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zadhand
15/08/2015, 18h36
A LA UNE/ACTUALITE_Agression physique
15 Août 2015|17H03Constantine
Quatre blessés graves dans une bagarre à couteaux tirés

Une bagarre s’est déclenchée dans la nuit de vendredi vers 21h à l’UV 7
de la nouvelle ville Ali Mendjeli, située à 20 km de Constantine,
causant de graves blessures à 4 jeunes, apprend-on auprès des riverains.
Tout a commencé dans une fête de mariage, quand le frère du marié a été agressé
par deux inconnus devant son domicile à l’UV 7.
Il a reçu un coup de couteau au niveau du visage.
Voulant se venger, une dizaine personnes de la famille de la victime ont suivi
les traces des agresseurs. Une bagarre générale s’en est suivie avec usage
de couteaux et de barres de fer.

Après des semaines de calme, Ali Mendjeli a renoué encore une fois
avec les bagarres à l’arme blanche, semant la terreur au sein des citoyens.
Les habitants ont estimé que c’était une nuit sanguinaire,
il a fallu l’intervention des personnes âgées afin de calmer les esprits.
Les citoyens ont toujours réclamé la présence permanente de patrouilles de la police
pour faire face à ce regain de violence.
Les blessés ont été évacués tard dans la nuit de vendredi
à l’hôpital Abdelkader Bencharif de Ali Mendjeli.

La police n’a rien vu !

A ce propos nous avons saisi la cellule de communication de la sûreté de wilaya
afin d’avoir plus d’information sur l’absence des éléments de la police lors de la bagarre.
Le commissaire Mohamed Zemouli, nous a confirmé qu’il n’y a
eu aucune bagarre enregistrée à Ali Mendjeli,
et il est pratiquement impossible que les policiers
n’interviennent pas dans des situations pareilles.

« Nous avons renforcé nos éléments au sein des unités voisinages,
et des patrouilles sont un peu partout pour veiller sur les habitants », a-t-il conclu.

Yousra Salem

zadhand
22/08/2015, 23h56
A LA UNE/ACTUALITE_Tiaret
22 Août 2015|15H14

Un homme tue son voisin suite à une dispute entre leurs enfants

Un énième drame a secoué, hier dans la matinée, la cité « Sonatiba » au sud de Tiaret.
B. A, âgé de 45 ans, est mort des suites de plusieurs coups de couteau qui lui ont été assénés par A. Z,
son voisin, au niveau du ventre.
L’agresseur s’est rendu de son propre chef au niveau de la 3ème sûreté urbaine.
Bien qu’évacuée vers les UMC de l'hôpital Youssef Damerdji,
la victime a succombé à ses blessures.
Selon nos sources, les deux hommes en sont venus aux mains à la suite
d’une banale dispute entre leurs jeunes enfants.
Une enquête a été ouverte.

A. F.

djafar1
23/08/2015, 19h25
ça mes amis c'est les conséquences du terrorisme on est sorti d'une guerre civil qui a duré 10 ans ,on ne sort pas comme ça d'une guerre civil sans en subir les conséquences
c'est à nos psychologues,éducateurs et nous tous pères de famille de faire son auto critique son mea-culpa redresser la barre (qui est tombée bien bas)

zadhand
29/08/2015, 23h47
A LA UNE/ACTUALITE_Constantine_Agression physique
28 Août 2015|09H08


Sarah, jeune étudiante séjournant au sud-est de France,
à Nice, a fait l’objet d’une violente agression
lors de son séjour à Constantine (Algérie).

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Arrivée chez elle en taxi qu’elle a pris à l’aéroport Mohamed-Boudiaf où elle a atterri, elle a été attendue par une bande de voyous quelle a vite reconnus. Elle nous raconte les détails de cette agression qui caractérise la violence qui ronge la société algérienne.."J’arrive de l’aéroport, je rentre dans l'immeuble et je trouve deux voyous qui m'attendaient à l’intérieur. L'un d'eux m’a menacé de me tuer si je crie. (Si tu cries on te tue !). L’un d’eux était en possession d’un couteau", raconte Sarah. Avant d’ajouter toujours marquée par cette mésaventure : "Je n’ai pas pris sa menace en considération. Alors, j’ai crié de toutes mes forces malgré la fatigue du voyage et toute la journée passée en France. J’étais super-épuisée.
Je n’avais presque rien mangé.
J’ai donc crié à haute voix et tout le quartier m’a entendu. Là, l’agresseur qui m’a menacé m’a poignardé".La jeune femme a en effet reçu plusieurs coups de couteau au niveau de l’abdomen. Elle a été évacuée d’urgence au CHU Benbadis. Selon des sources médicales, la jeune fille a eu une plaie au niveau de l’abdomen et une autre de plus de 10 cm au dos.Les agresseurs sont des voisins !
Selon la jeune femme, les voisins n’ont pas réagi. "Ils n’ont même pas pris la peine d'ouvrir la porte. Hélas, ça m’aurait évité ces coups de couteau. Je pense que le fait d’avoir crié à haute voix a déstabilisé les agresseurs. Avant de prendre la fuite, ils ont déchiré mon sac à dos à coups de couteau. Ils auraient pu l’ouvrir sans même avoir eu recours à l’arme blanche, mais ils étaient dans un état comme second. Ces malfaiteurs avaient vraiment l’intention de nuire à mon intégrité physique", raconte Sarah.Concernant le nombre d’agresseurs, Sarah dit n’en avoir vu que deux. "Dans l’article paru dans le journal el Watan, on a parlé de trois agresseurs. J’en ai vu que deux. Le troisième est le commanditaire de l’agression. C’est notre voisin dans l’immeuble d'en face. Il a fourni toutes les informations me concernant ainsi que l'endroit exact où j’habite", précise la jeune femme.Les agresseurs ont pris la fuite avec le sac à dos. Du haut de ses vingt ans, Sarah, se reprend courageusement et les poursuit en criant de toute sa voix dans l’espoir de trouver du secours. La jeune femme dit avoir réussi à arracher son sac à dos à l’agresseur qui lui a assénée un second coup de couteau.La police judicaire, pour laquelle la jeune femme a confié son sac à dos, est vite intervenue. Après enquête, elle a procédé à l’arrestation de la petite bande de voyous. Au poste de police, la jeune fille a réussi à identifier les malfaiteurs notamment celui qui portait le couteau. "Il était un peu maigre mais je l’ai reconnu. Il était à peine sorti de prison".La victime avoue aussi que le comandataire de l’agression dont elle nous a parlé courrait déjà après elle. "Il voulait sortir avec moi. Il ne cessait de me contacter.
Je pense que c’est le cas de plusieurs jeunes aussi.
Comme je refuse toute relation,
on n’a trouvé d’autres moyens que de se venger sur moi".
Mounir Outemzabt

zadhand
01/12/2015, 21h32
A LA UNE/ACTUALITÉ_Chouchou, la femme chauffeur de taxi agressée à Birkhadem,
il y a environ 4 heures

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Chouchou, la femme chauffeur de taxi agressée à Birkhadem, le coupable en fuite

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Indignant, révoltant et choquant ce que vient de vivre Chouchou, la jeune femme
chauffeur de taxi qui exerce sur Alger. Sur sa page Facebook, Chouchou vient
de dénoncer l'agression physique qu'elle vient de subir aujourd'hui, à Birkhadem,
à Alger, quand elle empruntait une route assez étroite. "Alors que j'étais dans ma voiture,
à travers la fenêtre, un homme se déchaîne contre moi et me roue de coups de poing
pour apaiser sa douleur après le décès d'une personne proche",
raconte la jeune victime sur son "mûr".Encore en état de choc,
Chouchou raconte comment les policiers l'ont harcelé de questions pour lui dire enfin
qu'elle devrait plutôt attendre la gendarmerie qui était seule habilitée à traiter
ce genre d'affaires. Entre-temps, le coupable était bel et bien parti
et la victime se demande aujourd'hui si porter plainte contre
un inconnu avait un quelconque sens.Encore une femme agressée, alors que le projet
sur les violences faites aux femmes est encore bloqué au niveau de la chambre haute
du Parlement. N'est-il pas grand temps de punir sérieusement les coupables au
lieu d'adopter des sanctions qui ne sont jamais concrètement appliquées
et de continuer à stigmatiser la femme ?

zadhand
04/01/2016, 20h08
Affaire de l’enfant retrouvé mort à Sidi-Bel-Abbès


4 auteurs présumés du meurtre confondus par leur ADN


La police de Sidi-Bel-Abbès a, en un temps record, élucidé l’affaire de l’enfant retrouvé mort emballé dans un sac plastique dans la localité de Ben Badis. Après avoir interpellé une dizaine de personnes et effectué des prélèvements sur ces dernières en vue de tests ADN, elle est parvenue à identifier quatre auteurs présumés dont trois frères âgés entre
21 et 25 ans et un autre voisin de la victime.
Selon nos sources, les auteurs présumés du meurtre avec violences sexuelles collectives sur le jeune C.H. Miloud, âgé de 13 ans ont été confondus par leur ADN suite aux prélèvements effectués sur ces derniers qui ont été comparés avec ceux retrouvés sur l’enfant.
Les mis en cause sont actuellement dans les locaux de la police et seront déférés dans la journée d’aujourd’hui dimanche devant le procureur de la République de Ben Badis.
Pour rappel de cette affaire qui a secoué la localité de Ben Badis, le jeune C.H. Miloud, âgé de 13 ans, a disparu le 26 décembre dernier en fin de journée. Malgré toutes les recherches de ses proches, il n’a pas été retrouvé, ce qui a nécessité l’intervention des services de sécurité qui ont ouvert une enquête pour disparition inquiétante.
De leur côté, les habitants ont apporté leur soutien à la famille du disparu en multipliant marches et recherches dans le but d’éviter le pire. La police, elle, a lancé une vaste opération de recherches en effectuant des battues dans les environs immédiats. Mais hélas, le 29 décembre dernier le jeune Miloud est retrouvé sans vie et enveloppé dans
un sac poubelle déposé pas loin du domicile de ses parents.
Le corps qui ne porterait pas, selon nos sources, de traces de violence était à moitié dévêtu et sa mort serait peut-être due à un acte de strangulation. De toute façon, la dépouille de l’enfant a été confiée au médecin légiste pour une autopsie et les résultats n’ont pas été divulgués.
Sur les dix personnes interpellées, la police n’a finalement arrêté
que quatre auteurs présumés dont trois frères, tous habitant la localité. 
Le jeune Miloud a été enterré mercredi dernier en présence d’une foule importante.
Aussitôt après son enterrement, les habitants ont improvisé une marche blanche en mémoire de l’enfant innocent qui ne rejoindra pas les bancs du CEM aujourd’hui, jour de la rentrée.

A. M.

zadhand
08/01/2016, 22h26
Solidarité avec la famille d’un enfant assassiné


Les habitants, l’association Sounaâ Amel filhayat et le club sportif de football Chabab Benbadis
de Benbadis ont porté assistance à la famille de l’enfant retrouvé mort dans un sac-poubelle mercredi dernier. 
La famille, qui vit dans un grand dénuement, a été aidée moralement et financièrement par les habitants qui ont récolté des fonds pour offrir à la victime des obsèques dignes. Quant au club sportif de football Chabab Benbadis,
il a offert à la famille la recette du match qu’il a disputé contre celui de Amel Maghnia vendredi dernier.
L’association Sounâa Amel filhayat a mis sa quote-part pour aider cette famille dans cette douloureuse épreuve.
Dans la journée de dimanche dernier le procureur de la République de Benbadis a animé
un point de presse dans le cadre de cette affaire.
Il a déclaré que quatre personnes dont trois frères ont été arrêtés et écroués pour enlèvement,
séquestration, torture et attentat à la pudeur sur la personne de l’enfant CH. Miloud,
âgé de 13 ans, retrouvé mort dans un sac en plastique. 
Le lieu qui a abrité ce drame est l’appartement de l’un des trois frères accusés.
Quant aux causes ayant entraîné la mort de l’enfant, le procureur de la République est resté
laconique, se contentant de dire que l’enquête suit toujours son cours.
Pour rappel, CH. Miloud, âgé de 13 ans, a disparu le 26 décembre dans la localité de Benbadis
où il réside et a été retrouvé le 29 décembre dernier, mort
et enveloppé dans un sac en plastique, loin de son domicile.


A. M.

zadhand
07/02/2016, 20h43
Un adolescent de 14 ans tué à coups de couteau

07 Février 2016


Un collégien a été agressé par un groupe d’adolescents au bidonville dit Le Typhus,
dans la vallée des Jardins dans la commune de Sayada, à quelque 4 km de la ville de Mostaganem.
Ce jeune garçon de 14 ans a été tué vendredi dernier dans la soirée de plusieurs coups
de couteau dans un endroit mal fréquenté dit «Le Typhus» par une bande formée d’adolescents
qui a été interpellée par les services de sécurité après les faits.
Arrivés sur les lieux, les services de sécurité et les secours ont trouvé le corps de la victime
gisant dans son sang et n’a pu être réanimée malgré les efforts du Samu également sur place.
Les circonstances précises de l’homicide ne sont pas encore connues.
La Gendarmerie nationale a ouvert une enquête pour élucider ce crime.


A. B.

zadhand
07/04/2016, 22h41
A la une/Actualité_Héliopolis (wilaya de Guelma)
le 07.04.16 | 17h24


Triple meurtre à la cité du 1e novembre


Aujourd’hui jeudi 7 avril, vers 7 heures du matin, les cadavres d’une mère âgée de 38 ans et son enfant
de sexe masculin âgé de 5 ans, ont été découverts dans leur domicile, à Héliopolis, commune située
à quelques encablures au nord du chef-lieu de la wilaya de Guelma, plus exactement à la cité du 1e novembre.
Les deux corps ont été transportés par la protection civile à la morgue de l’hôpital Okbi de la vile de Guelma.
Cinq heures plus tard, vers midi approximativement, c’est le père, âgé de 49 ans que les services de sécurité
découvrent dans son garage dissimulé dans le coffre de sa voiture.Selon les premiers éléments d’informations
en notre possession, il s’agirait d’un triple meurtre commis par un ou plusieurs individus. Un crime crapuleux
d’une rare violence puisque selon les témoignages recueillis par El watan auprès du voisinage, la mère
et l’enfant ont été étranglés et cachés sous du linge.Quant au père, c’est à l’arme blanche qu’il a été assassiné.
Au moment ou nous mettions en ligne, des agents de police plaçaient des scellés sur la porte du domicile
et du garage, avons nous constaté sur place.

Karim Dadci

zadhand
13/04/2016, 20h01
A la une/Actualité_Tiaret
Mercredi, 13 Avril 2016 19:08

Un élève tue à coups de poignard un gardien d’un lycée à Mahdia



TIARET - Un élève de 1ère année secondaire a tué à coups de poignard,
mardi soir, le gardien du lycée "El Wancharissi" à Mahdia (Tiaret), a-t-on appris mercredi
du président d’APC de cette collectivité locale, Ghlamallah Boumezrag.

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Le crime s’est produit lorsque le mis en cause, âgé de 17 ans, élève dans un autre lycée de
la même ville s'est rendu au lycée "El Wancharissi" pour "régler ses comptes" avec le fils
du gardien avec lequel il a eu une altercation. Trouvant le père à sa rencontre, il lui asséna
des coups de poignard au niveau de l’abdomen, a indiqué la même source.
La victime, âgé de 42 ans, qui réside au lycée avec sa famille composée de six enfants, avait été
transféré aussitôt à l’hôpital de la ville où il succomba à ses blessures, a-t-on ajouté.
L’encadrement éducatif et administratif du lycée "El Wancharissi" a organisé mercredi un sit-in
devant le lycée pour protester contre ce crime et contre la violence dans les établissements éducatifs.
Une commission du ministère de l’Education nationale a été dépêchée à Mahdia pour déterminer
de visu les circonstances de ce drame, en présence de la directrice de l’éducation, Hadouda Boukabous,
et des autorités de Mahdia.Les services de Sûreté de wilaya ont ouvert une enquête pour élucider
cette affaire ayant conduit au crimeKarim Dadci

zadhand
11/07/2016, 01h04
Un jeune homme se fait poignardé sur l’autoroute est-ouest


dimanche 10 juillet 2016 à 13:35


Un jeune homme de Bouira, a été assassiné hier sur l’autoroute est-ouest
près de Larbatache, wilaya de Boumerdes par un groupe de malfaiteurs.
Il a été agressé par deux personnes après une dispute sur l’autoroute ,ils
l’ont poignardé et ont pris la fuite le laissant succombé sur place à ses blessures.

zadhand
30/08/2016, 01h33
Un jeune mortellement poignardé à Sidi-Bel-Abbès
L’auteur présumé arrêté

29 Août 2016



La petite localité de Bouaïche située à quelques encablures du chef-lieu
de Sidi-Bel-Abbès a été secouée dans la nuit de samedi à dimanche par
une rixe entre deux jeunes qui s’est soldée par la mort sur le coup de
l’un d’eux. La victime, âgée de 23 ans, a été mortellement poignardée par
son antagoniste âgé de 35 ans qui a pris la fuite pour aller se réfugier dans
une demeure où finalement, il a été arrêté par la police qui a été alertée. Malheureusement, la victime a rendu l’âme avant l’arrivée des secours.


A. M.