’Algérie «salue les victoires remportées par les forces libyennes dans leur lutte
contre le terrorisme, à Syrte, à Benghazi et dans d’autres localités du pays», a
indiqué M. Messahel, soulignant que «toutefois, cette lutte contre le terrorisme et
ses connexions ne peut être efficace que dans la mise en place d’institutions justes, crédibles et solides, seules capables d’éradiquer le terrorisme qui a déjà fait jonction
avec le crime organisé et qui constitue une menace pour la sécurité et la stabilité
des pays voisins». Pour l’Algérie, «le gel des fonds et autres ressources de la Libye
doit être levé pour permettre aux autorités légitimes et reconnues de répondre
aux besoins immédiats de la population, notamment en termes de fourniture d’électricité et d’eau, et dans les domaines de la santé, de l’éducation et de
l’amélioration des conditions de vie». L’Algérie insiste à ce que «l’UA, qui a tout entrepris en 2011 pour éviter à ce pays frère et voisin, les affres de l’intervention militaire, doit s’impliquer davantage aux côtés des Nations unies pour amener les
parties libyennes, la communauté internationale à soutenir le processus politique actuellement engagé pour le recouvrement de la paix, de la stabilité et de la sécurité dans ce pays, et à travailler avec les États voisins en raison de conséquences
directes de cette crise sur leur propre sécurité», a indiqué M. Messahel.


(APS)

zadhand
18/12/2016, 23h42
Conseil des ministres des AE de la Ligue arabe
On attend beaucoup de la présidence de l’Algérie


Publié le 18 décembre 2016

Le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe, Ahmed Ben Helli, a déclaré, hier à Oran, que le monde arabe attend beaucoup de la présidence de l’Algérie du Conseil des ministres arabes des AE, prévue à partir de mars 2017. « Tout le monde attend l’apport de l’Algérie durant sa prochaine présidence du Conseil des ministres arabes des Affaires étrangères au vu des succès de sa médiation et de son adoption du principe du dialogue et de la solution politique dans le règlement des conflits », a souligné Ben Helli, à l’issue d’entretiens avec le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, en marge de la deuxième journée du 4e séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique. « Ce que l’on attend de l’Algérie, c’est d’unifier la position arabe, de redynamiser le rôle de la Ligue arabe et de rapprocher les points de vue au sujet des questions fondamentales et communes de la nation arabe comme la situation en Syrie et en Libye, entre autres », a ajouté le même responsable. Ahmed Ben Helli a, par ailleurs, souligné la nécessité de tirer profit de l’expérience cumulée par le président Abdelaziz Bouteflika, considéré comme doyen de la diplomatie arabe et africaine, et l’une des références dans ce domaine. « Il faut s’appuyer sur sa vision perspicace de traiter et résoudre les crises », a-t-il recommandé.