soltan009
24/07/2015, 16h51
Il récolte 113.000 euros en dévalisant des machines à caféUn ancien employé d’une société chargée de machines à café et de distributeurs de boissons a réussi à amasser 113.000 euros. Licencié, l’homme disposait toujours de son badge lui permettant d’avoir accès aux machines dans les entreprises clientes de son ancien employeur. Il n’avait plu qu’à prétendre devoir recharger les automates en gobelets pour subtiliser l’argent.https://s1.yimg.com/bt/api/res/1.2/kfTAXnXfm7xf.VitR6MEKg--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9ODAwO2NyPTE7Y3c9MTIwMDtkeD0wO2 R5PTA7Zmk9dWxjcm9wO2g9NDIwO2lsPXBsYW5lO3E9NzU7dz02 MzA-/http://l.yimg.com/os/publish-images/news/2015-07-24/2ce4e440-31e8-11e5-a055-e3520dae643d_Une.jpg
Combien de cafés faut-il pour atteindre la somme de 113.000 euros ? Un ancien employé d’une société gérante de machines à café et de distributeurs de boissons fraîches, lui, le sait certainement puisqu’il comparait, vendredi 24 juillet, devant le tribunal correctionnel de Nanterre. Son crime ? Avoir pillé pendant plusieurs mois des machines à café et autres distributeurs, pour un montant dépassant les 100.000 euros !
Licencié par son entreprise en 2014, l’homme n’avait pas pour autant rendu ni son uniforme, ni sa voiture de service… et encore moins le badge qui lui permettait d’ouvrir les machines. Ainsi, pendant plusieurs mois, l’individu se présentait dans les entreprises clientes de son ancien employeur, prétextant réapprovisionner les distributeurs. Mais à la place de rajouter quelques gobelets, il liquidait les automates de l’argent présent à l’intérieur.
Combien de cafés faut-il pour atteindre la somme de 113.000 euros ? Un ancien employé d’une société gérante de machines à café et de distributeurs de boissons fraîches, lui, le sait certainement puisqu’il comparait, vendredi 24 juillet, devant le tribunal correctionnel de Nanterre. Son crime ? Avoir pillé pendant plusieurs mois des machines à café et autres distributeurs, pour un montant dépassant les 100.000 euros !
Licencié par son entreprise en 2014, l’homme n’avait pas pour autant rendu ni son uniforme, ni sa voiture de service… et encore moins le badge qui lui permettait d’ouvrir les machines. Ainsi, pendant plusieurs mois, l’individu se présentait dans les entreprises clientes de son ancien employeur, prétextant réapprovisionner les distributeurs. Mais à la place de rajouter quelques gobelets, il liquidait les automates de l’argent présent à l’intérieur.