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zadhand
26/09/2015, 14h00
A LA UNE/ACTUALITE_Groupe Cevital 18809
26 Septembre 2015
Biographie du Fondateur

Né en 1944, à Taguemount-Azouz ( wilaya de Tizi Ouzou), M. Issad Rebrab est un des premiers algériens
à s’être lancé dans le monde entrepreneurial après l’indépendance.
En 1968, il a crée son cabinet d’expert-comptable. Un de ses clients lui proposa
alors de prendre des parts dans sa société de construction métallurgique.
En 1971, avec la prise de 20 % du capital d’une entreprise de construction métallique, Sotecom,
il se lança dans le monde de l’entreprise puis créa d’autres sociétés dans le secteur de la métallurgie et de la sidérurgie .
Il se lance dans des investissements importants. Il est depuis 2008,
Président du Conseil d’Administration du Groupe Cevital qui englobe
19 filiales réparties sur 4 pôles d’activités : agroalimentaire, automotive et services, industrie et grande distribution .
Issad Rebrab est père de 5 enfants (une fille et quatre garçons), tous en activité au sein du staff managérial du Groupe Cevital.
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Historique du Groupe

Le Groupe Cevital est un Groupe familial bâti sur une histoire, un parcours et des valeurs qui ont fait sa réussite et sa renommée.
Créée avec des fonds privés, elle est la première société privée algérienne à avoir investi dans plusieurs secteurs d’activités.
Le Groupe Cevital a traversé d’importantes étapes historiques pour atteindre la taille et la notoriété d’aujourd’hui en continuant
à œuvrer dans la création d’emplois et de richesse.
Etapes historiques du Groupe


1971 Prise de participation dans SO.CO.MEG : Construction métallique
1975 Création de PROFILOR : Construction métallique
1979 Acquisition de SOTECOM : Construction métallique
1984 Acquisition de SACM : Construction métallique
1985 Création d’ENALUX : Construction métallique
1986

Création de NORD METAL : Fabrication de grillage et toile à tamis
Création de METALLOR : Fabrication de tubes en acier


1988 Création de METAL SIDER : Sidérurgie
1991

Création de J.B.M. : Reprise des activités d’I.B.M. en Algérie
Création de Liberté : Quotidien d’information


1992 Création de CBS : Reprise des activités de RANK XEROX en Algérie
1995 Création de AGRO-GRAIN : Importation et distribution de produits agroalimentaires
1997 Création de HYUNDAI MOTORS ALGERIE : Distribution de véhicules et services après vente
1998 Création de CEVITAL SPA : Industries agroalimentaires
2000 Création de NOLIS : Transport maritime
2005

Acquisition de Lalla Khedidja : Unité d’eau minérale plate et gazeuse et de sodas
Création de CEVICO : Fabrication de bâtiment préfabriqué en béton


2006

Acquisition de COJEK, filiale de ENAJUC : Jus et conserves
Création de Numidis : Grande distribution (UNO) et (Unocity)


2007

Création de MFG : Industrie du verre
Acquisition de BATICOMPOS : Industrie de fabrication d’éléments de construction préfabriqués
Création de SAMHA : Assemblage et distribution de produits électroniques et électroménagers de marque SAMSUNG Electronics en Algérie.




2007 Création du Groupe Cevital



2008

Création de MFG Europe : Commercialisation de verre plat en Europe
Création de COGETP : Engins de travaux publics VOLVO
Création de CEVIAGRO : Agriculture


2010 Création de Sodi Automotive
2011 Création de PCA - Création de Sierra Cevital

Le Groupe Cevital s’est, ainsi, constitué au fil des investissements, autour de l’idée forte de bâtir un ensemble économique. Porté par plus de 10 200 collaborateurs, elle représente le fleuron de l’économie algérienne. Le fondateur du Groupe Cevital résume les clefs du succès en sept points: le réinvestissement systématique des gains dans des secteurs porteurs à forte valeur ajoutée, la recherche et la mise en œuvre des savoir-faire technologiques les plus évolués, l’attention accordée au choix des hommes et des femmes, à leur formation et au transfert des compétences, l’esprit d’entreprise, le sens de l’innovation, la recherche de l’excellence et la fierté et la passion de servir l’économie nationale.


Issad Rebrab assène ses vérités


26 Septembre 2015


C’est un véritable coup de gueule que vient de pousser
le célèbre homme d’affaires,
Issad Rebrab, dans un entretien qu’il a accordé
au site d’informations Toutsurl’Algérie (TSA), publié mercredi passé.

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En colère, écœuré et désabusé, le patron du groupe Cevital y livre des
vérités amères et angoissantes sur la politique économique du pays
et sur l’attitude incongrue des dirigeants en place face
à la grave crise qui secoue l’économie nationale.
Tout en coupant court aux rumeurs et manipulations le disant proche
du fameux général Toufik et sur le point de vendre Cevital après le départ de celui-ci,
Issad Rebrab n’a pas mâché ses mots pour dire toute l’incurie dont font montre
les décideurs politiques et toutes les entraves et blocages qui se dressent
devant les investisseurs nationaux, porteurs de projets productifs.
«La bureaucratie et les blocages ne sont pas au niveau des fonctionnaires,
mais au plus haut niveau de l’Etat», déplore-t-il en ce sens, soulignant
qu’il ne croit pas du tout aux discours des dirigeants,
«tant que les projets industriels ne sont pas débloqués», alors que certains,
rappelle-t-il, «le sont depuis plus de dix ans et MM. Sellal et Bouchouareb sont au courant».
«Il me semble que nos décideurs n’ont ni la volonté politique,
ni la vision, ni l’ambition pour notre pays», tranche-t-il sans détour,
évoquant plusieurs de ses grands projets, à fort potentiel de valeur ajoutée
et de création d’emplois, qui restent à ce jour arbitrairement bloqués.
Et à l’homme d’affaires de s’interroger avec amertume
«Comment peut-on développer l’industrie nationale,
créer des emplois, diversifier l’économie, quand on fait de la rétention du foncier industriel
dans le plus grand pays d’Afrique ? Comment peut-on demander à un investisseur
qui doit orienter une partie de sa production à l’exportation d’aller investir
dans le sud du pays ? Est-ce qu’ils comprennent réellement ce qu’est la compétitivité ?
Quel est le coût de la logistique ? Est-ce qu’ils pensent qu’on peut exporter,
si on n’est pas compétitifs par rapport à la concurrence internationale ?»
En acteur économique averti, Issad Rebrab rappelle que d’ici
à peine cinq ans, le pays comptera 10 millions de nouveaux demandeurs d’emploi
et une population totale de plus de 50 millions d’habitants.
«Nous allons consommer plus de gaz, d’électricité et de carburant
qui vont venir en déduction des quantités exportées aujourd’hui.
Avec quoi vous allez faire face à cette situation ?» lance-t-il comme
pour interpeller les dirigeants du pays, qu’il n’hésite pas à qualifier,
dans le même contexte, de «sourds» et d’«autistes».
Pourtant, regrette-t-il, «ils savent bien que seule l’entreprise productive
et diversifiée est garante d’un développement durable,
de la création d’emplois et de richesses durables».
«Qu’ils sachent que l’Algérie n’est le patrimoine de personne»,
s’insurge en définitive le patron de Cevital pour qui il y a actuellement
«un très grand fossé entre le discours et la réalité».
Un constat qu’il étaye en citant différents cas de contraintes injustifiées
à l’investissement, dont surtout celui d’un projet de grande envergure dans la sidérurgie,
qui pouvait, selon lui, non seulement permettre la création de quelque 5000 postes d’emploi,
mais aussi et surtout «faire passer notre pays
du stade d’importateur à celui d’exportateur de produits sidérurgiques».


Akli Rezouali

zadhand
29/09/2015, 10h15
A LA UNE/ACTUALITÉ_Grave dérapage de Bouchouareb
29 Septembre 2015


Il cible Rebrab, créateur de richesses

Répliquant aux accusations proférées hier, à son adresse,
par le ministre de l’Industrie et des Mines, Issad Rebrab,
patron de Cevital, n’a pas mâché ses mots à l’égard de celui qu’il qualifie de «pas crédible»,
Abdessalem Bouchouareb en l’occurrence.

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«Ce qu’il dit est infondé, qu’il apporte des preuves de ce qu’il avance au lieu de raconter des insanités à mon égard», déclare Issad Rebrab à El Watan, au sujet des propos tenus par le ministre de l’Industrie et des Mines à l’encontre de sa personne. Abdessalem Bouchouareb s’en est violemment pris au patron de Cevital, dans une déclaration à la presse, à l’occasion d’une conférence qu’il a animée conjointement, hier, avec son homologue tunisien.
Abdessalem Bouchouareb accuse Issad Rebrab d’avoir cherché à duper l’Etat algérien dans le cadre de l’acquisition du patrimoine Brandt en France et d’avoir «surfacturé» un équipement importé pour l’implantation d’une usine de la marque en Algérie. Le ministre dit détenir des preuves attestant le bien-fondé de ses accusations contre le PDG de Cevital. Il déclare, à la même occasion, n’avoir jamais eu connaissance des demandes d’audience formulées à maintes reprises par Issad Rebrab au sujet du blocage dont souffrent ses investissements en Algérie.
Le PDG de Cevital ne s’est pas laissé duper et défie le ministre, l’invitant à présenter ses preuves sur un plateau de télévision, en sa présence. «Pour ce qu’il avance comme accusations, il aurait pu me mettre en prison. Qu’il apporte les preuves à ce qu’il dit», rétorque Issad Rebrab de façon si péremptoire, tranchant avec le procédé peu habile du ministre de l’Industrie. M. Rebrab invite le ministre et tous ceux qui recourent au même subterfuge pour justifier le blocage de ses investissement à visiter son usine afin de «voir, de visu, le matériel ultramoderne acquis par le groupe».
Pour rappel, le patron de Cevital s’est plaint récemment, dans une interview accordée au journal Liberté, des obstacles injustifiés opposés à plusieurs de ses investissements en Algérie, précisant qu’il «ne comprenait pas le pourquoi de ces entraves». Interpellé, hier, par les journalistes sur la nature des obstacles qui entravent la réalisation des investissements de Cevital, Abdessalem Bouchouareb n’a pas manqué l’occasion pour descendre en flammes un producteur algérien qui n’a cessé de prendre du galon en multipliant les acquisitions à l’international.

Impairs

Le ministre de l’Industrie et des Mines a réfuté la thèse selon laquelle il avait opposé un niet aux demandes d’audience formulées par Issad Rebrab. Selon lui, aucune missive parvenue du PDG de Cevital ne lui a été remise. Autrement, aux messages qui lui sont parvenus par le biais de «connaissances communes»,
il dit ne s’être «structuré pour fonctionner de la sorte».
Au sujet du retard accusé dans la réalisation de la filiale Brandt Algérie, le ministre accuse Issad Rebrab «d’avoir surfacturé les équipements» nécessaires à l’implantation de Brandt en Algérie et fait mieux que ses prédécesseurs dans ses attaques contre le PDG de Cevital. En termes plus clairs, Abdessalem Bouchouareb explique qu’Issad Rebrab avait honoré ses engagements vis-à-vis du partenaire français en procédant au renouvellement
des équipements de Brandt au lendemain de l’acquisition de la marque.
Mais il a tenté, d’après lui, d’introduire en Algérie les vieux équipements de l’usine pour un montant de 5,7 millions d’euros, alors que, d’après ses estimations, leur valeur ne dépasse pas les 2,5 millions d’euros. Il est, néanmoins, un secret de Polichinelle que de dire que les écueils opposés aux investissements de Cevital en Algérie ne datent pas d’aujourd’hui. Le dernier épisode de ce long feuilleton de blocages a vu le prédécesseur de Bouchouareb, le déchu Amara Benyounès, exceller dans l’usage de tout genre de subterfuges à même de justifier l’opposition du gouvernement à l’acquisition,
par Cevital, du patrimoine de Michelin en Algérie.
Mais le ministre actuel de l’Industrie promet de faire mieux que son prédécesseur «dans les prochains jours, de manière encore plus profonde», a-il indiqué, hier, en présence de son homologue tunisien, Zakaria Hamad. Inopportun est le timing.
S’attaquer aussi violemment à un industriel algérien en présence d’investisseurs
et politiques tunisien est également synonyme d’un énorme impair.
A moins que le ministre ait bien calculé le coup, espérant un contrecoup
sur la réputation solide du groupe Cevital à l’international.
Le pari semble très risqué, car ses déclarations pourraient ternir davantage
l’image d’un pays réputé hostile à l’investissement.



Ali Titouche

soltan009
08/10/2015, 16h29
https://fbexternal-a.akamaihd.net/safe_image.php?d=AQD40mEQ2NzYGKD6&w=470&h=246&url=http%3A%2F%2Fwww.tsa-algerie.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2015%2F09%2Frebrab5.jpg&cfs=1&upscale=1&sx=0&sy=8&sw=600&sh=314

(http://www.tsa-algerie.com/20151006/issad-rebrab-ils-veulent-marreter-pour-me-faire-taire/)
Une rumeur parle d’un mandat d’arrêt lancé contre vous…

La rumeur est fondée. On cherche à me faire taire. Mais je ne vais pas me taire. Au lieu de prendre conscience de la gravité des choses, ils agissent ainsi. Au lieu de m’appeler pour dialoguer, parler des blocages et de l’avenir de notre pays, ces gens veulent m’arrêter pour me faire taire. Ils essayent de faire taire tous ceux qui critiquent, qui parlent et posent des questions légitimes sur l’avenir de notre pays.


lire la suite : TSA-ALGERIE.COM


Sujet fusionné.

malouki
25/02/2016, 06h19
Le groupe Cevital va se lancer dans l’industrie automobile, avec la création de la société « Algérie Auto Industrie » qui va produire de la carrosserie, des remorques, des moteurs et des pièces de rechange. Elle sera par ailleurs doté d’un capital d’un milliard de dinars, et sera dirigé par Omar Rebrab, actuel patron du pôle automobile du groupe.Une bonne nouvelle pour les Algériens notamment ceux qui longtemps critiqué les usines de montage et leurs voitures présentées comme étant une production algérienne, ces usines de plus en plus nombreuses ces dernières années, se contente de quelques modèles seulement si n’est qu’un seul.le richissime homme d’affaire Isâad Rebrab va donc réaliser le rêve des algériens, et fabriquer une voiture typiquement algérienne, avec des designs, des carrosseries et des pièces 100 % du bled.


Sujet fusionné.

zadhand
15/04/2016, 23h25
A LA UNE/Actualité_Piombino dit merci à Cevital/Isaad Rebrab
De notre envoyée spéciale à Piombino, en Toscane
le 15.04.16 | 19h42 | mis à jour le 15.04.16 | 22h13
« C’est une fierté pour mon pays et pour les Algériens »

La ville Toscane de Piombino a accueilli hier un évènement de grande importance,
elle a célébré la survie de son économie et remercier pour se faire l’homme qui a été à l’origine du sauvetage
de son historique aciérie, l’Algérien Issaad Rebrab.

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Le Président directeur général de Cevital a trouvé en cette terre d’Italie la reconnaissance
qu’il n’a pas trouvé chez lui. Le patron au long parcours et aux grandes idées a été accueilli en héro
et célébré en sauveur. La reprise de l’ancienne usine de sidérurgie Lucchini, aujourd’hui AFERPI,
riche de plus de cent ans d’expérience dans le domaine, a eu pour effet de redonner vie à toute
une région qui voyait tarir une source d’emploi importante. Sous le slogan « Cevital merci »,
la ville de Piombino a vécu hier une grande célébration digne des grands jours.
Citoyens de Piombino, son maire, ainsi que des sénateurs et des députés, et en présence de nombreux
journalistes italiens et algériens, le périodique Costa Etrusca, a décerné le prix du personnage de l’année
à Issaad Rebrab en reconnaissance au sauvetage de l’usine symbole de Piombino. « C’est une fierté d’abord
pour mon pays l’Algérie, une fierté pour tous les algériens, une fierté pour ma famille et pour tous
nos collaborateurs de Cevital » a déclaré Issaad Rebrab heureux de recevoir une telle distinction.
« Qui ne voudrait pas être honoré par les siens ! » nous dit-il à la question de savoir s’il aimerait recevoir
une reconnaissance du même type chez lui en Algérie.« Je peux vous assurer que les algériens peuvent réussir
partout sans aucun problème… Nous avons vu des algériens réussir aux Etats unis, en Asie et en Europe.
Nous sommes capables de réussir là ou nous voulons le faire » dira l’homme d’affaire cumulant plus de 44 ans d’expérience.
« Si j’ai tenu jusqu’à ce jour c’est parce que nous avons toujours travaillé dans la transparence. Nous sommes
le premier groupe privé en Algérie pour notre contribution au budget de l’état, pour les exportations, la création
d’emploi et nous dans ce sens classés deuxième après la grande compagnie Sonatrach » souligne Rebrab.
Ceci et d’ajouter : « le groupe cevital met en marche cette année deux usines, trois autres usines vont entrer
en construction et ce ne seront pas des moindres ». Avec 166 hectares en totale propriété et 500 autres en concession,
l’Usine-ville de Piombino est acquise par le groupe Cevital sous le nom AFERPI qui exporte déjà en Amérique latine,
en Afrique et en Asie. Une concession sur 50 années renouvelables a été aussi attribuée au groupe sur un port doté de
cinq quais. L’usine deviendra un grand complexe dédié à la sidérurgie, mais aussi pour développer l’industrie agroalimentaire
et la logistique.« Tous nos projets ont un sens , notre stratégie est de réinvestir toujours dans la dernière technologie,
nous avons une veille stratégique pour suivre l’évolution des marchés au niveau mondial, notre maître mot, c’est la qualité et
la compétitivité » dira le grand chef d’entreprise Issad Rebrab. Dans son discours face à une assistance acquise et admirative,
Rebrab reviendra sur ses projets au Brésil, dont une usine qui recevra l’ancien haut fourneau de Piombino, et a tenu à saluer
la présence des directeurs de journaux D’El Watan, de Liberté et d’El Khabar.
« Le groupe Cevital a connu ces quinze dernières années une croissance de 30% chaque année en moyenne, et c’est aussi grâce
à la formation des femmes et des hommes et à la transmission des compétences » indique l’homme d’affaires en notant que
Cevital n’a jamais failli à ses engagement que ça soit en Algérie ou ailleurs

Nadjia Bouaricha

zadhand
03/07/2016, 22h04
CEVITAL ! C’EST VITAL


http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f8/24173d1465319576-soit-dit-en-passant-11265305_1043944242289928_2384745649895165846_n.jp g
03 Juillet 2016


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« Chaque jour le meilleur ! » C’est la devise du groupe français
BRANDT, racheté par l’algérien CEVITAL.

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El Watan de ce jour, nous apprends, que Issad Rebrab a été invité hier à prendre part aux 16èmes rencontres économiques d’Aix-en-Provence et qu’il a profité de cette occasion pour rencontrer Christine Lagarde, la patronne du FMI. Et qu’à la suite de cette entrevue, Rebrab aurait déclaré que «la colocalisation est un levier de croissance et de développement permettant à des entreprises et à des pays d’être compétitifs». Il a fait référence au rachat par CEVITAL, en 2013, du fabricant français de portes et fenêtres en PVC, OXXO, en présentant la meilleure offre qui a permis la sauvegarde de 288 des 412 emplois menacés en France. Ce rachat devait aboutir également à la création d’une usine de PVC près de Bordj Bou Arreridj avec quelque 3000 postes d’emplois directs créés à terme et plus de 30 000 emplois indirects avec les sous-traitants, projet dont la concrétisation se fait attendre, puisque le démarrage de la production était prévu pour 2015. Sur le site internet d’OXXO, le groupe se présente modestement comme « une filiale du Groupe CEVITAL, une véritable opportunité de développement au cœur d’un des premiers groupes industriels algériens». « Colocalisation » donc ! Un mot qui fait moins peur que « Délocalisation ». Mais Rebrab n’a pas inventé ce mot. Il a déjà été déjà utilisé en décembre 2012 par l’ex Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault, suite à une visite au Maroc où « il a vanté, devant des chefs d’entreprises françaises et marocaines, les mérites de la « colocalisation », une « démarche gagnant-gagnant, selon lui, par opposition à la délocalisation ». Le rachat, à la Bernard Tapie, des entreprises françaises en difficulté, est-il toujours bénéfique à l’Algérie en termes de création d’emploi, mais aussi en termes d’image ? C’est une question qui mérite d’être posée tant on est parfois surpris par ces informations contradictoires qui circulent dans le monde économique, aussi bien en Algérie qu’en France. Lorsque, en avril 2014, la presse économique française s’est fait l’écho de l’incroyable irruption de CEVITAL dans le monde de l’électroménager français, par le rachat du fabricant BRANDT, certains économistes ont parlé de « sauvetage » de l’entreprise française. L’acquisition des marques du groupe BRANDT par Rebrab -De Dietrich, Brandt, Sauter et Vedette -, des brevets, du savoir-faire, et même de la recherche et développement permettait à CEVITAL de se positionner en force sur le marché européen et maghrébin de ce secteur. Je n’ai pas souvenance qu’on ait parlé de « colocalisation » suite à ce rachat du groupe BRANDT par Rebrab ! Le groupe BRANDT « sauvé » par l’Algérien, on pouvait s’attendre légitimement à ce que son seul et unique actionnaire, CEVITAL, soit mis à l’honneur sur son site officiel. Or, dans la rubrique «Actualité» du site officiel, on peut lire cette présentation « Nous sommes heureux de vous accueillir sur notre nouveau site Internet pour vous présenter notre Groupe, son activité, ses innovations, ses valeurs et ses implantations. Nous sommes un groupe français, majeur et référent en Europe dans le domaine de l’équipement de la maison : Lavage, Cuisson, Froid et Petit Électroménager ». Et CEVITAL ? Et bien On n’en parle que dans la rubrique « Nous connaitre » avec comme titre « Notre actionnaire » en ces termes « Créé en 1971, le Groupe Cevital est le premier groupe industriel privé algérien. Conglomérat actif dans quatre grands secteurs d’activité – agroalimentaire, industrie, logistique & distribution, automobile & services – Cevital affiche un chiffre d’affaires 2013 de 2,5 milliards d’euros et emploie plus de 14 500 collaborateurs. Avec un taux de croissance annuel à deux chiffres depuis 1999, le groupe Cevital a atteint aujourd’hui une taille qui lui permet d’acquérir le statut de « global player » régional et continental. Un statut consacré par le rapport « The African Challengers » du Boston Consulting Group. ». Le groupe s’est bien gardé de préciser que CEVITAL est l’UNIQUE actionnaire de la marque. En revanche, et cela me semble légitime, leur « Nous sommes un groupe français, majeur et référent en Europe » n’est pas innocent dans le contexte socio-économique actuel de la France. BRANDT rajoute une couche en précisant « Nous possédons deux sites de production en France (Orléans et Vendôme) et un parc industriel en Algérie (Sétif), deux sites de R&D en France (Lyon et Orléans), un site dédié au SAV (Cergy-Pontoise) et le siège social du Groupe est à Rueil-Malmaison ». Cette présentation réduit donc la participation de CEVITAL à un simple « sauveur » financier. Hada makane ! Dans la présentation du Comité exécutif de BRANDT – 15 personnes -, on ne retrouve que quatre maghrébins dont le directeur à l’export. Peut-on parler de démarche « gagnant-gagnant » dans cette situation ? Si les créations d’emplois nets en Algérie par CEVITAL sont une réalité, je ne suis pas sûr qu’il en soit de même en matière d’image de l’entreprise, mais aussi du pays, réduite souvent à un simple «sauveur». Ce d’autant qu’à ma connaissance, il n’ y a pas eu de rachat d’entreprises algériennes en difficulté par CEVITAL. Même si là aussi, il faut reconnaitre, que le pouvoir en place actuel n’a jamais facilité la vie à Rebrab à qui certains reprochent son allégeance à l’ancienne équipe du DRS des années 90. Seul l’avenir nous dira si la stratégie de REBRAB en matière d’investissements tous azimuts serait profitable à l’Algérie.

Youcef L’Asnami

zadhand
21/09/2016, 12h26
Groupe Cevital
Un objectif de 3 milliards de dollars à l’export

le 21.09.16 | 10h00


Cevital, premier groupe privé d’Algérie de l’homme d’affaires Issad Rebrab,
ambitionne d’augmenter ses recettes liées aux exportations à 3 milliards de dollars
annuellement au cours des trois prochaines années.


«Nous avons décidé, en tant que groupe Cevital, que d’ici trois ans,
on doit dégager plus de 3 milliards de dollars de recettes à l’exportation
par an. On ne s’arrêtera pas à l’électroménager, au verre plat ou à
l’agroalimentaire. Nous allons le faire dans tous les secteurs où nous
investissons. Si on prend les choses en main du bon côté, il n’y a aucun
problème pour faire passer notre pays du stade d’importateur au stade
d’exportateur», a affirmé Issad Rebrab, PDG du groupe industriel,
lors de la première édition des rencontres Club Export organisée
dans la soirée de lundi à l’hôtel El Aurassi par le World Trade Center,
et consacrée au potentiel du marché africain.Pour atteindre son objectif,
le patron du groupe industriel compte notamment sur les performances
de ses filiales Agro-Cevital (huile et sucre), Oxxo (fenêtres et portes en
PVC) et MFG (verre plat). «L’Afrique n’est pas notre seule destination et
n’est pas la plus importante. Nous exportons aujourd’hui différents produits, notamment le sucre, dans plus 28 pays à travers le monde. Donc, il ne faut pas
se limiter au marché africain», a insisté Issad Rebrab.Celui-ci devra aussi
miser sur le complexe électroménager de Sétif (Brandt), entré en
production récemment avec une capacité de8 à 10 millions d’articles électroménagers. «C’est la première fois dans l’histoire de l’Algérie, à ma connaissance, qu’un produit fabriqué à Sétif a remporté le prix Janus
d’innovation et de design en France. Aujourd’hui, une proportion de 100%
de la production est destiné à l’exportation», a-t-il affirmé. Adepte de la colocalisation, Issad Rebrab a expliqué que pour grandir, «il faut produire
à une taille mondiale et à l’aide des technologies de dernière génération,
bénéficier des brevets et surtout d’un réseau de distribution». Cela dit, le
problème de la logistique constitue, à ses yeux, un sérieux écueil pour
les producteurs locaux. «Notre pays a toutes les possibilités de fabriquer des produits de qualité et compétitifs, en tenant compte de la logistique. La logistique,
ce n’est pas simplement l’affaire des entreprises, cela concerne aussi le pays»,
a fait savoir le patron du groupe, déplorant que les ports algériens soient actuellement saturés, d’où la nécessité, selon lui, d’autoriser les opérateurs
à investir dans les ports.Intervenant lors de la rencontre, Brahim Benabdeslam, vice-président du FCE, a regretté le fait que l’Algérie soit
très en retard dans la conquête du marché africain. «L’Algérie n’a pas de stratégie vis-à-vis du marché africain. Il faut une stratégie consensuelle qui
associera les opérateurs économiques», a-t-il soutenu, suggérant la mise en
place d’un fonds d’investissement et le recours au financement extérieur. «Nous sommes en retard, il faut que l’Algérie se positionne sur ce marché», a concédé Saïd Djellab, représentant du ministère Commerce, évoquant l’élaboration en cours d’une stratégie nationale à l’export.


Hocine Lamriben

zadhand
13/10/2016, 22h55
Il construit un empire à l’étranger


Rebrab va construire une raffinerie de sucre et
une centrale électrique au… Sri Lanka
octobre 13, octobre 2016

Le success story d’Issad Rebrab se poursuit à l’étranger. L’homme d’affaires
algérien, mal-aimé et rejeté par les autorités de son pays, réalise des
investissements considérables dans plusieurs pays et construit petit à petit un
véritable empire internationale. Cette fois-ci, c’est au Sri Lanka que l’homme
d’affaires algérien va construire une raffinerie de sucre. Le projet va lui coûter
un investissement de 215 millions de dollars, rapporte le quotidien sri-lankais
Daily News. “J’ai déjà trouvé un partenaire local et il a repéré un terrain de 40
hectares pour le projet”, a expliqué l’homme d’affaires algérien au média
sri-lannkais. “Notre objectif est de produire 1,2 million de tonnes par an et nous
allons certainement acheter plus de 50% de notre canne à sucre chez les fermiers
car nous devons les soutenir également”, a promis Rebrab selon lequel cette
future raffinerie produira “de l’énergie à partir des déchets de canne à sucre et
l’énergie superflue sera alimentée au réseau national”. Cet ambitieux projet de
l’homme d’affaires algérien s’ajoute à plusieurs autres projets que le patron de
Cevital est en train de réaliser en Italie, en France et même au Brésil.

Lako
16/10/2016, 12h16
Issad Rebrab, une fortune estimée à 3,1 milliards de dollars.L’homme d’affaires a progressé dans la liste mondiale des milliardaires établies par le magazine Forbes, en 2016, il est le premier milliardaire maghrébin.
Issad Rebrab se classe à la 549ème place dans la liste des milliardaires dans le monde établie par le magazine Forbes pour l’année 2016 avec une fortune estimée à 3,1 milliards de dollars. En 2015, le patron du groupe Cevital était classé 577ème dans le monde.
Il est suivi de très loin par deux marocains : Othmane Benjelloun à la 959ème place avec 1,98 milliards de dollars et Aziz Akhannouch classé à la 1367e place avec une fortune de 1,79 milliards de dollars. Aucun tunisien, libyen ou mauritanien ne figure dans la liste des milliardaires de 2016.
Le roi Mohamed VI n’est pas cité dans la liste des milliardaires dans le monde de 2016. Par contre, il figure dans la liste des 50 plus grandes fortunes d’Afrique établie par Forbes pour l’année 2015.
Au regard de cette liste africaine où il est classé 5ème, le souverain marocain est bien la première fortune du Maghreb avec 5,7 milliards de dollars. Rebrab, 9ème africain, est de ce fait le deuxième maghrébin le plus riche.
Des ultra-riches légèrement moins riches en 2016
L’Egypte compte six milliardaires dans la liste mondiale avec en tête Nassef Sawiris, associé à Sonatrach dans la Sorfert d’Arzew, avec une fortune de 3,7 milliards de dollars. Nassef Sawiris se classe à la 42ème place dans la liste mondiale. Il est de ce fait, la première fortune d’Afrique du nord.
Les cinq autres milliardaires égyptiens sont Naguib Sawiris, 569ème avec 3 milliards, Mohamed Mansour 688e (2,5 milliards), Mohamed Al Fayed 959 e (1,9 mds), Youssef Mansour, 1067e (1,7 mds) et Yasseen Mansour, 1275e (1,4mds).
Selon une étude coréalisée entre la banque UBS et le cabinet PricewaterhouseCoopers, 210 personnes sont entrées dans le club restreint des super-riches qui compte 1400 milliardaires dont un tiers (538) d’Américains. La région Asie-Pacifique compte 520 milliardaires, suivie par l’Europe avec 339.
Selon l’étude, ces super-riches ont «souffert» de la crise, leur fortune estimée à la bagatelle de 5100 milliards de dollars ayant reculé de 6% en an. Ils ne sont toutefois pas à plaindre.
La fortune moyenne de ces super-riches est de 3,7 milliards de dollars. A comparer avec ceux qui vivent avec moins de deux dollars par jour : ils sont 800 millions dans le monde, selon la Banque Mondiale.
By Algerie 360

Lako
18/10/2016, 14h36
Elle est présente au SIAL de Paris: Cevital agro-industrie à la conquête de nouveaux marchésLe groupe est en passe d’obtenir la certification IFS qui lui permettra de vendre ses produits aux grandes marques de distribution en Europe.
Les couleurs nationales sont portées fièrement par Cevital Agro, au Salon international de l’alimentation (Sial) de Paris. Le leader algérien de l’industrie agroalimentaire a choisi, pour sa présence à cette manifestation d’envergure, qui a lieu depuis hier au parc des expositions de Villepinte, de rehausser le décor de son stand de 130 m2 de drapeaux algériens, sous différents formats.
L’emblème bleu du groupe éponyme ainsi que des échantillons de ses produits phares, comme l’huile, le sucre et la margarine, étaient également exposés. Détenteur de la plus grande raffinerie de sucre dans le monde, avec une capacité de production de 1 600 000 tonnes par an, Cevital veut conquérir de nouveaux marchés. Et quoi de mieux que le Sial pour démarcher des clients parmi les 7 000 entreprises et les 154 000 professionnels qui représentent une centaine de pays.
“Nous sommes là pour assoir notre position à l’international”, fait savoir Hafida Benslimane, directrice du marketing de la filiale agroalimentaire du groupe. Si la participation de Cevital agro-industrie au salon était plutôt ponctuelle par le passé, l’objectif consiste désormais à s’accorder une plus grande visibilité à travers des stratégies de merchandising percutantes.
“Il est important d’insister sur la qualité de nos produits et surtout sur le fait qu’ils répondent aux normes internationales”, explique encore Mme Benslimane. Un des arguments de vente pourrait être cette liste de clients très connus comme le chocolatier italien Ferero, Danone et Coca-Cola. Tous utilisent le sucre de Cevital dans leur fabrication. Environ 500 000 tonnes de cette substance qui inonde le marché algérien sont, d’ailleurs, voués à l’exportation.
En quête d’horizons plus larges, Cevital agro-industrie veut maintenant avoir sa place dans la grande distribution internationale, en Europe notamment et plus particulièrement en France, dans des magasins comme Carrefour ou Auchan. Pour cela, il lui faut obtenir un sésame, le fameux IFS (International Food Standard), un référentiel basé sur les normes ISO 9001, qui certifie depuis 2003 les fournisseurs d’aliments de marques de distributeurs, en Europe et plus particulièrement dans l’Hexagone et en Allemagne. “C’est en bonne voie”, assure la directrice du marketing de Cevital Agro. Des démarches similaires seront plus tard engagées pour obtenir le certificat BRC (British Retail Consortuim), en vigueur au Royaume-Uni.
Actuellement, les produits Cevital Agro sont en vente dans une trentaine de pays.
À peine débuté, le Sial offre déjà de nouvelles opportunités d’affaires à la société.
“Nous avons déjà eu des discussions avec des représentants de la grande distribution. L’un représente une chaîne de supermarchés italiens. Un autre des surfaces implantées en Mauritanie, en Espagne et en Arabie saoudite”, révèle Hafida Benslimane. Trois autres journées de contacts vont se succéder avant la fin du Sial, jeudi. Le patron du groupe Cevital, Issad Rebrab, est attendu à la clôture.
Il est à noter que le Sial est un salon biennal.
Il réunit des professionnels du commerce, de la restauration et de l’agroalimentaire.
By:Liberté-algerie

Lako
21/10/2016, 15h57
Cevital vise le marché international de l’agroalimentaire à ParisLe géant algérien de l’agroalimentaire Cevital Agro-industrie a participé du 16 au 20 octobre au SIAL-2016 qui s’est déroulé à Paris.
Le groupe d’Issad Rebrab a marqué sa présence à ce Salon international de l’alimentation grâce à la qualité et la diversification de ses produits, dont des échantillons étaient exposés dans un imposant stand de 130 m2. Ce rendez-vous vient confirmer les ambitions de Cevital d’entrer pleinement dans le marché mondial et aller à la confrontation concurrentielle directe avec les multinationales, notamment européennes, de l’agroalimentaire et de la distribution.
En attendant la signature de contrats, c’est bien parti, puisque l’espace VIP du stand a connu une bonne affluence tout au long du salon. Les professionnels du secteur, partenaires potentiels, de toutes nationalités, s’y sont succédé. «L’objectif de notre participation au SIAL est de faire connaître nos activités aux clients de différents pays ainsi que d’asseoir notre position de leader dans l’agroalimentaire», a indiqué Hafida Benslimane, directrice marketing de Cevital-Agro-industrie.
C’est donc un premier pari réussi ? Oui, à en croire notre interlocutrice, qui se réjouit d’avoir rencontré plusieurs représentants «de chaînes de supermarchés et de distributeurs venus de différents pays européens, mais aussi du Moyen-Orient». La représentante de Cevital dit avoir même eu des propositions sérieuses à étudier de retour au pays. «Il est clair que nous ne pouvons pas signer de contrats directement sur le stand, mais nous avons récolté quelques offres de partenariat que nous allons étudier dès notre retour à Alger.
Nous formulerons rapidement les réponses nécessaires à ces clients potentiels», a précisé Mme Benslimane, qui ajoute : «Ces demandes représentent une vraie opportunité à l’international pour les produits de notre groupe.» Elle est, par ailleurs, très confiante quant à la capacité réelle de ce fleuron de l’industrie agroalimentaire algérienne à s’introduire puis se maintenir sur le marché international, spécialement européen, où il y a une forte concurrence et une armada de normes exigées par l’Union européenne. «Nos produits peuvent prendre place sur le marché européen et autre sans problème.
Cela est possible grâce à leur qualité et à nos prix compétitifs. Nos produits respectent toutes les normes européennes et répondent aux demandes des clients les plus exigeants», a-t-elle expliqué. Il est vrai que si le groupe Cevital parvient à décrocher les standards internationaux de qualité auprès des organismes concernés, le rapport qualité-prix de ses produits peut être un tremplin vers un grand succès en Europe, particulièrement en France où les grandes surfaces focalisent leurs politiques commerciales sur le «pas cher» et le «bas prix» depuis plusieurs années. Alors, bientôt du sucre et de l’huile algériens en France après le gaz et le pétrole ? Ce serait un exploit pour le groupe Cevital.

Ghezlaoui Samir

Lako
10/11/2016, 08h16
Le président brésilien reçoit Issad Rebrabssad Rebrab a été reçu le mardi 8 novembre par le président brésilien Michel Temer, ainsi que le ministère de l’agriculture , Blairo Maggi, rapporte le site d’information TSA.
L’homme d’affaires algérien étudierait la possibilité d’investir dans le pays dans le domaine des produits oléagineux, précise l’article « Le président du groupe Cevital, étudierait la possibilité de mettre en place « une industrie de l’huile végétale (soja et palme) et l’allocation de ressources pour faciliter l’achat des produits agricoles brésiliens pour ce marché », indique le ministère brésilien de l’Agriculture. Selon la même source, le groupe Cevital aurait l’intention d’effectuer de nouveaux investissements au Brésil et notamment dans l’État de Pará, situé au nord du pays.
bY aLGERIE360

Lako
15/11/2016, 08h55
Issad Rebrab décline un agenda exportation de Cevital à 3 milliards de dollars en 2020« Il est possible de faire passer l’Algérie d’importateur à exportateur », cette formule enchanteresse, le président de Cevital Issad Rebrab l’a répétée à l’envi lors de sa présentation de ses projets d’investissement lundi matin sur le site de MFG à Larba dans la wilaya de Blida à l’occasion du lancement de la 2e ligne de production de verre plat.
« Cevital prévoit d’exporter pour 3 milliards de dollars en 2020 dont deux milliards viendront de l’électroménager » a-t-il précisé. Issad Rebrab a évoqué le développement de ses sites industriels conçus selon la même philosophie : « une taille critique mondiale qui permet d’aller challenger les multinationales sur leurs marchés, sinon elles vous écrasent sur le votre ».
C’est le cas avec la plus grande distillerie de sucre au monde à Bejaia, du projet électroménager Brandt à Sétif sur 100 hectares ou de l’usine Oxxo des fenêtres industrielles à Bordj Bou Arreridj, dix fois plus grande que celle de France, le bastion historique de la marque. Le président de Cevital a mis à jour son récit sur le déploiement à l’international en expliquant son intérêt pour l’Amérique Latine : « c’est la sécurité alimentaire de l’Algérie qui m’a amené au Brésil ».
Rebrab s’attend à une tension sur les produits alimentaires, sur l’eau et sur l’énergie les prochaines années. Mais les opportunités d’investissement se sont diversifiées et sa rencontre avec président Brésilien Michel Temer, l’a assuré du financement bancaire local pour développer la transformation du minerai de fer dans l’Etat défavorisé du nord, le Para. La chaine de valeur connectée à son activité sidérurgique en Italie (Lucchini à Piombino) se précisé en pointillés.
Détour par les chinois pour entrer dans la cour
L’inauguration du jour aurait pu suffire au propos. Un grand messe à Larba à 45 km au sud d’Alger, pour étrenner une extension de 800 tonnes par jour de 108 millions d’euros, qui s’ajoutent aux 600 tonnes par jour de 2007, un passage à plus de 1000 travailleurs, une production en hausse de 133% et un chiffre d’affaires prévisionnel de 45 millions d’euros en 2016 entre float (process de production du verre) et transformation. Le modèle exportateur décrit par Issad Rebrab est résumé sur ce site. « Si je devais me configurer au marché algérien du verre, l’usine serait dimensionnée à 40 000 tonnes par an.
Elle ne survivrait pas ». Dès le départ Cevital a ciblé l’exportation avec MFG. Le projet verre du groupe a buté au milieu des années 2000 sur le refus des majors – Etats Unis, Japon, France – de lui vendre leur technologie pour produire du verre plat selon le procédé flotte (bain d’Etain après fusion). Les chinois ont accepté de céder la leur et ont permis le développement d’une filière nouvelle qui s’exporte elle-même. « Nous avons acheté 250 remorques aux normes Jumbo nécessaires pour faire entrer les plaques de verre plat sur le marché européen », un format qui, barrière non tarifaire cachée, ne rentre pas dans les conteneurs.
L’arc sud méditerranéen – France, Italie, Espagne Portugal, est aujourd’hui distribué par l’usine de Larba « à raison d’un bateau par semaine ». La Turquie a récemment reçu du vrac, et les deux marchés tunisiens et marocains sont clients de MFG. La nouvelle chaîne du site de Larba va permettre de diversifier la production des verres et d’accélérer une intégration intra-groupe « vers le bâtiment avec Oxxo et vers l’électroménager avec Brandt ». La première chaine sera dédiée « avant la fin de cette année » au verre coloré.
L’assemblage automobile émergent en Algérie est un autre débouché prévu, même si le modèle d’affaire de cet investissement, au delà « de la fin du recours de l’Algérie aux importations », insiste Rebrab, est de générer des revenus conséquents en exportations. 48 millions d’euros de revenus sont prévus à l’international en 2017.
La fâcherie du gouvernement joue les prolongations
La grande cérémonie du lancement industriel de la 2e chaine de MFG, intitulée « l’Algérie exportatrice », a été marquée par la présence de nombreuses personnalités du monde des affaires, des partenaires étrangers du groupe Cevital, et d’anciens responsables politiques algériens.
Deux faits remarquables, la présence en invité spécial, du cheikh Nahyane al Nahyane, membre de la famille régnante aux Emirats Arabes Unis et Gouverneur de l’émirat d’Abu Dhabi et l’absence complète de tout membre du gouvernement algérien. Ce dernier fait est devenu particulièrement grinçant devant les images diffusées de l’inauguration du site en 2007 par le président Bouteflika. « Nous avons pourtant invité tout le monde », a affirmé Issad Rebrab évitant d’aller plus loin dans les explications sur ce qui conserve les allures d’un boycott officiel.
« Le ministre de l’industrie a envoyé son premier responsable au ministère » a précisé le président de Cevital rappelant enfin que « le président Bouteflika était venu quand il le pouvait ». La fâcherie officielle contre le groupe Cevital n’est manifestement pas écourtée par le durcissement de la conjoncture économique et le besoin de diversifier l’économie. « Tout le monde peut finalement devenir exportateur pour peu que … ».
Le discours sur la méthode de Issad Rebrab sur l’exportation aura permis aux présents de rêver un instant à l’avènement d’une industrie algérienne conquérante. Les officiels ne rêvent plus.
By Almgerie360

Lako
06/12/2016, 18h26
Issad Rebrab pense que l’Algérie peut devenir l’usine de l’EuropeIl pense que l’Algérie peut devenir l’atelier de l’Europe grâce à la co-localisation. « Oui, l’Algérie peut devenir l’atelier de l’Europe. Mais l’industrie française a de beaux jours devant elle, pour peu qu’elle investisse. Pour moi, l’idéal pour sauver des emplois en France, c’est d’aller vers la « co-localisation », c’est-à-dire de fabriquer les produits de haute qualité dans leurs pays d’origine et les produits très compétitifs dans des pays comme l’Algérie », a déclaré le président de Cevital, dans un entretien au quotidien économique français Les Échos, publié ce mardi 6 décembre.Pour argumenter, il cite le cas de Brandt, une société française qu’il a racheté et qui produit en Algérie, tout en gardant des activités et des emplois en France. « Brandt va réaliser un chiffre d’affaires (http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_chiffre-daffaires.html#xtor=SEC-3168) d’environ 500 millions d’euros cette année contre 370 millions en 2015 et 170 millions en 2014. Nous devrions être rentables l’an prochain si l’on exclut les coûts de structure. Mais Cevital n’aurait pas réussi à redresser Brandt France sans investir fortement en Algérie », explique-t-il.Issad Rebrab annonce des investissements de 300 millions de dollars dans l’usine de Brandt à Sétif. « D’ici à 2020, nous aurons investi un peu plus de 300 millions d’euros sur les sites de Sétif 1 et 2. Le premier emploie 1.050 personnes, le second, qui sera inauguré en 2017, aura 7.500 salariés. En 2020, Sétif 2 produira de 8 à 10 millions d’appareils électroménagers par an », détaille le patron de Cevital, qui vise un chiffre d’affaires de 5 milliards de dollars dans l’électroménager à l’horizon 2020.Il ne compte seulement multiplier par dix le chiffre d’affaires de Brandt, mais il veut se mesurer aux grandes marques internationales haut de gamme. « Avec nos quatre marques Vedette, Brandt, Sauter et De Dietrich, nous voulons concurrencer des acteurs premium comme Whirlpool, Bosch ou Electrolux », affirme Rebrab, en ajoutant que son groupe « a pour objectif de réaliser 25 milliards de dollars de revenus à l’horizon 2025, dont 50 % à l’international ».Issad Rebrab explique la forte diversification de son groupe par les difficultés liées à faire sortir des capitaux de l’Algérie pour investir à l’étranger. À partir du moment où nous avons saturé le marché local dans un métier, nous étions bloqués car il est très difficile de sortir des capitaux d’Algérie pour acheter des sociétés étrangères. Nous avons donc dû évoluer horizontalement pour nous développer ».
By TSA

Lako
11/12/2016, 11h58
Rebrab aurait demandé 1 milliard de dollars à des banques européennes.Le plus important investisseur algérien à l’étranger Issad Rebrab, souffre ses derniers temps d’un manque cuisant de financement pour renforcer ses projets en Italie. En effet selon certaines sources, les banques européennes peinent à accorder des crédits pour le groupe Cevital en raison de ses difficultés politiques dans son pays.
L’homme d’affaires algérien aurait demandé un crédit d’un milliard de dollars pour financer la modernisation l’Usine Piombino en Italie où Rebrab avait acquis l’aciériste Lucchini en 2014. Rebrab qui possède plus de 16 filiales commerciales de son groupe en Algérie a toute les difficultés pour transférer ses bénéfices à l’étranger pour financer ses investissements à l’étranger.
Il demande alors des crédits à des banques étrangères en leur présentant des garantis pour le remboursement.
By Algerie360

Lako
24/12/2016, 15h36
Retour “de la paix” entre Rebrab et le gouvernement/ Cevital représentée dans le comité de la maitrise de l’énergieLe groupe privé Cevital de l’homme d’affaire algérien, Issaad Rebrab, est représenté au sein du comité intersectoriel de la maîtrise de l’énergie.


C’est ce qu’on apprend à la lecture de l’arrêté du Ministère de l’énergie portant nomination des membres de ce comité, publié au dernier Journal Officiel. Le décret a été, pourtant, signé le 26 juin dernier. Il aura fallu donc attendre près de cinq mois pour le voir apparaître au Journal Officiel. Les membres de ce comité sont nommés pour un mandat renouvelable de trois ans. Il y a des représentants de plusieurs département ministériels, à savoir ceux de l’intérieur, finances, énergie, ressources en eau et de l’environnement, industrie et mines, habitat, travaux publics et transports, agriculture, commerce, l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique ainsi que celui de l’éducation nationale.


Il y a également des représentants d’instituts ou d’universités, comme celle de Bab Ezzouar, d’institutions publiques, comme l’Aprue, ou d’entreprises publiques, la Sonatrach, Sonelgaz et Cosider. Pour ce qui est du secteur privé, on notera la présence de représentants de quatre entreprises qui sont Slimane Benakcha, de l’entreprise des travaux publics bâtiments et hydraulique Chabani, Khaled Bouali, de Cevital, Hamid Bennour, de Siemens et Benyoucef Arachiche, de la Sarl Ghazal. Il faut rappeler que les relations entre le patron du groupe Cevital et certains membres du gouvernement ont connu une période extrêmement tumultueuse. Aujourd’hui, cette période de tension est, semble-t-il, dépassée.


Elyas Nour

ironman
09/06/2017, 16h48
Cevital lance une vaste opération de recrutement de 30 000 employés d’ici 2025
Le groupe Cevital, premier groupe industriel privé algérien d’envergure internationale, compte doubler son chiffre d’affaires à l’exportation d’ici 2020. Avec un taux de croissance à deux chiffres, Cevital poursuit son développement et diversifie ses investissements. Le Groupe s’apprête à recruter 30.000 collaborateurs d’ici 2025 dont plus de 7000 dès 2017, avec l’inauguration du nouveau site industriel Brandt à Sétif, d’un laminoir à Oran et une usine de trituration de graines oléagineuses, a annoncé le groupe de l’homme d’affaires Isaad Rebrab dans un communiqué.
Dans cette perspective, le Groupe Cevital prend la parole à partir du 6 juin 2017 avec une campagne de communication qui souligne sa contribution majeure au rayonnement de l’industrie algérienne, à la richesse du pays et à la création d’emploisCette campagne met en lumière les femmes et les hommes qui incarnent les engagements concrets du groupe Cevital sur ses sites industriels : l’investissement dans l’innovation, les hautes technologies, les usines de pointe, la qualité mais aussi la conquête de nouveaux marchés et le recrutement des meilleurs talents pour accompagner ce changement de dimension avec des emplois qualifiés et attractifs.
Elle sera déployée de juin à septembre 2017 à la télévision, radio, presse écrite, sur le numérique et en affichage dans tout le pays, avec 6 visuels.Cette campagne de communication complète le récent relooking de son logo et de son site Internet, offrant l’image d’un Groupe industriel leader et innovant, utile pour le dynamisme de l’économie de son pays, contribuant à sa diversification et à son ambition à l’exportation.