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Voir la version complète : Jean-Marie Le Pen : «l'opération» des frères Kouachi porte la signature



jim63
17/01/2015, 17h29
salam


Dans une interview à un tabloïd russe, le président d’honneur du Front national estime que « l’opération » des frères Kouachi porte « la signature de services secrets ».
Dans une interview publiée jeudi dans le tabloïd russe Komsomolskaïa Pravda (http://www.kp.ru/daily/26329.4/3212604/), réputé pour son sensationnalisme, Jean-Marie Le Pen adopte sans trop de retenue la thèse de la théorie du complot au sujet des attentats de Charlie Hebdo. Alors que la journaliste Daria Aslamova estime qu’il y a « beaucoup de zones d’ombre » dans la version « officielle » de la tuerie, le président 14015


honoraire du Front national embraye :« Je suis d’accord avec vtoire de carte d’identité oubliée par les frères Kouachi me rappelle le passeport d’un des terroristes du 11 Septembre miraculeusement retrouvé dans un New York en cendres. On nous dit maintenant que ces terroristes sont juste des idiots. Toute l’opération [des frères Kouachi] porte la signature de services secrets. Bien sûr, nous n’avons pas de preuve. Je ne dis pas que les autorités françaises sont derrière ce crime, mais qu’ils ont pu avoir permis qu’il ait lieu. »

[...] Quand on lui demande pourquoi Charlie Hebdo ne caricature « que les musulmans et les chrétiens mais presque jamais les juifs », le patriarche frontiste explique que c’est parce que « les juifs savent se défendre ». En guise d’exemple, il évoque « les Femen, qui peuvent se dénuder devant le pape mais ne sont jamais entrées dans une synagogue ».

enzo
17/01/2015, 20h26
Le pen peu racconter ce qu'il veut, sa s'appelle libertè d'expression

Faudrais juste lui demander pourquoi, plusieurs fois par an, ils arretent des cellules pretes apasser a l'action, comme ces jours ci en Belgique, Allemagne, Italie
Pourquoi ne pas les laisser faire tout simplement, sa semblerait plus realiste ;)

harroudiroi
17/01/2015, 21h23
C'est la liberté de dire ce qu'il envi de dire sans trop être inquieter par la justice ni d'ailleurs par l'ange de la mort.