yazidnic
01-01-2013, 07:46 AM
La Maison blanche et les r�publicains sont parvenus lundi soir � un accord budg�taire, � quelques heures de la date limite � laquelle les Etats-Unis devaient se retrouver au pied du "mur budg�taire". L'accord repousserait de deux mois la n�cessit� d'effectuer des coupes drastiques dans les d�penses.
Le chef de la minorit� r�publicaine au S�nat, Mitch McConnell, a conclu l'accord avec Joe Biden � Reuters - Mary Calvert
Les Etats-Unis �chappent de justesse � la cure d'aust�rit� forc�e impliqu�e par le "mur budg�taire" : le vice-pr�sident Joe Biden et le chef de la minorit� r�publicaine au S�nat, Mitch McConnell, ont fini par conclure un accord budg�taire.
Les deux camps se sont mis d'accord sur un compromis a minima qui augmenterait les imp�ts des plus ais�s, soit les foyers qui touchent un salaire sup�rieur � 450.000 dollars par an, plut�t que 250.000 comme le souhaitait Barack Obama. En contrepartie, les coupes budg�taires drastiques qui auraient d� �tre impos�es d�s mardi sont, quant � elles, suspendues pour deux mois.
Le plafond de la dette franchi
Le texte a �t� vot� par le S�nat, et doit encore �tre ent�rin� par la Chambre des repr�sentants majoritairement r�publicaine. Cette derni�re a refus� de proc�der � un vote lundi soir. En th�orie, le choc contre le "mur budg�taire" a d'ores et d�j� eu lieu. Mais il ne se passera rien sur le plan financier ce mardi, jour f�ri� aux Etats-Unis, ce qui laisse encore un court d�lai � la Chambre pour voter cet accord.
Faute de compromis, le pays aurait �t� soumis � une politique de rigueur forc�e stricte : elle se serait traduite notamment par une hausse d'imp�t de 2.000 dollars par foyer et par an, en moyenne. Les n�gociations ont �t� �pres, les r�publicains refusant jusqu'� la semaine derni�re toute hausse d'imp�t, m�me pour les revenus sup�rieurs � un million de dollars.
Dans le m�me temps, le Tr�sor am�ricain a annonc� que le plafond de la dette am�ricaine avait bel et bien �t� d�pass� lundi. Il reviendra alors au Congr�s de voter un nouveau rel�vement de ce plafond. En attendant, l'administration a annonc� "des mesures exceptionnelles". Ces mesures permettront au pays de ne pas entrer imm�diatement en situation de faillite.
Le chef de la minorit� r�publicaine au S�nat, Mitch McConnell, a conclu l'accord avec Joe Biden � Reuters - Mary Calvert
Les Etats-Unis �chappent de justesse � la cure d'aust�rit� forc�e impliqu�e par le "mur budg�taire" : le vice-pr�sident Joe Biden et le chef de la minorit� r�publicaine au S�nat, Mitch McConnell, ont fini par conclure un accord budg�taire.
Les deux camps se sont mis d'accord sur un compromis a minima qui augmenterait les imp�ts des plus ais�s, soit les foyers qui touchent un salaire sup�rieur � 450.000 dollars par an, plut�t que 250.000 comme le souhaitait Barack Obama. En contrepartie, les coupes budg�taires drastiques qui auraient d� �tre impos�es d�s mardi sont, quant � elles, suspendues pour deux mois.
Le plafond de la dette franchi
Le texte a �t� vot� par le S�nat, et doit encore �tre ent�rin� par la Chambre des repr�sentants majoritairement r�publicaine. Cette derni�re a refus� de proc�der � un vote lundi soir. En th�orie, le choc contre le "mur budg�taire" a d'ores et d�j� eu lieu. Mais il ne se passera rien sur le plan financier ce mardi, jour f�ri� aux Etats-Unis, ce qui laisse encore un court d�lai � la Chambre pour voter cet accord.
Faute de compromis, le pays aurait �t� soumis � une politique de rigueur forc�e stricte : elle se serait traduite notamment par une hausse d'imp�t de 2.000 dollars par foyer et par an, en moyenne. Les n�gociations ont �t� �pres, les r�publicains refusant jusqu'� la semaine derni�re toute hausse d'imp�t, m�me pour les revenus sup�rieurs � un million de dollars.
Dans le m�me temps, le Tr�sor am�ricain a annonc� que le plafond de la dette am�ricaine avait bel et bien �t� d�pass� lundi. Il reviendra alors au Congr�s de voter un nouveau rel�vement de ce plafond. En attendant, l'administration a annonc� "des mesures exceptionnelles". Ces mesures permettront au pays de ne pas entrer imm�diatement en situation de faillite.