jim63
22/05/2014, 10h33
salam
Un policier qui avait participé au contrôle d'identité d'une femme en niqab qui avait dégénéré à Trappes (Yvelines) en été 2013 (http://www.saphirnews.com/Trappes-les-habitants-racontent-leur-verite-aux-medias_a17259.html) a été mis en examen le 30 janvier pour avoir partagé et commenté une photo à caractère islamophobe sur son compte Facebook, (http://www.saphirnews.com/Trappes-le-policier-mis-en-cause-par-le-couple-musulman-irreprochable_a17280.html) a informé le parquet de Versailles à l'AFP mardi 20 mai.
L'image partagée, provenant du groupe « Les femmes blanches sont les plus belles », présente une femme portant le niqab, accompagnée du logo de la ville de Trappes et l'inscription « La douceur de vivre ». « S'y pas tri guntille dy demandei à nous fimmes (femmes) d'enlever ly rideau surtout dans la rypublik islamik de Trappe (sic) », avait-il commenté.
Le parquet a requis son renvoi devant le tribunal correctionnel le 26 mars à l'issue d'une information judiciaire pour « provocation à la haine raciale ou à la violence » (http://www.saphirnews.com/Islamophobie-un-policier-de-Trappes-poursuivi-pour-incitation-a-la-haine_a17877.html).
Le soir du 18 juillet, en plein ramadan, le contrôle d'identité de Cassandra Belin, intégralement voilée, avait dégénéré et conduit à plusieurs nuits de violences, notamment contre le commissariat de Trappes, qui avait été pris d'assaut par une foule en colère.
Son mari, Michaël Khiri, converti à l'islam (http://www.lemonde.fr/islam/), comme son épouse, a été condamné en novembre à trois mois de prison avec sursis pour s'être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre) violemment opposé à ce contrôle, « illégitime » selon lui. Il a fait appel et son nouveau procès à Versailles est prévu le 27 mai. Cassandra Belin, condamnée en janvier à un mois avec sursis, a aussi fait appel et sera rejugée le 19 juin. Lors des procès (http://www.lemonde.fr/proces/), les avocats de ce couple d'une vingtaine d'années avaient plaidé que « l'agressivité » n'était « pas seulement » de leur côté.
Un policier qui avait participé au contrôle d'identité d'une femme en niqab qui avait dégénéré à Trappes (Yvelines) en été 2013 (http://www.saphirnews.com/Trappes-les-habitants-racontent-leur-verite-aux-medias_a17259.html) a été mis en examen le 30 janvier pour avoir partagé et commenté une photo à caractère islamophobe sur son compte Facebook, (http://www.saphirnews.com/Trappes-le-policier-mis-en-cause-par-le-couple-musulman-irreprochable_a17280.html) a informé le parquet de Versailles à l'AFP mardi 20 mai.
L'image partagée, provenant du groupe « Les femmes blanches sont les plus belles », présente une femme portant le niqab, accompagnée du logo de la ville de Trappes et l'inscription « La douceur de vivre ». « S'y pas tri guntille dy demandei à nous fimmes (femmes) d'enlever ly rideau surtout dans la rypublik islamik de Trappe (sic) », avait-il commenté.
Le parquet a requis son renvoi devant le tribunal correctionnel le 26 mars à l'issue d'une information judiciaire pour « provocation à la haine raciale ou à la violence » (http://www.saphirnews.com/Islamophobie-un-policier-de-Trappes-poursuivi-pour-incitation-a-la-haine_a17877.html).
Le soir du 18 juillet, en plein ramadan, le contrôle d'identité de Cassandra Belin, intégralement voilée, avait dégénéré et conduit à plusieurs nuits de violences, notamment contre le commissariat de Trappes, qui avait été pris d'assaut par une foule en colère.
Son mari, Michaël Khiri, converti à l'islam (http://www.lemonde.fr/islam/), comme son épouse, a été condamné en novembre à trois mois de prison avec sursis pour s'être (http://conjugaison.lemonde.fr/conjugaison/auxiliaire/%C3%AAtre) violemment opposé à ce contrôle, « illégitime » selon lui. Il a fait appel et son nouveau procès à Versailles est prévu le 27 mai. Cassandra Belin, condamnée en janvier à un mois avec sursis, a aussi fait appel et sera rejugée le 19 juin. Lors des procès (http://www.lemonde.fr/proces/), les avocats de ce couple d'une vingtaine d'années avaient plaidé que « l'agressivité » n'était « pas seulement » de leur côté.