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zadhand
06/05/2015, 17h50
A LA UNE/ACTUALITE/ALI HADDAD
le 06.05.15 | 10h0


La vice-présidente de la CGEA s’attaque au patron du FCE

Ali Haddad au centre d’une nouvelle polémique

Ali Haddad, président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) est au cœur d’une polémique suscitée par les propos qu’il aurait tenus lors de sa visite, fin avril,
en Chine. Le représentant du patronat était parmi
la délégation que présidait le Premier ministre Abdelmalek Sellal.
Son intervention devant un parterre d’investisseurs chinois
n’a pas plu à la vice-présidente de la Confédération générale
des entreprises algériennes (CGEA),
Saïda Neghza, qui faisait partie du voyage et a été «témoin» de la scène.

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Dans une vidéo rendue publique, celle-ci a qualifié de «scandaleux» le comportement du représentant du patronat : Ali Haddad aurait «insulté la femme algérienne» en proposant aux Chinois de venir en Algérie pour… se marier. «Venez en Algérie, il y a beaucoup de femmes», aurait-il dit. Mme Neghza, outrée, ajoute : «Ali Haddad ne peut pas le nier, il existe même une vidéo. Haddad veut vendre l’Algérie et les filles de l’Algérie.» La vice-présidente de la CGEA appelle, à cet effet, le président de la République à intervenir pour mettre un terme aux agissements de Haddad. Mieux, cette chef d’entreprise s’est lancée dans une diatribe contre Ali Haddad en s’interrogeant sur ses origines et l’origine de sa fortune…
Les propos de Mme Neghza sont infondés
Contacté pour avoir sa version des faits, Ali Haddad nie toutes ces allégations et déclarations, qu’il juge «fallacieuses et malintentionnées». Haddad apporte la preuve en rendant publique la vidéo où il s’exprimait devant les investisseurs chinois. L’enregistrement démontre clairement que le président du FCE n’a à aucun moment tenu des propos insultants ou méprisants à l’égard de la femme algérienne. Pour sa part, le FCE a réagi et dénonce, via un communiqué, cette attaque injustifiée, sans fondement et inexplicable.
En rencontrant les investisseurs chinois en présence des ministres algériens, Ali Haddad a, pour souligner l’excellence des relations politiques et économiques entre les deux pays, fait valoir la bonne intégration de la communauté chinoise mobilisée en Algérie dans la réalisation de grands projets infrastructurels et économiques. Cette intégration, souligne le communiqué du FCE, est illustrée par le fait que «des familles aient été fondées par les ressortissants des deux pays.
C’est la preuve que l’Algérie est un pays d’accueil, de tolérance et d’ouverture, notamment envers les pays comme la Chine, qui l’ont soutenu dans sa lutte de libération et appuyé ses efforts de développement». Aux propos imputés à Ali Haddad sur les Algériennes, il n’a jamais été question, selon le FCE, d’être méprisant ou encore dédaigneux. L’organisation estime être très impliquée dans la promotion de la femme en son sein même et rappelle, dans son communiqué, que son président a nommé «pour la première fois depuis la création du FCE, une femme comme vice-présidente» et a créé «la commission femmes chefs d’entreprise».
Par ailleurs, le FCE regrette «la récurrence d’une campagne insidieuse portée contre lui au moment où notre pays a besoin de conjuguer ses efforts, ses compétences et ses énergies pour aller de l’avant dans le cadre d’un débat sérieux et d’une concertation féconde, avec pour seule finalité l’intérêt supérieur de la nation et la croissance par nos entreprises
au profit exclusif de notre peuple».



Nabila Amir

jazalibre
07/05/2015, 08h49
Ce n'est qu'un C .. et nouveau riche bien épaulé arriviste :omg:

zadhand
27/07/2015, 16h40
A LA UNE/ACTUALITE/Sellal-FCE


le 27.07.15 | 15h25 | mis à jour le 27.07.15 | 17h15


L’argent « gris », les subventions et l’industrie militaire




Le FCE a rencontré le premier ministre Abdelmalek Sellal pour lui remettre
ses propositions pour un nouveau pacte de croissance économique.
L’organisation patronale a plaidé notamment pour la suppression
des subventions des prix et la libéralisation de l’investissement.

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La direction du Forum du chef d’entreprise (FCE) a remis, aujourd’hui lundi à Alger,
au premier ministre Abdelmalek Sellal un document contenant ses « 50 propositions
pour un nouveau pacte de croissance économique ».
Le président du FCE, Ali Haddad, accompagné de membres de son organisation,
a animé une conférence de presse à l’issue de cette rencontre qui a eu lieu ce matin à l’hôtel El Aurassi.

Le FCE a proposé au gouvernement de « supprimer les subventions des prix et
ouvrir tous les secteurs d’activités, sans exceptions, à l’investissement privé (…)
L’article 37 de la Constitution dit clairement que tous
les secteurs sont accessibles à tous les Algériens », a déclaré Haddad.
Plus loin encore, le patron de l’ETRHB, réputé proche du cercle présidentiel,
a exprimé la disponibilité du FCE a contribuer dans le secteur de la défense.
« Pour l’industrie militaire, nous sommes à leur disposition (…) pour répondre à leurs besoins ».

De son côté, le président d’honneur du FCE, Omar Ramdane a expliqué que la suppression des subventions
des prix des produits de première nécessité (pain, lait, huile et sucre) en plus du carburant,
sera remplacée par une politique de soutien des ménages. Cette dernière politique
a le mérite d’être « plus juste » dans la mesure où elle ne profite pas aux riches.
Le soutien des ménages permettra aussi, dit-il, de juguler le phénomène de la contrebande.
« Terroristes très riches »

Omar Ramdane a indiqué, par ailleurs, que la mesure du gouvernement concernant
l’assainissement fiscal du secteur informel devrait concerner l’argent
« gris », à savoir l’argent des opérateurs qui ne payaient pas les impôts. Et d’ajouter
« Je connais des terroristes descendus (du maquis ndlr) qui sont devenus aujourd’hui très riches.
L’assainissement ne concerne pas l’argent sal, issu du terrorisme et du trafic de drogue ».

Amor Benamor a affirmé pour sa part que « le FCE n’a pas demandé
au gouvernement l’effacement de la dette fiscale des entreprises ».

Le document, « 50 propositions du FCE pour un nouveau pacte de croissance économique (http://www.fce.dz/#) »,
englobe des mesures visant le soutien à l’investissement et la réduction de l’informel
ainsi que l’organisation économique et l’amélioration du climat des affaires.

Farouk Djouadi

zadhand
09/08/2015, 19h27
A LA UNE/ACTUALITE/ELLE CONSTITUE L’UNE DES REVENDICATIONS DU FCE
le 09.08.15

Vers l’effacement des dettes des entreprises privées ?

Les dettes des entreprises privées pourraient être effacées. Une option serait prise en ce sens par l’exécutif, éventuellement lors de la prochaine rencontre tripartite. Une mesure que le Forum des chefs d’entreprises (FCE) recommande justement d’appliquer en vue de régler les problèmes financiers de plusieurs entreprises.
Cherif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Généreux, l’Etat algérien l’a toujours été. Que ce soit dans le domaine social ou économique, les pouvoirs publics ont toujours accordé, sans aucune grande restriction, des avantages, des facilités financières conséquentes. Après avoir été généreux vis-à-vis des agriculteurs et éleveurs, en effaçant leurs dettes à hauteur d’une quarantaine de milliards de dinars, et après avoir assaini la situation financière du secteur public, pour des dizaines de milliards de dollars durant les deux décades écoulées, les pouvoirs publics comptent encore être très compréhensifs à l’égard des entreprises privées. Ayant déjà avalisé, à l’occasion d’une rencontre tripartite (gouvernement-UGTA-patronat) tenue en septembre 2011, le traitement des dettes bancaires de quelques centaines de petites et moyennes entreprises PME en situation financière délicate (pour plus de 200 milliards de dinars), l’exécutif devrait rééditer cette option. Ainsi, l’effacement des dettes bancaires des entreprises privées, tant les PME que certaines grandes sociétés, serait à l’ordre du jour. Il en serait ainsi question lors de la prochaine réunion tripartite prévue début octobre à Biskra, pourtant dans un contexte financier assez contraignant. Même si les modalités et les conditions de cet effacement, plutôt le retraitement des dettes selon la terminologie que l’exécutif privilégie, ne sont pas encore annoncées, il sera certainement question de rééditer le dispositif mis en place voilà quatre ans. Ainsi, les dettes bancaires de certaines grandes entreprises et PME privées qui n’ont pas bénéficié du dispositif de 2011 ou qui sont encore en cours de traitement, pourront bénéficier d’un effacement partiel ou total de leurs agios et intérêts ainsi que du rééchelonnement du principal (entre 3 et 10 ans, selon les cas). De même que les dettes fiscales des entreprises privées pourraient être également retraitées, en rappelant que plus de 15 000 entreprises en difficulté avaient bénéficié vers 2012 d’un rééchelonnement pour près de 100 milliards de dinars. Or, l’estimation financière en découlant reste à déterminer de même que ces mesures ne pourront être concrétisées que pour des entreprises viables, disposant d’une stratégie de développement efficiente. Et cela sur la base d’une méthodologie qui prend en considération les impératifs de rationalisation, rigueur et rentabilité, de la mise en place d’un calendrier précis (moratoire…) et de l’annulation des pénalités. Rappelons dans ce contexte que les entreprises privées bénéficient depuis quelques années de plus de 2 000 milliards de dinars de crédits bancaires, au-delà des aides indirectes en termes notamment de bonifications, contributions directes des institutions financières publiques et autres formules de financement ainsi que des avantages fiscaux et parafiscaux accordés. Il ne s’agira pas, ce faisant, de suspendre le processus normal de remboursement des crédits bancaires contractés mais de prendre en charge les difficultés de remboursement subies par nombre de sociétés privées, notamment celles découlant de la perte de change. Cela étant, l’effacement des dettes a constitué une revendication récurrente de l’establishment patronal et notamment du Forum des chefs d’entreprises (FCE). Une revendication que cette association patronale vient justement de réitérer dans sa contribution pour l’émergence de l’économie algérienne, finalisée récemment et présentée au gouvernement et à l’opinion nationale et internationale. Considérant que l’application du dispositif mis en place dès 2011 a été marquée par l’exclusion de certaines entreprises éligibles, des retards ou des restrictions dans l’effacement des intérêts et des difficultés ou des impossibilités de restructuration, ce qui a encouragé l’endettement des entreprises déjà confrontées à d’autres charges lourdes, le FCE appelle donc le gouvernement à mettre en place «un dispositif permanent pour mieux répondre à la réalité des problèmes rencontrés par les entreprises». Un dispositif qui pourrait prendre la forme d’«un comité ad hoc d’effacement des dettes regroupant le Trésor, le FCE et l’UGTA, pour étudier les dossiers des entreprises à restructurer financièrement au cas par cas. Les dossiers seront présentés devant ce comité par les banques», propose l’organisation d’Ali Haddad. Comme l’on invite à «veiller à une application homogène et standardisée pour traiter les problèmes de trésorerie, dans un souci de cohérence et d’égalité des chances dans le traitement qui en est fait par toutes les banques». Comme l’on tient à attirer l’attention des pouvoirs publics sur «la nécessité de l’application stricte (des engagements de la tripartite de 2011) à toutes les entreprises concernées du même principe consigné dans les accords : rééchelonnement du principal (3 à 10 ans) et effacement total des intérêts, agios et autres frais générés par cette dette quelle que soit son origine». Il serait également question selon la Contribution de réintégrer tous les montants remboursés (intérêts, agios…) par les entreprises bénéficiaires comme remboursement du principal et d’élargir le traitement aux dettes parafiscales (cas des entreprises de réalisation). Emanant certes du FCE, ces recommandations pourraient cependant être agréées par les pouvoirs publics et applicables telles quelles ou de manière proche, à charge cependant que la conjoncture financière le permette et que cela ne réponde pas uniquement à des velléités ou des considérants politiques et autres.

C. B.

zadhand
30/09/2015, 22h13
A LA UNE/ACTUALITE_Conflit Rebrab-Bouchouareb
le 30.09.15 | 13h28 | mis à jour le 30.09.15 | 16h05


La version de Ali Haddad

Le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE) a affirmé,
aujourd’hui mercredi à Oran,
avoir discuté avec le ministre de l’Industrie, Abdesselam Bouchouareb,
au sujet des projets bloqués du patron de Cevital, Issaad Rebrab.


Voici sa version.

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« Si Isaad on le respecte beaucoup, c’est un membre fondateur du FCE, nous n’avons pas de complexe à défendre un homme d’affaire quelle que soit sa dimension. Il a parlé avec moi de ses problèmes, je suis allé voir le ministre, Bouchouareb », a déclaré Haddad. S’agissant du « matériel rénové acheté auprès de Brandt », le ministre de l’Industrie a répondu qu’« on ne peut pas accepter. Quand le matériel est usagé il fau avoir une dérogation », a rapporté le président du FCE qui a suggéré à Rebrab d’acheter « un nouveau matériel ». Concernant le projet de l’usine de trituration de la graine oléagineuse au port de Béjaia, Bouchouareb a répondu que « la loi interdit l’installation des unités industrielles à moins de 300 mètres de la mer », selon Haddad. Pour ce qui est des 1500 hectares de terres achetés par le patron de Cevital à Sig et Mohamedia (Mascara) le ministre de l’Industrie a répondu que Rebrab « ne peut pas exploiter des projets industriels sur des terrains agricoles. », a encore rapporté le patron de l’ETRHB. Par ailleurs, interrogé sur la plainte déposée contre le général à la retraite Hocine Benhadid, Ali Haddad a déclaré « l’affaire est entre les mains de la justice qui va trancher entre nous ». Il ajouté que « dorénavant,
quiconque nous porte préjudice,aura affaire à la justice ». Farouk Djouadi
« Si Isaad on le respecte beaucoup, c’est un membre fondateur du FCE, nous n’avons pas de complexe à défendre un homme d’affaires, quelle que soit sa dimension.
Il a parlé avec moi de ses problèmes, je suis allé voir le ministre Bouchouareb »,
a déclaré Haddad.S’agissant du « matériel rénové acheté auprès de Brandt »,
le ministre de l’Industrie a répondu qu’ « on ne peut pas accepter.
Quand le matériel est usagé il fau avoir une dérogation », a rapporté le président du FCE
qui a suggéré à Rebrab d’acheter « un nouveau matériel ».
Concernant le projet de l’usine de trituration de la graine oléagineuse au port de Béjaia,
Bouchouareb a répondu que « la loi interdit l’installation des unités industrielles
à moins de 300 mètres de la mer »,selon Haddad.
Pour ce qui est des 1500 hectares de terres achetés par le patron de Cevital à Sig
et Mohamedia (Mascara) le ministre de l’Industrie a répondu que Rebrab « ne peut pas exploiter des projets industriels sur des terrains agricoles. », a encore rapporté le patron de l’ETRHB.

Par ailleurs, interrogé sur la plainte déposée contre le général à la retraite Hocine Benhadid,
Ali Haddad a déclaré « l’affaire est entre les mains de la justice qui va trancher entre nous ».
Il a ajouté que « dorénavant, quiconque nous porte préjudice aura affaire à la justice ».


Farouk Djouadi

djafar1
02/10/2015, 06h27
langue de bois quand tu nous tiens, ils sont tous devenus experts et quand vous ne la parler pas vous ne risquez nullement de glaner des échelons.
Haddad nous parle du privé Algerien tu parles...moi qui galère depus 2ans juste pour installer un chauffe eau à la maison oui mais ça c'est une autre histoire me diriez vous....

zadhand
01/07/2016, 00h45
FCE souscrit pour 150 milliards DA en deux heures

http://www.maghreb-sat.com/forum/attachments/f4/24544d1466295267-les-prix-de-laudience-tv-internationale-saha-shourkoum.jpg

Emprunt obligataire

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Par Lila Ghali
30/06/2016 | 16:05

Le Forum des Chefs d’entreprise (FCE) présidé par Ali Haddad a réussi, en deux heures, au cours d’une soirée, à obtenir des engagements de souscriptions pour un montant global de 150 milliards de dinars à l’emprunt obligataire national,En effet, au cours de cette soirée, organisée mardi, dédiée exclusivement à l’emprunt national, sur les 400 entreprises présentes, près de 270 se sont engagées à souscrire. Certaines ont été autorisées à redéclarer des montants déjà annoncés et souscris auprès de leurs établissements financiers auparavant.Lors de l’allocution de l’ouverture, le président du FCE Ali Haddad, a confirmé ce chiffre dans une déclaration à la presse, indiquant qu’il est de son devoir de s’impliquer activement dans les activités de mobilisation pour une contribution massive à la réussite de cette opération, qui a vu la présence de 400 participants dont des présidents d’organisations patronales, des représentants de sociétés publiques et privées ainsi que des responsables des banques, compagnies d’assurances et autres établissements financiers de la place.Pour ce qui est des promesses de souscription provenant des adhérents du FCE, Ali Haddad a fait savoir que le montant de 10 milliards de DA initialement visé par cette organisation patronale « a été largement dépassé ». « Nous allons dévoiler l’origine et le montant de chaque engagement », a-t-il promis, affirmant que le groupe BTPH qu’il dirige a, lui seul, fait un engagement de quatre (4) milliards de dinars.Pour rappel, l’emprunt national pour la croissance économique (ENCE) a été lancé le 17 avril dernier pour une durée de souscription de six mois (avril-octobre 2016).Les obligations sont assorties de deux taux d’intérêt fixés en fonction du délai de remboursement : les obligations de trois (3) ans avec un taux d’intérêt de 5 % et celles de cinq (5) ans avec un taux d’intérêt de 5,75 %.Les obligations étaient fixées au début de l’opération à 50.000 de dinars avant l’introduction en mai dernier de deux nouvelles formules de souscription, l’une d’une valeur de 10.000 DA destinée aux particuliers et l’autre d’une valeur de 1 million de dinars pour les grands déposants.La souscription, ouverte aux particuliers, aux sociétés, aux établissements financiers et aux organismes publics (caisses de retraites et de sécurité sociale…), se fait au niveau des guichets des banques commerciales, bureaux de poste, compagnies d’assurance et du Trésor public.Plus de 7.000 points ont été ouverts à travers le territoire national pour accueillir les souscripteurs. Deux types de souscription sont proposés: nominative ou anonyme (au porteur) et le paiement est effectué par chèque, cash ou par virement.Concernant la transmission des titres, ces derniers sont librement négociables et peuvent être achetés et/ou cédés à des personnes physiques ou morales soit par voie de transaction directe ou par endossement par le biais d’intermédiaires légalement habilités.Le remboursement par anticipation des titres souscrits est possible, mais seulement après écoulement de la moitié de la durée globale du titre et après avis du Directeur général du Trésor.

zadhand
01/08/2016, 18h53
Accord FCE/ Washington Post

Publication d’un rapport sur l’investissement en octobre
le 01.08.16|13h45

Le Forum des Chefs d’Entreprises (FCE) vient de signer un accord avec
le journal américain de renommé The Washigton-Post et la multinationale
en communication True Media en vue de la préparation du rapport
« ALGERIAN INVESTMENT REPORT ».
« ALGERIAN INVESTMENT REPORT » a pour objectif de valoriser la
destination Algérie à l’international et développer davantage les relations de
partenariat économique entre les entreprises algériennes et les entreprises
étrangères, notamment américaines. Il sera publié en octobre prochain à
l’occasion de la Réunion Annuelle du FMI et de la Banque Mondiale qui se
iendra à Washington du 7 au 9 octobre 2016. Ce dossier de 12 pages sera
également publié dans l’édition digitale de The Washington Post. Pour le FCE
ce partenariat s’inscrit dans le cadre de « la démarche et des efforts que le
FCE déploie depuis l’année 2015 pour la réalisation des objectifs de diversification économique, de renforcement de son ancrage africain et consolider les progrès
réalisés ces dernières années par notre pays en matière de relance économique »,
précise un communiqué relatif à la signature de cet accord.

Mina Adel