zadhand
05/03/2016, 18h15
A la une/Actualité_Victimes de Violences Policières
le 05.03.16 | 18h44
Le cri de détresse d’un jeune victime de la violence policière à Oum El Bouaghi
Fethi Zerdani réclame « l’ouverture d’une enquête sur
les dépassements de la police d’Oum El Bouaghi,
à sa tête le commissaire principal ».
22046
« Des éléments de la police m’ont frappé violement dans les locaux du commissariat.
On m’a assené de sales coups (…) au-dessous de la ceinture », écrit le jeune de 29 ans,
dans sa lettre adressée, entre autres, au président de la République,
au DGSN, à Farouk Ksentini et à Laddh.
Les faits remontent à décembre 2015, quand les éléments de la police sont venus disperser
un sit-in de protestation organisé par des jeunes devant le siège de la wilaya, pour réclamer
l’amélioration de leurs conditions de vie. « Les agents nous frappaient en présence et
sur ordre du commissaire principal Mehdi El Tourki. », témoigne Fethi Zerdani
dans une déclaration à Elwatan.com.
« Je n’ai pas porté plainte parce que le médecin de l’hôpital n’a pas pu me délivrer
un certificat médical. Les coups n’ont pas laissé de traces visibles…», explique-t-il.
Et d’ajouter : « La police m’a accusé d’avoir agressé un officier et deux agents.
Ce qui est faux ! D’ailleurs ils ne m’ont pas présenté devant la justice ».
Zerdani Fethi réclame « l’ouverture d’une enquête sur les dépassements de
la police d’Oum El Bouaghi et à sa tête le commissaire principal ».
Un mois après l’envoie de sa plainte - lettre recommandée
la victime n’a reçu aucune réponse.
Farouk Djouadi
le 05.03.16 | 18h44
Le cri de détresse d’un jeune victime de la violence policière à Oum El Bouaghi
Fethi Zerdani réclame « l’ouverture d’une enquête sur
les dépassements de la police d’Oum El Bouaghi,
à sa tête le commissaire principal ».
22046
« Des éléments de la police m’ont frappé violement dans les locaux du commissariat.
On m’a assené de sales coups (…) au-dessous de la ceinture », écrit le jeune de 29 ans,
dans sa lettre adressée, entre autres, au président de la République,
au DGSN, à Farouk Ksentini et à Laddh.
Les faits remontent à décembre 2015, quand les éléments de la police sont venus disperser
un sit-in de protestation organisé par des jeunes devant le siège de la wilaya, pour réclamer
l’amélioration de leurs conditions de vie. « Les agents nous frappaient en présence et
sur ordre du commissaire principal Mehdi El Tourki. », témoigne Fethi Zerdani
dans une déclaration à Elwatan.com.
« Je n’ai pas porté plainte parce que le médecin de l’hôpital n’a pas pu me délivrer
un certificat médical. Les coups n’ont pas laissé de traces visibles…», explique-t-il.
Et d’ajouter : « La police m’a accusé d’avoir agressé un officier et deux agents.
Ce qui est faux ! D’ailleurs ils ne m’ont pas présenté devant la justice ».
Zerdani Fethi réclame « l’ouverture d’une enquête sur les dépassements de
la police d’Oum El Bouaghi et à sa tête le commissaire principal ».
Un mois après l’envoie de sa plainte - lettre recommandée
la victime n’a reçu aucune réponse.
Farouk Djouadi