xeres
02/02/2015, 18h46
Le groupe qatarien vient de signer un contrat de sept ans au niveau monde avec la Fédération internationale de tennis, portant sur les droits télévisuels et numériques.
Jeu, set et match. À défaut d'avoir pu souffler à Canal + le Top 14 de Rugby, beIN Media Group, la maison mère de beIN Sports, vient de réaliser un joli coup en faisant tomber dans son escarcelle la Coupe Davis et sa déclinaison féminine, la Fed Cup, au niveau mondial. Elles seront retransmises sur les chaînes du groupe dans 32 pays.
La Fédération internationale de tennis a annoncé lundi qu'elle avait signé avec le groupe présidé par Nasser al-Khelaifi un accord mondial portant sur les droits télévisuels et numériques de ces deux compétitions par équipes, à compter de 2015. Ce partenariat stratégique a été conclu pour une durée de sept ans, c'est-à-dire jusqu'en 2021. En France, la compétition sera néanmoins diffusée cette année sur Canal + et France Télévisions.
Accord historique
Pour la Fédération internationale de tennis, il s'agit là du plus gros contrat de droits de diffusion jamais conclu dans l'histoire de la Coupe Davis et de la Fed Cup. Son montant n'a toutefois pas été divulgué. Avec ce nouvel accord, l'instance sportive espère bien «maximiser l'exposition globale et la qualité de la couverture» de ses deux tournois internationaux.
De son côté, beIN Sports en profite pour muscler son offre dans le domaine du tennis et renforce sa position de chaîne premium multisports. «Le tennis est un élément fondamental de notre programmation sportive internationale», a confirmé Nasser al-Khelaifi.
En 2013, la chaîne avait déjà remporté, au nez et à la barbe de Canal +, l'exclusivité des droits des tournois de tennis de Wimbledon, des Masters 1000, à l'exception de Monte-Carlo et Paris-Bercy, ainsi que des tournois ATP 500 pour la période 2014-2018. En mettant la main sur la Coupe Davis et la Fed Cup, elle récidive donc: c'est Canal + ainsi que France Télévisions qui diffusaient jusqu'à présent les deux compétitions.
Courbe inflationniste des droits sportifs
Le groupe audiovisuel public avait en effet sous-licencié la compétition à la chaîne cryptée, se réservant les matchs joués par les équipes de France féminines et masculines.
Jeu, set et match. À défaut d'avoir pu souffler à Canal + le Top 14 de Rugby, beIN Media Group, la maison mère de beIN Sports, vient de réaliser un joli coup en faisant tomber dans son escarcelle la Coupe Davis et sa déclinaison féminine, la Fed Cup, au niveau mondial. Elles seront retransmises sur les chaînes du groupe dans 32 pays.
La Fédération internationale de tennis a annoncé lundi qu'elle avait signé avec le groupe présidé par Nasser al-Khelaifi un accord mondial portant sur les droits télévisuels et numériques de ces deux compétitions par équipes, à compter de 2015. Ce partenariat stratégique a été conclu pour une durée de sept ans, c'est-à-dire jusqu'en 2021. En France, la compétition sera néanmoins diffusée cette année sur Canal + et France Télévisions.
Accord historique
Pour la Fédération internationale de tennis, il s'agit là du plus gros contrat de droits de diffusion jamais conclu dans l'histoire de la Coupe Davis et de la Fed Cup. Son montant n'a toutefois pas été divulgué. Avec ce nouvel accord, l'instance sportive espère bien «maximiser l'exposition globale et la qualité de la couverture» de ses deux tournois internationaux.
De son côté, beIN Sports en profite pour muscler son offre dans le domaine du tennis et renforce sa position de chaîne premium multisports. «Le tennis est un élément fondamental de notre programmation sportive internationale», a confirmé Nasser al-Khelaifi.
En 2013, la chaîne avait déjà remporté, au nez et à la barbe de Canal +, l'exclusivité des droits des tournois de tennis de Wimbledon, des Masters 1000, à l'exception de Monte-Carlo et Paris-Bercy, ainsi que des tournois ATP 500 pour la période 2014-2018. En mettant la main sur la Coupe Davis et la Fed Cup, elle récidive donc: c'est Canal + ainsi que France Télévisions qui diffusaient jusqu'à présent les deux compétitions.
Courbe inflationniste des droits sportifs
Le groupe audiovisuel public avait en effet sous-licencié la compétition à la chaîne cryptée, se réservant les matchs joués par les équipes de France féminines et masculines.