soltan009
04/01/2013, 07h16
http://l3.yimg.com/bt/api/res/1.2/g_Iy5YkBcXeyeKydRJcbIg--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NDExO2NyPTE7Y3c9NjE2O2R4PTA7ZH k9MDtmaT11bGNyb3A7aD00MTE7cT04NTt3PTYxNg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/20minutes/Quick_va_attaquer_en_justice-606e8f36f0a396bed58e1efe7c533e03
JUSTICE - Le salarié parle notamment des pressions subis et du manque d'hygiène supposé de son établissement...
Le groupe de restauration rapide Quick a annoncé jeudi sur son site son intention de poursuivre en justice l'un de ses salariés pour avoir dénoncé sur Twitter les dysfonctionnements d'un fast food d'Avignon.
Depuis deux mois, cet employé de la chaîne, qui se présente sur le compte Twitter sous le pseudonyme @EquipierQuick, a pointé notamment de mauvaises conditions de travail, une «pression énorme de la part d'une manager et des manquements à l'hygiène».
Vers des poursuites pénales
Dans ses premiers tweets, le salarié parle de son salaire, de ses horaires et de ses tâches puis évoque des collègues qui «craquent dans les vestiaires» et «pleurent», ou «des menaces quotidiennes, sur certains, de perdre leur CDI». Dans un autre envoi, il se dit «dégoûté» par des emballages «qui étaient à terre» et ont «été utilisés». @EquipierQuick a tweeté plus de 240 fois et compte plus de 1.500 abonnés.
Contacté par l'AFP, l'employé qui ne veut pas rendre son identité publique pour le moment a affirmé qu'il était «suspendu depuis le 30 novembre» et «sans nouvelles de son employeur depuis». De son côté, la direction a considéré «ces propos comme diffamatoires dans la mesure où ils mettent publiquement en cause la réputation de Quick». «A ce stade, ce que nous envisageons, ce sont des poursuites pénales à l'encontre de la personne qui se cache derrière le compte», a déclaré à l'AFP une porte-parole du groupe.
La chaîne de restauration a assuré que «des audits qualité et social», réalisés dans le restaurant visé, «ont démenti tous les faits dénoncés par le compte @EquipierQuick».
(http://www.20minutes.fr/article/1073331/ynews1073331?xtor=RSS-176)
JUSTICE - Le salarié parle notamment des pressions subis et du manque d'hygiène supposé de son établissement...
Le groupe de restauration rapide Quick a annoncé jeudi sur son site son intention de poursuivre en justice l'un de ses salariés pour avoir dénoncé sur Twitter les dysfonctionnements d'un fast food d'Avignon.
Depuis deux mois, cet employé de la chaîne, qui se présente sur le compte Twitter sous le pseudonyme @EquipierQuick, a pointé notamment de mauvaises conditions de travail, une «pression énorme de la part d'une manager et des manquements à l'hygiène».
Vers des poursuites pénales
Dans ses premiers tweets, le salarié parle de son salaire, de ses horaires et de ses tâches puis évoque des collègues qui «craquent dans les vestiaires» et «pleurent», ou «des menaces quotidiennes, sur certains, de perdre leur CDI». Dans un autre envoi, il se dit «dégoûté» par des emballages «qui étaient à terre» et ont «été utilisés». @EquipierQuick a tweeté plus de 240 fois et compte plus de 1.500 abonnés.
Contacté par l'AFP, l'employé qui ne veut pas rendre son identité publique pour le moment a affirmé qu'il était «suspendu depuis le 30 novembre» et «sans nouvelles de son employeur depuis». De son côté, la direction a considéré «ces propos comme diffamatoires dans la mesure où ils mettent publiquement en cause la réputation de Quick». «A ce stade, ce que nous envisageons, ce sont des poursuites pénales à l'encontre de la personne qui se cache derrière le compte», a déclaré à l'AFP une porte-parole du groupe.
La chaîne de restauration a assuré que «des audits qualité et social», réalisés dans le restaurant visé, «ont démenti tous les faits dénoncés par le compte @EquipierQuick».
(http://www.20minutes.fr/article/1073331/ynews1073331?xtor=RSS-176)