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Voir la version complète : Alimentaire : le rapport alarmant sur les produits premiers prix



darvador2002
30/05/2014, 12h43
http://img.radins.net/breve/82599a4e/c94aca06/6873c99b4c741ed8.jpeg?1401442296 ©frenchmomentsblog.com Les produits premiers prix, nous en avons tous, un jour, déjà consommé. Leurs prix souvent très attractifs sont à la portée du budget d'un grand nombre de ménages.
Mais que contiennent-ils réellement ? Leur consommation est-elle nocive à notre santé ?

La qualité des produits premiers prix serait mise en cause D'après un rapport sur la sécurité alimentaire rendu il y a 3 mois par la Cour des comptes, la qualité des produits dit « premiers prix » serait inquiétante.

Compte tenu de la situation économique actuelle, les consommateurs sont de plus en plus tentés et consomment de plus en plus ces produits premiers prix.
Or, ceux-ci auraient des retombées négatives voire dangereuses pour notre santé.

Lors de leurs investigations, les enquêteurs de la Cour des comptes ont découvert des éléments pour le moins stupéfiants !

Les denrées alimentaires dites de "premiers prix" contiendraient « des excréments de souris dans les étuves de chorizo, des souris vivantes ou mortes, des moisissures , des viandes grises-verdâtres impropres à la consommation humaine dans des charcuteries, du fromage ramassé à la raclette sur le sol pour en faire du fromage fondu... ». Autant d'éléments à nous couper l'appétit, pire encore, à nous rendre malade.

Selon le rapport de la Cour des comptes, « l'offre des produits premiers prix peut paraître attractive, mais leur consommation systématique, par une population croissante, pourrait avoir à terme des répercussions sur la santé publique ».

Voilà qui est dit ! Les denrées alimentaires « premiers prix » sont à éviter autant que nous le pouvons.
Un dysfonctionnement dans la régularité des contrôles Selon les enquêteurs de la Cour des comptes, cette négligence est due au manque, voire à la rareté des contrôles dans le secteur alimentaire.

A titre d'exemple, "Un établissement de remise directe (boucherie, restaurant, centre commercial...) sera en moyenne contrôlé trois fois au cours d'un siècle".

Cela s'explique par le nombre insuffisant d'enquêteurs et d'inspecteurs en santé publique : il n'y aurait qu'environ 43 agents habilités à contrôler plus de 110.000 établissements de restauration collective ( cantines dans les écoles et lycées, dans les restaurants des hôpitaux...).
Depuis 2005 , environ 20% des effectifs ont été supprimés.

En plus de l'irrégularité dans les contrôles vétérinaires et phytosanitaires, la Cour des comptes dénonce une « répression insuffisante ». Lorsqu'ils sont contrôlés et verbalisés, les établissements concernés ne sont pas poursuivis, ce qui décourage le peu d'agents assermentés.

jim63
31/05/2014, 17h08
salam
le gouvernement par la non surveillance de la restauration collective abandonne ses responsabilités, responsable mais pas coupable comme ds le sang contaminé avec fabuis,mais il n a que faire des citoyens qui sont des veaux a leur yeux ,brouter voter et payé les taxes Français !!!