edenmartine
12/06/2014, 19h39
Christopher Froome a eu avoir un avant-goût de son week-end, ce jeudi, lors de la 5e étape du Dauphiné. Attaqué par Alberto Contador notamment, le maillot jaune a néanmoins réussi à résister. Simon Spilak a lui remporté l'étape en solitaire.
Comme une sorte d'apéritif. Leader du Dauphiné, Christopher Froome sait qu'il lui faudra batailler pour conserver son maillot jaune, ce week-end. Jeudi, lors de la 5e étape, le Britannique a en effet eu un aperçu de la volonté de ses dauphins de le faire tomber de son trône.
Avec trois cols de deuxième catégorie, et trois de troisième, le parcours entre Sisteron et La Mure semblait pourtant promettre une journée plutôt calme au leader de la Sky, le principal étant de ne pas laisser partir que des baroudeurs dangereux au classement général.
Au final, le vainqueur du Tour 2013 a dû s'employer un minimum, notamment lorsque'Alberto Contador, son dauphin pour douze petites secondes, a tenté de s'échapper dans la descente du col de la Morte, à une vingtaine de kilomètres de l'arrivée. Une attaque pleine de panache, qui n'a pas forcément fait frémir le leader au général. "Quelquefois, les journées ne paraissent pas très dures sur le papier, et elles se révèlent très dures. C'est ce qui s'est passé aujourd'hui quand Contador a attaqué pour nous mettre la pression. J'ai demandé à mes coéquipiers de garder leur calme. Ils ont fait un énorme boulot", a-t-il expliqué.
Ce sera chose faite quelques kilomètres plus loin, l'Espagnol rentrant dans le peloton le sourire aux lèvres.
C'est ensuite dans le final que le Britannique a dû contenir la fougue de ses adversaires, à l'image de Wilco Kelderman, troisième à 21 secondes et qui termine avec trois petites secondes d'avance sur le peloton plus un bonus à l'arrivée de 6 secondes, mais aussi de Vincenzo Nibali, qui n'a lui pas réussi à sortir du groupe."Cela veut dire que c'est possible d'attaquer Contador et Froome, pour peu que la situation se présente", note le premier.
Des à-coups au final sans réelles conséquences au classement général, et sans conséquences non plus sur Simon Spilak, seul résistant de l'échappée du jour, et qui offre à Katusha sa deuxième victoire de rang, après celle glanée par Yuti Trofimov, mercredi.
Comme une sorte d'apéritif. Leader du Dauphiné, Christopher Froome sait qu'il lui faudra batailler pour conserver son maillot jaune, ce week-end. Jeudi, lors de la 5e étape, le Britannique a en effet eu un aperçu de la volonté de ses dauphins de le faire tomber de son trône.
Avec trois cols de deuxième catégorie, et trois de troisième, le parcours entre Sisteron et La Mure semblait pourtant promettre une journée plutôt calme au leader de la Sky, le principal étant de ne pas laisser partir que des baroudeurs dangereux au classement général.
Au final, le vainqueur du Tour 2013 a dû s'employer un minimum, notamment lorsque'Alberto Contador, son dauphin pour douze petites secondes, a tenté de s'échapper dans la descente du col de la Morte, à une vingtaine de kilomètres de l'arrivée. Une attaque pleine de panache, qui n'a pas forcément fait frémir le leader au général. "Quelquefois, les journées ne paraissent pas très dures sur le papier, et elles se révèlent très dures. C'est ce qui s'est passé aujourd'hui quand Contador a attaqué pour nous mettre la pression. J'ai demandé à mes coéquipiers de garder leur calme. Ils ont fait un énorme boulot", a-t-il expliqué.
Ce sera chose faite quelques kilomètres plus loin, l'Espagnol rentrant dans le peloton le sourire aux lèvres.
C'est ensuite dans le final que le Britannique a dû contenir la fougue de ses adversaires, à l'image de Wilco Kelderman, troisième à 21 secondes et qui termine avec trois petites secondes d'avance sur le peloton plus un bonus à l'arrivée de 6 secondes, mais aussi de Vincenzo Nibali, qui n'a lui pas réussi à sortir du groupe."Cela veut dire que c'est possible d'attaquer Contador et Froome, pour peu que la situation se présente", note le premier.
Des à-coups au final sans réelles conséquences au classement général, et sans conséquences non plus sur Simon Spilak, seul résistant de l'échappée du jour, et qui offre à Katusha sa deuxième victoire de rang, après celle glanée par Yuti Trofimov, mercredi.