yazidnic
08/01/2013, 21h14
Mis à jour le 08.01.13 à 22h01
Dassault Aviation va répondre à la demande d'information du Canada sur le Rafale, fait savoir le nouveau PDG de l'avionneur Eric Trappier dans un entretien aux Echos à paraître mercredi.
Le Canada étudie actuellement des alternatives concurrentes à celle de l'avion F-35 de Lockheed Martin, auprès duquel il a commandé 65 appareils en 2010. Le pays pourrait ne pas confirmer cette commande en raison d'un coût plus important que prévu. «Il y a un coup à jouer. Le Canada est potentiellement le premier pays qui pourrait remettre en cause le F-35. Nous ne pouvons pas ne pas l'accompagner», déclare Eric Trappier qui vient de succéder à Charles Edelstenne.
Le PDG de Dassault Aviation se dit prêt à répondre à un appel d'offre au cas où le Canada décide de ne pas confirmer sa commande de F-35.
Reuters
Dassault Aviation va répondre à la demande d'information du Canada sur le Rafale, fait savoir le nouveau PDG de l'avionneur Eric Trappier dans un entretien aux Echos à paraître mercredi.
Le Canada étudie actuellement des alternatives concurrentes à celle de l'avion F-35 de Lockheed Martin, auprès duquel il a commandé 65 appareils en 2010. Le pays pourrait ne pas confirmer cette commande en raison d'un coût plus important que prévu. «Il y a un coup à jouer. Le Canada est potentiellement le premier pays qui pourrait remettre en cause le F-35. Nous ne pouvons pas ne pas l'accompagner», déclare Eric Trappier qui vient de succéder à Charles Edelstenne.
Le PDG de Dassault Aviation se dit prêt à répondre à un appel d'offre au cas où le Canada décide de ne pas confirmer sa commande de F-35.
Reuters