Lako
02/07/2014, 20h03
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Ainsi, Monsieur Halilhodžić s’en va. La tête haute, loin des médiocrités de l’Algérie et des intérêts de son football qu’il a su transcender. Après la défaite face à la Belgique, le président de la Fédération avait fait passer les messages dans certains médias pour se dédouaner d’un coach trop indépendant et passé maître dans l’art de la tactique. Ce n’était guère glorieux mais en réalité, ces « autorités du football » n’ont rien épargné au Bosnien.
Coach Vahid a porté l’Équipe nationale à un niveau jamais atteint et cela on ne pourra pas le lui enlever. C’est bien lui qui a fait faire jeu égal avec l’Allemagne durant plus de 90 minutes. Que de médiocres technocrates du ballon rond rejoints par des scribouillards du football aient tenté de nuire à Coach Vahid, centré sur son travail, ils n’auront pas réussi à l’empêcher de donner le meilleur de lui-même ni de tirer l’Équipe nationale vers le très haut niveau.
Il faut se rappeler ces images du début de la prolongation face à l’Allemagne où Halilhodžić seul au milieu de ses joueurs les a harangués pour leur faire prendre conscience que l’exploit était au bout du ballon. Si l’équipe a été battue lundi, tout le monde a souligné sa combativité et un professionnalisme qui avait, jusque-là, fait défaut dans toutes les sélections algériennes passées
Ainsi, Halilhodžić part et le président de la Fédération ne fait rien pour le retenir, alors que des milliers de supporters des Verts souhaitent le voir rester. Il laisse derrière un fabuleux héritage. Une équipe prête aux chocs de haut niveau, taillée pour briller lors des matchs de la CAN l’année prochaine et déjà en orbite pour la qualification au prochain Mondial en 2018, en Russie. En sus, Halilhodžić aura permis de gommer les complexes des Algériens par rapport aux grandes nations du football, ces Russes, ces Belges et ces Allemands qui ont souffert sous l’effet des Verts.
D’une équipe ultra défensive et frileuse en attaque, avec aucun but marqué lors du Mondial 2010, Coach Vahid aura transformé les Verts en équipe séduisante avec des attaquants et des individualités remarquées. Pour tout cela, les Algériens peuvent lui dire merci.
Ainsi, Monsieur Halilhodžić s’en va. La tête haute, loin des médiocrités de l’Algérie et des intérêts de son football qu’il a su transcender. Après la défaite face à la Belgique, le président de la Fédération avait fait passer les messages dans certains médias pour se dédouaner d’un coach trop indépendant et passé maître dans l’art de la tactique. Ce n’était guère glorieux mais en réalité, ces « autorités du football » n’ont rien épargné au Bosnien.
Coach Vahid a porté l’Équipe nationale à un niveau jamais atteint et cela on ne pourra pas le lui enlever. C’est bien lui qui a fait faire jeu égal avec l’Allemagne durant plus de 90 minutes. Que de médiocres technocrates du ballon rond rejoints par des scribouillards du football aient tenté de nuire à Coach Vahid, centré sur son travail, ils n’auront pas réussi à l’empêcher de donner le meilleur de lui-même ni de tirer l’Équipe nationale vers le très haut niveau.
Il faut se rappeler ces images du début de la prolongation face à l’Allemagne où Halilhodžić seul au milieu de ses joueurs les a harangués pour leur faire prendre conscience que l’exploit était au bout du ballon. Si l’équipe a été battue lundi, tout le monde a souligné sa combativité et un professionnalisme qui avait, jusque-là, fait défaut dans toutes les sélections algériennes passées
Ainsi, Halilhodžić part et le président de la Fédération ne fait rien pour le retenir, alors que des milliers de supporters des Verts souhaitent le voir rester. Il laisse derrière un fabuleux héritage. Une équipe prête aux chocs de haut niveau, taillée pour briller lors des matchs de la CAN l’année prochaine et déjà en orbite pour la qualification au prochain Mondial en 2018, en Russie. En sus, Halilhodžić aura permis de gommer les complexes des Algériens par rapport aux grandes nations du football, ces Russes, ces Belges et ces Allemands qui ont souffert sous l’effet des Verts.
D’une équipe ultra défensive et frileuse en attaque, avec aucun but marqué lors du Mondial 2010, Coach Vahid aura transformé les Verts en équipe séduisante avec des attaquants et des individualités remarquées. Pour tout cela, les Algériens peuvent lui dire merci.