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Voir la version complète : Tripartite (Gouvernement-Centrale Syndicale-Patronat)



zadhand
03/08/2015, 14h44
A LA UNE/ACTUALITE-Tripartite
03 Août 2015

El Ghazi annonce une réunion préparatoire en août
L e ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi,
a annoncé hier la tenue d’une réunion entre son ministère et les partenaires sociaux,
en prévision de la prochaine réunion de la tripartite (gouvernement-centrale syndicale-patronat).
«Une réunion préparatoire se tiendra fin août entre le ministère, la centrale syndicale et le patronat pour arrêter l’ordre du jour de la tripartite prévue en octobre prochain à Biskra», a indiqué le ministre en marge de la cérémonie organisée en l’honneur des retraités du secteur, en présence du secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd.
Le directeur général du Bureau international du travail (BIT) sera présent à la prochaine tripartite, et ce, «à sa demande», a-t-il précisé. Cette réunion portera sur plusieurs axes liés notamment au bilan des réalisations et à l’évaluation de la situation économique, outre l’examen de la politique d’investissement.
D’«autres points» seront abordés lors de la prochaine tripartite, dont le pacte économique et social, a indiqué pour sa part, Sidi Saïd. Par ailleurs, le ministre du Travail a affirmé que «l’application de la décision portant suppression de l’article 87 bis du code du travail est entrée en vigueur le 1er août».
Près de 2 millions de travailleurs bénéficieront de cette mesure dont 1,4 million de la Fonction publique et 500 000 du secteur économique. L’augmentation sera appliquée avec effet rétroactif à partir du mois de janvier 2015, a fait savoir le ministre, qui a rappelé les efforts consentis par la commission technique qui a travaillé six mois durant pour définir les conditions de cette hausse de salaire.
«Dorénavant, aucun travailleur ne percevra un salaire mensuel inférieur au salaire national minimum garanti (SNMG) équivalent à 18 000 DA», a souligné le ministre. Le premier responsable du secteur a indiqué que des instructions ont été données par son département ministériel au secteur économique pour «l’application scrupuleuse» de cette décision, ajoutant que la Fonction publique a également instruit les administrations et entreprises publiques à cet effet. L’application de cette décision a été introduite dans la loi de finances 2015, a-t-on précisé.


Rédaction Socièté

zadhand
13/10/2015, 11h17
A LA UNE/ACTUALITÉ_Les travaux s’ouvriront demain à Biskra
13 Octobre 2015



La tripartite à l’épreuve de la crise financière


Pour l’UGTA, trois secteurs pourvoyeurs d’emplois retiendront l’attention particulière des parties : l’agroalimentaire, l’industrie et la pêche.
C’est dire que la tripartite de demain est annonciatrice d’une nouvelle ère.


Les travaux de la tripartite gouvernement-patronat-UGTA s’ouvriront demain à Biskra, avec comme invité d’honneur le directeur général du Bureau international du travail (BIT). A l’ordre du jour, l’évaluation du pacte économique et social de la précédente tripartite et la réalisation des engagements. Une batterie de mesures sont attendues pour relever le défi de la crise financière qui secoue le pays, axées sur les secteurs prioritaires, à savoir l’agroalimentaire, la pêche et l’industrie.C’est dans une conjoncture particulièrement difficile, marquée par un recul drastique des revenus du pays, que la tripartite se tiendra demain à Biskra, capitale des Ziban.


La présence du directeur général du BIT est une «incursion» unique dans les annales. «C’est la première fois que le directeur général du BIT assiste à une rencontre de ce genre. Le dialogue social à l’algérienne est pour lui une expérience, un exemple à connaître et à suivre. Raison pour laquelle il sera là tout au long des travaux pour voir comment ce dialogue social se répercute sur le terrain», déclare Achour Telli, chargé des conflits et des négociations à l’UGTA.


Au programme de cette tripartite, l’évaluation de celle de 2014, ainsi que du pacte économique et social. «Il est question de voir ce qui a été fait par les trois parties signataires et ce qui leur reste à faire en prenant en compte la situation difficile que traverse le pays, sans pour autant toucher aux acquis sociaux. Pour preuve, la suppression de l’article 87 bis du code de travail le 1er août dernier. Cette mesure vient appuyer le pouvoir d’achat de 2 millions de travailleurs.


Elle reflète la volonté et l’engagement des partenaires du pacte à travailler à l’amélioration des conditions de travail et du climat social, indispensable à la bonne tenue de la croissance», explique Telli. En ce qui concerne les engagements des parties, il évoque «les mesures-phares liées à un ensemble de facilitations à l’investissement, à l’encouragement et au soutien de la production nationale». A ce titre, le responsable rappelle la batterie de textes promulgués récemment par le gouvernement et «qui traduisent l’engagement» des pouvoirs publics.


Il rappelle aussi les mesures visant une réforme du cadre de régulation des affaires et du dispositif législatif qui les régissent «en vue de lever systématiquement les obstacles au développement de la production nationale, de l’investissement et de l’emploi. Sur la crise financière et les choix qu’elle pourrait imposer aux parties, le responsable nous renvoie au rapport élaboré par le comité national de suivi de l’Ugta, où il est clairement indiqué : «La nouvelle vision de la politique économique ne réduit pas celle-ci à un énoncé de mesures consignées dans un document.


Au contraire, elle considère que la concertation entre les pouvoirs publics et les parties prenantes permet de réduire les incertitudes liées à tout choix de projet de développement, de découvrir de nouvelles opportunités d’innovation et de garantir l’efficacité des politiques publiques. Dans ce cadre, le Pacte économique et social pour la croissance a posé des jalons importants dans la concertation entre les pouvoirs publics et les acteurs du développement économique et social.


Il pose également aujourd’hui clairement et formellement le principe de la responsabilité collective dans la réalisation des objectifs retenus de manière consensuelle par les parties prenantes et celui de l’évaluation pour réajuster, le cas échéant, ses directions de mise en œuvre. L’Algérie, à travers ce modèle de concertation et de dialogue, marque son engagement fort et déterminant, au plan national et international, quant à la promotion d’un véritable dialogue socioéconomique, en mesure de prendre en charge les préoccupations de notre société (…).


Il est important de souligner que des progrès appréciables ont été réalisés dans les différents domaines de notre vie socioéconomique, toutefois, ces progrès auraient gagné en intensité si l’arsenal légal et réglementaire régissant l’activité économique était efficacement mis en application à tous les niveaux de la gestion des affaires économiques, depuis le niveau central jusqu’au, surtout, niveau local. Une autre condition non moins importante réside dans la dépénalisation de l’acte de gestion dans toute son étendue, garante d’une gouvernance efficace de nos entreprises.


De même, une meilleure coordination entre les différents acteurs est un impératif en vue d’assurer l’efficacité et de relever, de manière concrète et durable, les défis auxquels nous sommes confrontés». Pour l’UGTA, trois secteurs pourvoyeurs d’emplois retiendront l’attention particulière des parties : l’agroalimentaire, l’industrie et la pêche. C’est dire que la tripartite de demain est annonciatrice d’une nouvelle ère.
Ses travaux pourraient être prolongés et devraient s’achever
avec une batterie de nouvelles mesures imposées par la conjoncture actuelle.


Salima Tlemçani

zadhand
17/10/2015, 23h05
A LA UNE/ACTUALITÉ_La 18e rencontre ne s’est soldée par aucune décision
17 Octobre 2015
Une réunion expéditive et des vœux

Sans ordre du jour, succession de discours et de vœux en guise de résultats.

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La réunion tripartite gouvernement-UGTA-patronat, tenue mercredi dernier dans la wilaya de Biskra, n’a pas été l’événement de l’année, comme tentent de le présenter ses organisateurs. Et pour cause, cette rencontre expéditive, qui n’a duré que moins de quatre heures, n’a débouché que sur quelques recommandations pour tenter d’aider l’entreprise et les entrepreneurs. Sans plus.

Les parties ayant pris part à ce rendez-vous semblaient animées beaucoup plus par un souci d’impressionner le directeur général du Bureau international du travail (BIT), Guy Ryder, présent sur place, que de chercher des solutions à la crise économique et à améliorer la situation du monde de travail.

En effet, les organisateurs ont réalisé «l’exploit» de tenir une réunion sans inscrire un ordre du jour précis et sans engager ce fameux «dialogue social qu’on a voulu présenter au directeur général du BIT».

D’habitude donnant suite à des négociations très serrées, la 18e tripartite a dérogé à cette règle. Ses travaux se sont résumés en une lecture de discours où le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le secrétaire général de l’UGTA Abdelmadjid Sidi Saïd et les représentants des organisations patronales ont exposé leurs points de vue sur la situation économique du pays.

Certes, la question de la création d’emplois a été évoquée, mais aucune mesure n’est annoncée pour améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs qui reste toujours en berne.

Au moment où le dinar a atteint son plus bas niveau et que l’inflation continue de grimper, pesant ainsi lourdement sur les citoyens, celui qui est censé représenter les travailleurs, en l’occurrence Abdelmadjid Sidi Saïd, s’est contenté de faire le bilan de 25 ans du dialogue tripartite et de louer ses «bienfaits».

L’allégeance passe avant les travailleurs. C’est le message qu’il semble vouloir lancer, puisque le patron de la centrale syndicale s’est livré à un exercice tendant à édulcorer l’image de l’Algérie auprès de cette instance internationale qu’est le BIT.

Les travailleurs n’ont été évoqués lors de cette réunion que lorsqu’il s’est agi de les appeler à «préserver la stabilité du front social pour pérenniser le modèle social algérien et de réunir les conditions de succès de la relance de l’économie nationale».

Pour sa part, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, s’est contenté de généralités, rappelant notamment toutes les décisions prises ces derniers mois pour faire face à la crise financière et annonçant ses prévisions pour l’année prochaine. Mais il n’y a eu point de décision révolutionnaire qui aiderait l’Algérie à sortir de sa dépendance des hydrocarbures.

Cette indigence des résultats de la 18e tripartite est confirmée par le contenu du communiqué final de la réunion. Un communiqué qui précise que la tripartite a appelé «à la poursuite des efforts visant à améliorer l’environnement des entreprises, à renforcer la confiance des investisseurs et à développer la capacité d’ajustement des stratégies sectorielles devant stimuler la croissance».

«L’importance d’intégrer les activités informelles dans le processus de relance économique», a été également souligné dans ce communiqué.
Les participants ont insisté sur l’amélioration de l’environnement des entreprises et le renforcement de la confiance des investisseurs.


Madjid Makedhi

zadhand
08/03/2016, 10h33
A LA UNE/ACTUALITE-Tripartite
08 Mars 2016

Une tripartite en juin prochain


Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a annoncé mercredi 2 mars 2016 à Alger
qu'une réunion de la tripartite (gouvernement-patronat-syndicat) se tiendra
début juin prochain pour examiner plusieurs dossiers relatifs à la situation
économique du pays. Après avoir assuré que le gouvernement
«ne touchera pas aux acquis sociaux», M. Sellal a indiqué qu'un «nouveau modèle
économique sera présenté et annoncé en avril prochain».
Il a précisé que le nouveau modèle économique pour la période 2016-2019
«fait actuellement l'objet d'examen». «L'Algérie maîtrise toujours les grands équilibres
macroéconomiques nationaux en dépit de la baisse du prix du baril de pétrole
qui oscille actuellement entre 30 et 35 dollars dans un niveau inférieur au prix
de référence arrêté à 37 dollars/baril», a soutenu le Premier ministre soulignant
qu'«il n'y aura pas de recours à l'endettement extérieur». Mais est-ce à dire que
le dossier de la situation financière des organismes de Sécurité sociale
la Caisse nationale des retraites plus particulièrement — ne sera pas à l’ordre
du jour de cette rencontre ?
Pour rappel, lors de la tripartite d’octobre 2015 à Biskra, le Premier ministre avait évoqué
les graves difficultés que connaît le financement du système de retraite du régime
des salariés et avait fustigé les départs à la retraite avant l’âge légal de 60 ans.

zadhand
31/05/2016, 19h43
19ème Tripartite
Quel modèle socio-économique pour 2016-2019 ? (contribution)






Dr Abderrahmane Mebtoul*
mardi 31 mai 2016 11:42





La 19ème Tripartite (gouvernement, syndicats et patronat) faisant suite
à la 18ème tenue le 14 octobre 2015, aura lieu le 05 juin 2016 et sera
consacrée à l'étude des moyens de dynamiser et d'améliorer
l'économie nationale ainsi qu'à l'examen du nouveau modèle économique
2016-2019 selon le premier ministre.

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Comme sera abordé l’épineux dossier des retraites afin de renflouer la Caisse nationale
des retraites (CNR) qui connaît un énorme déficit et probablement
le nouveau code de travail, loi, maintes fois reportée. Mais face aux expériences du passé,
cette Tripartie sera-t-elle encore une nouvelle réunionite ? Des décisions concrètes
seront-elles prises afin de réhabiliter la bonne gouvernance, l’économie de
la connaissance et l’entreprise créatrice de richesses, publiques et privées
locales/internationales comme le stipule la nouvelle Constitution, sans distinction,
face à un cours des hydrocarbures faible qui risque de durer dans le temps?

La suite....
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zadhand
06/06/2016, 17h15
A LA UNE/ACTUALITÉ_Un «modèle économique» sans ambitions
le 06.06.16|10h00
رمضان مبارك للجميع


Une tripartite pour limiter les dégâts


L’âge du départ à la retraite ne sera pas révisé
Mais il n’y aura plus de retraite anticipée.

La réunion tripartite gouvernement-UGTA-patronat, tenue hier à Alger,
a mis fin à toutes les spéculations autour d’un éventuel passage de l’âge l
égal du départ à la retraite à 65 ans au lieu de 60 ans actuellement.
«Il a été convenu entre les partenaires de la tripartie de fixer l’âge du départ
à la retraite à 60 ans», explique le Premier ministre, Abdelmalek Sellal,
à l’issue de cette rencontre.«Un groupe de travail sera mis sur pied pour élaborer
ce projet de loi qui fixe l’âge de départ à la retraite à 60 ans par souci d’équité
et de préservation des capacités de la Caisse nationale de retraite», ajoute-t-il.
En revanche, les participants à cette 19e tripartie ont décidé de mettre un terme
au système de retraite anticipée, en vigueur depuis les années 1990, qui permettait
aux travailleurs de mettre fin à leur carrière avant d’atteindre l’âge légale (60 ans).
De ce fait l’ordonnance 97-13 instituant le départ à la retraite sans condition d’âge,
annonce Abdelmalek Sellal, sera abrogée. Pour justifier cette décision, la tripartite
énumère une série d’arguments.«Les participants à la tripartie, et afin de préserver
et consolider le dispositif national de retraite, considèrent que les conditions actuelles
ne permettent plus le maintien de ce dispositif de départ à la retraite sans condition d’âge»,
lit-on dans le communiqué final ayant sanctionné les travaux de cette réunion.
Le communiqué invoque également les risques qui pèsent sur les équilibres financiers de
la Caisse nationale de retraite (CNR) et les pertes de ressources humaines pour les employeurs.
«Les participants à la 19e tripartite ont, à l’unanimité, admis que le maintien actuel de ce
dispositif (97-13, ndlr) entraîne des conséquences dommageables aussi bien aux équilibres
financiers de la CNR qu’à l’outil de production qui enregistre chaque année d’importantes
déperditions au niveau de ses ressources humaines, notamment les plus qualifiées dans un
dispositif qui s’est souvent avéré inégalitaire», ajoute le même communiqué.
Hier soir, rappelons-le, le président du FCE, Ali Haddad, avait annoncé, sur un ton affirmatif,
que «l’âge du départ à la retraite sera relevé de 60 ans à 65 ans». Mais son vœu ne s’est
pas réalisé.Il est à rappeler que la CNR, de l’aveu même des responsables de la fédération
des retraités (UGTA) traverse une sérieuse crise financière.

Madjid Makedhi

zadhand
15/09/2016, 10h45
Rencontre gouvernement-partenaires sociaux
La politique d’austérité en débat

Gouvernement/UGTA/Forum des Chefs d’Entreprise (FCE)
le 15.09.16 | 10h00


La rencontre qui se tiendra aujourd’hui entre le gouvernement, l’UGTA et le Forum des chefs
d’entreprise (FCE) devrait permettre de confronter les points de vue sur les principales
dispositions prévues dans la loi de finances 2017.


Même si l’ordre du jour principal, établi par le Premier ministère, est
officiellement centré sur «la question du partenariat public-privé», des
avis recueillis hier auprès de responsables proches du patronat penchent
plutôt pour l’option prise par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, de
réunir les partenaires sociaux pour une consultation «informelle» sur le
projet de loi de finances 2017, dont une seconde lecture est programmée
la semaine prochaine par le conseil du gouvernement. La réunion devrait
donc permettre d’exposer les principaux points contenus dans la mouture
du budget 2017 dont, notamment, les probables augmentations de taxes
et la révision des subventions, tel que préconisé d’ailleurs par le FCE.
La difficulté pour le gouvernement réside, cependant, dans le fait de
convaincre tous ses partenaires sur le bien-fondé de sa politique d’austérité
dans un contexte économique difficile, et d’obtenir un aval pour prendre
des mesures «douloureuses» tant elles pourraient grever encore plus les
budgets des ménages. Le gouvernement joue l’équilibriste en tentant de
peaufiner sa politique d’austérité tout en rassurant sur son souci de
préserver le pouvoir d’achat des citoyens. Dans cette démarche, il cherche
l’appui de ses partenaires. Le Premier ministreavait indiqué il y a quelques
jours que le projet de loi de finances 2017 «introduira quelques modifications
pour améliorer la situation économique sans affecter le pouvoir d’achat des
citoyens» et que «s’il devait y avoir une hausse des impôts, celle-ci serait
minime et n’affecterait pas le pouvoir d’achat des citoyens».Lors de la tripartite
au mois de juin dernier, Abdelmalek Sellal avait expliqué également que le
nouveau modèle économique intègre un cadrage budgétaire sur les court et
moyen termes, réaménagé en fonction des éléments factuels de conjoncture,
tout en maintenant les objectifs de croissance et d’édification d’une économie
émergente fixés par l’autorité politique. L’objectif, selon lui, est d’arriver, en
bout de cycle, à des niveaux soutenables en matière d’équilibres des finances
publiques. Le modèle comprend également «des mesures visant à réformer
la fiscalité et mettre le budget au service de la croissance».


Zhor Hadjam