sentenza
05/05/2015, 17h57
http://www.halalbook.fr/local/cache-vignettes/L350xH197/faux-medicament-tuent-africains-enfants-91879.jpg (http://www.halalbook.fr/IMG/jpg/faux-medicament-tuent-africains-enfants.jpg)
L’Afrique en butte aux famines est touchée par un autre mal aux conséquences tout aussi désastreuses. Les médicaments qui parviennent aux africains, provenant notamment de produits invendus ou avec une date de péremption dépassée, comportent un risque important et dangereux pour leur santé.
Certains sont dégradés, falsifiés ou encore diffusés dans des conditions insalubres et sont à l’origine de plusieurs dizaines de milliers de morts. Le coupable serait un antipaludéen de mauvaise qualité.
L’ASTMH (American Journal of Tropical Medicine and Hygiene) a réalisé une étude ayant pour objectif de mesurer l’étendue du désastre causé par ces molécules. Cette enquête a démontré la dangerosité de ce médicament responsable du décès de plus de 122 350 jeunes africains.
Le journal constate que des analyses plus poussées doivent être réalisées dans le but de connaitre avec certitude l’impact en Afrique de ces médicaments qui n’ont rien à voir avec ceux diffusés dans les pays occidentaux. Il recommande vivement qu’une surveillance plus poussée soit mise en place pour optimiser la réglementation afin d’éviter la vente de tels médicament à l’avenir.
Les conséquences dramatiques de médicaments contrefaits ou périmés sur l’organisme sont bien réelles. La contrefaçon peut également entraîner la mort notamment si la qualité est entachée ou si la véritable molécule est remplacée par un placebo.
Comme le précise Interpharma (Association des entreprises pharmaceutiques) la contrefaçon concerne de nombreux médicaments comme les anticancéreux, les antibiotiques ou encore les contraceptifs. L’étude ne nous révèle pas de quels pays proviennent ces médicaments qui entrent sans contrôle sanitaire pour tuer des milliers d’africains (http://www.halalbook.fr/actufiche-18-4919.html).
L’Afrique en butte aux famines est touchée par un autre mal aux conséquences tout aussi désastreuses. Les médicaments qui parviennent aux africains, provenant notamment de produits invendus ou avec une date de péremption dépassée, comportent un risque important et dangereux pour leur santé.
Certains sont dégradés, falsifiés ou encore diffusés dans des conditions insalubres et sont à l’origine de plusieurs dizaines de milliers de morts. Le coupable serait un antipaludéen de mauvaise qualité.
L’ASTMH (American Journal of Tropical Medicine and Hygiene) a réalisé une étude ayant pour objectif de mesurer l’étendue du désastre causé par ces molécules. Cette enquête a démontré la dangerosité de ce médicament responsable du décès de plus de 122 350 jeunes africains.
Le journal constate que des analyses plus poussées doivent être réalisées dans le but de connaitre avec certitude l’impact en Afrique de ces médicaments qui n’ont rien à voir avec ceux diffusés dans les pays occidentaux. Il recommande vivement qu’une surveillance plus poussée soit mise en place pour optimiser la réglementation afin d’éviter la vente de tels médicament à l’avenir.
Les conséquences dramatiques de médicaments contrefaits ou périmés sur l’organisme sont bien réelles. La contrefaçon peut également entraîner la mort notamment si la qualité est entachée ou si la véritable molécule est remplacée par un placebo.
Comme le précise Interpharma (Association des entreprises pharmaceutiques) la contrefaçon concerne de nombreux médicaments comme les anticancéreux, les antibiotiques ou encore les contraceptifs. L’étude ne nous révèle pas de quels pays proviennent ces médicaments qui entrent sans contrôle sanitaire pour tuer des milliers d’africains (http://www.halalbook.fr/actufiche-18-4919.html).