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zadhand
16/02/2016, 22h34
A la une/Actualité_Le groupe va s’endetter à l’extérieur
le 16.02.16 | 10h00

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Sonelgaz le dos au mur


Compte recourir aux financements extérieurs pour pouvoir réaliser son plan d’investissement.
Son PDG, Noureddine Boutarfa, a avoué hier que cette option est dictée par l’urgence
et que les apports fournis par la récente augmentation des tarifs et les emprunts obligataires
lancés sont loin de garantir les fonds nécessaires. Le même responsable a plaidé pour
d’autres «augmentations progressives» des tarifs à terme, loin de toute pression politique.



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Le groupe Sonelgaz entend investir près de 50 milliards de dollars à l’horizon 2025.
Minée, cependant, par des déficits chroniques induits par un niveau des tarifs qui
ne suffit plus à couvrir les besoins du groupe en matière d’investissements,
Sonelgaz pense déjà recourir aux crédits extérieurs afin de boucler ce programme.
«Nous sommes dans l’urgence», expliquait hier le président-directeur général
du groupe public, Noureddine Boutarfa, de passage au forum d’El Moudjahid à Alger.
M. Boutarfa a indiqué que le groupe qu’il dirige doit investir plus de 5000 milliards de dinars.
Or, le plan de financement de ce programme souffre d’un manque de 1100 milliards
de dinars, soit 9,5 milliards de dollars, qu’il faudra mobiliser.
Le PDG du groupe Sonelgaz explique en ce sens que les récentes augmentations des tarifs
de l’électricité et du gaz, qui permettront de rapporter 25 milliards de dinars par an,
ne suffiront ni à combler le déficit des sociétés de distribution de Sonelgaz qui atteint
les 95 milliards de dinars en 2015, encore moins à combler le manque à gagner
en matière de financement des investissements à venir. M. Boutarfa explique que dans
le contexte actuel de crise, son groupe a étudié toutes les solutions qui peuvent permettre
de mener à bout ses investissements à moindre coût.
C’est à ce titre que l’orateur a rappelé la nécessité de revoir l’organisation du groupe
et appelé à réexaminer la loi sur l’électricité et le gaz, qui limite pour le moment toute velléité
de réorganisation. Il évoque également la nécessité de se pencher sur les déperditions sur
les réseaux en luttant de manière implacable contre les rétrocessions et autres fraudes.
M. Boutarfa évoque aussi le recouvrement des créances qu’il évalue entre 41 et 50 milliards
de dinars et la nécessité pour Sonelgaz de lutter contre les mauvais payeurs,
qu’ils soient publics ou privés.Cependant, après avoir épuisé toutes les voies en matière
de mobilisation des ressources et de recouvrement des créances, il restera toujours,
selon M. Boutarfa, «à trouver un millier de milliards de dinars pour financer le programme
de Sonelgaz». Il évoque dans ce sens plusieurs possibilités, en premier lieu la possibilité
de lancer un emprunt obligataire, mais qui ne permettra qu’à lever 30 milliards de dinars
dans le meilleur des cas, et ce, en raison «du manque de profondeur du marché financier national».
Le tarif ne doit plus être une question politique
M. Boutarfa évoque aussi les financements bancaires. Cependant, celui-ci indique que
les banques de la place disposent de 2200 milliards de dinars et Sonelgaz a besoin de la moitié
de ces disponibilités. Il précise ainsi que financer Sonelgaz «assurera aux banques de bons emplois
certes, mais se traduira par un phénomène d’éviction des autres opérateurs économiques»,
ce qui est contre-productif dans une conjoncture où l’on souhaite dynamiser et diversifier son économie.
Ce qui amène l’orateur à expliquer que le seul moyen de couvrir ce programme d’investissement
est de recourir aux emprunts extérieurs, que ce soit par le biais de crédits garantis par le Trésor
ou par le biais de financements à chercher auprès des partenaires. M. Boutarfa estime que
«les deux seules entreprises à même de lever des emprunts extérieurs sont aujourd’hui Sonelgaz
et Sonatrach».Pas question, cependant, de recourir au montage financier de type BOT
(Build, Operate and Transfer) qui nécessite des contrats à long terme avec les sociétés de distribution
de Sonelgaz, d’ailleurs déficitaires, pour l’achat de l’électricité produite et induirait l’importation
des équipements. Ce qui est inconcevable dans un contexte où l’on veut stimuler la production locale
d’équipements.Le PDG de Sonelgaz plaide aussi pour l’augmentation progressive des tarifs de l’électricité
et du gaz, lesquels ne devront plus être considérés, à terme, comme des questions politiques,
mais économiques.Il explique ainsi que la population doit admettre cette
«augmentation des tarifs, laquelle permettra de réaliser des investissements qui permettront
à leur tour de pérenniser le service, de garantir l’accès à l’énergie et d’éviter les délestages comme
par le passé». M. Boutarfa évoque aussi le dossier des énergies renouvelables, expliquant que
le groupe Sonelgaz a prévu des investissements de l’ordre de 100 milliards de dinars par an,
avant que le programme ne soit reporté par l’assemblée générale du groupe qui a préféré orienter
les financements vers l’énergie classique. Un comble pour un Etat actionnaire qui promeut pourtant
un programme national des énergies renouvelables.
Roumadi Melissa

zadhand
05/06/2016, 18h46
A LA UNE_Energie
le 05.06.16|11h28

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Vers une nouvelle augmentation des prix d’électricité

Les prix d’électricité vont une nouvelle fois augmenter, a déclaré, ce dimanche,
le PDG de la Sonelgaz Noureddine Boutarfa.
La révision à la hausse des prix d’électricité est un choix inévitable
pour la Sonelgaz qui a pour contrainte d’assurer son équilibre financier,
a déclaré M.Bouterfa sur les ondes de la Radio Chaine 3.
M.Bouterfa explique que les dernières augmentations des factures d’énergie
n’ont permis de rattraper que 20% sur les 70% du déséquilibre financier dont
souffre son entreprise et qui est estimé à environ 100 milliards de dinars.

La Sonelgaz fait appel à des financements extérieurs

Aussi, pour finaliser les programmes en cours et mener de nouveaux
la Sonelgaz, n’a d’autres choix, selon son PDG que de recourir aux
financements extérieurs.Selon M. Boutarfa, il y a nécessité de capter
des financements nationaux pour mener à bien la construction
des nouvelles infrastructures énergétiques programmées.
ce programme nécessite quelques 45 milliards de dollars
(1.300 milliards de dinars), d’ici 2020.

zadhand
26/06/2016, 15h01
A LA UNE_Sonelgaz
26.06.16 | 15h23


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Mustapha Guitouni nouveau PDG de Sonelgaz


http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f64/24176d1465321735-pousse-avec-eux-hakim-la%E2lam-10984144_120250808310456_218233274519044965_n.jpg

Mustapha Guitouni est nommé président directeur général de
la société nationale d’électricité et de gaz (Sonelgaz).

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M.Guitouni vient succéder à Noureddine Bouterfa qui a
occupé ce poste durant de longues années. Il était P-DG de
la Société de distribution d’électricité d’Alger (SDA).
Mustapha Guitouni prendra ses fonctions à la tête
de la Sonelgaz demain, lundi.

zadhand
05/07/2016, 22h10
Sonelgaz réajuste ses investissements


Bonsoir , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f8/24173d1465319576-soit-dit-en-passant-11265305_1043944242289928_2384745649895165846_n.jp g) à l'occasion de l'Aid El-Fitr
je présente mes meilleurs vœux,bonheur, de santé et de prospérité
à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique

Plan de développement 2016-2020
le 05.07.16|10h00

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Les besoins d’investissement du groupe Sonelgaz avoisineront les 2377 milliards
de dinars à l’horizon 2020. Les prévisions contenues dans le plan de développement
à moyen terme (PMTE 2016-202) du groupe s’inscrivent dans un contexte
d’évolution économique difficile du pays, caractérisé par la diminution des revenus
de l’Etat et la rationalisation des dépenses publiques.

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Une situation qui n’empêche pas Sonelgaz d’axer sur ces programmes
prioritaires en renforçant la conduite du développement des activités de
production d’électricité, de transport et de distribution d’électricité et de
gaz pour faire face à la forte demande d’électricité, l’amélioration de la
qualité du service rendu à la clientèle et l’amélioration de l’efficacité de
la gestion et des performances de façon générale. Selon les éléments
du plan 2016-2020 publiés par la revue Algérie énergie, diffusée par le
ministère de l’Energie, les sociétés du groupe devront prioriser leurs
engagements d’investissement en tenant compte des impératifs liés aussi
bien à l’amélioration du service public qu’à la rationalisation des dépenses
et l’efficience de la gestion.A ce titre, la diminution du taux de pertes d’énergie
constitue une priorité absolue au sens du groupe Sonelgaz. Il en est de même
pour ce qui est de la réduction du portefeuille des créances (énergie et travaux).
Ainsi, selon le groupe Sonelgaz, «les sociétés du groupe devront afficher les
axes d’amélioration qui répondent à cette vision, laquelle se concrétisera à
travers la mise en œuvre d’actions qui privilégient la satisfaction de la demande
et la qualité du service rendu aux clients à travers la réalisation des programmes
de développement dans les délais impartis ainsi que l’amélioration de l’efficience
globale des entités par la décentralisation effective de la responsabilité de gestion».
Dans le détail, il est à savoir que la puissance installée globale de la production
d’énergie électrique durant le moyen terme (2016-2020) passera de 17 636 MW fin
2015, à 33 778 MW en 2020, soit une progression annuelle moyenne de 13,9%.
Le programme de développement concerne la mise en service de plusieurs centrales électriques en cycle combiné et en turbines à gaz.Par ailleurs, le réseau de transport électricité passera de 27 348 km en 2015 à 41 925 km à fin 2020, soit un taux d’accroissement moyen de 9%. Le nombre de postes connaîtra également un taux d’accroissement moyen de 12%, passant de 306 en 2015 à 538 à fin 2020. Pour ce
qui est de la distribution d’électricité, la clientèle nouvelle basse tension verra, selon Sonelgaz, un accroissement annuel moyen de 1,7% ; sur la période 2016-2020
passant de 355 299 nouveaux clients à fin 2015 à 368 005 à fin 2020. Les prévisions d’apport moyenne tension sur la même période connaîtront également une évolution
de 1,7%. Pour ce qui est de l’activité gaz, le réseau de transport atteindra 24 927 km
à fin 2020 soit un taux d’accroissement annuel de 7%.Un développement qui
concernera principalement la réalisation de gazoducs infra-structurels liés à l’approvisionnement en gaz naturel du marché national et des nouvelles centrales électriques.Le volume de transport du gaz passera ainsi de près de 40 milliards de
mètres cubes en 2015 à 49 milliards de mètres cubes à fin 2020, ce qui correspond
à un taux annuel moyen de 7,3%. Selon Sonelgaz, les prévisions des ventes de gaz
toutes pressions confondues suivront une évolution moyenne de 7,6%, soit 18 855
millions de mètres cubes à fin 2020. Le réseau de distribution de gaz passera en
outre de 82,291 km en 2015 à 123 677 km à fin 2020, ce qui correspond à un taux d’accroissement annuel moyen de 8,5% en 2020.

Zhor Hadjam





عيد مبارك سعيد لكم و للأمة العربية و الإسلامي
يا من احبهم في الله .. ويا من احن واشتاق اليهم كل يوم .. لا املك سوى الدعاء لكم بالصحة والعافية وللجزائر والامة الإسلامية بالخير والمن والبركات .. يارب الف رحمة على أرواح موتانا، والشفاء للمرضى واللطف بذوي الحاجة.. يارب
Aid moubarak 2016.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f57/24908d1467751260-antutu-benchmark-aid-moubarak-2016.jpg)

zadhand
23/10/2016, 18h02
Sonelgaz veut produire 4000 MW d'éléctricité à
partir d'énérgies renouvelables


le 23.10.16 | 18h06


Le Président directeur général du Groupe Sonelgaz, Mustapha Guitouni,
a fait part dimanche à Mostaganem d'un programme en cours d'élaboration
à l'échelle nationale visant la production de 4.000 mégawatts d'électricité
à partir des énergies renouvelables (solaire et éolienne).


Dans une déclaration à la presse en marge de sa visite dans
la wilaya, M. Guitouni a précisé que "le ministère de l'énergie
élabore actuellement le cahier de charges de ce projet. Ce
document sera finalisé à la fin du mois de décembre ou au
début de l'année 2017". Il a rappelé que 400 mégawatts
d'électricité ont été produits au niveau national par l'utilisation
des énergies renouvelables. "L'Algérie s'est lancée dans le
créneau des énergies renouvelables dès les années 1980",
a-t-il précisé. Par ailleurs, le PDG de Sonelgaz a indiqué que
les créances du Groupe Sonelgaz auprès de ses clients
(personnes physiques, entreprises et collectivités locales)
s'élèvent à 60 milliards DA et leur recouvrement se fera par rééchelonnement. Il a également exclu toute augmentation
des tarifs d'électricité actuellement.Concernant la hausse des
factures d'électricité pour les habitants du Sud du pays surtout
en période estivale, Mustpaha Guitouni a souligné que le
ministre de l'intérieur et collectivités locales a annoncé la
création d'une commission restreinte pour examiner ce dossier
et présentera ses propositions afin de prendre les mesures
adéquates pour régler ce problème.


El Watan avec APS