soltan009
09/01/2013, 19h01
L'armée ne sera pas "la variable d'ajustement" du budget national mais devra participer au redressement des comptes, a déclaré mercredi François Hollande, qui a plaidé dans ses voeux aux armées pour une loi de programmation militaire réaliste.
François Hollande (http://lci.tf1.fr/biographies/francois-hollande-4883627.html) a présenté mercredi ses vœux aux armées (http://lci.tf1.fr/infos/armee/armee-1.html) depuis Olivet, près d'Orléans. Devant le 12e régiment de cuirassiers, qui était engagé en Kapisa, le chef de l'Etat a rappelé avoir tenu sa promesse du retrait des forces combattantes d'Afghanistan avant la fin 2012. Il a estimé que la lutte contre le terrorisme au Sahel est l'un des défis majeurs pour la Défense (http://lci.tf1.fr/infos/defense/defense-1.html) Française cette année, et a tenté de rassurer les militaires inquiets des réformes et des choix budgétaires à venir.
"Souvent (les) lois de programmation sont autant d'affichages peu respectés dans le temps, tachons de faire différemment de nos prédécesseurs, ayons des objectifs plus réalistes mais soyons sûr de les atteindre", a dit le président, qui attend "très prochainement" les premières conclusions de la commission chargée de rédiger le prochain Livre blanc de la défense.
Rôle de la France dans l'Otan
Après la crise financière mondiale, les réductions budgétaires en Europe ou encore le "Printemps arabe", le précédent Livre blanc, qui date de 2008, est déjà devenu largement obsolète. La commission du Livre blanc doit préparer la loi de programmation militaire pour la période 2014-2019, et sera déterminante pour le lancement de grands programmes de défense, comme le véhicule blindé multirôle (VBMR).
Hollande a d'ores et déjà confirmé quelques grandes orientations, comme le maintien de la dissuasion nucléaire français sous la forme de ses deux composantes, les sous-marins nucléaires, et les avions porteurs de missiles.
Venu rendre hommage aux soldats mort en Afghanistan et marquer le retrait des forces combattantes du pays fin 2012, il a, en outre, répété que la France entendait à la fois prendre toute sa place dans l'Otan, mais aussi préparer une nouvelle étape de la politique européenne de défense.
François Hollande (http://lci.tf1.fr/biographies/francois-hollande-4883627.html) a présenté mercredi ses vœux aux armées (http://lci.tf1.fr/infos/armee/armee-1.html) depuis Olivet, près d'Orléans. Devant le 12e régiment de cuirassiers, qui était engagé en Kapisa, le chef de l'Etat a rappelé avoir tenu sa promesse du retrait des forces combattantes d'Afghanistan avant la fin 2012. Il a estimé que la lutte contre le terrorisme au Sahel est l'un des défis majeurs pour la Défense (http://lci.tf1.fr/infos/defense/defense-1.html) Française cette année, et a tenté de rassurer les militaires inquiets des réformes et des choix budgétaires à venir.
"Souvent (les) lois de programmation sont autant d'affichages peu respectés dans le temps, tachons de faire différemment de nos prédécesseurs, ayons des objectifs plus réalistes mais soyons sûr de les atteindre", a dit le président, qui attend "très prochainement" les premières conclusions de la commission chargée de rédiger le prochain Livre blanc de la défense.
Rôle de la France dans l'Otan
Après la crise financière mondiale, les réductions budgétaires en Europe ou encore le "Printemps arabe", le précédent Livre blanc, qui date de 2008, est déjà devenu largement obsolète. La commission du Livre blanc doit préparer la loi de programmation militaire pour la période 2014-2019, et sera déterminante pour le lancement de grands programmes de défense, comme le véhicule blindé multirôle (VBMR).
Hollande a d'ores et déjà confirmé quelques grandes orientations, comme le maintien de la dissuasion nucléaire français sous la forme de ses deux composantes, les sous-marins nucléaires, et les avions porteurs de missiles.
Venu rendre hommage aux soldats mort en Afghanistan et marquer le retrait des forces combattantes du pays fin 2012, il a, en outre, répété que la France entendait à la fois prendre toute sa place dans l'Otan, mais aussi préparer une nouvelle étape de la politique européenne de défense.