yazidnic
07/01/2013, 14h35
Mis à jour le 07.01.13 à 12h56
La France voit le «plan de paix» présenté par le président syrien, Bachar al Assad, comme un déni de réalité et répète qu'aucune solution n'est possible sans son départ, a dit lundi le ministère des Affaires étrangères. Le président Assad a dévoilé dimanche un «plan de paix» visant à mettre fin à la guerre civile en Syrie, une initiative accueillie avec dédain par ses opposants qui y voient un subterfuge visant à s'accrocher au pouvoir.
«Les propos de Bachar al Assad illustrent à nouveau le déni de réalité dans lequel il s'est muré pour justifier la répression du peuple syrien», écrit le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué. «Le départ de Bachar al Assad reste une condition incontournable de la transition politique, comme le rappelle la Coalition nationale syrienne», ajoute-t-il.
«Ces déclarations, qui interviennent peu après la publication par les Nations unies d'un rapport mettant en lumière les exactions commises par son clan, ne trompent personne», conclut le ministère.
Reuters
La France voit le «plan de paix» présenté par le président syrien, Bachar al Assad, comme un déni de réalité et répète qu'aucune solution n'est possible sans son départ, a dit lundi le ministère des Affaires étrangères. Le président Assad a dévoilé dimanche un «plan de paix» visant à mettre fin à la guerre civile en Syrie, une initiative accueillie avec dédain par ses opposants qui y voient un subterfuge visant à s'accrocher au pouvoir.
«Les propos de Bachar al Assad illustrent à nouveau le déni de réalité dans lequel il s'est muré pour justifier la répression du peuple syrien», écrit le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué. «Le départ de Bachar al Assad reste une condition incontournable de la transition politique, comme le rappelle la Coalition nationale syrienne», ajoute-t-il.
«Ces déclarations, qui interviennent peu après la publication par les Nations unies d'un rapport mettant en lumière les exactions commises par son clan, ne trompent personne», conclut le ministère.
Reuters