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edenmartine
17/05/2014, 18h43
Bouteflika veut limiter à deux les mandats de ses successeurs





http://www.leparisien.fr/images/2014/05/05/3817755_af9f6c8e36db11dc898644e438b61493d2c8f240_6 40x280.jpg
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika à Alger, le 28 a



Réélu «confortablement», avec 81% selon les résultats officiels, le 17 avril dernier (http://www.leparisien.fr/international/video-algerie-bouteflika-tres-affaibli-a-prete-serment-pour-un-4e-mandat-28-04-2014-3801457.php), le président (http://actualites.leparisien.fr/president.html) algérien Abdelaziz Bouteflika (http://actualites.leparisien.fr/abdelaziz+bouteflika.html) s'est engagé à mener à bien ses projets durant son quatrième mandat.

Agé de 77 ans, très affaibli par la maladie au point de n'avoir jamais fait campagne durant ce scrutin, Bouteflika a annoncé samedi sa volonté, après quinze ans à la tête (http://actualites.leparisien.fr/tete.html) du pays, de doter l'Algérie d'une nouvelle Constitution, pour laquelle il associerait l'opposition et la société civile.

Abdelaziz Bouteflika entend, aujourd'hui, limiter à deux le nombre de mandats présidentiels de ses successeurs. Et ce alors même que les opposants à son quatrième mandat qui manifestaient pacifiquement dans les rues algériennes avant l'élection ont été malmenés par les forces de l'ordre.
L'opposition décline les consultations

Plusieurs formations politiques de l'opposition ont signifié leur refus de participer à ces consultations, rappelant que la limite des deux mandats consécutifs avait été supprimée par les soutiens de Bouteflika en 2009 pour permettre lui permettre de briguer un troisième mandat consécutif. Puis un quatrième...

Autre changement important, la nouvelle Constitution devrait renforcer les pouvoirs du Premier ministre. Ce dernier pourra alors «signer des décrets exécutifs par délégation du président de la République». Une révision qui tombe à pic en raison de la mauvaise santé du chef de l'État que l'opposition estime «incapable» de gérer les affaires du pays.
Lors de sa prestation de serment, le 28 avril, le président algérien était arrivé en fauteuil roulant (http://www.leparisien.fr/international/algerie-bouteflika-repart-pour-un-4e-mandat-avec-le-meme-gouvernement-05-05-2014-3817601.php).
Il avait ensuite parlé d'une voix faible et son allocution avait été abrégée.

Sur le plan économique, Bouteflika a confirmé le lancement d'un programme quinquennal d'investissement public, et surtout, la lutte contre la corruption qui mine depuis des décennies le pays.

Lako
17/05/2014, 18h51
Retour a la case départ ou retour vers le futur !!!

harroudiroi
17/05/2014, 21h11
C'est moi doc, comme le doc de retour vers le futur, ben moi je dis, retour vers le néant