yazidnic
04/01/2013, 17h11
MOTO - Malgré le forfait de Marc Coma, son principal concurrent...
De notre envoyé spécial à Lima (Pérou),
«De toute façon, je n’ai jamais connu de Dakar facile». Ces jours-ci, le grand défi du Français Cyril Despres, quadruple vainqueur chez les motos est de se défaire de sa réputation de gagnant certain. Car le pilote a peut être gagné la course avant même qu’elle n’ait commencé. Et on connait même la date de son «pré-triomphe»: le 21 décembre 2012, jour où Marc Coma, son (seul?) opposant le plus farouche, a dû lâcher le guidon à cause d’une épaule douloureuse.
«Ca va être facile? Ah bah oui, c’est ça, ils ont asphalté les 8.500 km du parcours»
Alors bien sûr, Despres n’est pas idiot, et sait bien qu’il faudrait une très grosse surprise pour qu’il n’empoche pas sa cinquième victoire. Sauf qu’il ne peut pas le crier sur tous les toits. «Ca va être facile? Ah bah oui, c’est ça, ils ont asphalté les 8.500 km du parcours, ils ont mis des flèches partout et puis ils ont décidé que j’allais courir tout seul», se marre le Français. Histoire de compenser le relatif manque de concurrence, il est peut être encore plus pointilleux que d’habitude, surveillant déjà les températures qu’il aura à affronter en Argentine («on s’attend à 44° ou 46°»).
Il ne pouvait de toute façon plus attendre beaucoup plus longtemps à attendre le départ. «J’étais chez moi, je commençais à tourner en rond, alors j’ai avancé mon avion de 48h. Le Dakar, c’est nos Jeux olympiques à nous, même si nous c’est tous les ans.» Oui mais cette fois, c’est vraiment plus facile que d’habitude, non? «Si c’est vrai on avait qu’à me donner le titre tout de suite», souffle Despres.
De notre envoyé spécial à Lima (Pérou),
«De toute façon, je n’ai jamais connu de Dakar facile». Ces jours-ci, le grand défi du Français Cyril Despres, quadruple vainqueur chez les motos est de se défaire de sa réputation de gagnant certain. Car le pilote a peut être gagné la course avant même qu’elle n’ait commencé. Et on connait même la date de son «pré-triomphe»: le 21 décembre 2012, jour où Marc Coma, son (seul?) opposant le plus farouche, a dû lâcher le guidon à cause d’une épaule douloureuse.
«Ca va être facile? Ah bah oui, c’est ça, ils ont asphalté les 8.500 km du parcours»
Alors bien sûr, Despres n’est pas idiot, et sait bien qu’il faudrait une très grosse surprise pour qu’il n’empoche pas sa cinquième victoire. Sauf qu’il ne peut pas le crier sur tous les toits. «Ca va être facile? Ah bah oui, c’est ça, ils ont asphalté les 8.500 km du parcours, ils ont mis des flèches partout et puis ils ont décidé que j’allais courir tout seul», se marre le Français. Histoire de compenser le relatif manque de concurrence, il est peut être encore plus pointilleux que d’habitude, surveillant déjà les températures qu’il aura à affronter en Argentine («on s’attend à 44° ou 46°»).
Il ne pouvait de toute façon plus attendre beaucoup plus longtemps à attendre le départ. «J’étais chez moi, je commençais à tourner en rond, alors j’ai avancé mon avion de 48h. Le Dakar, c’est nos Jeux olympiques à nous, même si nous c’est tous les ans.» Oui mais cette fois, c’est vraiment plus facile que d’habitude, non? «Si c’est vrai on avait qu’à me donner le titre tout de suite», souffle Despres.