yazidnic
09/01/2013, 20h30
FOOTBALL - Le pilote qatari suit aussi les résultats de son ami Nasser El-Khelaïfi...
De notre envoyé spécial à Arequipa (Pérou)
C’est une discussion un poil surréaliste à laquelle s’est livré le pilote du buggy Nasser Al-Attiyah, mardi soir, au milieu des montagnes d’Arequipa. Après avoir remporté la spéciale du jour, le pilote de l’écurie Qatar-Redbull est venu répondre à des questions… sur le PSG! Il faut dire que le porte drapeau de la délégation qatarie aux JO de Londres est aussi un proche de Nasser El-Khellaïfi, le président parisien: «On a même fait nos études ensemble.» S’il avoue n’être jamais allé au Parc des Princes, il promet de s’y rendre «dès le premier match après le Dakar».
«Je ne voulais pas qu’on change de coach. Même le Français. Comment s’appelait-il? Ah oui Kombouaré»
Et Al-Attiyah l’assure, il conseille de temps en temps son ami président de Ligue 1. «Parfois, on n’a pas besoin des plus grandes stars, mais de développer de jeunes talents, comme je peux le faire dans mon écurie», explique-t-il. Vu le recrutement récent du PSG, pas sûr que ses conseils aboutissent régulièrement. «Je ne voulais pas qu’on change de coach. Même le Français. Comment s’appelait-il? Ah oui Kombouaré. Je pense que ce gars aurait dû rester dans l’équipe, mais bon. Maintenant il y a des rumeurs avec Mourinho, mais j’espère que ça ne se fera pas.»
De notre envoyé spécial à Arequipa (Pérou)
C’est une discussion un poil surréaliste à laquelle s’est livré le pilote du buggy Nasser Al-Attiyah, mardi soir, au milieu des montagnes d’Arequipa. Après avoir remporté la spéciale du jour, le pilote de l’écurie Qatar-Redbull est venu répondre à des questions… sur le PSG! Il faut dire que le porte drapeau de la délégation qatarie aux JO de Londres est aussi un proche de Nasser El-Khellaïfi, le président parisien: «On a même fait nos études ensemble.» S’il avoue n’être jamais allé au Parc des Princes, il promet de s’y rendre «dès le premier match après le Dakar».
«Je ne voulais pas qu’on change de coach. Même le Français. Comment s’appelait-il? Ah oui Kombouaré»
Et Al-Attiyah l’assure, il conseille de temps en temps son ami président de Ligue 1. «Parfois, on n’a pas besoin des plus grandes stars, mais de développer de jeunes talents, comme je peux le faire dans mon écurie», explique-t-il. Vu le recrutement récent du PSG, pas sûr que ses conseils aboutissent régulièrement. «Je ne voulais pas qu’on change de coach. Même le Français. Comment s’appelait-il? Ah oui Kombouaré. Je pense que ce gars aurait dû rester dans l’équipe, mais bon. Maintenant il y a des rumeurs avec Mourinho, mais j’espère que ça ne se fera pas.»