xeres
08/01/2015, 18h59
Le père de Lionel Messi aurait été approché par les dirigeants de Chelsea pour en savoir plus sur la situation actuelle du quadruple Ballon d'Or. Et le club londonien serait prêt à payer les 250 millions de la clause libératoire de l’Argentin et à lui offrir un contrat de 6 ans à 20 millions d'euros par saison.
"Leo est le meilleur joueur du monde. C’est un leader, c’est notre leader", rappelait encore mercredi Josep Maria Bartomeu, le président du FC Barcelone (http://www.sports.fr/football/equipes/barcelone-88.html), venu expliquer en conférence de presse les raisons qui l’ont poussé à se séparer de son directeur sportif, Andoni Zubizarreta, mais contraint rapidement de se prononcer sur le divorce supposé et largement commenté de l’autre côté des Pyrénées entre Lionel Messi (http://www.sports.fr/football/joueurs/0/lionel-messi-17590.html) et Luis Enrique. Une manière de prendre position, s’il le fallait. Et de chasser les vautours. "Tout le monde sait que le Barça ne veut pas le vendre", insistait-il ainsi. Peut-être. Mais cela n’empêche pas les clubs susceptibles de recruter la star argentine d’être attentif à l’actualité catalane… Voire de se positionner.
En concurrence sur ce dossier avec le Bayern Munich (http://www.sports.fr/football/equipes/bayern-munich-70.html) de Pep Guardiola, sous les ordres duquel l’Argentin a connu ses plus belles années, voire avec le Paris Saint-Germain et Manchester City (http://www.sports.fr/football/equipes/manchester-city-66.html), deux clubs pris cependant dans l’étau du fair-play financier, Chelsea (http://www.sports.fr/football/equipes/chelsea-59.html) aurait ainsi tiré le premier. Selon Rac 1, une radio catalane généralement très bien informée, les dirigeants du club londonien auraient en effet pris contact avec Jorge Messi, le père du n°10 du Barça, pour prendre la température et connaître la position de l’intéressé vis-à-vis de son club formateur, sachant les tensions apparues ces dernières semaines avec son entraîneur mais aussi avec ses dirigeants ces deux dernières années.
Fabregas, le facilitateur de liensMieux, Roman (http://www.sports.fr/football/joueurs/9/-roman-26749.html) Abramovitch, conscient qu’il tient là peut-être une occasion unique d’attirer le meilleur joueur du monde (titre qu’il partage avec Cristiano Ronaldo (http://www.sports.fr/football/joueurs/0/cristiano-ronaldo-16570.html)), aurait fait savoir qu’il était prêt à payer les 250 millions de la clause libératoire de l’Argentin. Un contrat de six ans (à au moins 20 millions d’euros annuel) pourrait être proposé à Messi, à en croire le Daily Star, ce qui ferait un package à près de 500 millions d'euros, charges comprises. De quoi réfléchir... D’autant que la "Pulga" ne serait pas insensible à la présence à Londres de son ancien coéquipier, Cesc Fabregas, dont il est proche. Et ne serait pas opposé à l’idée d’évoluer sous les ordres de José Mourinho, malgré le rejet que suscite le Portugais auprès de la communauté catalane.
Ainsi faudrait-il interpréter sa décision de suivre depuis lundi, après son absence de l’entraînement au lendemain de la défaite du Barça à Anoeta contre la Real Sociedad (http://www.sports.fr/football/equipes/real-sociedad-91.html) et sa dispute avec Luis Enrique pour avoir été placé sur le banc, le compte Instagram de Chelsea.
"Leo est le meilleur joueur du monde. C’est un leader, c’est notre leader", rappelait encore mercredi Josep Maria Bartomeu, le président du FC Barcelone (http://www.sports.fr/football/equipes/barcelone-88.html), venu expliquer en conférence de presse les raisons qui l’ont poussé à se séparer de son directeur sportif, Andoni Zubizarreta, mais contraint rapidement de se prononcer sur le divorce supposé et largement commenté de l’autre côté des Pyrénées entre Lionel Messi (http://www.sports.fr/football/joueurs/0/lionel-messi-17590.html) et Luis Enrique. Une manière de prendre position, s’il le fallait. Et de chasser les vautours. "Tout le monde sait que le Barça ne veut pas le vendre", insistait-il ainsi. Peut-être. Mais cela n’empêche pas les clubs susceptibles de recruter la star argentine d’être attentif à l’actualité catalane… Voire de se positionner.
En concurrence sur ce dossier avec le Bayern Munich (http://www.sports.fr/football/equipes/bayern-munich-70.html) de Pep Guardiola, sous les ordres duquel l’Argentin a connu ses plus belles années, voire avec le Paris Saint-Germain et Manchester City (http://www.sports.fr/football/equipes/manchester-city-66.html), deux clubs pris cependant dans l’étau du fair-play financier, Chelsea (http://www.sports.fr/football/equipes/chelsea-59.html) aurait ainsi tiré le premier. Selon Rac 1, une radio catalane généralement très bien informée, les dirigeants du club londonien auraient en effet pris contact avec Jorge Messi, le père du n°10 du Barça, pour prendre la température et connaître la position de l’intéressé vis-à-vis de son club formateur, sachant les tensions apparues ces dernières semaines avec son entraîneur mais aussi avec ses dirigeants ces deux dernières années.
Fabregas, le facilitateur de liensMieux, Roman (http://www.sports.fr/football/joueurs/9/-roman-26749.html) Abramovitch, conscient qu’il tient là peut-être une occasion unique d’attirer le meilleur joueur du monde (titre qu’il partage avec Cristiano Ronaldo (http://www.sports.fr/football/joueurs/0/cristiano-ronaldo-16570.html)), aurait fait savoir qu’il était prêt à payer les 250 millions de la clause libératoire de l’Argentin. Un contrat de six ans (à au moins 20 millions d’euros annuel) pourrait être proposé à Messi, à en croire le Daily Star, ce qui ferait un package à près de 500 millions d'euros, charges comprises. De quoi réfléchir... D’autant que la "Pulga" ne serait pas insensible à la présence à Londres de son ancien coéquipier, Cesc Fabregas, dont il est proche. Et ne serait pas opposé à l’idée d’évoluer sous les ordres de José Mourinho, malgré le rejet que suscite le Portugais auprès de la communauté catalane.
Ainsi faudrait-il interpréter sa décision de suivre depuis lundi, après son absence de l’entraînement au lendemain de la défaite du Barça à Anoeta contre la Real Sociedad (http://www.sports.fr/football/equipes/real-sociedad-91.html) et sa dispute avec Luis Enrique pour avoir été placé sur le banc, le compte Instagram de Chelsea.