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Voir la version complète : HOMMES versus femme



harroudiroi
24/10/2014, 09h21
J'aime pas particulièrement ce genre de vidéo ( c'est l'élémentaire de notre humanité, indépendamment de toute RELIGION), mais bon, son sens ou plutôt son ''contre sens'', attendre de faire appel aux religions pour que certains saisissent le sens du bon sens.


http://youtu.be/YXa3doevntA



NB: dans un autre post avec un même genre de ''titre'' à la X versus Y ou :XD: Versus:;^^: , sachez que nous avons faillit nous faire la guerre, mais c'est loin dernière nous ''''l'intolérance'''', les messages de l'intolérance ne survivent pas très et trop longtemps .............comme quoi, l'habille ne fais pas le moine, mais un moine est dans l'obligation de se différencier des autres au moins de point de vue vestimentaire, aiaiai comment faire donc la différence entre un vrai ou un faux moine ou pour une vidéo retrouvé sur Youtube, comment être certain quelle n'est pas destinée à faire de la propagande, comment être certain de son authenticité et surtout je peux la percevoir différemment sans pour autant déclencher votre réflexe nauséeux, le miens pourrait aussi se déclencher encore plus facilement que le votre, mais, je crois que c'est une question plus que digestive, ELLE EST SURTOUT CARDIAQUE, ( de cœur) ......., n'avons nous pas des jugements très très hâtifs, pas dans le sens de la vidéo elle même, mais dans le sens de la réaction des autres; les autres peuvent aussi avoir une appréhension, la même appréhension sur votre réaction, mais beaucoup plus posée et plus intelligente que et surtout MOINS DICTATORIALE QUE :

Partant de ce postulat, je ne peux débattre sur le sujet en acceptant des insinuations le remettant en cause

PS: D'avance, il est inutile de me la ramener sur la liberté d'expression.

Merci, @ toi jelloul.......

enzo
24/10/2014, 10h09
J'aime pas particulièrement ce genre de vidéo

Au contraire j'adore, sa me met du beaume au coeur, je veut oublier que ce n'est que de la propagande et que la condiction feminine en Inde est une des pire au monde, m'en fou c'est beau de voir ces images.

harroudiroi
24/10/2014, 11h37
Au contraire j'adore, sa me met du beaume au coeur, je veut oublier que ce n'est que de la propagande et que la condiction feminine en Inde est une des pire au monde, m'en fou c'est beau de voir ces images.
Donc y'a DEUX vérités en une seule: pas besoin de faire la propagande des religions pour parler du bon sens (1) et les femmes en Inde, au Yémen, en Iran .....comme un peu partout dans le monde sont soumises aux bons vouloir des hommes (2).

NB : je vais vous raconter une petite histoire dans ce sens, elle est arrivée à une des mes connaissances:

un jour je marchais en ville avec un ami, un fervent adepte du look religieux avec une barbe qui n'a pas été rasée depuis plus de 5 ans, mais dont certains actes, gestes ou mots trahissent le caractère forcé de sa conviction religieuse morphologique; alors qu'on marchait, il a sursauté et foncer les sourcils quand il a entendu trois jeunes hommes parler entre eux et par malheur dire au moment de notre passage : sahab El lehaii ( les barbus ) , il s'est retourné et leur a dit de vive voix "" qu'est ce qu'ils ont shab El lehaii??, par chance j'ai reconnu un de ces trois gars, il travaillait dans mon ancien hôpital, il a souris, et à juré qui parlait d'une autre gars ''barbu, lui aussi", il ma explique que 5 minutes au paravant un homme ( l'autres barbu ) en faisant une marche arrière avec sa voiture, il a heurté sans ''dégât'' une femme de la soixantaine, celle ci lui a demandé de faire attention une prochaine fois, et quelle a été la réponse de ce CON: et toi femme qu'est ce que tu fous dehors, si tu avais été chez toi dans ta maison à t'occuper de tes enfants, au lieu de gambader dehors, cet accident n'aurais pas eu lieu......, et c'était la raison de cette phrase ''shab El lehaii" sortie tout droit de la bouche ''témoin '' de nos trois jeunes.

Ma méditer :
il existe différentes formes d'agressions, pas que physiques mais également verbales ou même visuelles.......

harroudiroi
24/10/2014, 12h17
Denis Mukwege a reçu, le 21 octobre, le prix Sakharov "pour la liberté de l'esprit" du Parlement européen pour son engagement auprès des femmes victimes de viols et de violences sexuelles dans le contexte des conflits armés. Interview exclusive.

Depuis quinze ans, Denis Mukwege s’emploie inlassablement à réparer les corps. Avec ses équipes de l’hôpital de Panzi, à Bukavu, en République démocratique du Congo (RDC), ce gynécologie-obstétricien soigne chaque année plus de 3 500 femmes, violées et mutilées par des hommes en armes. Comme il l’a toujours fait, Denis Mukwege saisit la tribune que lui offre le prix Sakharov, décerné le 21 octobre par le Parlement européen, pour dénoncer le viol comme arme de guerre et faire la lumière sur un conflit oublié.

"Les femmes continuent à être violées, y compris les bébés. Mettre le projecteur sur les femmes victimes de violences sexuelles, c’est une façon de chercher des solutions", déclare Denis Mukwege sur France 24. "Ces femmes courageuses continuent de se battre ; elles sont entre la vie et la mort à la suite de toutes les blessures qui leur sont infligées", poursuit-il.

>> À voir sur France 24 : Denis Mukwege, le docteur qui "répare" les femmes mutilées

Le gynécologue, que ses patientes appellent "Docteur miracle", dénonce l’impunité dont jouissent les bandes armées - miliciens ou soldats réguliers, dans la région du Kivu, dans l’est de la RD Congo, très riche en ressources minières. "Il y a des hommes qui sont jugés mais c’est déplorable de voir des criminels qui continuent à avoir des promotions. Ils devraient répondre de leur crime pour montrer que la société n’accepte pas. (…) La meilleure façon d’éviter la répétition est que justice soit faite", explique Denis Mukwege.

Les femmes victimes de violences sexuelles subissent une double peine : en plus de la blessure du viol, elles vivent ensuite l’exclusion sociale et l’offense de voir leur agresseur en liberté. Pour Denis Mukwege, la réparation ne peut se faire sans justice : "Ces femmes sont stigmatisées, exclues de la société et elles se battent pour leur justice. Il ne faut pas les laisser dans l’indifférence totale mais leur montrer que le monde les écoute et est prêt à faire quelque chose pour que justice soit faite. C’est ainsi qu’elle peuvent retrouver la paix."

L’engagement de Denis Mukwege a bien failli lui coûter la vie. Le 25 octobre 2012, il a échappé à une tentative d’assassinat à son domicile. L’un de ses proches a été tué dans l’agression. Mais cela n’a pas suffi à le faire renoncer. Après trois mois d’exil en Suède puis Belgique, le médecin est rentré à Bukavu, auprès des patientes qui l’attendaient. Aujourd’hui, il ne se sent toujours pas en sécurité. "À partir du moment où je ne sais pas qui était derrière l’agression et que je ne connais pas le mobile, comment puis-je dire que je suis en sécurité ?", confie-t-il. Des menaces qui ne le détourneront pourtant pas de son engagement.

harroudiroi
24/10/2014, 12h21
http://youtu.be/kG9Zw4BhjYw

harroudiroi
24/10/2014, 12h24
http://youtu.be/qF8rZCBfDt8