shiver
24/09/2014, 08h40
L'information ne concerne pas immédiatement la France, mais cela pourrait rapidement changer : un fabricant américain vient d'annoncer le développement d'un radar capable de détecter l'envoi d'un SMS au volant.
La lutte contre l'insécurité routière s'intensifie depuis quelques années dans plusieurs pays, et les autorités disposent désormais d'un arsenal législatif et technologique étoffé pour sanctionner les contrevenants au Code de la route.
http://img.generation-nt.com/telephoner-volant_00FA000001575362.png (http://www.generation-nt.com/zoom-1575362,1906680-telephoner-volant.html)
Véritable fléau depuis la démocratisation du GSM et encore plus des smartphones, les appels ou les SMS au volant sont désormais la bête noire des autorités. De quoi motiver un fabricant americain à développer une solution permettant de les repérer.
ComSonics proposera ainsi un radar spécialement étudié pour repérer l'envoi de SMS depuis un véhicule en déplacement. Pour ce faire, le radar standard est équipé d'un capteur qui repère les émissions d'ondes radio des véhicules. En comparant la longueur d'onde ( qui varie selon que l'on appelle un contact ou qu'on lui envoie un SMS ), il devient facile pour la police équipée de l'engin d'établir l'usage prohibé d'un portable au volant. (http://www.generation-nt.com/prevention-routiere-telephone-volant-jeunes-conducteurs-actualite-1655952.html) Et à moins de disposer d'un kit mains libres intégré au véhicule, le contrevenant repéré en serait de sa poche.
Il ne serait donc plus question de cacher son smartphone pour éviter de se faire repérer par les forces de l'ordre. Reste que dans le cas où le conducteur ne serait pas seul dans l'habitacle, il devrait être difficile d'établir si c'est bien le chauffeur qui a transgressé la loi, à moins de saisir son smartphone pour vérifier l'historique des envois, et encore, rien n'indique que ce n'est pas un passager qui lui aura emprunté son dispositif.
La technologie présentée n'est pas encore commercialisée, mais elle intéresse beaucoup les États-Unis, et pourrait également séduire la France. D'après un sondage mené dans l'hexagone, un tiers des conducteurs de moins de 25 ans admet écrire régulièrement des textos au volant, et deux tiers n'hésitent pas à les lire en conduisant.
La lutte contre l'insécurité routière s'intensifie depuis quelques années dans plusieurs pays, et les autorités disposent désormais d'un arsenal législatif et technologique étoffé pour sanctionner les contrevenants au Code de la route.
http://img.generation-nt.com/telephoner-volant_00FA000001575362.png (http://www.generation-nt.com/zoom-1575362,1906680-telephoner-volant.html)
Véritable fléau depuis la démocratisation du GSM et encore plus des smartphones, les appels ou les SMS au volant sont désormais la bête noire des autorités. De quoi motiver un fabricant americain à développer une solution permettant de les repérer.
ComSonics proposera ainsi un radar spécialement étudié pour repérer l'envoi de SMS depuis un véhicule en déplacement. Pour ce faire, le radar standard est équipé d'un capteur qui repère les émissions d'ondes radio des véhicules. En comparant la longueur d'onde ( qui varie selon que l'on appelle un contact ou qu'on lui envoie un SMS ), il devient facile pour la police équipée de l'engin d'établir l'usage prohibé d'un portable au volant. (http://www.generation-nt.com/prevention-routiere-telephone-volant-jeunes-conducteurs-actualite-1655952.html) Et à moins de disposer d'un kit mains libres intégré au véhicule, le contrevenant repéré en serait de sa poche.
Il ne serait donc plus question de cacher son smartphone pour éviter de se faire repérer par les forces de l'ordre. Reste que dans le cas où le conducteur ne serait pas seul dans l'habitacle, il devrait être difficile d'établir si c'est bien le chauffeur qui a transgressé la loi, à moins de saisir son smartphone pour vérifier l'historique des envois, et encore, rien n'indique que ce n'est pas un passager qui lui aura emprunté son dispositif.
La technologie présentée n'est pas encore commercialisée, mais elle intéresse beaucoup les États-Unis, et pourrait également séduire la France. D'après un sondage mené dans l'hexagone, un tiers des conducteurs de moins de 25 ans admet écrire régulièrement des textos au volant, et deux tiers n'hésitent pas à les lire en conduisant.