PDA

Voir la version complète : Instance de Suivi et de Coordination de l’Opposition (ISCO)



zadhand
03/12/2015, 23h50
A la une Actualité_L’Isco l’a décidé hier
le 03.12.15 | 10h00


Le deuxième congrès de l’opposition se tiendra le 18 février 2016

Le second conclave de l’opposition devrait se tenir le 18 février 2016.
La décision a été prise, hier, par les membres de l’Instance de suivi
et de coordination de l’opposition (ISCO),
réunis au siège du mouvement El Bina El Watani à Alger.
Annoncé il y a plusieurs semaines, ce congrès devrait réunir, comme
la conférence du Mazafran du 10 juin 2014, tous les acteurs qui épousent
l’idée du changement politique concerté. «La date du 18 février coïncide
avec la Journée du chahid. A l’occasion de cette réunion, nous évaluerons
d’abord l’action de l’opposition depuis l’adoption de la plateforme du Mazafran,
qui reste pour tous les membres de l’ISCO la base de référence»,
nous explique Ouamar Saoudi, membre de la direction du RCD qui a représenté,
en compagnie d’Ahmed Benneguaouche,
le président du parti, Mohcine Belabbas, lors de ce rendez-vous.
«A l’occasion de ce conclave, pour lequel un appel à participation est lancé à toutes
les forces du changement, l’opposition doit aussi définir la marche à suivre pour l’avenir»,
explique de son côté Me Salah Dabouz, président d’une des ailes de la Ligue algérienne
pour la défense des droits de l’homme (LADDH).
Pour préparer ce congrès, que certains membres de l’ISCO préfèrent appeler «Mazafran II»
, les participants à la réunion d’hier ont décidé d’installer une commission politique préparatoire.
«Cette commission doit évaluer toutes les actions de l’opposition depuis le 10 juin dernier
et rédiger un rapport qui sera présenté à l’occasion de la prochaine réunion de l’ISCO,
prévue pour le 16 janvier prochain», nous explique Ouamar Saoudi.
Dans son communiqué final, l’ISCO invite «les partis et les personnalités nationales
à la rejoindre pour concrétiser la transition démocratique devant réaliser les aspirations
des citoyens et éviter au pays les dérives de la mentalité du parti unique».
Outre la préparation de ce second congrès de l’opposition, les participants,
dont l’ancien candidat à la candidature à la dernière présidentielle d’avril 2014,
Ali Benouari, qui participe pour la première fois à une réunion de l’ISCO,
ont longuement abordé le contenu du projet de loi de finances.
«Nous refusons cette démarche qui tend à faire assumer la responsabilité de la
crise économique actuelle au peuple algérien, comme nous dénonçons
les atteintes répétitives aux droits constitutionnels des citoyens, notamment
celui portant création de syndicats et de partis politiques», lit-on dans un communiqué
de l’ISCO. L’instance, lit-on dans le même communiqué, salue l’attitude de l’opposition
au sein de l’Assemblée populaire nationale qui «a choisi d’être du côté
du peuple pour dénoncer le projet de loi de finances 2016».

Madjid Makedhi

zadhand
18/01/2016, 17h06
A la une/Actualité_L’opposition prépare Mazafran 2
le 18.01.16 | 10h00

La date sera fixée jeudi

Pour ne pas déserter le terrain de la contestation et arriver à concrétiser son objectif, qui est l’instauration d’une transition démocratique, l’opposition bat le pavé pour la réussite de son deuxième congrès (Mazafran 2) qui donnera, selon les animateurs de la Coordination pour les libertés
et la transition démocratique (CLTD), un nouveau souffle à son action.

En effet, ce jeudi, l’Instance de concertation et de suivi de la coordination (icso) se réunira pour, entre autres, arrêter la date du deuxième congrès de l’opposition. Une opposition qui demeure attachée à la plateforme de Mazafran qui contient, il faut le rappeler, les fondements, les mécanismes et les outils pour un changement graduel et apaisé. Cette plateforme représente, selon les partis politiques et les personnalités nationales composant la CLTD,
l’unique alternative pour une sortie de crise.La rencontre politique de jeudi définira les objectifs du congrès,
mettra au point les conditions nécessaires pour sa préparation, notamment l’examen des points qui seront soumis au débat et aussi la mise en place de la logistique. D’ores et déjà, la commission chargée d’élaborer la charte de l’engagement qui définit les obligations des membres de l’icso a finalisé son travail. Pourquoi une charte de l’engagement ? La CLTD a vu son champ d’action élargi à d’autres entités partisanes et personnalités politiques qui doivent clarifier leur position. «On ne peut pas avoir un pied dans l’opposition et l’autre au pouvoir. Il faut avoir un point de référence défini.

Ceux qui décident de rejoindre l’opposition doivent adhérer et respecter la charte de l’engagement qui sera soumise pour approbation le jour du congrès», explique Soufiane Djilali, président de Jil Jadid et membre de la Coordination. Dans ce cadre, l’opposition mène campagne pour sensibiliser toutes les forces et les élites estudiantines, sociales, syndicales, politiques et économiques à participer à l’initiative de transition démocratique pour activer l’ensemble du programme de sensibilisation politique. Autre dossier qui sera examiné : l’avant-projet de déclaration politique que Abdelaziz Rahabi et Ahmed Adimi ont mis au point et qui sera soumis au congrès. Les membres de la CLTD se prononceront également sur l’avant-projet de révision de la Constitution.

Nabila Amir

zadhand
22/01/2016, 22h17
A la une/Actualité_Instance de concertation et de suivi de l’opposition (Icso)
le 22.01.16 | 14h02


Le congrès de l’opposition « Mazafran 2 » aura lieu le 27 mars

21077

Le deuxième congrès de l’opposition « Mazafran 2 » aura lieu le 27 mars prochain,
a annoncé l’Instance de concertation et de suivi de l’opposition (Icso), à l’issue
de sa réunion tenue, hier jeudi, au siège du parti El Islah à Alger.
Outre la CLTD (RCD, MSP, FJD, Ennahda, El Islah, jil Djadid et Benbitour),
l’Icso compte plusieurs autres partis politiques dont Talaie El Houriat de Ali Benflis.
Le 1er congrès de l’opposition, tenu en juin 2014, sous un chapiteau à l’hôtel Mazafran (Zéralda),
a réuni un grand nombre de partis et de personnalités politiques. La plateforme adoptée lors
de ce congrès préconise la mise en place d’une période de « transition démocratique »

Farouk Djouadi

djafar1
23/01/2016, 09h50
on attend vivement la partcipation du FFS dans cette instance

zadhand
13/03/2016, 21h31
A la une /Actualité_Opposition
le 13.03.16 | 18h45

Le congrès de l’opposition aura lieu le 30 mars à Zéralda



L’Instance de suivi et de concertation de l’opposition (Isco)
a obtenu l’autorisation pour tenir son deuxième congrès,
a appris Elwatan.com auprès de Soufiane Djilali, président de Jil Djadid.

22247


Le congrès de l’opposition se tiendra le 30 mars prochain au siège de la mutuelle
des travailleurs de la construction à Zéralda (Alger), a indiqué Soufiane Djilali.
Il a précisé que la liste définitive des participants sera arrêtée ces jours-ci par
le comité d’organisation, présidé par Abdelaziz Rahabi. L’Isco avait annoncé
la date du 27 mars pour la tenue de ce congrès baptisé Mazafran II. Des problèmes
liés à la disponibilité des salles ont contraint les organisateurs à le reporter au 30 mars.
Pas de divergences
Soufiane Djilali a affirmé, par ailleurs, qu’il y’a pas de divergences au sein de l’Isco
« Il y a un débat sur le seuil des exigences. C’est naturel, parce que nous sommes
plusieurs partis… ». Le premier congrès de l’opposition s’est tenu en juin 2014 à
l’hôtel Mazafran à Zéralda. La plateforme adoptée à l’issu de ce congrès, qui a réuni
l’ensemble des acteurs de l’opposition politique en Algérie, vise essentiellement
à mettre en place un processus de transition démocratique.
Farouk Djouadi

zadhand
30/03/2016, 16h45
A la une/Actualité_Conférence de l’opposition
le 30.03.16 | 11h46
mis à jour le 30.03.16 | 12h56


Non au discours de la peur !


La deuxième conférence de l’opposition s’est ouverte, aujourd’hui mercredi à Zeralda (Alger),
en présence de 300 participants, représentant des partis politiques,
des syndicats, des associations et de plusieurs personnalités indépendantes.

22628



Abdelaziz Rahabi a indiqué, à l’ouverture des travaux, que l’opposition a réussi
à se réunir malgré « les facteurs de dénigrement et de suspicion». Il a cité le refus
des autorités de leur donner une grande salle à Alger pour abriter cette conférence dont
la tenue constitue « une preuve que l’opposition reste unie autour de la transition démocratique ».
Des personnalités politiques qui avaient pris part au congrès de Mazafran en juin 2014,
à l’exemple de Hamrouche, Ghozali et les dirigeants de l’ex-Fis, ne se sont pas manifestés,
ce matin, à la Mutuelle des travailleurs de la construction où s’est déroulé la conférence.
Le FFS et le MDS ont également préféré ne pas y prendre part.
La conférence a notamment réuni les membres de l’Instance de suivi et de concertation de
l’opposition (Isco). On note aussi l’absence du président du RCD, Mohcine Belabbas,
représenté par des membres du secrétariat national du parti.
Ali Yahia Abdnour a indiqué, dans son intervention, que le pouvoir politique qui s’est accaparé
l’indépendance de Algérie comme « un butin » n’a pas changé à ce jour. « Les libertés sont bafouées
et les juges n’obéissent pas aux lois mais aux directives du pouvoir exécutif », a estimé le doyen
des défenseurs des droits de l’Homme.
Ali Benflis, président de Talaie El Hourryet, a dénoncé le « chantage sécuritaire » adopté par le pouvoir en place.
On cherche à faire peur au peuple dans l’objectif de « détourner son attention » sur l’illégitimité
des institutions et la vacance du pouvoir au sommet de l’Etat. Benflis a réaffirmé l’attachement de son parti
à la plateforme de Mazafran qui a fixé les contours du projet de la transition démocratique.
Pour sa part, le président du MSP, Abderazzak Makri, a expliqué que la conférence de l’opposition
« ne va pas renverser l’ordre établi dans l’immédiat. Notre objectif est de mettre la pression sur le pouvoir
pour le contraindre à accepter des élections libres ». Si le pouvoir persiste à refuser la volonté populaire,
« le pays risque de revenir à la tragédie des années 90 », prévient le président du MSP.
Les différents intervenants ont renouvelé leur attachement à la plateforme de mazafran qui prévoit,
en substance, de confier le pouvoir à un gouvernement de transition. Celui-ci se chargera
de l’organisation des élections et de l’élaboration d’une nouvelle constitution.

Les travaux de la conférence devront prendre fin vers 17h.


Farouk Djouadi

zadhand
23/07/2016, 22h25
La prochaine réunion aura lieu le 27 juillet

Instance de coordination de l’opposition (ICSO)
le 23.07.16|10h00

L’Instance de coordination et de suivi de l’opposition (ICSO) tiendra,
le 27 juillet, sa réunion périodique.C’est ce qu’a annoncé le RCD qui
accueillera, cette fois, la rencontre au niveau de son siège national,
à Alger. Devant avoir lieu au mois de juin dernier, ce rendez-vous a été
ajourné en raison de sa coïncidence avec le mois de Ramadhan. Ne
s’étant pas rencontrés depuis de leur deuxième congrès tenu le 30 mars
dernier à Zéralda, les membres de l’ICSO auront à traiter un nombre
important de questions. Outre la mise en œuvre des recommandations du
dernier congrès au cours duquel de nombreux membres avaient critiqué
l’action de l’ICSO, deux ans après sa création, les responsables des partis
de l’opposition devront adopter une position commune concernant les derniers développements sur la scène politique nationale. Ayant exigé la mise en place
d’une instance indépendante pour l’organisation des élections, les membres de
l’ICSO se prononceront, sans nul doute, sur la haute instance de surveillance
des élections proposée par l’Exécutif et adoptée par le Parlement. Quelle sera
leur réponse ? Les membres de l’ICSO iront-ils jusqu’à se prononcer pour un
boycott collectif des prochaines élections ? L’amendement de la loi électorale et
la loi relative à l’obligation de réserve des militaires en retraite devraient également
être au menu de cette réunion. L’ICSO devra aussi se prononcer sur les pressions exercées sur les médias, sur l’affaire du groupe El Khabar, sur la crise économique
et sur l’incapacité de l’Exécutif à trouver des solutions à cette situation qui
va en s’aggravant.

M. M.

zadhand
03/10/2016, 20h19
Les élections ne changeront rien en Algérie

Réunion de l’Icso
le 03.10.16 | 18h34


Les partis de l’opposition peinent à dépasser la phase des constats.

http://www.elwatan.com/images/2016/10/03/photo-icso_2619147_465x348.jpg (http://www.elwatan.com/images/2016/10/03/photo-icso_2619147.jpg)

Réunion de l'Icso au siège de Talaîe El Houryet à Alger

Les membres de l’Instance de concertation et de suivi de l’opposition (Icso)
se sont réunis, aujourd’hui lundi au siège de Talaîe El Houryet à Alger.
Les discussions entre les représentants des différents partis et personnalités
politiques ont duré près de trois heures, sans pour autant sortir avec des
décisions. Les partis de l’opposition peinent à dépasser la phase des constats.
« L’opinion dominante est que les élections ne vont rien changer, dans le cadre
des lois en vigueur actuellement », a déclaré Ali Benfli, à l’issue de la réunion.
Il a indiqué que « la décision portant participation ou boycott des prochaines
élections est du ressort des instances de chacun des partis membres de l’Icso ».
Les élections en Algérie servent seulement à « prolonger la vie du système ».
Benflis a rappelé, au nom de l’Icso, que la dernière révision constitutionnelle
a consacré « un recul en matière de multipartisme et les restrictions aux
libertés individuelles et collectives …». L’Icso a adopté un document dans
lequel on a recensé « les violations de la loi électorale ». Ali Yahia Abdenour,
Abderazzak Makri et Karim Tabbou n’ont pas pris la peine d’assister à la
déclaration finale faite par Benflis. Outre ces personnalités, la réunion a vu la
participation, entre autres, de Mohcine Belabbès ( RCD), Soufiane Djilali
( Jil Djadid), Abdelzaiz Rehabi et Ahmed Benbitour. Abdellah Djaballah
(Adala) a été représenté par le député Lakhder Benkhelaf.


Les élections législatives (http://elwatan.com/actualite/reunion-de-l-opposition-aujourd-hui-a-alger-03-10-2016-329935_109.php)


de 2017 risquent de donner le coup de grâce à l’espoir de changement politique,
né dans le sillage du congrès de l’opposition tenu à Mazafran en juin 2014.

Farouk Djouadi