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Jean-Marie Le Pen à Rivarol
"Nous sommes gouvernés par des immigrés à tous les niveaux"
Publication: 07/04/2015 18h39
CEST Mis à jour: il y a 11 minutes
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POLEMIQUE - Jean-Marie Le Pen a ses petites habitudes. Et lorsqu'il se brouille avec sa fille Marine, c'est dans les colonnes de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol que le président d'honneur du Front national aime régler ses comptes. Un choix hautement symbolique puisque le journal est ouvertement hostile à la stratégie de dédiabolisation portée par Marine Le Pen.
Dans un entretien exclusif et "à coeur ouvert" à paraître ce jeudi et dont des extraits ont été adressés à la presse ce mardi 7 avril, Jean-Marie Le Pen revient donc sur sa dernière dispute avec sa fille à propos des camps de concentration dont il réaffirme qu'ils sont "un point détail" de l'histoire de la Seconde guerre mondiale.
"On n'est jamais trahi que par les siens", se désole-t-il à propos du désaveu de la présidente du FN, tout en maintenant sa position: "Je ne suis pas homme à changer d'avis ou à ramper".
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Candidat, même contre l'avis de Marine Le Pen
Alors que son précédent dérapage pourrait lui coûter son investiture à la tête de la liste FN en PACA pour les prochaines élections régionales, Jean-Marie Le Pen persiste et signe: "Je suis candidat tête de liste pour mettre à la porte les socialo-communistes."
Pas question donc de céder la place à sa petite-fille Marion Maréchal-Le Pen ou à quiconque d'autre. "Je rappelle que j'ai fait aux dernières élections européennes, il y a moins d'un an, plus de 33% des voix dans la région Paca. Je suis donc légitime pour conduire la liste du Front national dans cette région où de surcroît, je suis conseiller régional et président du groupe FN depuis 1992", poursuit-il.
Quant à la rumeur selon laquelle, en cas de victoire, il cèderait la présidence de la région à son fidèle Bruno Gollnisch, Jean-Marie Le Pen oppose un démenti sans ambiguité: "Je suis candidat à la présidence de la région Paca par la logique des choses."
Les précédents dérapages de Le Pen par LeHuffPost
Pétainistes, immigrés, homosexuels
La suite de l'interview s'apparente visiblement une longue série de provocations destinées à embarrasser sa fille et à gêner sa stratégie de normalisation du FN. Ce dernier prend d'ailleurs la défense de l'ex-candidate FN Anne-Sophie Leclère, exclue du parti et poursuivie en justice pour avoir partagé sur Internet une caricature de Christiane Taubira grimée en singe.
Toujours sur la Seconde guerre mondiale: "je n'ai jamais considéré le Maréchal Pétain comme un traître". Sur les homosexuels au FN: "Ils otn tendance à se regrouper même s'ils se détestent les uns les autres. Ils forment une communauté". Sur les immigrés: "Nous sommes gouvernés par des immigrés et des enfants d'immigrés à tous les niveaux. [...] Quel est l'attachement réel de Valls à la France? Cet immigré a-t-il changé du tout au tout?"
Jean-Marie Le Pen va même jusqu'à prendre ses distances avec la République française et le jeu démocratique. "Ils commencent à me gonfler tous avec la République!", s'agace-t-il avant d'estimer comprendre "que l'on mette en cause la démocratie, qu'on la combatte".
En politique internationale, Jean-Marie Le Pen prône une alliance avec la Russie "pour sauver l'Europe boréale et le monde blanc".
Quand Le Pen traitait Rivarol de "taliban hystérique"
Ce n'est pas la première fois que le président d'honneur du FN s'épanche ainsi dans l'hebdomadaire d'extrême droite. Au lendemain de la polémique qui l'avait opposé à sa fille sur l'emploi du mot "fournée", Jean-Marie Le Pen y avait attaqué la stratégie de dédiabolisation de la présidente du Front national en ces termes: "Si la diabolisation dépendait d'attitudes extravagantes, extrémistes nous ne serions pas du tout diabolisés, ce qui n'est pas le cas."
Avant cela, un autre entretien accordé à l'hebdomadaire lui avait valu une condamnation à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende pour y avoir déclaré que l'Occupation allemande n'avait pas été "particulièrement inhumaine".
Pendant la campagne interne pour la présidence du FN, Rivarol avait ouvertement pris partie contre Marine Le Pen, désignée comme une "ennemie" de la cause nationaliste face à son adversaire Bruno Gollnisch. Jean-Marie Le Pen avait alors volé au secours de sa fille en qualifiant l'hebdomadaire
de "taliban hystérique". Les voilà réconciliés.
västerås
07/04/2015, 17h24
jean marie le pen a toujours était un raciste….demandez-lui ou il a laissé son oeil gauche !meskine….
salam
pensez vous que le ps ou l ump ne soit pas raciste !
pour cela il suffit de suivre les propos des politiques français de "souche" tel que valls qui veut plus de "blancos" ou l autre qui dit qu on lui vole ses petits pains
a la sortie des écoles.c est a la mode de montrer du doigt le musulman ou sa religion.les médias tel que rmc ,tf1bfm,i tele etc.... bourdin pujadas etc ...sincèrement ne le sont ils pas autant,il ne se passe pas un jours sans que par une info détourné que l islam s invite au diner .sérieux !
ces deux parties majoritaire vendues au grand capital ne veulent pas partagé la gâteau en trois !Aussi il représente l ennemi pr eux
Au moins lui dit ouvertement ce qu il pense (a propos du point détail !pourquoi cette événement doit il surpasser tous les autres dans l histoire l esclavage ,Hiroshima etc...valent ils moins ! pourquoi a votre avis a t on voté une loi pr empêcher les gens de discuter des cham... a ga. la loi" fabuis et gaysot" !
faites un peu de recherche est vous trouverez sur quoi est bâtie le NWO.
Jean m.lepen lui remets en cause tout cette ordre établie,il ne veut pas se soumettre ,pensez vous qu il soit stupide a ce point,pourquoi préfère t il la Russie et la chine aux états unis !
rappelez vous le hollande avait déclaré que la finance est sont ennemie, par la suite il nomme comme ministre de l économie un ancien de la banque Rothschild
sarko avait declaré que l homme africain n est pas entré dans histoire!
tout en omettant que l homme blanc l a colonisé pendant des siècles !ensuite il a parlé de racailles en s adressant a des jeunes de cité.
pensez vous que tout ce branle bas médiatique chantant a l unissons chaque jours que l islam et le musulman sont une horreur ne soit qu un pur hasard !
c est une guerre globale décidé par la bannière étoilé.La France est soumise est fait partie d un camp celui de l OTAN, gauche ou droite c est cul et chemise!
il vaut mieux identifier,reconnaitre sont ennemie ouvertement que faire confiance a celui qui avance vers toi masqué !
alors cessez d être aussi naïf pour certains .
tout est dans tout rien ne se perd rien ne se gagne
Le Pen contre Le Pen
guerre sans merci au Front National
Publié le 10/04/2015 à 17:00
mis à jour à 17:45
Le Front national a explosé après les déclarations de Jean-Marie Le Pen dans l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol. Alors que Marine Le Pen est décidée à le pousser vers la sortie, le président d'honneur s'accroche à son siège. Retour sur quatre jours de guerre ouverte.
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Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine se mènent une guerre sans merci.
La dernière sortie médiatique de Jean-Marie Le Pen a été interprétée par la présidente du Front National comme une déclaration de guerre. Désormais, père et fille s'écharpent ouvertement par médias interposés. Et ni l'un ni l'autre ne semble décider à hisser le drapeau blanc. Retour sur cette brouille familiale et politique.
Déclaration de guerre: l'interview à Rivarol
A 86 ans, Jean-Marie Le Pen aime toujours autant la provocation. Il l'a prouvé mardi en donnant un long entretien à l'hebdomadaire d'extrême-droite, Rivarol, au cours duquel il a expliqué ne jamais avoir "considéré Pétain comme un traître", vouloir sauver "l'Europe boréal et le monde blanc", et réitéré ses propos sur les chambres à gaz "détail de l'Histoire".
Le président d'honneur du Front national vient une nouvelle fois de saper le travail de dédiabolisation engagé par Marine Le Pen depuis son accession à la tête du parti, en 2011. Les relations entre le père et la fille étaient glaciales depuis plusieurs années, elles sont désormais ouvertement rompues: ses déclarations ont été interprétées par les cadres du parti comme une déclaration de guerre ouverte. "Jean-Marie Le Pen semble être entré dans une véritable spirale entre stratégie de la terre brûlée et suicide politique", assure la présidente du parti dans un communiqué.
Le FN veut "neutraliser" Jean-Marie Le Pen
Pour la première fois, la présidente du Front National dépasse la simple condamnation des propos de son père. Au Monde, elle parle d'une "crise sans précédent au FN" et annonce non seulement son intention d'empêcher Jean-Marie Le Pen de se présenter à la présidence de la région Paca, mais également de "réunir rapidement un bureau exécutif afin d'envisager avec lui les moyens de protéger au mieux les intérêts politiques du FN". En d'autres termes: trouver un moyen d'éloigner de manière durable Jean-Marie Le Pen de la vie politique.
Reste que les armes à sa disposition pour "neutraliser" Jean-Marie Le Pen ne sont pas d'une grande aide: les statuts du Front national ne permettent pas de destituer le président d'honneur. Qu'importe, la patronne du Front national annonce jeudi dans une interview sur TF1 que son père sera "convoqué à une procédure disciplinaire", sans en préciser la date. Il risque, comme n'importe quel adhérent, l'exclusion du parti qu'il a pourtant cofondé en 1972.
Baroud d'honneur
Mais Jean-Marie Le Pen n'est pas du genre à baisser les armes. "J'irai me défendre, évidemment, et probablement attaquer", a répliqué le patriarche frontiste ce vendredi matin sur RTL, évoquant un "assaut généralisé" à son encontre.
L'octogénaire a balayé d'un revers de manche une éventuelle retraite. Et a indiqué qu'il entendait bien "défendre" -"sans trop d'illusion" - sa candidature aux régionales pour le parti. Sera-t-il candidat dans la région PACA sans l'investiture officielle du FN? "C'est à voir, c'est sur le champ des réflexions", a répondu le "Menhir".
Eléments de réponse le 17 avril à 10 heures, lors du bureau politique du parti. Guerre des clans
Après l'interview de Jean-Marie Le Pen, les cadres du parti se sont quasiment tous rangés derrière la présidente du Front national. Le vice-président Louis Aliot a réagi sur Twitter, évoquant des "désaccords politiques désormais irréconciliables".
Seul Bruno Gollnish, proche historique de Jean-Marie Le Pen, a pris sa défense.
"Il n'y a aucune raison de sacrifier quelque composante de notre mouvement que ce soit en raison d'une diabolisation artificiellement entretenue, ni de maintenir un climat de tension que chercheraient à nous imposer nos adversaires, responsables du terrifiant déclin de notre pays", écrit l'ancien numéro deux du FN sur son blog. Invité de France Info, il a déclaré ne pas avoir "été choqué par ce qu'on trouve" dans l'entretien à Rivarol.
Quant à la cadette de la famille, Marion Maréchal-Le Pen, elle joue plus ou moins le rôle de la Suisse : elle ne s'est pas exprimée depuis le début de la polémique. Un silence interprété par son grand-père comme un signe d'allégeance aux instances du parti.
harroudiroi
10/04/2015, 18h50
Hi,
l'extrémisme et les extrémistes se ressemblent a tous points, peu importe le lieu ou le temps, dans le passé ou dans le futur.
A LA UNE/ACTUALITE_France (extrême droite)
20 Août 2015 - 22:09
Jean-Marie Le Pen exclu du Front national
La direction du parti d'extrême droite française, le FN, vient de mettre à la porte son fondateur.
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Le Front national (FN) a annoncé jeudi l'exclusion de Jean-Marie Le Pen, fondateur du parti.
Il a été entendu auparavant pendant plusieurs heures par les membres du Bureau exécutif pour répondre d'une série de déclarations jugées contraires à la ligne du parti."A l'issue de la réunion qui s'est tenue ce jour, le bureau exécutif du Front national, réuni en formation disciplinaire, a délibéré et a décidé, à la majorité requise, l'exclusion de M. Jean Marie Le Pen comme membre du Front national. La décision complète et motivée sera notifiée prochainement à M. Le Pen", peut-on lire dans un communiqué.
Le patriarche de 87 ans est engagé depuis plusieurs mois dans une guerre ouverte avec sa fille
et présidente du FN, Marine Le Pen, et le vice-président, Florian Philippot.
Avec AFP
il est coriace ce vieillard passé 80 piges il donne le tournis meme à sa propre fille
sacré JEAN
La Serie B italienne arrive sur L’ÉQUIPE 21
http://www.dzsat.org/forum/attachment.php?attachmentid=59356&d=1448369606
Après avoir annoncé en début d’après midi l’acquisition de l’ensemble des compétitions internationales de Biathlon, la chaîne continue les acquisitions.
L’ÉQUIPE 21 diffusera en effet dès début décembre le championnat de deuxième division italien.
À l’occasion de la 17e journée, l’actuel troisième du classement de Série B, Bari, se déplacera à Modène qui pointe à l’heure actuelle dans la deuxième moitié du classement. Cette rencontre sera commentée le mardi 8 décembre à 15h par Henri Ghnassia et Simone Rovera.
A LA UNE/ACTUALITÉ_Jean-Marie Le Pen
MIS À JOUR : 02-12-2015 17:10 - CRÉÉ : 02-12-2015 14:02
"J’ai vécu la bataille d’Alger. Je sais comment lutter contre le terrorisme"
INTERVIEW - Le président d'honneur du Front national était l'invité des Indés-LCI-Metronews,
ce mercredi 2 décembre. Au programme avec Jean-Marie Le Pen
la situation du FN, les élections régionales, la lutte contre le terrorisme et un retour sur
quelques-uns de ses propos polémiques.
Lutte contre le terrorisme "Les terroristes sont tous musulmans"
"J’ai vécu la bataille d’Alger, les méthodes actuelles ne sont pas suffisantes.
Je sais quelles sont les conditions pour lutter contre le terrorisme
suppression du droit du sol, remise en cause de la nationalité de gens qui se rendent coupables
d’actes criminels, reconstitution des frontières avant de les contrôler, ralentissement
très sévère des naturalisations. Être Français, ça n’est pas qu’un bout de papier.
Le terrorisme se développe en France à cause de la masse de musulmans, entre 15 et 20 millions,
selon Azouz Begag, arrivés ces 30 dernières années. Les terroristes sont tous musulmans."
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chenoui70
03/12/2015, 13h23
http://www.dailymotion.com/video/x3gnf48_marine-le-pen-benzema-n-aurait-jamais-du-entrer-en-equipe-de-france_news
Après Manuel Valls et Nicolas Sarkozy, c'est au tour de Marine Le Pen de réagir à la mise en examen de Karim Benzema dans l'affaire de la sextape. La présidente du Front National n'a pas mâché ses mots à l'égard de l'attaquant des Bleus, à qui elle reproche de salir l'image de la France.
"Je fais partie de ceux qui pensent que Karim Benzema n'aurait jamais dû entrer en équipe de France", a-t-elle déclaré sur Europe 1.
"Je pense que c'est quelqu'un qui a, à de multiples reprises, exprimé son mépris à l'égard de la France. Il a un comportement que les Français n'admettent plus de la part de gens qui gagnent des sommes faramineuses et qui se comportent comme des enfants gâtés", a-t-elle expliqué au micro d'Europe 1. "Il ne chante pas la Marseillaise et exprime, encore une fois au long des interviews, son mépris sur toute forme de patriotisme", a-t-elle ajouté.
Mardi dernier, Manuel Valls avait estimé qu'un "grand sportif doit être exemplaire", faute de quoi il "n'a pas sa place dans l'équipe de France. Le lendemain,Nicolas Sarkozy avat reproché au 1er ministre ses leçons d'exemplarité, et n'hésitant pas à dresser un parallèle avec sa propre expérience dans l'affaire Bettencourt.
Sujet déplacé et fusionné.
chenoui70
06/12/2015, 18h22
http://www.lcp.fr/IMG/arton158399.jpg
Selon les premières estimations publiées par Le Soir, le Front National réaliserait une percée historique aux élections régionales. Le parti de Marine Le Pen obtiendrait quasi 30%. Au niveau national, le FN et les Républicains seraient au coude-à-coude (27,5%). En Paca (Provence-Alpes-Côte d'Azur), la liste FN de Marion Maréchal-Le Pen dépasserait aussi les 40% des suffrages. Lors des dernières élections cantonales, le FN avait obtenu 25,2%.
Séisme politique en France: percée historique du FN_ 6/12/15 - 19h57
http://www.lcp.fr/IMG/arton158399.jpg http://static2.7sur7.be/static/photo/2015/3/16/7/20151206200407/media_xll_8219992.jpg
Selon les premières estimations publiées par Le Soir, le Front National réaliserait une percée historique aux élections régionales. Le parti de Marine Le Pen obtiendrait quasi 30%. Au niveau national, le FN et les Républicains seraient au coude-à-coude (27,5%). En Paca (Provence-Alpes-Côte d'Azur), la liste FN de Marion Maréchal-Le Pen dépasserait aussi les 40% des suffrages. Lors des dernières élections cantonales, le FN avait obtenu 25,2%.
Au niveau national, le FN atteint un record historique avec 27,2 à 30,8% au premier tour.
En région PACA, Marion Le Pen (FN, 41,2% à 41,9%) est largement en tête devant la droite (24 à 26%) et le PS (15,8 à 18,1%).
Le vice-président du Front national, Florian Philippot, a assuré dimanche soir que le FN était "largement le premier parti de France" au vu des estimations des instituts de sondage pour le premier tour des régionales, qui placent le FN en tête. "Il apparaît qu'on est largement le premier parti de France, plusieurs points devant l'alliance Les Républicains - centristes", s'est félicité auprès de l'AFP M. Philippot, qui y a vu une "dynamique (qui) semble supérieure aux meilleurs sondages de ces derniers jours".
http://static2.7sur7.be/static/photo/2015/18/12/3/20151206200437/media_xll_8219988.jpg
http://static0.7sur7.be/static/photo/2015/1/14/5/20151206200437/media_xll_8219990.jpg
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Salut
Pourquoi vous vous occupez de ce partie de facho...oublié les...ON S'EN FOUS DE CE PARTIE......
Salut
Pourquoi vous vous occupez de ce partie de facho...oublié les...ON S'EN FOUS DE CE PARTIE......
Bonsoir; svp n'en faites pas une histoire chacun est libre .
Bon courage.
Actualité Politique Elections Elections Regionales 2015 publié le 06/12/2015 à 20:46
mis à jour à 22:28
Paris De notre correspondant
La présidente du Front national est donnée en tête au premier tour
La France a voté hier dans un climat sécuritaire très pesant.
C’est la première fois depuis l’indépendance de l’Algérie que les Français sont
appelés aux urnes sous le régime de l’état d’urgence,
instauré depuis les attaques terroristes du 13 novembre dernier.
20172
Marine Le Pen, tête de liste dans la région, fait mieux que prévu.
La présidente du Front national est donnée en tête au premier tour,
avec une fourchette comprise entre 40,3% et 42,1% des suffrages,
selon les différents instituts de sondage.
Le Front national tire profit certainement du climat post-attentats qui
lui a permis de renforcer sans grande peine le discours sécuritaire,
anti-immigration et islamophobe. Il a été également favorisé par un
fort taux d’abstention qui a frôlé les 50 %. Selon les instituts de sondage
les plus importants, le chiffre varie entre 49 et 49.8% du nombre total
des inscrits sur les listes électorales. Autrement dit, un Français sur deux
n’a pas voté malgré l’appel au « sursaut citoyen » lancé par les
leaders politiques de la majorité socialiste,
accentué particulièrement depuis les attentats de Paris.
«Nous sommes encore debout. Notre arme est le bulletin de vote.»,
a même déclaré le Premier ministre, Manuel Valls, à la sortie de l’isoloir.
Cette volonté de positiver a été reprise par plusieurs observateurs
et hommes politiques dès la fermeture des bureaux de vote, en rappelant
que le taux de participation a augmenté de 4% par rapport aux élections régionales de 2010.
Or, le raz-de-marée de l’extrême droite a démenti cet optimisme.
Dans la perspective des enjeux du deuxième tour qui aura lieu dimanche prochain,
Nicolas Sarkozy, président des Républicains, a refusé toute alliance
ou fusion avec les listes du PS contre celles du FN.
Actualité Politique Elections Elections Regionales 2015
le 08 Décembre 2015
Paris De notre correspondant
Une fièvre noire fatale pour la République
Le passage en force du Front national au premier tour des régionales de dimanche
dernier annonce une nouvelle donne sur l’échiquier politique français.
20211
Les électeurs français — en fait la moitié des inscrits sur les listes électorales qui s’était déplacée — ont mis le parti d’extrême droite Front national en tête de leurs suffrages, devant la droite classique et les socialistes, lui permettant, dimanche prochain, de transformer l’essai et d’emporter plusieurs régions.
Par ce vote, les Français ont réveillé les vieux démons des arrangements politiciens
à courte vue, le train habituel des manigances électorales
et de l’espoir que cela ne soit qu’un coup de semonce.
Il s’avère que la défaite consommée de la gauche socialiste, au soir des élections régionales (23% au niveau national), passait presque au second plan devant ce qui était analysé aussi comme une gifle monumentale pour la droite (28%) et surtout pour Nicolas Sarkozy. L’ancien président de la République avait cru, pendant son mandat suprême entre 2008 et 2012, pouvoir contrecarrer la progressive imprégnation du discours de l’extrême droite dans l’idéologie populaire française — on se souvient de son ministère de l’Identité nationale et de ses discours racistes au Sénégal et à Grenoble notamment. Il s’agissait, en reprenant les thèses xénophobes
et sécuritaires, de maintenir le FN à un niveau bas pour l’empêcher d’accéder au pouvoir.
Lorsque les voyants passaient au rouge, les politiques mettaient un peu de détergent pour verdir le paysage, sans effet. Le résultat de ce subterfuge est à présent irréparable : quelques députés FN élus en 2012 ; une poignée de communes décrochées en 2014 (dont un important arrondissement de Marseille) ; quelques conseillers départementaux intronisés en juin 2015 et, depuis dimanche, 30% des votants qui déposent dans l’urne le bulletin du FN, ce qui signifie 6 millions d’électeurs gagnés par la progressive fièvre noire que rien ne semble ralentir.
L’arme désespérée du désistement
Toute la politique menée depuis 35 ans par la gauche, depuis François Mitterrand en 1981, puis par la droite, pour endiguer ce mouvement politique antirépublicain qui ne cachait pas ses visées haineuses s’est avérée vaine puisque dimanche, le Front national était largement en tête dans six régions métropolitaines sur 13 et avait de fortes chances de l’emporter dans plusieurs, avec un quasi certitude dans trois d’entre elles
Nord-Pas de Calais-Picardie (Lille) ; Alsace-Lorraine (Strasbourg)
et Provence-Alpes-Côte d’Azur (Marseille).
La gauche est en tête dans seulement trois régions : la Corse, la Bretagne (où la tête de liste socialiste est l’actuel ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian) et l’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes. La droite classique est en pole position dans quatre régions : Ile-de-France (Paris), Normandie, Auvergne-Rhône Alpes et Pays de la Loire, alors qu’avant le scrutin, Nicolas Sarkozy pensait en gagner au moins six. Aussitôt, la sacro-sainte arme de destruction massive contre le FN a été émise désistement pour le candidat dit
«républicain» le mieux placé, même si on sait que cela ne marchera pas.
En Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, c’est ce qui a été fait, peut-être en vain, on le saura dimanche prochain. Le Parti socialiste a retiré ses listes sans discussion au profit du parti de droite Les Républicains, mieux placé pour battre la présidente du FN Marine Le Pen à Lille (41% des voix au premier tour) et sa nièce Marion Le Pen à Marseille (42%). Ce qu’a raillé la chef de file du FN : « Le PS, comme la secte du temple solaire, a décidé d’un véritable suicide collectif par l’intermédiaire du retrait de ses listes forcé.»
Seul contre son parti dans le Grand-Est (Alsace-Champagne-Ardennes-Lorraine), le candidat socialiste Masseret a refusé de se désister, estimant que «cette stratégie de l’évitement du front républicain n’est pas une stratégie qui réussit. Elle existe depuis des années, mais à chaque fois, le FN a continué de monter. Plutôt que de se retirer, il faut se confronter». Dans cette région, ce sera donc le vice-président du FN, Florian Philippot, qui a de fortes chances dimanche prochain. A droite, hier, au parti Les Républicains, le président Nicolas Sarkozy a fait entériner par le conseil politique le refus de retirer les candidats de son mouvement au profit des socialistes
dans les régions où cela empêcherait le Front national de gagner la triangulaire.
Cet aplomb, habituel chez Sarkozy, a soulevé beaucoup de critiques au sein de son parti dans un climat où déjà, outre le résultat calamiteux à prévoir au soir du second tour, dimanche prochain, se profilent les prochaines échéances dont la reine des batailles : la présidentielle de 2017 pour laquelle Marine Le Pen
a pris un tour électoral d’avance, n’en déplaise aux optimistes qui pensent
avoir dégommé à la fois Hollande et Sarkozy.
Dimanche prochain, après le second tour fatal pour la République française,
il sera temps de panser les blessures et pour les analystes de comprendre comment
le parti antipopulaire par essence, malgré son populisme,
va mettre à mal l’équilibre social qu’il prétend rétablir et désespérer un peu plus encore le pays.
Walid Mebarek
Salut
Pourquoi vous vous occupez de ce partie de facho...oublié les...ON S'EN FOUS DE CE PARTIE......
Il est desormais le 1° partis de france helas, facile de dire je m'en fou, il va influencer la vie de millions de personnes que on veuille ou non
chenoui70
16/12/2015, 17h01
Marine Le Pen poursuivie pour ses photos d'exécutions de l'EI?_16/12/15 - 18h12http://static2.7sur7.be/static/photo/2015/4/15/7/20151216170752/media_xll_8246137.jpg
Bernard Cazeneuve, ministre français de l'Intérieur, a indiqué avoir signalé au service de police compétent les photos d'exécutions de l'EI publiées par Marine Le Pen ce mercredi matin sur Twitter. La présidente du FN risque donc des poursuites, expliquent nos confrères du Huffington Post.
Bernard Cazeneuve répondait à une question d'une députée lors d'une séance à l'Assemblée Nationale mercredi après-midi. "Ces photos sont de la propagande de Daesh. Et ces photos sont à ce titre une abjection, une abomination et une véritable insulte pour toutes les victimes du terrorisme", a regretté M. Cazeneuve. Le ministre a ensuite précisé avoir signalé ces photos à la police de manière à réserver "toutes les suites qui doivent l'être" à la diffusion de celles-ci.
Plus tôt, Manuel Valls avait réagi à la polémique sur Twitter. "Mme Le Pen: incendiaire du débat public, faute politique et morale, non-respect des victimes...", a écrit le Premier ministre. La présidente frontiste lui a répondu par un tweet rageur.
rubicube
16/02/2016, 13h47
http://www.jeanmarcmorandini.com/sites/jeanmarcmorandini.com/files/styles/liste-centrale-grande/public/lepenjean_3.jpg
Selon Le Parisien , une perquisition est actuellement en cours dans la villa de Jean-Marie Le Pen, à Saint-Cloud.
Celle-ci intervient dans l'enquête sur les assistants parlementaires du FN.
Les interrogations portent sur les salaires versés à vingt assistants, qui apparaissant dans l'organigramme du parti.
Nos confrères précisent que l'ex-président du Front national est sur place.
Sujet fusionné.
DAVID RACHLINE OFFICIELLEMENT DIRECTEUR
DE CAMPAGNE DE MARINE LE PEN
ELECTION PRÉSIDENTIELLE 2017
Dernières modifications
dimanche 18 septembre 2016 @ 11:59
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C'est lors d'un déplacement à Fréjus que la présidente du Front National
a officiellement intronisé David Rachline, son directeur de campagne.
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