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zadhand
06/03/2016, 19h57
A la une/Actualité_Elle lui demande d’intervenir auprès du gouvernement algérien pour sa libération
le 06.03.16 | 10h00


La famille de Kamel Eddine Fekhar saisit Ban Ki-moon

La famille de l’ancien membre de la Ligue pour la défense des droits
de l’homme (LADDH), Kamel Eddine Fekhar, saisit Ban Ki-moon.

22072


Profitant de la présence, depuis hier, du secrétaire général de l’Organisation
des Nations unies (ONU) en Algérie, elle l’interpelle pour intervenir auprès
du gouvernement algérien pour obtenir la libération de son fils et parent,
en détention depuis huit mois. «Nous vous demandons, à travers cette lettre,
d’intervenir auprès du gouvernement algérien pour obtenir la libération de notre fils
et parent arrêté en raison, essentiellement, de la lettre qu’il vous a adressée
le 2 juillet 2015», écrit la famille Fekhar dans ce document rendu public lors
d’une conférence de presse animée, hier à Alger, par son neveu,
Oussama Fekhar, et son avocat.Pour la famille, «Kamel Eddine Fekhar est accusé
par le gouvernement, parce qu’il défend et exige la protection des droit des Mozabites,
connus pour leur particularité en tant qu’Amazighs pratiquant un rite ibadite».
Mettant l’accent sur la nécessité de protéger cette minorité, la famille
du porte-parole du mouvement pour l’autonomie du M’zab rappelle, dans cette lettre,
que «plus de 90 détenus croupissent en ce moment en prison parce que leur opinion
ne cadre pas avec les idées défendues par le gouvernement algérien».
«Monsieur le secrétaire général, un nombre important de ces détenus ont été arrêtés
parce qu’ils faisaient leur prière avec Kamel Eddine Fekhar. Parmi eux, certains souffrant
de maladies chroniques et des vieux, dont l’âge dépasse la soixantaine. Leur libération
a été refusée arbitrairement alors que leurs dossiers sont vides, comme ils l’ont confirmé
à leurs proches après leur passage devant le juge d’instruction», ajoute-t-on dans cette lettre.
Kamel Eddine Fekhar entame une nouvelle grève de la faim
Selon les rédacteurs de ce document, Kamel Eddine Fekhar se considère menacé et soupçonne
«le gouvernement de vouloir l’éliminer soit à travers une liquidation physique dans sa cellule
ou via une condamnation à perpétuité». «Cette lettre sera adressée directement au premier
responsable de l’ONU», affirme Oussama Fekhar. Outre la saisine du secrétaire général de l’ONU,
Kamel Eddine Fekhar annonce également sa décision de reprendre, pour la troisième fois,
sa grève de la faim illimitée afin de protester contre sa détention provisoire qui sera prorogée,
selon Oussama Fekhar, aujourd’hui pour quatre mois supplémentaires. «Kamel Eddine Fekhar
dénonce une volonté du pouvoir de lui coller toutes les affaires. Celles-ci s’accumulent.
Il y a déjà trois autres affaires qu’on veut lui imputer sans la moindre preuve», souligne
encore Oussama Fekhar.Kamel Eddine Fekhar a été arrêté, rappelons-le, au début du mois
de juillet 2015, après les violents événements de Guerrara, dans la wilaya de Ghardaïa,
qui avaient coûté la vie à une vingtaine de personnes. Il est accusé de «constitution d’association
de malfaiteurs pour atteinte à la souveraineté de l’Etat, à l’unité nationale, à la sûreté de l’Etat»,
d’«attroupement armé et non armé» et d’«incitation au meurtre».



Madjid Makedh

zadhand
12/03/2016, 10h03
A la une/Essais nucléaires iraniens
12.03.2016 10:00
Washington fait appel au Conseil de sécurité

22209



Les tirs de missiles balistiques effectués par l’Iran ont fait réagir Washington,
qui, les qualifiant de « dangereux », demande que ce dossier soit discuté par
les 15 membres du Conseil de sécurité onusien lors de sa réunion prévue ce lundi,
a indiqué, hier vendredi, l’AFP qui cite l’ambassadrice américaine Samantha Power.
Pour le gouvernement américain, ces tirs sont un signal provocateur qui risque
de déstabiliser toute la région, déjà sous de très fortes tensions
« Nous allons évoquer ces dangereux tirs directement, lors de consultations lundi
au Conseil de sécurité, que nous avons demandées », a confirmé l’ambassadrice américaine.
Un responsable militaire iranien avait affirmé que « ces missiles pouvaient frapper
nos ennemis lointains, en particulier le régime sioniste d’Israël ». Déclaration qui avait fait
réagir Mme Power : « Nous condamnons de telles menaces contre un pays membre de l’ONU
et l’un de nos plus proches alliés », a-t-elle dit en soulignant « la nécessité de travailler avec
nos partenaires dans le monde pour freiner et affaiblir le programme balistique de l’Iran ».
Selon la résolution onusienne et l’accord nucléaire conclu en juillet 2015 entre
les grandes puissances et Téhéran, l’Iran doit s’abstenir de procéder aux tirs
de missiles balistiques équipés d’ogives nucléaires.

phoenix62
01/05/2016, 14h04
Détention en Algérie : «Une nuit, ils m’ont pissé dessus»




Libération.fr (http://www.liberation.fr/)Liberation.fr

1 mai 2016

























https://fr.news.yahoo.com/sy/ny/api/res/1.2/hFCmE10sok0DxsLFquXhww--/YXBwaWQ9aGlnaGxhbmRlcjtzbT0xO3c9ODAwO2lsPXBsYW5l/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/liberation/872789--.jpg
Dans la prison d'Oued-Ghir, près de Bejaia, dans le nord de l'Algérie, en 2011.Plus

Malgré les dénégations de l'Etat, l'ONU dénonce torture et humiliations sur des personnes détenues par le pays d'Afrique du Nord. Une dénonciation qui reste pour l'instant sans conséquence.
L’Algérie vient d’être pointée du doigt par le Comité des droits de l’homme de l’ONU pour détention arbitraire et torture, dans des «constatations» publiées la semaine dernière. En cause, le traitement d’un homme d’affaires ayant la double nationalité luxembourgeoise et algérienne, Medjoub Chani. Condamné à dix ans de prison pour corruption et blanchiment en mai 2015 (1), dans l’affaire de l’autoroute est-ouest, présentée comme le «chantier et corruption du siècle», qui traverse le nord de l’Algérie sur 1 200 km, il s’était plaint d’une détention arbitraire accompagnée de divers sévices. «Le plus dur n’est pas le classique passage à tabac qui accompagne presque chaque interrogatoire, tel que les gifles, les coups de pied et de poing.» Mais les humiliations : «Une nuit, ils m’ont pissé dessus parce que j’avais osé demander un peu d’eau pour me laver.» Faute de pouvoir compter sur la justice algérienne, il avait saisi l’ONU pour violation du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, signé en 1968 et ratifié par l’Algérie en 1989.
Pas de preuve et «aucun signe de violence, comme mentionné dans un examen médical», a rétorqué l’Etat algérien devant le Comité des droits de l’homme : «Il utilise ces allégations de torture comme moyen d’influencer les décisions de justice prises à son encontre.» L’argument fait bondir William Bourdon, l’un des avocats de Medjoub Chani : «Pour se dédouaner des actes de torture, on s’appuie sur une fiche médicale anonyme qui semble avoir été rédigée par la police elle-même. » En l’espèce, le Département du renseignement et de la sécurité (DRS).
«Absence d’une quelconque explication de l’Etat algérien»

Sujet déplacé et fusionné.
Et je vous remercie phoenix62 bon courage.

zadhand
06/07/2016, 00h44
COUPER L’ACCÈS INTERNET EST UNE ATTEINTE AUX DROITS DE L’HOMME, SELON L’ONU


Bonsoir , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f8/24173d1465319576-soit-dit-en-passant-11265305_1043944242289928_2384745649895165846_n.jp g) à l'occasion de l'Aid El-Fitr
je présente mes meilleurs vœux,bonheur, de santé et de prospérité
à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique

Par Romain Pomian-Bonnemaison
le 4 juillet 2016

24916

L’ONU a pris vendredi à l’unanimité une résolution non-contraignante contre
les coupures et les restrictions d’accès internet. Cette pratique est désormais
considéré universellement comme une atteinte aux Droits de l’Homme par
l’organisation. Le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU est parvenu à un
consensus sur la question de la coupure de l’accès internet. Selon la résolution
adoptée, le Conseil reconnaît désormais cette pratique comme constituant une
atteinte aux Droits de l’Homme. Le document renouvelle également deux résolutions, adoptées en 2012 et 2014 qui avaient déjà posé de manière claire que les Droits de l’Homme s’appliquent sur internet comme dans la vraie vie.Les mêmes droits que
les personnes ont hors-ligne doivent être également protégés en ligne.Cette résolution
fait plus particulièrement référence à l’article 19 de la charte, qui consacre la liberté d’expression. Comme vous vous en doutez, cette résolution n’a pas été obtenue sans peine. Un petit nombre de « membres influents de la communauté internationale »
ont même tenté de faire échouer. On trouve dans ce « club » des régimes autoritaires, notamment la Russie, la Chine et l’Arabie Saoudite. Mais aussi des démocraties,
Afrique du Sud et Inde en tête.Les diplomates participant aux négociations pour ces
états étaient particulièrement gênés par un passage de la résolution qui « condamne
d’une seule voix toute mesure intentionnelle visant à prévenir la dissémination d’information en ligne ou en interrompre l’accès ». Rappelons que cette résolutions
n’est pas contraignante les États peuvent toujours faire ce qu’ils veulent en la matière.
Mais s’ils s’obstinent, certains États peuvent considérer de tels agissement suffisants
pour par exemple ne pas signer un traité. Dans certains cas, cela peut donner à un
groupe important d’Etats les moyens d’exercer une forte pression sur membre qui
recourt à de telles pratiques.Des « murs virtuels » s’élèvent un peu partout dans le
mondeCette résolution est extrêmement bienvenue, à l’heure où des restrictions ou
des coupures d’internet sont mises en place dans de nombreux pays, pour de diverses raisons. Cela peut être une mesure prise dans l’urgence, comme en Turquie, où les réseaux sociaux ont été complètement bloqués après l’attentat meurtrier de l’aéroport d’Atatürk. Ou encore en Algérie, après la fuite des sujets du bac.
On a aussi connu cette pratique en France, avec la première version d’Hadopi. Bien évidemment dans d’autres Etats comme en Inde ou dans le Bahrain la pratique sert essentiellement à museler la dissidence et empêcher des manifestations d’avoir lieu.
Selon le journal américain The Verge, il y a eu 15 cas avérés de coupure ou restriction d’internet dans le monde en 2015. Cette année, ce chiffre devrait grimper ce genre de mesure a déjà été employée une vingtaine de fois !



عيد مبارك سعيد لكم و للأمة العربية و الإسلامي
يا من احبهم في الله .. ويا من احن واشتاق اليهم كل يوم .. لا املك سوى الدعاء لكم بالصحة والعافية وللجزائر والامة الإسلامية بالخير والمن والبركات .. يارب الف رحمة على أرواح موتانا، والشفاء للمرضى واللطف بذوي الحاجة.. يارب
Aid moubarak 2016.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f57/24908d1467751260-antutu-benchmark-aid-moubarak-2016.jpg)

zadhand
21/07/2016, 19h23
Une femme pourrait succéder à Ban Ki-moon

ONU
Publié le 21/07/2016 à 13:20


Le Conseil de Sécurité de l'ONU commence aujourd'hui l'examen
des candidatures à la succession de Ban Ki-moon.

25203


Plusieurs femmes figurent parmi les favorites, dont la Bulgare Irina Bokova, dans
cette compétition qui doit s'achever en septembre prochain.C'est aujourd'hui que commence le vote pour choisir le successeur de Ban Ki-moon. L'actuel secrétaire
général des Nations unies, achèvera son deuxième et dernier mandat de 5 ans à
la fin de l'année. Douze prétendants se sont manifestés pour lui succéder.
Depuis 70 ans, le choix du secrétaire général de l'ONU se faisait à huis clos.
Mais, cette fois-ci, l'Assemblée a imposé un processus totalement inédit et un peu
plus transparent: lettre de candidature, CV, profession de foi et, pour finir, grand oral.
Depuis 1945, l'ONU a toujours été dirigée par des hommes. Tous issus de différentes régions du monde, afin que l'ONU ne soit pas vue comme une organisation sous la
coupe de l'Occident. En appliquant ce principe de rotation géographique, le poste
devrait revenir à l'Europe de l'Est, seule zone géographique à ne pas encore avoir
été représentée. L'idée a également été émise qu'une femme puisse être élue pour
la première fois à ce poste prestigieux. La Bulgare Irina Bokova, 63 ans, et actuelle directrice de l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'Éducation, la Science
et la Culture) fait donc figure de grande favorite. La candidate met en avant son
expérience et sa notoriété internationale. Elle a été ministre des Affaires étrangères
par intérim, coordinatrice des relations entre la Bulgarie et l'Union Européenne, puis ambassadrice de la Bulgarie en France, à Monaco et auprès de l'Unesco.
C'est en 2009 qu'elle prend la tête de l'Unesco, devenant ainsi la première femme
à diriger l'institution onusienne.
Trois femmes et un homme
Mais Irina Bokova ne fait pas la course en tête puisque trois autres noms figurent
parmi les favoris. Tout d'abord celui d'Helen Clark. Cette Néo-Zélandaise de 66 ans, ancienne Première ministre, dirige actuellement le Programme des Nations unies
pour le Développement, ce qui fait d'elle la femme la plus haut placée dans la
hiérarchie des Nations unies. Début avril elle a officialisé sa candidature mettant en
avant son «expérience de dirigeante pendant près de 30 ans, à la fois dans son pays
et aux Nations unies». Autre favorite Susana Malcorra (61 ans), l'actuelle ministre argentine des Affaires étrangères. Cette diplomate a été, de 2008 à 2012, chef de
cabinet de Ban Ki-moon. Avant cela, elle était directrice adjointe du Programme
Alimentaire Mondial, où elle supervisait les opérations humanitaires d'urgence dans
plus de 80 pays. Parmi les favoris supposés, un seul homme Antonio Guterres (67 ans), l'ancien premier ministre portugais. Un temps pressenti pour devenir le président de la République de son pays, il a finalement été nommé Haut-Commissaire des Nations
unies pour les réfugiés par le prédécesseur de Ban Ki-moon.
La décision finale reviendra aux membres permanents du Conseil de Sécurité de
l'ONU. Les États-Unis, la Russie, le Royaume-Uni, la Chine et la France feront leur
choix après les auditions, avant de recommander un candidat à l'Assemblée Générale,
qui devrait officiellement confirmer la décision, au plus tard en septembre prochain,
pour une prise de fonction le 1er janvier 2017.

zadhand
19/08/2016, 21h31
Arabie saoudite à la tête du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU


Theresa May sous pression
19 août 2016, 14:54

Source/Reuters
La place occupée par l'Arabie saoudite au Conseil des droits de l'Homme de
l'ONU exaspère bon nombre d'observateurs.Le 13 septembre prochain, on saura
si Riyad conserve la tête du Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Au Royaume-Uni, le Premier ministre est pressé par une partie de la classe politique
et plusieurs ONG de voter contre. La polémique enfle. Le 21 septembre 2015, l’ambassadeur d'Arabie saoudite à Genève, Faisal Trad, présidait le panel du Conseil
des droits de l’homme des Nations unies. La stupeur était de mise dans bon nombre
de chancelleries. Comment un pays aussi critiqué pour le peu de cas qu'il fait du
respect des droits de l'homme sur son territoire peut-il être à la tête d’un panel censé
veiller à les faire respecter ? Les raisons sont toujours nébuleuses.
Quoi qu'il en soit, au Royaume-Uni, Theresa May est prise entre deux feux.
Le 13 septembre, un vote aura lieu pour savoir si l’Arabie saoudite conserve son poste
au sein du Conseil des droits de l'homme. D’un côté, Londres vend des quantités importantes d’armes et d’appareils militaires à Riyad.De l’autre, de nombreuses personnalités politiques et activistes pressent le 10 Downing Street d'annoncer publiquement qu’il votera contre le maintien de l'Arabie saoudite à la tête du panel.
Pour le moment, le gouvernement botte en touche.

zadhand
13/09/2016, 23h38
La 71ème Assemblée générale de l’ONU s’ouvrira mardi à New York sur fond de crise des réfugiés

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES
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Mardi, 13 Septembre 2016 17:35


NEW YORK - La 71ème Assemblée générale de l’ONU s’ouvrira mardi à New York sur fond d’une crise géopolitique majeure, accentuée par la guerre et les crises migratoires au Moyen Orient.
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Pour la première fois l’Assemblée générale a appelé de ses vœux à la
tenue d’une réunion de haut niveau sur les déplacements massifs des
réfugiés et des migrants.La réunion prévue lundi prochain devrait réunir
des chefs d’Etats et de gouvernements pour discuter de la gestion des
mouvements des réfugiés et aussi d’un plan plus responsable en réponse
à cette crise, a précisé l’ONU.Ces discussions interviendront juste après
l’annonce d’un accord russo-américain sur une trêve en Syrie,où la guerre
a fait plus de 250.000 morts et cinq millions de réfugiés, soit "la plus grande
population de réfugiés pour un seul conflit en une génération",selon les
termes du haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés.L’ONU qui avait
salué l’accord a dit s’attendre à ce que toutes les parties facilitent les efforts
des Nations Unies pour livrer l’aide humanitaire aux populations, y compris
celles qui vivent dans les zones assiégées.A quelques jours de la tenue de
la réunion, l’ONU s’active pour faire adopter le projet de "Déclaration de
New York pour les réfugiés et les migrants" qui sera prononcé au cours de
sa séance plénière de haut niveau qui se tiendra le 19 septembre.
Le projet de déclaration de la réunion ne fait pas l’unanimité
Cependant, le document final de la déclaration, transmis la semaine dernière
à la 71ème Assemblée générale de l’ONU, ne fait pas l’unanimité parmi les
parties concernée par ce dossier.L’Union Européenne, souvent critiquée sur
la question de la détention des enfants réfugiés et sur son manque d’implication
dans la crise, a émis des réserves le document de l’ONU en mettant l’accent
sur le partage des responsabilités.L’UE qui a reconnu la nécessité de parvenir
à un accord consensuel sur le dossier des réfugiés s’est défendue en précisant
que la détention des enfants ne pouvait être qu’un "dernier recours dans des
circonstances exceptionnelles" et que ses accords juridiques en place offraient
une plus grande protection des droits de l’homme des migrants et de leurs
familles.La Russie a de son côté refusé toute interprétation du document final de
la déclaration qui peut aller à l’encontre des principes fondamentaux de neutralité
et du respect de l’intégrité territoriale des Etats."La situation actuelle est le
résultat de l’ingérence irresponsable dans les affaires intérieures du Moyen Orient
et d’Afrique du Nord", a souligné la Russie vendredi dernier lors des discussions
tenues sur ce document.L’ONU a affirmé de son côté qu’en dehors de toutes considérations, l’économie mondiale estimée à près de 77.000 milliards de dollars
a été incapable de mobiliser 10 milliards de dollars de besoins humanitaires.
"C’est frustrant", a déclaré vendredi, Mogens Lykketoft, président de la 70ème
Assemblée générale de l’ONU à propos de l’échec de la communauté internationale
à engager les financements nécessaires pour résoudre cette crise et mettre un
terme aux attaques contre les civils qui sont à l’origine des déplacements des réfugiés.Réfugiés un sommet américain parallèle à celui de l’ONU
En parallèle à cette rencontre, le président Barack Obama organisera le 20
septembre à New York un sommet des dirigeants sur les réfugiés qui exhortera
les gouvernements à prendre de nouveaux engagements en faveur des personnes déplacées par la guerre.En dépit des déclarations de responsables américains sur
la nécessité d’augmenter les engagements financiers en faveur des réfugiés, la
Maison Blanche a refusé de s’engager sur un objectif chiffré concernant leur
accueil.Le 29 août dernier, la Maison Blanche avait annoncé l’accueil de 10.000
réfugiés syriens en un an, remplissant un engagement pris par le président Obama
sur un sujet qui divise la classe politique américaine.Mais cet objectif reste dérisoire
face à l’ampleur de la catastrophe humanitaire en Syrie. La position américaine a
été notamment rendue intenable par l’Allemagne qui a accueilli en 2015 un million
de demandeurs d’asile pour la plupart originaires de Syrie et d’Irak et prévoit
300.000 nouveaux arrivants en 2016.Washington a été régulièrement critiqué pour
son manque de réactivité face à la crise migratoire massive déclenchée par le conflit
en Syrie. En pleine campagne électorale pour la présidentielle, les républicains ont
insisté sur l’arrêt de l’accueil de ces réfugiés par crainte d’infiltration des éléments
de l’organisation de l’Etat Islamique.Tandis que le sommet présidentiel examinera
la question des réfugiés, la réunion de haut niveau de l’Assemblée générale se
penchera sur les déplacements massifs des migrants et des réfugiés. Les deux événements seront complémentaires, selon l’ONU.Par ailleurs, l’ONU a reporté au
jeudi 16 septembre la discussion sur l’inscription à l’ordre du jour de la 71 ème
Assemblée générale de la question de sensibilisation de l’opinion mondiale au
drame des migrants en particulier les demandeurs d’asile syriens.La Syrie rejointe
par l’Iran et le Venezuela ont dénoncé "les motifs politiques" qui sous-tendent
l’inclusion de ce thème à l’ordre du jour de l’Assemblée en refusant qu’il soit maintenu.Outre, le dossier épineux des réfugiés, l’Assemblée générale devrait
aborder les questions liées au maintien de la sécurité et de la paix internationales
et au développement durable notamment en Afrique.

zadhand
03/10/2016, 19h19
L’Algérie entame la présidence de la commission de l’ONU
chargée des questions de désarmement

03/10/2016 - 17:51


L’Algérie a entamé lundi à New York, la présidence de la commission chargée des questions
de désarmement et de sécurité internationale de la 71ème session de
l’Assemblée générale des Nations Unies.
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Dans sa déclaration d’ouverture, le représentant permanant
de l’Algérie auprès des Nations Unies, M. Sabri Boukadoum,
qui assume la présidence de la commission au nom de l’Algérie
"a mis l’accent sur l’importance des questions liées au désarmement,
à la non-prolifération et à la sécurité internationale".M. Boukadoum,
a rappelé à ce titre que l’Algérie "apportait une contribution
significative à la question de désarmement à travers sa participation
active et constructive dans ce domaine". Il a souligné que "les défis
auxquels fait face la communauté internationale, appellent, plus que
jamais, à intensifier les efforts en vue de réaliser un monde plus sûr
pour tous et à instaurer la paix et la sécurité".La commission, que
l’Algérie préside pour la première fois, traite de toutes les questions
liées au désarmement, à la non-prolifération et à la sécurité internationale,
et a pour mandat de formuler des recommandations à l’intention des
Etats dans les domaines de sa compétence.Cette année, la commission
se penchera de manière approfondie sur la situation dans le domaine du
contrôle des armes, ainsi que sur les questions liées aux armes de
destruction massive, notamment nucléaires et aux mesures du désarmement
dans l’espace extra atmosphérique.Au programme de la commission cette
année figure également l’examen des questions liées aux armes classiques,
au désarmement régional et aux mécanismes de désarmement de l’ONU.
L’élection de l’Algérie à la présidence de cette importante commission des
Nations Unies "témoigne encore une fois de l’engagement de l’Algérie en
faveur de la réalisation des objectifs de désarmement et de la
non-prolifération".Outre la présidence de l’Algérie, le Bureau de cette
commission est composé de l’Indonésie, du Guatemala, de la République
tchèque et de l’Australie.

zadhand
07/10/2016, 10h09
Antonio Guterres remplacera Ban Ki-moon

ONU
le 07.10.16 | 10h00


Le Portugais Antonio Guterres a obtenu hier le soutien unanime des
15 membres du Conseil de sécurité pour devenir le neuvième
secrétaire général des Nations unies.

Se voulant homme d'action et de consensus, l'ancien Premier ministre portugais,
Antonio Guterres, soutenu hier pour être le prochain secrétaire général de l'ONU,
est un socialiste modéré, catholique et pro-européen, qui a gagné ses galons en tant
que Haut commissaire de l'Onu aux réfugiés (HCR). Plus convaincant que ses rivaux
dès les auditions passées à la mi-avril devant l'Assemblée générale, l'ex-patron de
l'agence onusienne pour les réfugiés s'était imposé comme favori à la succession de
Ban Ki-moon en remportant tous les scrutins indicatifs organisés au Conseil de
sécurité. Jonglant avec aisance entre français, anglais et espagnol, cet homme
de 67 ans au sourire discret, cheveux grisonnants tirés sur le côté, a promis
alors de dynamiser la bureaucratie onusienne «Il y a trop de réunions, avec
trop de participants et pas assez de décisions.» Mis à l'épreuve par la plus
grave crise de réfugiés depuis des décennies en raison de la guerre civile en
Syrie, il n'a cessé de lancer des cris d'alarme à la communauté internationale
pour plus de solidarité envers les millions de migrants et demandeurs d'asile.
Tribun
Le bilan de ses deux mandats à la tête du HCR (2005-2015) est également marqué
par une réforme de son organisation interne, qui a permis de réduire le personnel
basé à Genève afin d'augmenter sa capacité d'intervention d'urgence à l'international. Ingénieur de formation, né à Lisbonne le 30 avril 1949, Antonio Guterres entame son
parcours politique au sein des mouvements catholiques avant d'entrer au Parti socialiste portugais (PS), pour lequel il milite au lendemain de la Révolution des œillets de 1974,
qui a mis fin à près de 50 ans de dictature. Elu député de la première législature en
1976, Antonio Guterres a longtemps siégé au Parlement, gagnant dans les joutes
oratoires une réputation de tribun au verbe facile qui lui a valu le sobriquet de
«marteau-piqueur parlant».En 1992, il devient secrétaire général du Parti
socialiste, alors dans l'opposition. Sous la direction de cet homme d'appareil
à l'allure simple et affable, les socialistes remportent les législatives d'octobre
1995, une victoire qui le propulse au poste de Premier ministre. Le Portugal
connaît alors une période d'expansion accélérée et de quasi-plein emploi, qui
permet à M. Guterres de créer le «revenu minimum garanti», une de ses
mesures phare, et de faire passer dans l'opinion l'image d'un homme politique
ouvert au dialogue.
Diplomate
Cet Européen convaincu se fixe pour objectif prioritaire l'entrée dans l'euro, pari qu'il remporte avec succès. Reconduit après les législatives de 1999, Antonio Guterres
restera dans l'histoire comme le premier chef d'un gouvernement minoritaire à mener
son mandat à terme depuis l'avènement de la démocratie au Portugal.Ses détracteurs, notamment au sein du PS, lui reprochent cependant d'avoir contribué à la
victoire du «non» lors du référendum de 1998 sur la dépénalisation de
l'avortement, car ce fervent catholique n'a jamais caché ses réticences à l'égard
de l'interruption volontaire de grossesse. Lorsque le Timor oriental, ancienne
colonie portugaise, est ravagé par les massacres de milices pro-indonésiennes
en 1999, après la victoire des partisans de l'autodétermination au référendum,
M. Guterres met en œuvre toute son habileté diplomatique pour parvenir à convaincre la communauté internationale de la nécessité d'une intervention
des Nations unies.Au premier semestre 2000, sa présidence tournante
de l'Union européenne est considérée comme une réussite, grâce à
l'organisation du premier sommet UE-Afrique et à l'adoption de l'Agenda de
Lisbonne pour la croissance et l'emploi. Pourtant, au Portugal, sa popularité
faiblit. La conjoncture économique se détériore et M. Guterres apparaît
incapable de donner un nouveau souffle à son second gouvernement. Fin 2001,
les socialistes perdent les élections municipales et leur secrétaire général démissionne du poste de Premier ministre sur-le-champ, à mi-parcours
de son mandat.Président de l'Internationale socialiste déjà depuis 1999, il
abandonne alors la vie politique portugaise pour se consacrer à sa carrière diplomatique à l'étranger. Depuis, son nom revient tout de même parmi les
candidats potentiels à chaque élection présidentielle au Portugal, mais il a
toujours refusé d'endosser ce rôle d'arbitre : «J'aime l'action, le terrain, les
choses qui m'obligent à intervenir en permanence.» M. Guterres a eu deux
enfants avec sa première épouse, décédée en 1998. Il s'est remarié depuis.

Agences

Lako
13/10/2016, 18h07
Nommé secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres promet de s’attaquer au terrorismeDans un discours prononcé jeudi après sa nomination, l’ancien premier ministre du Portugal a promis de combattre « terroristes » et « populistes ».
http://s2.lemde.fr/image/2016/10/13/534x0/5013252_6_2df5_le-nouveau-secretaire-general-des-nations_7b7b4110ad8bcdf580324d90495f4385.jpg

C’est officiel, le Portugais Antonio Guterres (http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/09/16/antonio-guterres-le-bon-candidat-pour-l-onu_4998819_3232.html) sera le prochain secrétaire général de l’ONU. L’Assemblée générale l’a formellement nommé le jeudi 13 octobre. Dès le 1er janvier, il succédera au Sud-Coréen Ban Ki-moon. En attendant, il prendra ses quartiers dans des bureaux temporaires situés en face du siège de l’ONU à New York (Etats-Unis).L’élection de M. Guterres par les 193 pays membres de l’ONU était une formalité, après qu’il a reçu un soutien unanime du Conseil de sécurité (http://www.lemonde.fr/international/article/2016/10/06/onu-le-conseil-de-securite-choisit-antonio-guterres_5009439_3210.html) début octobre. Ex-haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés et ancien premier ministre duPortugal (http://www.lemonde.fr/portugal/), il a été désigné pour une durée de cinq ans.
Le terrorisme et la Syrie (http://www.lemonde.fr/syrie/) en ligne de mireAprès son élection de jeudi, Antonio Guterres a prononcé un discours au cours duquel il a annoncé vouloir (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/vouloir/) combattre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/combattre/) « populistes » et « terroristes ». Une promesse en continuité avec ce qu’il avait promis dès sa désignation la semaine dernière, à savoir : « Servir les plus vulnérables », comme « les victimes des conflits ».
D’ailleurs, jeudi, il a également appelé les grandes puissances à surmonter (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/surmonter/) leurs divisions sur la Syrie, à l’approche de nouvelles discussions (http://www.lemonde.fr/discussions/) internationales sur ce conflit. « Quelles que soient les divisions, il est plus important de s’unir, a-t-il déclaré. Il est grand temps de se battre (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/troisieme-groupe/battre/) pour la paix. »
Un mandat attenduGuerre en Syrie, crise des réfugiés et tensions entre les Etats-Unis et la Russie (http://www.lemonde.fr/russie/)… les dossiers sur le bureau du nouveau secrétaire général de l’ONU sont complexes et les attentes quant à son mandat sont fortes.
Avec lui, « les Nations Unies se dotent du meilleur barreur possible pour cette période de tempêtes : un leader capable de tracer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/tracer/) une direction et de rassembler (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/rassembler/), un grand professionnel capable de réformer (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/premier-groupe/r%C3%A9former/) et d’innover, un humaniste doté d’une vraie boussole morale », avait estimé avant sa confirmation l’ambassadeur français à l’ONU, François Delattre.

zadhand
18/12/2016, 19h55
Syrie Le sort d’Alep reste incertain après la réunion du
Conseil de sécurité de l’ONU






Publié le 18.12.2016 à 18:33
Mis à jour le 18.12.2016 à 21:08





CONFLITS Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni ce dimanche pour examiner une résolution française sur l’évacuation des civils et insurgés d’Alep…
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C’est un nouvel échec pour les Nations unies et pour la diplomatie française dans le dossier syrien. Le Conseil de sécurité de l’ONU s’est réuni ce dimanche pour se prononcer sur un projet de résolution présenté par Paris sur l’évacuation des dizaines de milliers de civils de la ville d’Alep. Au cours de cette réunion à huis clos, la Russie a promis de mettre son veto aux propositions françaises, tout en présentant sa propre résolution. Puis, en début de soirée, des diplomates faisaient savoir qu’un « terrain d’entente » avait été trouvé et qu’une résolution sur l’envoi d’observateurs serait soumise aux votes ce lundi. Retour sur une journée de bras de fer…


Que prévoyait la résolution française ?

Le texte de travail proposait de redéployer à Alep le personnel humanitaire de l’ONU déjà présent en Syrie vers Alep « pour une surveillance adéquate neutre et une observation directe » de « l’évacuation des parties assiégées d’Alep », pour contrôler que le cessez-le-feu tienne et vérifier que l’accès humanitaire se fasse. Paris proposait aussi de déployer des personnels supplémentaires et demandait à la Syrie de donner un droit d’accès à ces observateurs. Les Etats-Unis soutenaient cette proposition, comme l’avait indiqué vendredi l’ambassadrice américaine à l’ONU Samantha Power « Nous espérons voter ce week-end, en raison de l’extrême urgence » de ce dossier. Le président américain Barack Obama avait déjà réclamé vendredi un déploiement d’observateurs impartiaux pour superviser les évacuations. Selon la diplomatie française, ce texte était soutenu par une « écrasante majorité du Conseil de sécurité ».


Comment a-t-elle été rejetée ?

La Russie, membre permanent du Conseil de sécurité, a usé de son droit de veto ce dimanche. « Nous ne pouvons laisser voter ce texte car c’est un désastre », a déclaré Vitali Tchourkine qui juge ce texte « impraticable et dangereux ». Pour justifier ce veto, l’ambassadeur russe Vitali Tchourkine a évoqué « des éléments discutables ». « Déployer des observateurs prend des semaines, penser qu’on peut le faire en deux ou trois jours n’est pas du tout réaliste », a-t-il souligné.


Que propose la Russie ?

L’ambassadeur russe à l’ONU a ajouté que la Russie, alliée du régime syrien de Bachar al-Assad, allait proposer son propre projet pour déployer des observateurs à Alep, mais sans donner de détails.
Le texte russe, que l’AFP a pu consulter, ne mentionne pas la présence d’observateurs internationaux sur le terrain. Il demande à l’ONU de prévoir des « arrangements » afin de « superviser la situation des civils encore présents à Alep ». La proposition russe souligne également « l’importance d’assurer le passage volontaire, digne et en toute sécurité de tous les civils (…) sous la supervision et la coordination de l’ONU, vers une destination de leur choix ».


« Un terrain d’entente » aurait finalement été trouvé

Ce dimanche soir, des diplomates ont affirmé que le Conseil de sécurité de l’ONU se prononcera ce lundi matin sur une résolution prévoyant le déploiement d’observateurs à Alep afin de superviser les évacuations et l’assistance humanitaire. L’ambassadeur français François Delattre a dit à la presse
que les 15 pays avaient trouvé « un terrain d’entente » sur un texte de compromis, son collègue
russe Vitali Tchourkine estimant qu’il s’agissait « d’un bon texte ».


​En attendant, que se passe-t-il à Alep ?

Selon l’émissaire de l’ONU pour la Syrie Staffan de Mistura, il resterait environ 40 000 civils et entre 1 500 et 5 000 combattants avec leurs familles dans une poche rebelle de la ville, conquise presque entièrement par le régime du président Bachar al-Assad après une violente offensive aérienne et terrestre qui a duré un mois, doublée d’un siège hermétique depuis juillet. Ce dimanche, des dizaines de bus ont commencé à entrer dans le réduit rebelle d’Alep en vue de permettre une reprise de l’évacuation. Selon l’agence de presse officielle syrienne Sana, « les bus ont commencé à entrer dans les quartiers de Zabdiyé, Salaheddine, al-Machad et al-Ansari dans l’est d’Alep sous la supervision du Croissant-Rouge et du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) pour faire sortir ceux qui restent des terroristes [le terme employé par Damas pour désigner les rebelles] et de leurs familles ».
Mais ce dimanche soir, l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) a fait savoir que les évacuations qui devaient avoir lieu à Alep et dans deux villages chiites de Syrie, Foua et Kafraya ont été reportées jusqu’à nouvel ordre « en raison de l’absence de garanties concernant la sécurité des évacués ». Le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane, a ajouté que la suspension était due à l’attaque par des hommes armés d’une vingtaine de bus envoyés pour les évacuations

jim63
18/12/2016, 20h58
salam

Observatoire syrien des droits de l’Homme !!!

zadhand
22/12/2016, 21h18
Le Conseil de sécurité de l’ONU reporte
le vote sur les colonies israéliennes


Le Monde.fr avec AFP | 22.12.2016 à 15h42
Mis à jour le 22.12.2016 à 17h01


Proposé par l’Egypte, le texte affirme que les colonies
« mettent gravement en péril la viabilité de la solution à
deux Etats », qui ferait coexister Israël et un Etat palestinien.

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Le vote n’aura finalement pas lieu. Le Conseil de sécurité de l’Organisation
des nations unies (ONU) devait se pencher, jeudi 22 décembre, sur un projet
de résolution réclamant qu’Israël cesse ses activités de colonisation dans les territoires palestiniens et à Jérusalem-Est. Mais, à la demande de l’Egypte,
qui est à l’origine du texte, le vote a été reporté à une date inconnue, selon
des diplomates cités par l’Agence France-Presse.Le Caire souhaite en effet
plus de temps pour mener des consultations sur le sujet. Le président élu,
Donald Trump, a en effet appelé jeudi les Etats-Unis à mettre leur veto à
ce texte. Une résolution similaire s’était déjà heurtée au veto des Etats-Unis
en 2011. Donald Trump et l’extrême droite israélienne. Comme les
États-Unis le disent depuis longtemps, la paix entre Israéliens et Palestiniens
ne peut venir que de négociations directes entre les parties, et non à travers
des conditions imposées par les Nations unies »,a fait valoir le futur président états-unien dans un communiqué. Nétanyahou en appelle aux États-Unis .
Le texte affirme notamment que les colonies « mettent gravement en péril la
viabilité de la solution à deux Etats », qui ferait coexister Israël et un Etat palestinien. Les Nations unies considèrent cette colonisation comme illégale
au regard du droit international et ont appelé à plusieurs reprises Israël à y
mettre fin.Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a également demandé aux Etats-Unis de bloquer une nouvelle fois le projet de résolution
en usant de leur droit de veto. L’ambassadeur d’Israël auprès des Nations unies, Danny Danon, a qualifié le projet de résolution de « sommet de l’hypocrisie »
et a écrit dans un communiqué que son adoption « ne ferait que récompenser la politique palestinienne d’incitation [à la haine] et de terrorisme »

zadhand
24/12/2016, 12h27
Israël refuse de respecter la résolution
de l’Onu sur la colonisation


International / 09:29 24.12.2016

Au lendemain de l’adoption par le Conseil de sécurité de l’ONU de la
résolution lui demandant de cesser les implantations dans les territoires
palestiniens et à Jérusalem-Est, Israël rejette le document en le traitant
de «honteux». L'Onu adopte une résolution contre la colonisation
israélienne, les USA s'abstiennent Israël rejette la résolution adoptée
par le Conseil de sécurité de l’ONU et ne s’y conformera pas, a écrit sur
son compte Twitter le porte-parole du premier ministre israélien,
Ofir Gendelman. Un communiqué de presse diffusé par les services du
premier ministre Benjamin Netanyahu confirme cette déclaration.
« Israël rejette cette résolution anti-israélienne honteuse des Nations
unies et ne s'y conformera pas », lit-on dans le communiqué. Il s'agit
d’un « grand camouflet » pour Israël, a estimé de son côté Nabil Abou
Roudeina, porte-parole de la présidence palestinienne, parlant « d'une
condamnation internationale unanime de la colonisation et d'un fort
soutien à une solution à deux Etats. » L'Onu adopte une résolution contre
la colonisation israélienne, les USA s'abstiennent Vendredi, pour la
première fois depuis 1979, le Conseil de sécurité a demandé à Israël
de cesser les implantations dans les territoires palestiniens et à Jérusalem
-Est, dans une résolution rendue possible par la décision des Etats-Unis
de ne pas utiliser leur droit de veto. Les Etats-Unis se sont abstenus alors
qu'ils avaient toujours soutenu Israël jusqu'ici sur ce dossier extrêmement
sensible. Les 14 autres membres du Conseil ont voté en faveur de ce texte initialement proposé par l'Egypte. Auparavant, il avait été annoncé que
l’Egypte avait officiellement retiré le projet de résolution, alors que quatre
autres pays, à savoir le Sénégal, le Venezuela, la Nouvelle-Zélande et la
Malaisie, avaient décidé de « venir en aide » aux Palestiniens et de
présenter pour leur part le projet. Selon un haut responsable du gouvernement
israélien, le projet de résolution a été promu par Barack Obama et le secrétaire
d’Etat américain John Kerry. Selon ce responsable, l’administration sortante
a même participé à la création de ce document sans en informer Tel-Aviv.
La résolution votée vendredi exhorte Israël à « cesser immédiatement et
complètement toute activité de colonisation en territoire palestinien occupé,
dont Jérusalem-Est », affirmant par ailleurs que les colonies israéliennes
« n'ont pas de valeur juridique » et sont « dangereuses pour la viabilité d'une
solution à deux Etats », précise l’AFP. Suivez Sputnik sur Telegram pour ne
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zadhand
01/01/2017, 12h08
Antonio Guterres

01/01 à 11:30

Ban Ki-moon quitte l’ONU sur un bilan décevant
31.12.2016

Le secrétaire général des Nations unies sud-coréen,
dont le successeur, Antonio Guterres, prendra ses fonctions
le 1er janvier, est resté dix ans à la tête de l’organisation.
En dix ans et deux mandats à la tête des Nations unies,
Ban Ki-moon n’a jamais su dépasser les blocages inhérents
à l’organisation internationale et incarner son rôle de « pape
diplomate ».Dans un monde plus divisé et incertain,il laisse
à son successeur, Antonio Guterres, qui prend ses fonctions le
1er janvier 2017, une organisation discréditée par la guerre en Syrie.

Un réformateur à la tête de l'Onu


Jamais un secrétaire général de l'Onu n’a semblé être autant l’homme de la situation. Jamais la tâche n’a paru plus difficile.
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Il a de l'expérience, du charisme et de l'ambition.
L'ancien Premier ministre portugais ne mâche pas ses
mots, est lucide sans être cynique. «Le fait que nous
assistions au déclenchement d'un nombre si important
de nouvelles crises, sans qu'aucunes des anciennes ne
soient réglées, illustre clairement l'absence de capacité
et de volonté politique de mettre fin aux conflits, voire
de les prévenir », écrivait Antonio Guterres fin 2015
alors qu'il terminait ses deux mandats à la tête du Haut
Commissariat aux réfugiés (HCR). Volontariste, ce
catholique plein de compassion a profondément
restructuré l'agence de l'ONU réduisant d'un tiers les
effectifs installés au siège, à Genève, pour les réaffecter
autant que possible sur le terrain. « Vous ne pouvez
imaginer ce que c'est que de voir de tels niveaux de
souffrance », avait-il avoué lors d'un débat organisé par
« The Guardian ».L'ONU doit « reconnaître ses insuffisances »
Sa nomination au poste de Secrétaire général, fait unique,
a été acquise à l'unanimité. Il va falloir maintenant qu'il
mène les 193 pays de l'organisation vers la réforme
majeure de l'institution qu'il appelle de ses voeux et qui
doit, dit-il, « reconnaître ses insuffisances ». Comme il
va falloir qu'il se fasse entendre des Etats sur les dossiers
difficiles de la Syrie, du Yemen ou du Soudan du Sud.
D'ores et déjà les ONG s'inquiètent de sa capacité à
vaincre l'égoïsme et l'opportunisme des Etats. Mais
d'aucuns se souviennent de son extrême habileté à avoir
organisé l'intervention des Nations Unies au Timor
Oriental, une ancienne colonie portugaise, en 1999.Tout
comme ils reconnaissent en lui un formidable tribun,
polyglotte de surcroît. ce qui lui a valu le surnom de
« marteau piqueur parlant »..Diplomate agile.Avant d'être
un diplomate agile et un orateur convaincant, cet ingénieur
a d'abord été un militant. Engagé au parti socialiste
portugais au moment de la Révolution des Oeillets, il sera
nommé secrétaire d'Etat en charge de l'industrie à 25 ans!
Premier ministre de 1995 à 2002, il n'a pas pu achever son
deuxième mandat après une défaite de son parti lors
d'élections locales. Mais il a pu, profitant de la présidence
tournante de l'Union européenne, faire adopter l'agenda de
Lisbonne pour la croissance et l'emploi et organiser le
premier sommet entre l'Union européenne et l'Afrique. Il
lui appartient désormais de naviguer des eaux internationales
de plus en plus imprévisibles et dangereuses