soltan009
07/01/2013, 12h16
http://s.tf1.fr/mmdia/i/00/7/petite-entreprise-archives-10812007hfymi_1713.jpg?v=2
Y a-t-il des secteurs épargnés ? Peu, souligne la Banque de France. Elle note une progression sur un an en particulier dans les transports (+15,1% à 2018) et les activités immobilières (+11,8% à 2046), devant l'hébergement-restauration (+5,9% à 7138) et les activités financières et d'assurance (+3,1% à 1.172). En revanche, la construction a enregistré un recul des défaillances sur un an de 0,8% à 14.482 (après -2,9% fin septembre 2012) tout comme l'agriculture, sylviculture et pêche où elles ont baissé de 2,6% à 1.222 (-2,2% à fin septembre 2012).
Les grandes entreprises de plus en plus touchées
Et pour le mois de novembre, la tendance est-elle meilleure ? Pas vraiment. La Banque de France dispose pour l'instant des données provisoires sur douze mois à fin novembre ; elles montrent une hausse des défaillances d'entreprises qui se poursuit (+1% à 60.283 entreprises). Là encore, les secteurs les plus touchés sont les transports (+11,1%), les activités immobilières (+8,9%) et l'hébergement (+4,6%). L'amélioration devrait en revanche se poursuivre en agriculture (-4% des défaillances) et dans la construction (-1,1%).
Autres chiffres significatifs : la répartition de ces faillites selon la taille des entreprises. Les PME, traditionnellement plus fragiles, ne sont plus les seules touchées : de groupes plus importants sont aussi directement concernés, et de plus en plus. Si la Banque de France note, pour la fin octobre, une progression de 1,1% des défaillances de PME en cumul sur douze mois, les défaillances d'entreprises de taille intermédiaire et de grandes entreprises sont, elles, en hausse de... 48,1% sur la même période. Et la Banque de France pronostique une poursuite de cette hausse en novembre de 0,6% pour les PME... et de 32,7% pour les entreprises plus grandes.
Y a-t-il des secteurs épargnés ? Peu, souligne la Banque de France. Elle note une progression sur un an en particulier dans les transports (+15,1% à 2018) et les activités immobilières (+11,8% à 2046), devant l'hébergement-restauration (+5,9% à 7138) et les activités financières et d'assurance (+3,1% à 1.172). En revanche, la construction a enregistré un recul des défaillances sur un an de 0,8% à 14.482 (après -2,9% fin septembre 2012) tout comme l'agriculture, sylviculture et pêche où elles ont baissé de 2,6% à 1.222 (-2,2% à fin septembre 2012).
Les grandes entreprises de plus en plus touchées
Et pour le mois de novembre, la tendance est-elle meilleure ? Pas vraiment. La Banque de France dispose pour l'instant des données provisoires sur douze mois à fin novembre ; elles montrent une hausse des défaillances d'entreprises qui se poursuit (+1% à 60.283 entreprises). Là encore, les secteurs les plus touchés sont les transports (+11,1%), les activités immobilières (+8,9%) et l'hébergement (+4,6%). L'amélioration devrait en revanche se poursuivre en agriculture (-4% des défaillances) et dans la construction (-1,1%).
Autres chiffres significatifs : la répartition de ces faillites selon la taille des entreprises. Les PME, traditionnellement plus fragiles, ne sont plus les seules touchées : de groupes plus importants sont aussi directement concernés, et de plus en plus. Si la Banque de France note, pour la fin octobre, une progression de 1,1% des défaillances de PME en cumul sur douze mois, les défaillances d'entreprises de taille intermédiaire et de grandes entreprises sont, elles, en hausse de... 48,1% sur la même période. Et la Banque de France pronostique une poursuite de cette hausse en novembre de 0,6% pour les PME... et de 32,7% pour les entreprises plus grandes.