soltan009
09/01/2013, 05h48
http://s.tf1.fr/mmdia/i/25/8/bernadette-chirac-au-20h-l-interview-integrale-10836258kqwvq_2588.jpg?v=1
Pour le lancement de l'opération Pièces Jaunes qui débutait officiellement mardi, Bernadette Chirac (http://lci.tf1.fr/infos/bernadette-chirac/bernadette-chirac-1.html), ancienne Première dame de France et présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, était invitée mardi soir sur TF1.
2013 sera-t-il un bon cru pour la vendange de petites pièces qui permet de financer différents projets en marge du système hospitalier français pour les enfants malades ? Malgré la crise, la "hausse du chômage", Bernadette Chirac en est certaine : "je sais que les Français sont un peuple généreux. Ils veulent toujours aider", explique-t-elle. Petit bémol toutefois pour l'édition 2013 de l'opération, l'abandon de la campagne de récolte des dons en TGV à travers toute la France. En cause, le retrait de certains partenaires d'une opération coûteuse. Un regret pour Bernadette Chirac qui y voyait un extraordinaire moyen de toucher de nombreux Français.
La crise à l'UMP ? "Ca va s'arranger"
Mais au-delà des Pièces Jaunes, l'état de santé de l'ancien président de la République est aussi dans tous les esprits. "Il va bien", assure son épouse qui relate alors leurs dernières vacances passées sous le soleil marocain. Et lorsqu'on lui rappelle la déclaration de Jean-Louis Debré, un proche de la famille, qui disait "s'inquiéter pour lui", Bernadette Chirac botte en touche : "Je ne partage pas forcément les mêmes opinions que Jean-Louis Debré. Même sur sa santé". On n'en saura donc pas plus.
Enfin, dernier thème qui touche Bernadette Chirac et qui a fait la Une fin novembre : la crise de succession à l'UMP. Pour l'élue de Corrèze, le duel Fillon-Copé a donné "une mauvaise impression aux Français". En clair, elle s'avoue déçue. Car pour elle, alors que les Français traversent une crise économique dure, voir l'ambition des hommes politiques passer avant les "difficultés des Français" est un spectacle désagréable. Toutefois, Bernadette Chirac est optimiste sur la question : "Je suis certaine que ça va s'arranger", conclut-elle.
Pour le lancement de l'opération Pièces Jaunes qui débutait officiellement mardi, Bernadette Chirac (http://lci.tf1.fr/infos/bernadette-chirac/bernadette-chirac-1.html), ancienne Première dame de France et présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, était invitée mardi soir sur TF1.
2013 sera-t-il un bon cru pour la vendange de petites pièces qui permet de financer différents projets en marge du système hospitalier français pour les enfants malades ? Malgré la crise, la "hausse du chômage", Bernadette Chirac en est certaine : "je sais que les Français sont un peuple généreux. Ils veulent toujours aider", explique-t-elle. Petit bémol toutefois pour l'édition 2013 de l'opération, l'abandon de la campagne de récolte des dons en TGV à travers toute la France. En cause, le retrait de certains partenaires d'une opération coûteuse. Un regret pour Bernadette Chirac qui y voyait un extraordinaire moyen de toucher de nombreux Français.
La crise à l'UMP ? "Ca va s'arranger"
Mais au-delà des Pièces Jaunes, l'état de santé de l'ancien président de la République est aussi dans tous les esprits. "Il va bien", assure son épouse qui relate alors leurs dernières vacances passées sous le soleil marocain. Et lorsqu'on lui rappelle la déclaration de Jean-Louis Debré, un proche de la famille, qui disait "s'inquiéter pour lui", Bernadette Chirac botte en touche : "Je ne partage pas forcément les mêmes opinions que Jean-Louis Debré. Même sur sa santé". On n'en saura donc pas plus.
Enfin, dernier thème qui touche Bernadette Chirac et qui a fait la Une fin novembre : la crise de succession à l'UMP. Pour l'élue de Corrèze, le duel Fillon-Copé a donné "une mauvaise impression aux Français". En clair, elle s'avoue déçue. Car pour elle, alors que les Français traversent une crise économique dure, voir l'ambition des hommes politiques passer avant les "difficultés des Français" est un spectacle désagréable. Toutefois, Bernadette Chirac est optimiste sur la question : "Je suis certaine que ça va s'arranger", conclut-elle.