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xeres
05/07/2015, 18h01
5 juillet: Google célèbre la fête de l'indépendance de l'Algérie


http://i.huffpost.com/gen/3151932/images/n-DOODLE-ALGERIA-large570.jpg

Ce dimanche 5 juillet, Google a réservé une petite surprise aux Algériens. Dès minuit, et à l'occasion du 53e anniversaire de l’indépendance, le logo du moteur de recherche sur sa page a eu quelque chose d'algérien.

A partir d'une adresse IP algérienne, les utilisateurs accédant à la page d'accueil du moteur de recherche ont pu constater que l'habituel logo bleu, jaune et rouge de Google a laissé place à un "doodle" aux couleurs de l'Algérie.
Le géant américain de la recherche sur le web a l'habitude de célébrer des fêtes, des anniversaires, des artistes ou des scientifiques célèbres avec des "doodles", des logos de Google légèrement modifiés à l'occasion.

Lako
05/07/2015, 20h54
https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xaf1/v/t1.0-9/11403044_1621829368092980_5886769415086071609_n.jp g?oh=8403a98cddec5feb0e0913dcf1474e71&oe=56302A74

https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xpf1/v/t1.0-9/11038567_10153511248168793_1108384892797977519_n.j pg?oh=011190b17a27cd34430536a476d920b9&oe=560F4D72
https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xat1/v/t1.0-9/11229358_912364888799730_6481915659615704815_n.jpg ?oh=3840081cfcdafb995e5463cd433a6610&oe=562EA753

enzo
05/07/2015, 21h16
Meme google a fait un doodle je crois
Honneur a l'algerie et a la libertè

zadhand
06/07/2015, 18h28
Elle estime que la crédibilité de l’État en a pris un coup L’opposition ne croit pas au message de Bouteflika
La classe politique a réagi au message du président Bouteflika adressé aux Algériens à l’occasion du 53e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.
Si le RND, parti au pouvoir, applaudit, l’opposition parle de mensonge et relève le décalage entre le discours politique et la réalité du terrain. Au RCD, on est persuadé qu’aujourd’hui plus personne ne croit aux discours «attribués» à Bouteflika.

En ce 53e anniversaire de l’indépendance nationale, les Algériens, selon Atmane Mazouz, chargé de communication de cette formation, retiendront la trahison du serment de Novembre et la confiscation de l’indépendance du pays, qui sont les seuls œuvres et bilan durant les quatre mandats «illégitimes» de l’actuel chef de l’Etat.
Pour le RCD, le message de Bouteflika n’est qu’hérésie et mensonge. «Qui peut encore croire en un chef d’Etat qui passe de la menace à l’encensement dans deux discours qui lui sont attribués en l’espace de quelques mois ?» s’est interrogé M. Mazouz, qui pense que ceci relève du délire.
«Bouteflika déclare vouloir nourrir notre pluralisme politique, associatif et syndical de joutes nobles, alors que sur le terrain les Algériens sont confrontés chaque jour à tout le contraire. Pluralisme politique de façade et opposition attaquée et réprimée ; mouvement associatif et syndical autonome et pluriel interdit d’action pour laisser place aux organisations croupions et servilités de sérail sans crédibilité ni représentativité», déplore M. Mazouz.

Des discours qui se ressemblent
Le parti de Saïd Sadi critique la gestion de Bouteflika et estime que sous son règne, la décadence, la corruption et l’illégitimité ont plus que jamais prospéré, laissant le citoyen livré à l’incertitude et à un avenir sombre. «Les Algériens, par devoir patriotique, demandent à accepter son choix souverain et à honorer fidèlement le sacrifice des valeureux martyrs tombés pour une Algérie de démocratie et de liberté.
Tout ce que Bouteflika et son clan refusent d’admettre», renchérit M. Mazouz. Le MSP, allié du RCD au sein de la coordination pour une transition démocratique, est intrigué par le changement de ton à l’encontre de l’opposition.
«Il y a quelques mois, Bouteflika a dénigré et attaqué violemment l’opposition et aujourd’hui, il loue ses mérites et la place qu’elle occupe dans la société.
S’agit-il d’un changement de politique ou c’est juste un discours, des mots ?» se demande Zineddine Tebbal, responsable au MPS. Dans son message, le Président reconnaît le rôle de l’opposition dans la vie politique, il a parlé des libertés et de la démocratie. Seulement pour le MSP, la réalité le contredit. «Le pouvoir refuse de délivrer des autorisations à l’opposition pour animer des rencontres, des débats et manifestation, il y a une régression dans le domaine des libertés individuelles, notamment dans le champs politique. Nous sommes interdits de passer dans les médias publics.

Où est la crédibilité du pouvoir ? Nous voulons du concret, nous en avons assez des mensonges», tonne M. Tebbal. S’agissant du projet de la révision de la Loi fondamentale, Bouteflika, de l’avis du MPS, annonce à chaque occasion la finalisation du projet et ses discours se ressemblent, mais sur le terrain, on ne voit rien venir. Au MSP, explique Zineddine Tebbal, l’on veut comprendre s’il s’agit d’une «Constitution constitutionnelle» comme proposée par le Président ou un projet de Constitution du pouvoir dès lors que l’opposition n’a pas pris part à son élaboration…
De son côté Chihab Seddik, porte-parole du RND, estime que dans son message le Président a non seulement affiché sa volonté d’aller de l’avant pour le parachèvement du processus des réformes, mais a également interpellé les Algériens et la classe politique, toutes obédiences confondues, à faire preuve de bon sens et aussi à faire face au danger qui guette le pays, que ce soit sur le front interne ou au niveau de ses frontières.
«Bouteflika a mis sur un pied d’égalité l’opposition et les partis qui font la majorité. Il met en réalité la classe politique devant ses responsabilités en leur demandant de ne pas rater l’occasion de se projeter dans l’avenir, car un quelconque basculement peut être fatal pour le pays», note Chihab Seddik. Pour le RND, la révision de la Constitution demeure la meilleure approche pour le règlement des problèmes politiques.

Nabila Amir

zadhand
05/07/2016, 17h34
Elle estime que la crédibilité de l’État en a pris un coup L’opposition ne croit pas au message de Bouteflika


La classe politique a réagi au message du président Bouteflika adressé aux Algériens à l’occasion du 53e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.


Si le RND, parti au pouvoir, applaudit, l’opposition parle de mensonge et relève le décalage entre le discours politique et la réalité du terrain. Au RCD, on est persuadé qu’aujourd’hui plus personne ne croit aux discours «attribués» à Bouteflika.

En ce 53e anniversaire de l’indépendance nationale, les Algériens, selon Atmane Mazouz, chargé de communication de cette formation, retiendront la trahison du serment de Novembre et la confiscation de l’indépendance du pays, qui sont les seuls œuvres et bilan durant les quatre mandats «illégitimes» de l’actuel chef de l’Etat.
Pour le RCD, le message de Bouteflika n’est qu’hérésie et mensonge. «Qui peut encore croire en un chef d’Etat qui passe de la menace à l’encensement dans deux discours qui lui sont attribués en l’espace de quelques mois ?» s’est interrogé M. Mazouz, qui pense que ceci relève du délire.
«Bouteflika déclare vouloir nourrir notre pluralisme politique, associatif et syndical de joutes nobles, alors que sur le terrain les Algériens sont confrontés chaque jour à tout le contraire. Pluralisme politique de façade et opposition attaquée et réprimée ; mouvement associatif et syndical autonome et pluriel interdit d’action pour laisser place aux organisations croupions et servilités de sérail sans crédibilité ni représentativité», déplore M. Mazouz.

Des discours qui se ressemblent
Le parti de Saïd Sadi critique la gestion de Bouteflika et estime que sous son règne, la décadence, la corruption et l’illégitimité ont plus que jamais prospéré, laissant le citoyen livré à l’incertitude et à un avenir sombre. «Les Algériens, par devoir patriotique, demandent à accepter son choix souverain et à honorer fidèlement le sacrifice des valeureux martyrs tombés pour une Algérie de démocratie et de liberté.
Tout ce que Bouteflika et son clan refusent d’admettre», renchérit M. Mazouz. Le MSP, allié du RCD au sein de la coordination pour une transition démocratique, est intrigué par le changement de ton à l’encontre de l’opposition.
«Il y a quelques mois, Bouteflika a dénigré et attaqué violemment l’opposition et aujourd’hui, il loue ses mérites et la place qu’elle occupe dans la société.
S’agit-il d’un changement de politique ou c’est juste un discours, des mots ?» se demande Zineddine Tebbal, responsable au MPS. Dans son message, le Président reconnaît le rôle de l’opposition dans la vie politique, il a parlé des libertés et de la démocratie. Seulement pour le MSP, la réalité le contredit. «Le pouvoir refuse de délivrer des autorisations à l’opposition pour animer des rencontres, des débats et manifestation, il y a une régression dans le domaine des libertés individuelles, notamment dans le champs politique. Nous sommes interdits de passer dans les médias publics.

Où est la crédibilité du pouvoir ? Nous voulons du concret, nous en avons assez des mensonges», tonne M. Tebbal. S’agissant du projet de la révision de la Loi fondamentale, Bouteflika, de l’avis du MPS, annonce à chaque occasion la finalisation du projet et ses discours se ressemblent, mais sur le terrain, on ne voit rien venir. Au MSP, explique Zineddine Tebbal, l’on veut comprendre s’il s’agit d’une «Constitution constitutionnelle» comme proposée par le Président ou un projet de Constitution du pouvoir dès lors que l’opposition n’a pas pris part à son élaboration…
De son côté Chihab Seddik, porte-parole du RND, estime que dans son message le Président a non seulement affiché sa volonté d’aller de l’avant pour le parachèvement du processus des réformes, mais a également interpellé les Algériens et la classe politique, toutes obédiences confondues, à faire preuve de bon sens et aussi à faire face au danger qui guette le pays, que ce soit sur le front interne ou au niveau de ses frontières.
«Bouteflika a mis sur un pied d’égalité l’opposition et les partis qui font la majorité. Il met en réalité la classe politique devant ses responsabilités en leur demandant de ne pas rater l’occasion de se projeter dans l’avenir, car un quelconque basculement peut être fatal pour le pays», note Chihab Seddik. Pour le RND, la révision de la Constitution demeure la meilleure approche pour le règlement des problèmes politiques.

Nabila Amir






Quel modèle de société pour l’Algérie ?


Bonjour , http://www.maghreb-sat.com/forum/att...95165846_n.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f8/24173d1465319576-soit-dit-en-passant-11265305_1043944242289928_2384745649895165846_n.jp g) à l'occasion de l'Aid El-Fitr
je présente mes meilleurs vœux,bonheur, de santé et de prospérité
à la communauté de maghreb-Sat et de la nation arabe et islamique

54 ans après l’indépendance
05 Juillet 2016

L’Algérie fête, aujourd’hui, mardi 5 juillet 2016, le 54e anniversaire de
l’indépendance arrachée au prix de sacrifices considérables et au bout de
l’une des plus grandes révolutions des temps modernes. Le peuple algérien
votait, à une écrasante majorité, pour son émancipation définitive de la
France coloniale, dès le 3 juillet 1962, référendum qui couronnait, par ailleurs,
de longs mois de négociations, âpres et à rebondissements, entre le FLN
et le gouvernement de De Gaulle.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Ce sera les accords d’Evian. Mais,
contrairement à toutes les guerres, que l’on conclut toujours par des accords
entre les deux belligérants, ces accords d’Evian, paraphés entre la délégation
du FLN et le gouvernement français, se singulariseront par un fait vraiment inédit
Aucun parmi les membres de la partie algérienne qui avait mené et conclu les
accords ne sera jamais au pouvoir dans l’Algérie indépendante ! Il faut dire qu’en
parallèle, une autre négociation a eu lieu, entre de Gaulle et Djamel Abdenasser
et dont nous payons toujours le prix.Dans le contexte de la guerre froide de l’époque, chacun des deux dirigeants tentait de trouver son compte en s’assurant un pouvoir
vassal à la tête du nouvel Etat algérien. Ce sera Ahmed Ben Bella et l’armée des
frontières qui, aux dernières années de la révolution, avait amassé suffisamment de troupes et d’armement de guerre et de logistique, stationnés au Maroc et en Tunisie,
pour donner l’assaut dès la proclamation de l’indépendance. Suréquipée, l’armée des frontières ne fera qu’une bouchée des braves soldats des wilayas et prendra
allègrement Alger et le pouvoir durant l’été 1962. Ce sera le début d’un règne d’un
Ben Bella tellement sous l’influence de l’Égypte et ses «moukhabarate», en plus
d’une gestion calamiteuse des affaires du pays que ses propres alliés de l’été 1962 finissent par se retourner contre lui. Le 19 juin 1965, le ministre de la Défense
nationale et principal allié de Ben Bella, le colonel Houari Boumediène, fait un coup
d’Etat «sans faute», toute l’armée lui étant fidèle. Boumediène prend le pouvoir, qu’il exerce pleinement, avec l’aide de l’armée et du Conseil de la révolution. L’homme est austère, il tient le pays avec une main de fer mais il avait un projet et des idées.
Avec lui, c’était simple : pas de libertés collectives encore moins de pluralisme,
mais les libertés individuelles n’étaient pas une vue de l’esprit ! L’Etat, sous Boumediène, était craint et respecté par tous au point où les cas de corruption étaient si rares !
Avec les nationalisations, l’Algérie entamait une appréciable progression économique
et, ironie de l’histoire, c’était sous son règne, durant les années 1970, que l’Algérie était une destination touristique très prisée, la première en tout cas dans le Maghreb !
A cette époque, l’école et l’université algériennes étaient également des modèles pour
tous nos voisins.Cela, avant que surgissent des «réformateurs» comme Taleb Ibrahimi
et les islamo-conservateurs du système qui investiront efficacement dans les domaines
de l’enseignement, de la justice et des médias. Les résultats ne se feront pas attendre l’islamisme et ses diverses formes de manifestation, qui étaient une «étrangeté»
totale sous Boumediène, connaîtra une progression rapide sous Chadli Bendjedid au
milieu des années 1980. Première conséquence : l’apparition du FIS qui pervertira l’ouverture née des événements du 5 Octobre 1988 et qui plongera le pays dans
l’anarchie et le terrorisme aveugle pendant plus de dix ans. Certes, ce parti du type
fasciste sera vaincu militairement et ses tentacules sanguinaires qu’étaient l’AIS, le GIA,
le GSPC, et toute la smala seront écrasées. La sécurité sera globalement rétablie au
prix d’une lutte antiterroriste qui avait fini par valoir à l’armée et aux services de sécurités algériens l’admiration et la reconnaissance des experts en la matière à travers le monde. Sauf que, et comme le dira, amer, feu le général de corps d’armée, Mohamed Lamari,
en 2002 : «Si le terrorisme est militairement vaincu, l’intégrisme est intact.» Le patron de l’armée à l’époque, celui qui dirigeait la guerre contre le terrorisme, était le mieux placé pour en parler : au moment où l’armée finissait de nettoyer les maquis, contraignait les groupes terroristes survivants à des redditions sans gloire, comme ce fut le cas de l’AIS,
le 1er octobre 1997 avec sa «trêve unilatérale, la politique de «la réconciliation nationale» de Abdelaziz Bouteflika dilapidera tout ce capital. Pire encore, de concessions en concessions, les rôles s’inversent car, pour les besoins «d’affirmation de soi» de
Abdelaziz Bouteflika, l’on couvre d’impunité et de privilèges des assassins qui s’assument en plus, pour complexer, de l’autre côté, l’armée et ses dirigeants qui n’avaient fait
pourtant que leur devoir. Le «qui-tue-qui ?» s’invite au cœur de nos institutions comme
en témoigne l’étrange cabale menée dernièrement contre le général Toufik et le service qu’il dirigeait, avec comme conséquence immédiate, la consécration de la victoire
islamiste sur tout le pays. Un islamisme qui impose son projet rétrograde sur toute la société et qui dicte sa ligne de conduite, via trois ou quatre médias, quelques salafistes enragés et une poignée de députés à un gouvernement qui multiplie les reculades stratégiques sur ce terrain-là. Même le plus banal des programmes scolaires n’échappe plus à la tutelle de ces fanatiques religieux, d’obédience wahhabite, avec toutes les conséquences dramatiques que cela risquerait d’entraîner fatalement. Face à un tel péril, la crise économique, bien réelle pourtant, passe pour un vrai fait divers ! Cinquante-quatre ans après l’indépendance, l’Algérie n’arrive toujours pas à trancher pour un modèle de société digne de ce nom, modèle que ne peut imposer qu’un Etat fort et non pas
populiste. Habib Bourguiba l’avait fait en Tunisie au milieu des années 1950 du siècle dernier, par exemple. C’est ce qui a permis à ce petit pays voisin, sans ressources,
de s’épargner un mouvement charlatanesque comme le FIS et de survivre au tsunami
du «printemps arabe»…


K. A.

عيد مبارك سعيد لكم و للأمة العربية و الإسلامي
Aid moubarak 2016.jpg (http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f4/24901d1467732675-les-nouveaut%E9s-de-canalsat-aid-moubarak-2016.jpg)