soltan009
19/05/2014, 17h14
L’Institut Pasteur d’Alger confirme l’existence de bactéries « salmonelles » mortelles, dans les viandes congelées importées de l’Inde par l’Algérie. Ces viandes sont destinées à la consommation humaine, durant le mois sacré de Ramadhan dont seuls 42 jours nous en séparent. La quantité importée et déclarée par le ministère de l’Agriculture est de 30.000 tonnes de viande rouge ; El-Bilad a réussi à récupérer le rapport établi par l’Institut Pasteur, au niveau de son service « bactéries alimentaires », sur un échantillon de viande bovine en provenance de l’Inde en date du 03 avril 2014, et dont la date de péremption est fixée au 07 juillet 2015. L’importateur est la société « Inalca Corso Algérie ».
L’Institut Pasteur en a prélevé 5 échantillons de 125 grammes, leur analyse a prouvé l’existence de la bactérie « salmonelle SBB », bactérie mortelle. La rédaction du rapport de l’Institut Pasteur est claire et sans équivoque : matière dangereuse, interdite de consommation.
Un autre rapport établi en date du 27 janvier 2014, sur des échantillons de viande importée par la société « Sahari Simax » et dont les services du port d’Alger avait interceptée le lot, confirme également l’existence d’une autre bactérie à raison de 9% par gramme de viande. Ces viandes, malgré leur date de péremption fixée au 31 mars 2015, ont évidemment été classées par l’Institut Pasteur « non destinées à la consommation humaine ».
Même scénario avec les viandes importées d’Inde par la société « Agrodif Algérie », le rapport de l’Institut Pasteur établi en date du 07 avril 2014, et signé par le responsable du service « bactéries alimentaires », montre l’existence de deux genres de bactéries en grande quantité par gramme de viande.
A cet effet, le revendeur de gros « Fawzi Food » a envoyé une lettre au ministère de l’Agriculture et du Développement rural, datée du 21 avril 2014 et reçue par les services du ministère le jour même, demandant au ministre de prendre les mesures nécessaires et d'avoir le courage de stopper l’importation des viandes de l’Inde, qu’il qualifie de « pourries », car provenant du buffle indien, viandes truffées de virus et de microbes. Ce commerçant de viandes sait que la preuve est donnée par l’Institut Pasteur, dont les rapports démontrent la présence de microbes et de virus et même d'excréments des travailleurs dans les abattoirs indiens. La lettre du commerçant algérien, dont El-Bilad détient une copie, ajoute : « qu’ils vont aux toilettes et ne se lavent pas au savon », et s’interroge sur l’immobilisme du ministère de tutelle, malgré la sonnette d’alarme tirée par les rapports de l’Institut Pasteur. « Il est juste temps d’arrêter l’importation des viandes de l’Inde comme ce fut le cas avec les viandes d’Amérique latine » conclue la lettre.
L’Institut Pasteur en a prélevé 5 échantillons de 125 grammes, leur analyse a prouvé l’existence de la bactérie « salmonelle SBB », bactérie mortelle. La rédaction du rapport de l’Institut Pasteur est claire et sans équivoque : matière dangereuse, interdite de consommation.
Un autre rapport établi en date du 27 janvier 2014, sur des échantillons de viande importée par la société « Sahari Simax » et dont les services du port d’Alger avait interceptée le lot, confirme également l’existence d’une autre bactérie à raison de 9% par gramme de viande. Ces viandes, malgré leur date de péremption fixée au 31 mars 2015, ont évidemment été classées par l’Institut Pasteur « non destinées à la consommation humaine ».
Même scénario avec les viandes importées d’Inde par la société « Agrodif Algérie », le rapport de l’Institut Pasteur établi en date du 07 avril 2014, et signé par le responsable du service « bactéries alimentaires », montre l’existence de deux genres de bactéries en grande quantité par gramme de viande.
A cet effet, le revendeur de gros « Fawzi Food » a envoyé une lettre au ministère de l’Agriculture et du Développement rural, datée du 21 avril 2014 et reçue par les services du ministère le jour même, demandant au ministre de prendre les mesures nécessaires et d'avoir le courage de stopper l’importation des viandes de l’Inde, qu’il qualifie de « pourries », car provenant du buffle indien, viandes truffées de virus et de microbes. Ce commerçant de viandes sait que la preuve est donnée par l’Institut Pasteur, dont les rapports démontrent la présence de microbes et de virus et même d'excréments des travailleurs dans les abattoirs indiens. La lettre du commerçant algérien, dont El-Bilad détient une copie, ajoute : « qu’ils vont aux toilettes et ne se lavent pas au savon », et s’interroge sur l’immobilisme du ministère de tutelle, malgré la sonnette d’alarme tirée par les rapports de l’Institut Pasteur. « Il est juste temps d’arrêter l’importation des viandes de l’Inde comme ce fut le cas avec les viandes d’Amérique latine » conclue la lettre.