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Voir la version complète : Le premier marié gay de l’Oise en prison pour pédophilie !!



jim63
08/05/2014, 20h06
salam
Suite au dépôt de plusieurs plaintes, Daniel Thibaut, 64 ans, originaire de Compiègne, a été mis en examen pour actes de pédophilie et placé en détention provisoire à Liancourt, le jeudi 17 avril. Le parquet de Senlis est chargé de l’affaire.
Le sexagénaire avait été le « premier marié gay de l’Oise ». Le mariage avait été célébré par Evelyse Guyot, adjointe au maire, le 6 juillet 2013, à l’hôtel de ville de Compiègne, en présence de nombreux médias. Curieusement, ceux-ci n’ont pas été aussi prompts (hormis la presse locale) à informer de ce nouvel épisode dans la vie du « premier marié gay de l’Oise ».
Aïe, aïe, aïe ! C’est pas la meilleure publicité qu’auraient espérée les partisans du mariage gay, mais la réalité est taquine !

harroudiroi
08/05/2014, 21h47
Aie, aie,ça commence bien

Richard Jacob (ex-FN), ancien élu à la mairie d'Auxerre, a été condamné aujourd'hui en appel à huit mois de prison et deux ans d'inéligibilité pour des violences à l'encontre de partisans du mariage gay, une peine plus lourde qu'en première instance.


Le 16 février 2013, sur le parvis de l'hôtel de ville d'Auxerre, quelques dizaines de manifestants s'étaient rassemblés pour soutenir le projet de loi ouvrant le mariage aux homosexuels. Une altercation avait alors éclaté entre les manifestants et le conseiller municipal FN. Trois personnes, dont une jeune fille de 17 ans, avaient été très légèrement blessées et avaient déposé plainte. La jeune fille a accusé l'élu de lui avoir donné un coup de pied au visage, tandis que les deux autres lui ont reproché de les avoir bousculées. Selon les victimes et des témoins, M. Jacob aurait tenu des propos comme "Les pédés au bûcher", "Je ne veux pas de pédés ici, vous devez crever".


En première instance, le tribunal correctionnel d'Auxerre avait condamné M. Jacob à six mois de prison avec sursis, deux ans d'inéligibilité et 2000 euros d'amende. Le tribunal l'avait uniquement reconnu coupable des violences, et avait jugé nulles les poursuites pour provocation à la haine et à la discrimination. M. Jacob avait fait appel.


Mais la cour d'appel de Paris a quant à elle retenu cette infraction. Elle a par ailleurs porté à 800 euros le montant des dommages et intérêts que devra verser M. Jacob à trois associations parties civiles, contre un euro en première instance.


Philippe Durand, l'une des victimes, s'est déclaré "satisfait" de la décision de la cour d'appel de Paris, estimant qu'un élu de la République n'aurait "jamais dû agir comme cela". M. Jacob n'était pas présent au délibéré et son avocat n'a pas souhaité faire de commentaire.